Réveil photo (Alice et Margot 7)
Récit érotique écrit par FlorentDoe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-09-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Réveil photo (Alice et Margot 7)
C’est une porte qui claque qui me réveilla. J’étais seul dans le grand lit. Combien de temps avais-je dormi ? Je me levai et allai dans le salon. Alice y était assise un livre de Marguerite Yourcenar entre les mains. En m’entendant arriver, elle leva les yeux vers moi.
-Bonjour, bel amant.
-J’ai dormi longtemps ?
-Une heure, quelque chose comme ça.
Elle était vêtue d’une petite robe printanière dans les tons jaunes, les pieds posés sur la table basse.
-Alex est rentrée chez elle. Je crois qu’elle doit parler avec son mec. Et tu viens de louper Margot. Elle est partie faire du sport.
-Quelle santé. J’en serais incapable après ces dernières heures.
Elle me répondit d’un sourire plein de connivence.
-Tu restes ici ce soir ?
-Il est quelle heure ? Non, je dois aller manger avec un ami.
-Il doit être 16h30. Comme tu veux.
-16h30 déjà. Je vais devoir y aller.
-Dommage.
Je répondis à ce nouveau sourire plein de sous-entendu par une expression identique. Et allai prendre une douche.
Quand je revins 20 minutes plus tard, habillé de mon costume de la veille, Alice était toujours dans le canapé. Je m’assis en face d’elle.
-Tu t’en vas ? Donne-moi ton numéro de gsm.
Nous sortîmes nos téléphones et échangeâmes nos numéros confiants que nous nous reverrions.
Alice déposa son livre et décroisa ses pieds.
-Tu dois mettre une photo de moi pour le contact.
Elle écarta les jambes me laissant découvrir la culotte blanche qu’elle portait.
Je pris un cliché de son visage.
-Juste une photo comme ça ? C’est pas un peu sage ?
Ses mains avaient maintenant relevé le bas de sa jupe et ses doigts parcouraient son sexe à travers l’étoffe. Je fis à nouveau des photos de la rouquine qui commençait à se masturber. Je pris un cadre plus large pour l’avoir entière.
Toujours avec le même sourire sur le visage, me toisant de ses yeux verts, elle écarta le morceau de tissu me dévoilant son minou. Il était humide sous les caresses que la belle se prodiguait. Je continuais à jouer au photographe faisant désormais des serrés de sa petite chatte très sensuelle.
-Tu as ce qu’il te faut ?
-Oui, ça devrait aller.
-Tu bandes ?
-Oui.
-A mon tour alors. Montre-moi ça.
Alice prit son gsm. J’ouvrai mon pantalon et en sorti mon sexe dressé. Je commençai à me masturber tandis que la coquine prenait des photos de moi. Elle aussi, aux mouvements que ses doigts faisaient sur l’écran, était en train de prendre des images rapprochées. Cette situation m’excitait. Malheureusement, mais j’étais pris par le temps.
-Tu as aussi assez de photos ?
-Oui.
Je me rhabillai et embrassa Alice. Son baiser était léger. Ses lèvres ne firent qu’effleurer les miennes. Une sensation très érotique qui me mit plus en émoi que certaines choses que nous avions fait ensemble ces dernières heures. Alice m’accompagna à la porte.
-A bientôt donc.
Elle ne ferma la porte que lorsque l’ascenseur s’ouvrit.
Ce soir là, je dinais avec Lucas. On devait se retrouver dans un restaurant proche de l’Avenue Louise, une des artères les plus chics de Bruxelles. J’avais travaillé dans son bureau de communication. Ensuite, j’avais pris mon envol et lancé mon affaire avec un autre ami. On était resté en contact et faisions du sport ensemble régulièrement. C’était un bel homme, la quarantaine séduisante. Ses cheveux noirs grisonnaient et lui rajoutaient un charme d’homme mûr. Il était en couple depuis longtemps avec Virginie. Et j’avais entendu beaucoup de rumeurs sur eux. Ils avaient, disait-on, une sexualité assez libérée. Mais je n’avais jamais rien pu vérifier de tout cela.
On aimait bien parler cul lui et moi. Mais rarement de nos expériences personnelles. On parlait cul dans l’absolu. Mais ce soir là, sans savoir pourquoi, je lui racontai la soirée de la veille et mon début de journée.
-Eh bien. Tu ne t’es pas ennuyé.
-Non, là je dois dire…-Il faudra que tu me présentes ces charmantes jeunes filles.
-Pour que tu me les ravisses ? Pas question. Je rigole. Je ne crois pas que jalousie fasse partie de leur vocabulaire. Pourquoi pas, à l’occasion.
-Si tu veux, j’organise une petite fête avec quelques amis dans 15 jours. On fait ça deux fois par ans avec quelques autres couples. On loue un bel endroit, on prend un bon traiteur et on passe une bonne soirée avec du bon vin. Si vous voulez venir.
-Pourquoi pas. Envoie-moi l’adresse par mail. Je leur en parlerai.
La discussion continua sur Alice et Margot. Je lui parlai aussi d’Alex avec un peu d’appréhension mais il ne parut pas aussi étonné que moi de l’expérience. Petit à petit nous partîmes sur d’autres considérations avant de nous quitter tôt. Le week-end avait été long pour tous les deux et nous travaillions le lendemain.
-Bonjour, bel amant.
-J’ai dormi longtemps ?
-Une heure, quelque chose comme ça.
Elle était vêtue d’une petite robe printanière dans les tons jaunes, les pieds posés sur la table basse.
-Alex est rentrée chez elle. Je crois qu’elle doit parler avec son mec. Et tu viens de louper Margot. Elle est partie faire du sport.
-Quelle santé. J’en serais incapable après ces dernières heures.
Elle me répondit d’un sourire plein de connivence.
-Tu restes ici ce soir ?
-Il est quelle heure ? Non, je dois aller manger avec un ami.
-Il doit être 16h30. Comme tu veux.
-16h30 déjà. Je vais devoir y aller.
-Dommage.
Je répondis à ce nouveau sourire plein de sous-entendu par une expression identique. Et allai prendre une douche.
Quand je revins 20 minutes plus tard, habillé de mon costume de la veille, Alice était toujours dans le canapé. Je m’assis en face d’elle.
-Tu t’en vas ? Donne-moi ton numéro de gsm.
Nous sortîmes nos téléphones et échangeâmes nos numéros confiants que nous nous reverrions.
Alice déposa son livre et décroisa ses pieds.
-Tu dois mettre une photo de moi pour le contact.
Elle écarta les jambes me laissant découvrir la culotte blanche qu’elle portait.
Je pris un cliché de son visage.
-Juste une photo comme ça ? C’est pas un peu sage ?
Ses mains avaient maintenant relevé le bas de sa jupe et ses doigts parcouraient son sexe à travers l’étoffe. Je fis à nouveau des photos de la rouquine qui commençait à se masturber. Je pris un cadre plus large pour l’avoir entière.
Toujours avec le même sourire sur le visage, me toisant de ses yeux verts, elle écarta le morceau de tissu me dévoilant son minou. Il était humide sous les caresses que la belle se prodiguait. Je continuais à jouer au photographe faisant désormais des serrés de sa petite chatte très sensuelle.
-Tu as ce qu’il te faut ?
-Oui, ça devrait aller.
-Tu bandes ?
-Oui.
-A mon tour alors. Montre-moi ça.
Alice prit son gsm. J’ouvrai mon pantalon et en sorti mon sexe dressé. Je commençai à me masturber tandis que la coquine prenait des photos de moi. Elle aussi, aux mouvements que ses doigts faisaient sur l’écran, était en train de prendre des images rapprochées. Cette situation m’excitait. Malheureusement, mais j’étais pris par le temps.
-Tu as aussi assez de photos ?
-Oui.
Je me rhabillai et embrassa Alice. Son baiser était léger. Ses lèvres ne firent qu’effleurer les miennes. Une sensation très érotique qui me mit plus en émoi que certaines choses que nous avions fait ensemble ces dernières heures. Alice m’accompagna à la porte.
-A bientôt donc.
Elle ne ferma la porte que lorsque l’ascenseur s’ouvrit.
Ce soir là, je dinais avec Lucas. On devait se retrouver dans un restaurant proche de l’Avenue Louise, une des artères les plus chics de Bruxelles. J’avais travaillé dans son bureau de communication. Ensuite, j’avais pris mon envol et lancé mon affaire avec un autre ami. On était resté en contact et faisions du sport ensemble régulièrement. C’était un bel homme, la quarantaine séduisante. Ses cheveux noirs grisonnaient et lui rajoutaient un charme d’homme mûr. Il était en couple depuis longtemps avec Virginie. Et j’avais entendu beaucoup de rumeurs sur eux. Ils avaient, disait-on, une sexualité assez libérée. Mais je n’avais jamais rien pu vérifier de tout cela.
On aimait bien parler cul lui et moi. Mais rarement de nos expériences personnelles. On parlait cul dans l’absolu. Mais ce soir là, sans savoir pourquoi, je lui racontai la soirée de la veille et mon début de journée.
-Eh bien. Tu ne t’es pas ennuyé.
-Non, là je dois dire…-Il faudra que tu me présentes ces charmantes jeunes filles.
-Pour que tu me les ravisses ? Pas question. Je rigole. Je ne crois pas que jalousie fasse partie de leur vocabulaire. Pourquoi pas, à l’occasion.
-Si tu veux, j’organise une petite fête avec quelques amis dans 15 jours. On fait ça deux fois par ans avec quelques autres couples. On loue un bel endroit, on prend un bon traiteur et on passe une bonne soirée avec du bon vin. Si vous voulez venir.
-Pourquoi pas. Envoie-moi l’adresse par mail. Je leur en parlerai.
La discussion continua sur Alice et Margot. Je lui parlai aussi d’Alex avec un peu d’appréhension mais il ne parut pas aussi étonné que moi de l’expérience. Petit à petit nous partîmes sur d’autres considérations avant de nous quitter tôt. Le week-end avait été long pour tous les deux et nous travaillions le lendemain.
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