Une nouvelle amie (Alice et Margot 6) - histoire érotique

En revenant dans la chambre, nous vîmes Alice allongée sur le lit. Couchée sur le ventre, son corps nu, la tête posée sur ses bras. Elle semblait dormir. Alex, elle, prenait toujours le soleil, vêtue de son seul boxer, impudique sur le balcon dont la vue était offerte à tous.
En nous entendant entrer dans la chambre, Alice tourna la tête dans notre direction sans la lever, sans ouvrir les yeux.
-Vous étiez où ?
-On a pris une rapide douche.
-Ensemble ?
-Oui, ça t’embête ?
Margot s’était assise sur le lit et passait avec légèreté le dos de sa main sur les épaules de la rouquine. Dans la lumière, je redécouvrais son corps. Plus beau encore que je ne l’avais perçu cette nuit. Sa peau était d’une blancheur laiteuse envoutante. Son cul donnait envie d’y plonger sa langue, ses doigts, son sexe, ou les trois à la fois.
-C’est mon tour maintenant, Margot.
-Je sais.
-Et tu m’as joué un sale tour hier soir.
-Je sais.
-Baiser devant moi, comme ça, sans que je ne puisse participer.
-Je sais.
-Tu vas me le payer.
-Je sais.
Je ne comprenais rien à ce dialogue. Margot semblait en tout cas amusée par les menaces de son amie.
En discutant, les deux jeunes femmes s’étaient rapprochées l’une de l’autre. Leurs lèvres se frôlaient dans une petite danse érotique. Elles devaient chacune sentir le souffle de l’autre sur leur bouche. Mais elle restait à distance sans s’embrasser.
La main de Margot descendit dans le dos d’Alice. Son doigt prolongea le chemin jusque dans sa raie et s’enfouit entre ses fesses.
-Dis donc, tu le portes toujours ?
-Bien sûr. Je n’ai pas pu profiter de Florent comme toi hier soir, moi.
Margot sourit à cette remarque dite pourtant sur un ton très autoritaire. Les rôles semblaient avoir changés. Disparue la Margot donnant des ordres à une Alice docile. Comme si les deux filles se cédaient leur place une fois le soleil levé.

Alice se retourna sur le dos.
-Lèche-moi la chatte au lieu de sourire bêtement.
-Il faudra que tu demandes à Florent de te montrer ce qu’il sait faire. Il suce vraiment comme un dieu.
Je ne savais pas si cette remarque était une invitation. Je préférai attendre voir comment la partie se déroulait, attendre que je sois formellement invité dans leur jeu.
Margot avança sa tête vers les cuisses d’Alice. Elle fit tournoyer de sa langue les poils roux et coupés court du pubis de sa maitresse. Son index et son majeur montaient et descendaient le long de la fente d’Alice. Celle-ci appuyée sur ses coudes pour mieux voir la scène plongea la tête en arrière et gémit de plaisir.
Margot remplaça bien vite ses doigts par sa langue. Elle suivait le chemin tracé par les lèvres charnues de son amie. Les mains de Margot étaient bien accrochées aux cuisses d’Alice. Comme pour mieux tenir son corps contre sa bouche. La rouquine, toujours appuyée sur l’un de ses coudes, toujours toisant avec autorité Margot, avait posé une main sur la tête de son amante et enfonçait son visage vers sa chatte.
-Lèche-moi fort, ma salope.
Je restais là, la queue en main. La douche avait servi d’échauffement et ma bite était restée tendue fièrement. Je me caressais lentement en regardant ces deux magnifiques femmes se gouiner. J’attendais le signal pour participer à la fête.
-Viens me montrer ce que tu sais faire.
Alice m’avait regardé profondément dans les yeux pour me lancer ce signal. Elles voulaient que je me joigne à elles.
Je me plaçai perpendiculaire à la belle rousse et posai ma langue sur sa toison. Je ne suis pas un fan des chattes poilues. Et celle-ci était parfaite. Ma bouche embrassait son pubis et ma langue se frayait un chemin parmi les petits poils très courts de ce minou très bien entretenu. L’odeur d’Alice m’enivra. Une senteur forte mélangeant sucré et amer. Elle bouillait de plaisir et ça se sentait. L’odeur de sexe, évaporée dans la nuit remplissait à nouveau la chambre.
Ma langue descendit vers le clitoris d’Alice. Je dus de la tête un peu bouger Margot afin de me faire une petite place. L’une de mes mains était passée sous les fesses de notre maitresse pour venir branler son bijou anal. Et je sentis que la langue de la brune, pour laisser le champ à la mienne, était descendue très bas. Ses lèvres passèrent sur mes doigts avant de remonter vers la fente de son amie. Sans concertation, nous nous étions partagés l’entre-jambe de notre maitresse. Moi excitant son clito et son rosebud, Margot fouillant sa chatte et chatouillant son périnée. Ma langue allait de plus en plus vite sur son petit bouton et j’imprimais le même rythme à mes doigts sur son bijou.
Alice commença à respirer fort. Sa main passait dans nos cheveux. Son bassin montait et descendait comme pour mieux accompagner nos langues frivoles. Nos bassins, à Margot et moi, bougeaient au même rythme. Nous frottions chacun nos sexes contre le drap cherchant à ressentir les effets des caresses du tissu.
Soudain Alice cria. Elle jouissait de toutes ses forces. Alex devait entendre ses cris depuis la terrasse. Je me demandais si elle se joindrait à nous.
Margot remonta vers la bouche d’Alice et l’embrassa. Je restais sur le clito de la rousse atténuant la cadence.

-Alors ? Qu’est-ce que tu vas faire maintenant ?
-Attends tu vas voir.
Alice repoussa ma tête, se leva et quitta la chambre. Ses fesses blanches suivaient le mouvement de déhanchement qui accompagnait chacun de ses pas. Margot se coucha sur le lit et défit son peignoir. Je me couchai à côté d’elle et sa main descendit directement vers mon sexe. Elle le prit en main et le branla doucement, nos yeux rivés vers le plafonds.
-Je pense qu’on va s’amuser tous ensemble.
Nous nous embrassâmes. Je retrouvais dans nos bouches le goût particulier mêlant salive et cyprine déjà perçu hier dans le jardin.

Margot revint vite. De son minou dépassait un beau gode rose et lisse. Elle portait fièrement ce strapless fiché dans son vagin. Sur son visage un regard sévère toisait Margot. La brune semblait réjouie de ce qu’elle apercevait sortant du minou de son amie. Margot s’assit sur le bord du lit tandis qu’Alice s’approchait. Ce ne fut pas nécessaire à la belle de donner le moindre ordre. Dès qu’il fut à sa portée, Margot mis le gode en bouche pour commencer un simulacre de pipe. Les mouvements de sucions sur la bite en silicone faisait bouger l’engin dans le corps de la rousse. Elle ne restait pas insensible à cette fellation d’un autre genre.
Margot me jeta un coup d’œil complice.
-Tu veux essayer ? Tu as déjà sucé une bite ?
-Non, jamais.
-Viens essayer, tu vas voir, c’est marrant. Et puis j’ai toujours rêvé initier un mec à la pipe.
J’étais très intrigué. J’ai longtemps pensé être un hétéro convaincu. Mais depuis quelques temps, l’homosexualité masculine m’attirait sans que je ne sache comprendre ce qui avait provoqué ce déclic. Jamais jusqu’alors je n’avais franchi le cap. Jamais je n’en avais même eu le début d’une occasion. Alors pourquoi ne pas faire une première tentative comme celle-ci.
Je m’approchai d’Alice et pris doucement le gode. Margot accompagna ma main hésitante de la sienne.
-Commence par passer ta langue tout le long, si tu veux.
Je m’exécutai. C’était étrange. Excitant aussi. Je regardai Alice dans les yeux qui ne perdait pas une miette de cette initiation.
-Remonte et descends doucement. Et quand tu le sens, quand tu arrives en haut du strap, mets- le dans ta bouche.
Je fis encore un ou deux mouvements avant de me décider. Je pris l’arrondi du gode entre mes lèvres et commençai à enfoncer lentement l’engin dans ma bouche. Amateur, je fis quelques mouvements avant de le ressortir et recommencer mes coups de langue de long de la tige.
-Ouah, il l’a fait.
Margot me regardait hilare. Je souris en réponse.
-Super, beau gosse, tu as découvert un nouveau truc.
-Et il s’en sort pas mal en plus.
Alice me caressait les cheveux en disant cela. La complicité entre nous trois avait prise une nouvelle dimension. Nous rigolions ensemble de cette belle aventure que je venais de subir. Loin de me couper dans mon élan, ce que j’avais toujours craint, j’étais très excité par cette découverte.
-Et peut-être qu’un jour, on te fera découvrir le gout d’une vraie queue…
Margot et Alice semblaient ravies de m’avoir poussé à cette fellation.

Mais interrompant brusquement ce moment, Alice poussa fermement Margot sur le lit. Elle se coucha au dessus d’elle. Une main saisit le sextoy et vint le frotter contre la chatte imberbe de la jolie brune.
-On va te faire une double, Florent et moi.
-Je veux ta punition !
La transition était brusque et follement déroutante. Si câlines l’instant d’avant, les filles reprenaient leur rôle respectif avec une Alice très autoritaire. Je ne me faisais pas d’illusion sur le désir de Margot de se prendre deux bites en même temps. Elle semblait jouir rien qu’à l’idée d’avoir un sexe dans chacun de ses trous.

Alice sembla pourtant délaisser la brune. Elle alla s’asseoir, le dos appuyé sur le montant du lit posé contre le mur. Margot, elle, s’approchait à quatre pattes, lentement. Lorsqu’elle arriva assez proche du jouet, elle le prit à plein main, remonta vers la rouquine et, tout en la regardant d’un air provoquant droit dans les yeux, vint se ficher sur le gode rose. Les deux amies poussèrent chacun un cri de plaisir lorsque Margot enfonça le strap. A chaque mouvement imprimé par Margot, Alice pouvait sentir l’autre extrémité exciter son vagin. Margot imprima un léger mouvement de va-et-vient sur le jouet.
Alice avait passé ses mains sur les fesses de son amie. Elle les écarta me montrant son anus. Elle me regarda.
-Viens lui prendre le cul.
C’était un ordre auquel on obéissait. Surtout lorsque je repensais à l’étroitesse chaleureuse de son conduit fendu cette nuit. J’apportai ma bite à l’orée de l’anus de Margot et poussai doucement mon gland sur son petit trou. Il eu d’abord du mal à écarter la chaire. Petit à petit, le cul de Margot avala pourtant mon gland. Une fois entré, j’eu moins de difficultés à introduire le reste. Je pris mon temps pour enfoncer mon braquemart dans le cul de la belle brune. Une fois ses fesses tout contre mon pubis, j’attendis un peu. Je retirai mon sexe et le réintroduisis aussitôt. Margot poussa un soupir de plaisir. Je sentais, à travers la fine paroi de chair, le gode que, de son côté, Alice enfonçait en Margot.
Ma cadence s’imposa aux deux filles. Lentement pour commencer, augmentant le rythme ensuite. Mes couilles venaient taper indistinctement sur le cul de la brune et le strap de la rousse. Margot était là, offerte à deux bites qui la pénétraient. Ses seins accompagnaient le mouvement que j’indiquais à leur corps. A chacun de mes mouvements, c’était trois sexes et un cul qui étaient comblés. Le sextoy enfoui dans les chattes des deux filles bougeait en fonction de mes assauts et ma bite était magnifiquement branlée par le petit trou de la brune. J’aimais assez ce sentiment de chef d’orchestre de cette partie de baise.

Je ne compris pas tout de suite d’où venait la queue qui se présenta devant la bouche des filles. Surtout qu’elle disparut bien vite dans la bouche de Margot. Elle, elle savait très bien à qui appartenait ce sexe. Je remontai donc les yeux le long du torse d’où partait le dard, passai les seins menus d’Alex avant d’apercevoir ses cheveux blonds et son visage. A ses pieds, posé sur ses chevilles reposait son petit boxer blanc que j’avais trouvé si sexy. Un moment, j’arrêtai la cadence.
-Maintenant Florent connait vraiment Alex.
Alice avait lâché ça sur un ton un peu provoquant, avec le même amusement que lorsque je lui avais sucé le gode tout à l’heure.
-Tu as déjà pu voir comment cette blondasse suçait. Elle baise tout aussi bien.
J’étais surpris bien sûr mais je repris mon mouvement de va-et-vient dans les tréfonds de Margot. Je n’arrivais pas à ôter mes yeux du corps d’Alex, si excitante tout à l’heure, si déroutante maintenant. Comme lorsque j’avais sucé le strap, j’étais pris dans un sentiment partagé d’envie et d’interrogation. Et voir la belle brune sucer une bite pendant que deux autres la ramonaient faisait plus monter mon désir qu’il ne l’atténuait. J’accélérai le rythme, pris par l’excitation.
Alex toujours debout à nos côtés avait maintenant le sexe pris par les bouches d’Alice et de Margot. La rousse avait saisi la hampe en sa base et faisait tourner sa langue sur le gland de la belle. Margot gobait les couilles de son amie. De sa main, elle les portait vers sa bouche avant de les envelopper de ses lèvres. Alice, tout en suçant la queue, branlait le membre vigoureusement.
Cette bite était à quelques centimètres de mon visage. C’était la première fois que j’avais une queue en érection aussi près de moi. Et surtout la première fois qu’une autre queue se mêlait au même jeu sexuel que moi. Et cette première était d’autant plus intrigante qu’Alex m’avait sucé quelques minutes auparavant, sans que je ne me rende compte de rien. D’autant plus déroutante que le corps de la blonde continuait à m’attirer tant ses seins, ses fesses, ses formes appelaient au sexe.

-Prends mon cul. Il est prêt depuis hier.
Alice voulait de la bite d’Alex. Elle avait donc poussé Margot pour qu’elle se retire de son gode. Mais pour moi, pas question d’abandonner le cul de la belle. Je voulais y rester coûte que coûte. J’y étais si bien, beaucoup trop bien.
Margot et moi nous laissâmes donc tomber sur le côté, couchés sur le lit en cuillère. Alice pourtant voulait encore profiter de la belle. Elle revint vers elle et renfonça son gode dans sa chatte. A nouveau, Margot gémit d’être prise ainsi en sandwich. Je ressentis une fois encore le gode venir frôler mon sexe à travers la mince bande de chair. Dans cette position, ce n’était plus moi qui imposais le rythme. Alice et moi mîmes quelques secondes à nous coordonner. Mais bien vite, on comprit ce qu’ensemble on pouvait faire subir à notre amante. En accordant nos mouvements, on pouvait soit la remplir et la vider complètement au même moment soit se synchroniser pour lui faire rentrer devant ce qui sortait derrière. La petite rousse et moi n’eûmes pas besoin de nous parler pour décider. Dans un coup de rein violent, on commença par combler totalement le corps de Margot. Elle gémit de bonheur de sentir le fond de son cul et de sa chatte frappés par nos engins. Nous ressortîmes aussitôt la laissant frustrée, avant de revenir, encore et encore.
Alex pendant ce temps là avait enfoncé ses doigts dans la raie de la rouquine. A son regard, Margot et moi sûmes ce qu’elle y avait trouvé. La main d’Alex commença à faire des mouvements concentriques, doucement d’abord et ensuite de plus en plus vite. Elle plongea alors la tête entre les fesses d’Alice et après quelques secondes en ressortit le rosebud entre les lèvres. La blonde se coucha derrière elle et apporta son sexe contre son anus. Elle ne dut pas faire de grands efforts pour l’enculer. Porté depuis la veille, le bijou avait laissé écarté l’anus d’Alice une fois retiré.

Comme avec Alice un instant auparavant, je sus que c’était avec Alex que je rythmerais désormais la baise. Nous répondions chacun à la poussée de l’autre, les filles prises en sandwich entre nous. Lorsqu’elle poussait j’apaisais mon étreinte. Sa bite pénétrait Alice. Le strap godait les deux filles. Lorsqu’elle se retirait, la pression sur le sextoy s’atténuait. Mais alors, c’était moi qui montais à l’assaut. La blonde accompagnait alors mon geste en relâchant son emprise sur le cul d’Alice. Les deux filles s’embrassaient à pleine bouche ainsi prise entre nos deux bites. Elles se malaxaient les seins, se léchaient le visage l’une de l’autre. Leurs cris prouvaient à quel point elles ne contrôlaient plus rien. Elles étaient submergées par la jouissance de ces deux queues, de ce gode, des caresses de leur maitresse. En face de moi, le visage si féminin d’Alex m’excitait. Accroché aux hanches de Margot, je regardais la blonde me demandant si j’aimerais qu’elle m’encule. Comme si elle avait senti mon regard, Alex leva les yeux vers moi, le front rempli de sueur. Elle me sourit et passa une main au dessus du corps des filles pour venir la poser sur mon bras, mes épaules, mon dos. Sa caresse m’électrisa. Je ne pourrais tenir longtemps. Nous bougeâmes un peu pour venir nous embrasser au dessus des filles.

Nous fourrions à quatre, gémissant chacun notre plaisir. La cadence accéléra un peu. Je sentis que Margot n’en pouvait plus. Elle allait jouir. Son souffle s’accélérait. Sa tête partait en arrière la bouche grande ouverte. Alice et Margot jouirent ensemble. Dans un grand cri, les filles, au milieu d’Alex et moi, se cambrèrent en même temps. Bientôt, je vis Alex sortir sa bite du trou d’Alice. Elle l’apporta au dessus des deux filles qui s’embrassaient vigoureusement. Elles étaient trop préoccupées par leur plaisir pour avoir vu le sexe gorgé de sperme arriver au dessus d’elles. Elles furent surprises par le flot de foutre qui gicla sur leur visage. Surprises mais pas déçues. Elles n’arrêtèrent pas de s’embrasser, léchant le visage l’une de l’autre pour y nettoyer le sperme qu’elles y trouvaient. Voir cette magnifique blonde éjaculer tout en se caressant les seins m’acheva.
-Je vais aussi venir.
A mon cri, Margot enleva ma bite de son cul.
-Attends.
Margot me poussa sur le dos. Les trois filles se précipitèrent sur moi. Elles vinrent coller leur bouche à mon bas-ventre. Je sentis deux langues s’occuper de mon dard. L’une avait mis mon gland en bouche tandis que l’autre léchait ma hampe. La troisième fille fouillait mon anus. Je n’en pouvais plus. J’étais au bord de l’explosion. Et lorsqu’une main commença à astiquer mon manche plus vite encore, je ne pus me retenir. Je jouis un jet puissant qui retomba sur mon ventre et mon torse. Alice et Alex remontèrent vers mon torse pour lécher ce foutre. Margot, elle, préférait rester à s’occuper de mon anus. Alice et Alex s’embrassèrent au dessus de mon corps. Mon sperme coulait de leur bouche et retombait sur mon ventre. Margot finit par venir nettoyer ma bite. Nous nous étalâmes sur le lit, les unes dans les autres, les uns sur les autres. Une main branlait mon sexe débandant. Mes doigts caressaient les lèvres d’une chatte. Alex m’embrassa. Je sentis le goût de mon sperme dans sa bouche. Les langues de nos amies vinrent se mêler aux nôtres. Les seins de Margot s’écrassaient sur mon épaule et la queue d’Alex frottait ma jambe. Nous n’étions plus qu’un amas de chair, de foutre, de cyprine et de sueur. Une odeur âcre de sexe émanait de nos corps tandis que le sperme qu’Alex et moi avions craché commençait à sécher. Les respirations étaient fortes. Le battement de nos cœurs n’était pas encore revenus à la normale. Nous nous embrassions tendrement. Une bouche quitta le jeu. Et je pense bien que je me rendormis à ce moment- là, fourbu par cette partie de baise.