Un resto intimiste (Alice et Margot 8)
Récit érotique écrit par FlorentDoe [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-09-2015 dans la catégorie Plus on est
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Un resto intimiste (Alice et Margot 8)
Je n’eu pas à attendre longtemps avant d’avoir des nouvelles de mes nouvelles amies. Dès le mercredi, la petite chatte rousse d’Alice éclaira mon gsm. Je me dis qu’il fallait que je change cette photo de profil. Ce n’était pas vraiment discret si mon téléphone, posé sur la table sonnait en pleine réunion…-Salut, ça va, chéri ?
-Oui. Je suis content de t’entendre. Comment vont mes deux petites furies ?
-On voulait aller manger dans un resto qu’on connait bien vendredi avec des amis. Tu viens avec nous ?
-D’accord. Je passe vous cherchez vers 20h00 ?
Le rendez-vous était pris.
Vendredi 20h00, je sonnais à la porte de mes amantes. C’est Alice qui m’ouvrit. La blancheur de sa poitrine nue réveilla tout de suite le feu de mon bas ventre. Elle m’embrassa sur la joue et déguerpit aussitôt. Elle m’offrit ainsi une vue imprenable sur ses fesses fendues par un joli string blanc et ses jambes vêtues de bas de la même couleur qui remontaient jusqu’à la jarretière qu’elle avait tatouée sur le haut de sa cuisse gauche.
-Je suis pas prête. Installe-toi et fais comme chez toi.
Elle remonta finir de s’habiller dans sa chambre. Margot sortit de la sienne. Elle portait un pantalon en simili cuir noir très serrant et était perchée sur des hauts talons indécents. Une chemise ample blanche tombait sur ses hanches couvrant ses fesses. J’avais, moi, jeté un blazer bleu sur une chemise et un jeans et portais des sneakers bleues également.
Quelques minutes plus tard, Alice revint vêtue d’une robe courte volante noire qui tranchait volontairement avec le blanc de ses bas. Si elle n’y prenait pas garde, certains mouvements dévoilaient le haut de ses bas, l’arrondi de ses fesses ou même la blancheur du tissu posé sur son entre-jambe. Nous partîmes vers le restaurant.
C’était un bel établissement du centre de la capitale. A leur arrivée, les filles firent la bise à la serveuse. Une jolie blonde en tablier portant une coupe garçonne. Elle nous emmena directement vers le fond du restaurant et nous installa dans une pièce fermée à l’écart de la salle principale, juste à côté des cuisines. Nous étions isolés du reste de la clientèle.
Marie et Yvan ne mirent pas longtemps à arriver. Le couple avait une petite quarantaine d’année. Lui avait un air intellectuel. Lunettes fichées sur le nez, il était réservé et discret. Sa femme était une splendide brune. Très grande, elle arborait une poitrine généreuse et ferme sous un tailleur classe. Tout indiquait qu’elle venait des milieux aisés de la capitale.
Nous commandâmes et commençâmes le repas. On parlait de tout et de rien. De politique, de bouquins, de films, de philo aussi. J’étais en charmante compagnie et je découvris qu’en plus de jolis corps, les filles étaient d’une conversation très agréable. J’appris que Margot était styliste dans un atelier qui fournissait plusieurs grandes maisons parisiennes. Alice, elle, finissait la psychiatrie. Yvan et Marie venaient d’ouvrir un bar à vin dans les beaux quartiers. Je découvrais mes deux maitresses sous d’autres contours que ceux parcourus le week-end précédent. Et ce que je découvrais ne me déplaisait pas du tout.
Entre l’entrée et le dessert, Alice disparut quelques instants. En se rasseyant à ma droite, je sentis sa main aller fouiller dans la poche de ma veste. Elle y laissa quelque chose et me sourit d’un air coquin en effleurant ma cuisse. Je m’éclipsai quelques instants à mon tour pour profiter des toilettes. Je saisis l’occasion pour découvrir ce que la rouquine avait plongé dans mon blazer. Je sortis le bout de tissu blanc. C’était la culotte de la belle. La petite cochonne se baladait donc la chatte à l’air et voulait me le faire savoir. Imaginer ce petit minou dénudé sous sa robe fit naître un feu de braise dans mon pantalon. Alice le savait. Et sachant désormais que je savais, n’arrêtait pas de m’envoyer des coups d’oeils allusifs. Pour m’aguicher plus encore, régulièrement, elle s’amusait à écarter légèrement les cuisses sachant que moi seul autour de la table pouvait l’apercevoir. Margot, en face de nous, avait remarqué mes regards nombreux vers les jambes de ma voisine. Je pense qu’elle avait compris et nous regardait d’un air entendu.
Après avoir dégusté une excellente cuisine, la serveuse apporta les cafés. Elle avait déposé sur le plateau non pas cinq mais six tasses.
-Ca va. Le resto se vide, le coup de feu est passé. Ils n’ont plus besoin de moi les petits.
Elle s’assit en bout de table, à ma gauche. La jolie blonde que j’avais prise pour une simple serveuse était en fait la patronne de l’établissement.
A la fin des cafés, Frédérique se leva et alla chercher une bouteille d’alcool artisanal.
-Un petit pouce ? C’est pour la maison.
Elle servit 6 verres et se rassit.
Alice but le sien d’une traite. Elle se leva et vint se placer derrière la blonde à la coupe garçonne. Ses mains se posèrent sur ses épaules et mon amie entama un massage. Frédérique. pencha la tête en arrière, les yeux fermés savourant le moment. Elle vint la poser contre la poitrine de la rousse. Alice abaissa ses lèvres vers la bouche de la jeune femme et l’embrassa délicatement. Frédérique répondit aux lèvres de la belle et lui rendit le baiser. Leurs langues bataillaient doucement dans la bouche de l’une et ensuite de l’autre. Tandis que les mains d’Alice descendaient et se glissaient sous le tablier et le chemisier blanc de la restauratrice.
Un serveur entra. Il détourna mon regard vers lui.
Je m’aperçus alors que Marie avait quitté sa place et était venue s’agenouillée entre les cuisses de son mari assis en bout de table. Elle avait sorti sa queue de son pantalon et lui léchait les couilles avec passion. Loin d’être choqué par la scène, le serveur se contenta de débarrasser la table comme s’il n’avait rien vu d’étrange à la situation. Margot me regardait amusée par cet étonnement qu’elle vit sur mon visage. Elle me lança des lèvres un « t’inquiète » sans qu’un mot ne sorte de sa bouche. Les bras croisés elle regardait les deux femmes se caresser et s’embrasser avec un petit sourire de satisfaction.
La table débarrassée, Alice passa devant Frédérique. Elle s’assit en face d’elle, les fesses posées sur le bois. Ses mains vinrent prendre les rebords de sa robe noire. Elle regardait Frédérique d’un air malicieux et provocateur. Doucement, elle releva les pans de tissus noir.
Son pubis nu était à quelques centimètres du visage de la blonde. La belle approcha sa chaise, tendit la langue et vint la perdre dans les ourlets des lèvres de la rousse. Toujours assise, Frédérique passa ses bras en dessous des jambes de son amante et enfouit sa tête entre ses cuisses. Alice se laissa choir en arrière. Elle posa le dos sur la table. Sentant la langue venir jouer avec sa chatte, elle se cambra et jeta la tête en arrière. Ce qui eu pour effet de d’enfouir plus encore le visage de Frédérique dans son vagin. Sa langue remontait le long du minou épilé et redescendait aussitôt tirant des râles de plaisirs à la jolie rousse. Bientôt, je vis la tête de Frédérique monter et descendre entre les cuisses de sa maitresse. Elle pénétrait Alice de sa langue.
En bout de table, Marie s’était attaquée à la queue de Yvan. Elle plongeait entière dans sa bouche. Marie semblait vouloir l’enfoncer le plus profondément possible. Les mains posés sur la tête de sa femme, Yvan accompagnait les mouvements du crâne et poussait le cuir chevelu de sa maitresse pour enfouir la bite plus loin encore. Sans qu’elle ne quitte le plafond des yeux, sans qu’elle ne relève sa tête jouissant toujours de bonheur, Alice posa sa main sur mon pantalon. Elle caressa mon sexe à travers le jeans. Je me déboutonnai et sortis ma queue. Alice la prit à pleine main et commença à me branler. Seule Margot restait inactive.
Je m’attendais, certes, à une soirée de baise avec ces deux là. Mais je ne pensais pas qu’elle aurait lieu au restaurant même.
D’un coup, Alice se redressa abandonnant tristement mon dard. Elle releva la tête de Frédérique. De l’un de ses pieds posé sur son buste, elle la recula.
-Déshabille-toi et mets-toi sur la table.
La blonde s’exécuta. Sous le regard coquin d’Alice, son tablier de cuisine tomba au sol. Elle ouvrit sa chemise sur une petite poitrine nue. Sa robe rejoint le tablier abandonné. Frédérique se coucha sur le dos sur la table, dans le sens de la largeur. Son visage pointait vers Margot, ses jambes appuyées sur les bords de part et d’autre de moi. J’avais une vue plongeante sur son boxer blanc. Et je ne fus pas étonné d’y voir une marque humide de mouille importante. Il était désormais légèrement transparent. Je pouvais distinguer les plis de son mont de venus à travers le tissu. J’avais une furieuse envie d’y plonger ma langue. Alice était venue se placer par au dessus de la blonde. Sa tête était tournée vers moi et son cul faisait face au visage de Margot. Alice avait abandonné sa robe, ne portant plus que ses bas blancs. Elle présenta sa chatte aux lèvres de Frédérique qui continua ce qu’elle avait commencé. Les reins de la rousse se creusèrent mettant accentuant l’effet des fleurs de lotus bleutées qu’elle y avait faites tatouer. Alice releva la tête et me regarda.
-Tu viens m’aider ?
Ses doigts plongèrent vers le boxer de Frédérique et elle commença à caresser cette petite chatte sans enlever son sous-vêtement. Elle enfonçait un peu le tissu entre les lèvres du minou de la belle. Je me joignis aux doigts d’Alice et commençai de grands coups de langue le long de la fente de la blonde. Le goût de son tissu empli de cyprine accentua la tension de ma queue déjà bandée. Les doigts de ma rousse passèrent sous le bout d’étoffe blanche. Je les sentais en dessous de ma langue s’affairant sur le bouton de la belle.
Marie s’était à son tour assise sur la table. Et c’était désormais Yvan qui s’occupait de la faire dégouliner de sa langue. Il semblait habile à ce jeu-là. Pour preuve, les bruits que faisait sa femme. Yvan était finalement bien moins réservé que je ne le pensais. Et le vocabulaire qu’utilisait sa femme était fort éloigné de celui des beaux quartiers bruxellois.
Très vite, j’enlevai le boxer de la serveuse de mes dents. La langue d’Alice et la mienne se rejoignaient sur la chatte de la belle blonde. Nous nous embrassions au dessus de son minou avant d’y revenir de plus belle. Tantôt Alice léchait son clitoris tandis que je m’occupais de ses lèvres, tantôt Alice me poussait pour prendre sa place sur la fente de son amie me reléguant aux parties plus reculée de son entre-jambe. D’un coup de pied, je reculai la chaise pour avoir plus d’amplitude encore pour cette minette en duo.
Margot se leva et vint se placer derrière moi. Son bras passa sur mon ventre juste au dessus de ma bite laissée à l’abandon. Elle se pencha vers moi.
-Tu vas les baiser pendant que je te baise.
Elle me tira vers elle et plaqua son bas-ventre contre mon cul. Je sentis alors quelque chose de long et dur contre mes fesses. Je relevai la tête d’un air interrogatif. Alice releva la tête. Elle me regarda arborant toujours son sourire coquin. Elle savait, elle. Elle replongea aussitôt vers la chatte de Frédérique pour continuer à donner du plaisir à la blonde. Alice semblait pourtant avoir de plus en plus de mal à satisfaire la serveuse tant elle prenait elle aussi du plaisir. Debout, je pouvais maintenant apercevoir le haut du crane de Frédérique plongé dans l’entre-jambe de la rousse. Son pouce venait titiller son anus écartant ses fesses avec habilité. La scène était plaisante à regarder mais je voulais comprendre ce que j’avais senti venir se frotter à mon derrière.
Je me retournai vers Margot. Elle avait enlevé sa chemise et était désormais seins nus. On pouvait apercevoir distinctement la forme d’une queue sous son pantalon noir. Elle était restée dissimulée jusqu’ici par le haut de la friponne. Délicatement elle prit ma main et la porta à son entrejambe. Elle me fit caresser la bosse de son pantalon. De haut en bas, de bas en haut. Son regard déterminé planté dans le mien.
-Ne t’inquiète pas. Je suis sûre que tu vas aimer. J’irai doucement.
Je défis sa fermeture éclaire. Un gode bleu nuit sortit du pantalon de cuir. Elle prit ma main et la posa dessus. Elle le branla avec moi comme s’il s’agissait d’une vraie bite.
-Et tu portes ça depuis tout à l’heure ?
-Oui.
-La chemise c’était exprès pour ne pas que je le voie ?
-Oui.
-T’as bien préparé ton coup, ma belle.
-Oui.
La situation m’excitait autant qu’elle m’effrayait. Margot l’avoir compris. Elle caressa lentement ma queue. Nous étions l’un face à l’autre. Moi le gode entre les mains, elle branlant mon sexe.
-Tu vas voir, je vais être douce. Je vais rentrer lentement. Moi aussi, la première fois j’ai eu peur d’avoir mal. C’était il y longtemps. Depuis, il n’y a pas un jour où j’ai regretté. Jouir par le cul est tellement fort. Et puis, t’as aimé mes explorations l’autre soir…Elle avait l’art de me mettre à l’aise.
Marie, observait la scène en souriant. Debout face à nous, les mains posées sur la table, Yvan s’était placé derrière elle. Il prit sa bite en main pour mieux la diriger. Il fléchit les jambes. Une fois à la bonne hauteur, il enfonça sa queue dans le sexe de sa femme, en une fois. S’agrippant à ses hanches, il semblait vouloir rentrer sa queue le plus profondément possible. Tout comme il l’avait fait alors qu’il se faisait sucer.
Margot lâcha mon sexe et s’agenouilla. Elle enleva mon pantalon et mon boxer. En remontant, elle déposa un baiser chaste sur ma bite. Elle finit de me déshabiller et dénuda mon torse.
Elle me retourna vers les filles. Elle se colla à moi. Nu, le gode découvert, je sentis très distinctement la queue de latex posée entre mes fesses. Margot me pencha et poussa ma tête vers la chatte de Frédérique. Elle s’écarta de moi et se mit à genoux. Ses mains écartèrent mon cul. Son visage s’approchait de mon petit trou. Sa langue vint jouer avec mon anus. Elle commença à tournoyer autour de l’orifice, lentement. Puis, accélérant le mouvement approcha l’un de ses pouces. Il vint se placer tout juste à côté de mon petit trou. La langue de Margot entrait maintenant en moi. Elle tentait de l’enfoncer le plus loin possible. C’était la première fois que l’on me faisait une fleur de lotus. Une sensation très agréable m’envahit. Comme par mimétisme, je descendis ma propre langue du côté de l’anus de Frédérique pour lui prodiguer la même caresse. A ses gémissements, cela ne laissait pas la blonde insensible.
Margot quitta mon anus et se releva. Elle alla vers son sac. Elle en revint, un tube entre les mains. Un gel en sorti qu’elle appliqua sur le gode. Elle fit sortir une nouvelle noix gélatineuse. Je sentis ses doigts plonger entre mes fesses. Le contact froid du gel contracta dans un premier temps mon anus déjà bien humidifié par ses coups de langue. Le bout de la bite vint se placer contre mon petit trou. Perchée sur ses hauts talons, Margot avait la taille idéale. Je retins ma respiration tandis que la brune commença à s’enfoncer en moi. Elle n’avait pas menti, elle y allait tout doucement. Mon sphincter se crispa. Il ne voulait pas laisser entrer le gode. Mais sous l’insistance de la pression de Margot, il dut céder. Et bientôt je sentis la bite glisser dans mon tréfonds. Arrivée au bout, Margot attendit quelques instants le temps que je m’habitue à cette nouvelle sensation. Jugeant m’avoir offert assez de répit, elle recula. Et revint aussitôt. A nouveau, je dus reconnaitre qu’elle n’avait pas eu tort. La sensation était très agréable.
-Maintenant que je suis rentrée, je veux te voir les baiser.
Alice releva et m’embrassa. Je perçus dans ce baiser le goût de Frédérique, mielleux et aigre à la fois. Elle se retourna. Elle vint poser sa chate contre celle de Frédérique. Les deux filles s’embrassait, échangeant salive et cyprine. Leurs mains se perdaient sur la poitrine de l’autre. Leur sexe se frottait l’un à l’autre. Leur clitoris se frôlaient, se frottaient doucement. Elles m’offraient leur chatte et leur cul dégoulinante de mouille, de salive et de plaisir. Je m’enfonçai dans celle de Frédérique. Mon doigt parcourait le texte en latin qui courait le long de sa colonne vertébrale. Je me dis qu’il faudrait un jour lui demander la signification de ce tatouage.
Margot entrait et sortait lentement. Je marquai mon rythme sur le sien en prenant la patronne du restaurant. Ses gémissements étouffés me faisaient comprendre qu’elle aimait.
Je sortis ma bite et la plaçai à l’entrée du sexe d’Alice. D’un coup, suivant la pénétration de Margot, je rentrai dans la chatte de la rousse. Et recommençai mes va-et-vient comme je l’avais fait avec Frédérique. J’alternais ainsi entre les deux filles sortant de l’une entrant dans l’autre tout en suivant la cadence imposée par Margot. Je sentis que ne pourrais tenir longtemps. Cette bite dans mon cul me faisait bander comme je n’avais jamais bandé. Ce bout de silicone me faisait jouir comme je n’avais jamais joui. Je me sentais comblé de baiser deux jolies femmes tout en me faisant pénétrer moi-même.
Margot n’accélérait pas la vitesse. Elle venait et sortait de plus en plus loin. Désormais, à chaque coup de rein, elle le sortait complètement, provoquant à chaque fois une sorte de manque chez moi. Il disparaissait à chaque reprise dans la seconde quand le dildo revenait en moi. Les trois filles criaient maintenant. Deux sous mes assauts et la troisième grâce à l’excitation de me sodomiser.
J’étais dans la chatte d’Alice lorsque je vins. Je m’y enfonçai le plus possible pour lâcher mon foutre. Margot qui avait senti que je giclais s’enfonça immédiatement elle aussi au plus profond. Elle stoppa ses aller et venue me laissant le temps de profiter de l’instant. Elle me serait fort pour que je sois le plus proche d’elle. Je gémis de plaisir en éjaculant toute la jouissance retenue depuis le début de la soirée. Alice ne put retenir ses dents et mordilla un peu plus fort le téton de Frédérique. La blonde grimaça légèrement ressentant la douleur sur sa poitrine. Je vis les traces de ses dents par-dessus son épaule lorsqu’elle retira sa bouche du sein de la blonde.
Observant la scène et semblant avoir attendu ce moment prévis, Yvan retira son sexe du vagin de sa femme. Il s’astiqua avec frénésie. Il finit par éjaculer dans les reins de Marie qui se cambra comme pour garder ce sperme dans le réceptacle formé par le bas de son dos. Elle y trempa les doigts et les amenèrent à sa bouche. Les deux ne nous avaient pas quitté des yeux une seule seconde profitant de l’excitation provoqué par le tableau qu’ils avaient devant eux.
Margot se retira et m’écarta des deux filles. Elle plongea sa tête vers la chatte d’Alice. Mon foutre en dégoulinait et tombait sur la fente de Frédérique. La brune fourra sa tête entre les fesses de ses amies et se mit à laper mon sperme. Il dégoulinait de sa bouche à son menton, de son menton à sa poitrine.
Margot pris ma bite en main et me fit contourner la table. Nous arrivâmes au dessus des visages des deux filles. Frédérique saisit mon membre et le mit en bouche. Une de ses mains vint masser mes couilles tandis qu’elle nettoyait mon sexe du sperme qui en était sorti. Margot avait pris Alice à pleine bouche. Mes deux maitresses s’embrassaient goulument. A la commissure de leurs lèvres, mon foutre dégoulinait. Elles jouaient avec , se le faisant passer d’une bouche à l’autre. Alice pris à son tour ma bite dans la bouche. Margot vint elle, avec sa langue, chercher les lèvres de Frédérique avant de revenir vers mon sexe. Trois bouches s’occupaient de mon membre qui refusait de dégrossir.
Je m’affalai dans la chaise abandonnée derrière mois. Margot vint s’asseoir sur mes genoux et m’embrassa. Je goutai mon propre sperme sur ses lèvres. Ce qui ne me fit pas débander. Frédérique, la tête posée sur la table, caressait les cheveux d’Alice posés sur sa poitrine. Yvan et Marie étaient assis dans un petit canapé posé dans le coin de la pièce. Le calme après la tempête.
-Oui. Je suis content de t’entendre. Comment vont mes deux petites furies ?
-On voulait aller manger dans un resto qu’on connait bien vendredi avec des amis. Tu viens avec nous ?
-D’accord. Je passe vous cherchez vers 20h00 ?
Le rendez-vous était pris.
Vendredi 20h00, je sonnais à la porte de mes amantes. C’est Alice qui m’ouvrit. La blancheur de sa poitrine nue réveilla tout de suite le feu de mon bas ventre. Elle m’embrassa sur la joue et déguerpit aussitôt. Elle m’offrit ainsi une vue imprenable sur ses fesses fendues par un joli string blanc et ses jambes vêtues de bas de la même couleur qui remontaient jusqu’à la jarretière qu’elle avait tatouée sur le haut de sa cuisse gauche.
-Je suis pas prête. Installe-toi et fais comme chez toi.
Elle remonta finir de s’habiller dans sa chambre. Margot sortit de la sienne. Elle portait un pantalon en simili cuir noir très serrant et était perchée sur des hauts talons indécents. Une chemise ample blanche tombait sur ses hanches couvrant ses fesses. J’avais, moi, jeté un blazer bleu sur une chemise et un jeans et portais des sneakers bleues également.
Quelques minutes plus tard, Alice revint vêtue d’une robe courte volante noire qui tranchait volontairement avec le blanc de ses bas. Si elle n’y prenait pas garde, certains mouvements dévoilaient le haut de ses bas, l’arrondi de ses fesses ou même la blancheur du tissu posé sur son entre-jambe. Nous partîmes vers le restaurant.
C’était un bel établissement du centre de la capitale. A leur arrivée, les filles firent la bise à la serveuse. Une jolie blonde en tablier portant une coupe garçonne. Elle nous emmena directement vers le fond du restaurant et nous installa dans une pièce fermée à l’écart de la salle principale, juste à côté des cuisines. Nous étions isolés du reste de la clientèle.
Marie et Yvan ne mirent pas longtemps à arriver. Le couple avait une petite quarantaine d’année. Lui avait un air intellectuel. Lunettes fichées sur le nez, il était réservé et discret. Sa femme était une splendide brune. Très grande, elle arborait une poitrine généreuse et ferme sous un tailleur classe. Tout indiquait qu’elle venait des milieux aisés de la capitale.
Nous commandâmes et commençâmes le repas. On parlait de tout et de rien. De politique, de bouquins, de films, de philo aussi. J’étais en charmante compagnie et je découvris qu’en plus de jolis corps, les filles étaient d’une conversation très agréable. J’appris que Margot était styliste dans un atelier qui fournissait plusieurs grandes maisons parisiennes. Alice, elle, finissait la psychiatrie. Yvan et Marie venaient d’ouvrir un bar à vin dans les beaux quartiers. Je découvrais mes deux maitresses sous d’autres contours que ceux parcourus le week-end précédent. Et ce que je découvrais ne me déplaisait pas du tout.
Entre l’entrée et le dessert, Alice disparut quelques instants. En se rasseyant à ma droite, je sentis sa main aller fouiller dans la poche de ma veste. Elle y laissa quelque chose et me sourit d’un air coquin en effleurant ma cuisse. Je m’éclipsai quelques instants à mon tour pour profiter des toilettes. Je saisis l’occasion pour découvrir ce que la rouquine avait plongé dans mon blazer. Je sortis le bout de tissu blanc. C’était la culotte de la belle. La petite cochonne se baladait donc la chatte à l’air et voulait me le faire savoir. Imaginer ce petit minou dénudé sous sa robe fit naître un feu de braise dans mon pantalon. Alice le savait. Et sachant désormais que je savais, n’arrêtait pas de m’envoyer des coups d’oeils allusifs. Pour m’aguicher plus encore, régulièrement, elle s’amusait à écarter légèrement les cuisses sachant que moi seul autour de la table pouvait l’apercevoir. Margot, en face de nous, avait remarqué mes regards nombreux vers les jambes de ma voisine. Je pense qu’elle avait compris et nous regardait d’un air entendu.
Après avoir dégusté une excellente cuisine, la serveuse apporta les cafés. Elle avait déposé sur le plateau non pas cinq mais six tasses.
-Ca va. Le resto se vide, le coup de feu est passé. Ils n’ont plus besoin de moi les petits.
Elle s’assit en bout de table, à ma gauche. La jolie blonde que j’avais prise pour une simple serveuse était en fait la patronne de l’établissement.
A la fin des cafés, Frédérique se leva et alla chercher une bouteille d’alcool artisanal.
-Un petit pouce ? C’est pour la maison.
Elle servit 6 verres et se rassit.
Alice but le sien d’une traite. Elle se leva et vint se placer derrière la blonde à la coupe garçonne. Ses mains se posèrent sur ses épaules et mon amie entama un massage. Frédérique. pencha la tête en arrière, les yeux fermés savourant le moment. Elle vint la poser contre la poitrine de la rousse. Alice abaissa ses lèvres vers la bouche de la jeune femme et l’embrassa délicatement. Frédérique répondit aux lèvres de la belle et lui rendit le baiser. Leurs langues bataillaient doucement dans la bouche de l’une et ensuite de l’autre. Tandis que les mains d’Alice descendaient et se glissaient sous le tablier et le chemisier blanc de la restauratrice.
Un serveur entra. Il détourna mon regard vers lui.
Je m’aperçus alors que Marie avait quitté sa place et était venue s’agenouillée entre les cuisses de son mari assis en bout de table. Elle avait sorti sa queue de son pantalon et lui léchait les couilles avec passion. Loin d’être choqué par la scène, le serveur se contenta de débarrasser la table comme s’il n’avait rien vu d’étrange à la situation. Margot me regardait amusée par cet étonnement qu’elle vit sur mon visage. Elle me lança des lèvres un « t’inquiète » sans qu’un mot ne sorte de sa bouche. Les bras croisés elle regardait les deux femmes se caresser et s’embrasser avec un petit sourire de satisfaction.
La table débarrassée, Alice passa devant Frédérique. Elle s’assit en face d’elle, les fesses posées sur le bois. Ses mains vinrent prendre les rebords de sa robe noire. Elle regardait Frédérique d’un air malicieux et provocateur. Doucement, elle releva les pans de tissus noir.
Son pubis nu était à quelques centimètres du visage de la blonde. La belle approcha sa chaise, tendit la langue et vint la perdre dans les ourlets des lèvres de la rousse. Toujours assise, Frédérique passa ses bras en dessous des jambes de son amante et enfouit sa tête entre ses cuisses. Alice se laissa choir en arrière. Elle posa le dos sur la table. Sentant la langue venir jouer avec sa chatte, elle se cambra et jeta la tête en arrière. Ce qui eu pour effet de d’enfouir plus encore le visage de Frédérique dans son vagin. Sa langue remontait le long du minou épilé et redescendait aussitôt tirant des râles de plaisirs à la jolie rousse. Bientôt, je vis la tête de Frédérique monter et descendre entre les cuisses de sa maitresse. Elle pénétrait Alice de sa langue.
En bout de table, Marie s’était attaquée à la queue de Yvan. Elle plongeait entière dans sa bouche. Marie semblait vouloir l’enfoncer le plus profondément possible. Les mains posés sur la tête de sa femme, Yvan accompagnait les mouvements du crâne et poussait le cuir chevelu de sa maitresse pour enfouir la bite plus loin encore. Sans qu’elle ne quitte le plafond des yeux, sans qu’elle ne relève sa tête jouissant toujours de bonheur, Alice posa sa main sur mon pantalon. Elle caressa mon sexe à travers le jeans. Je me déboutonnai et sortis ma queue. Alice la prit à pleine main et commença à me branler. Seule Margot restait inactive.
Je m’attendais, certes, à une soirée de baise avec ces deux là. Mais je ne pensais pas qu’elle aurait lieu au restaurant même.
D’un coup, Alice se redressa abandonnant tristement mon dard. Elle releva la tête de Frédérique. De l’un de ses pieds posé sur son buste, elle la recula.
-Déshabille-toi et mets-toi sur la table.
La blonde s’exécuta. Sous le regard coquin d’Alice, son tablier de cuisine tomba au sol. Elle ouvrit sa chemise sur une petite poitrine nue. Sa robe rejoint le tablier abandonné. Frédérique se coucha sur le dos sur la table, dans le sens de la largeur. Son visage pointait vers Margot, ses jambes appuyées sur les bords de part et d’autre de moi. J’avais une vue plongeante sur son boxer blanc. Et je ne fus pas étonné d’y voir une marque humide de mouille importante. Il était désormais légèrement transparent. Je pouvais distinguer les plis de son mont de venus à travers le tissu. J’avais une furieuse envie d’y plonger ma langue. Alice était venue se placer par au dessus de la blonde. Sa tête était tournée vers moi et son cul faisait face au visage de Margot. Alice avait abandonné sa robe, ne portant plus que ses bas blancs. Elle présenta sa chatte aux lèvres de Frédérique qui continua ce qu’elle avait commencé. Les reins de la rousse se creusèrent mettant accentuant l’effet des fleurs de lotus bleutées qu’elle y avait faites tatouer. Alice releva la tête et me regarda.
-Tu viens m’aider ?
Ses doigts plongèrent vers le boxer de Frédérique et elle commença à caresser cette petite chatte sans enlever son sous-vêtement. Elle enfonçait un peu le tissu entre les lèvres du minou de la belle. Je me joignis aux doigts d’Alice et commençai de grands coups de langue le long de la fente de la blonde. Le goût de son tissu empli de cyprine accentua la tension de ma queue déjà bandée. Les doigts de ma rousse passèrent sous le bout d’étoffe blanche. Je les sentais en dessous de ma langue s’affairant sur le bouton de la belle.
Marie s’était à son tour assise sur la table. Et c’était désormais Yvan qui s’occupait de la faire dégouliner de sa langue. Il semblait habile à ce jeu-là. Pour preuve, les bruits que faisait sa femme. Yvan était finalement bien moins réservé que je ne le pensais. Et le vocabulaire qu’utilisait sa femme était fort éloigné de celui des beaux quartiers bruxellois.
Très vite, j’enlevai le boxer de la serveuse de mes dents. La langue d’Alice et la mienne se rejoignaient sur la chatte de la belle blonde. Nous nous embrassions au dessus de son minou avant d’y revenir de plus belle. Tantôt Alice léchait son clitoris tandis que je m’occupais de ses lèvres, tantôt Alice me poussait pour prendre sa place sur la fente de son amie me reléguant aux parties plus reculée de son entre-jambe. D’un coup de pied, je reculai la chaise pour avoir plus d’amplitude encore pour cette minette en duo.
Margot se leva et vint se placer derrière moi. Son bras passa sur mon ventre juste au dessus de ma bite laissée à l’abandon. Elle se pencha vers moi.
-Tu vas les baiser pendant que je te baise.
Elle me tira vers elle et plaqua son bas-ventre contre mon cul. Je sentis alors quelque chose de long et dur contre mes fesses. Je relevai la tête d’un air interrogatif. Alice releva la tête. Elle me regarda arborant toujours son sourire coquin. Elle savait, elle. Elle replongea aussitôt vers la chatte de Frédérique pour continuer à donner du plaisir à la blonde. Alice semblait pourtant avoir de plus en plus de mal à satisfaire la serveuse tant elle prenait elle aussi du plaisir. Debout, je pouvais maintenant apercevoir le haut du crane de Frédérique plongé dans l’entre-jambe de la rousse. Son pouce venait titiller son anus écartant ses fesses avec habilité. La scène était plaisante à regarder mais je voulais comprendre ce que j’avais senti venir se frotter à mon derrière.
Je me retournai vers Margot. Elle avait enlevé sa chemise et était désormais seins nus. On pouvait apercevoir distinctement la forme d’une queue sous son pantalon noir. Elle était restée dissimulée jusqu’ici par le haut de la friponne. Délicatement elle prit ma main et la porta à son entrejambe. Elle me fit caresser la bosse de son pantalon. De haut en bas, de bas en haut. Son regard déterminé planté dans le mien.
-Ne t’inquiète pas. Je suis sûre que tu vas aimer. J’irai doucement.
Je défis sa fermeture éclaire. Un gode bleu nuit sortit du pantalon de cuir. Elle prit ma main et la posa dessus. Elle le branla avec moi comme s’il s’agissait d’une vraie bite.
-Et tu portes ça depuis tout à l’heure ?
-Oui.
-La chemise c’était exprès pour ne pas que je le voie ?
-Oui.
-T’as bien préparé ton coup, ma belle.
-Oui.
La situation m’excitait autant qu’elle m’effrayait. Margot l’avoir compris. Elle caressa lentement ma queue. Nous étions l’un face à l’autre. Moi le gode entre les mains, elle branlant mon sexe.
-Tu vas voir, je vais être douce. Je vais rentrer lentement. Moi aussi, la première fois j’ai eu peur d’avoir mal. C’était il y longtemps. Depuis, il n’y a pas un jour où j’ai regretté. Jouir par le cul est tellement fort. Et puis, t’as aimé mes explorations l’autre soir…Elle avait l’art de me mettre à l’aise.
Marie, observait la scène en souriant. Debout face à nous, les mains posées sur la table, Yvan s’était placé derrière elle. Il prit sa bite en main pour mieux la diriger. Il fléchit les jambes. Une fois à la bonne hauteur, il enfonça sa queue dans le sexe de sa femme, en une fois. S’agrippant à ses hanches, il semblait vouloir rentrer sa queue le plus profondément possible. Tout comme il l’avait fait alors qu’il se faisait sucer.
Margot lâcha mon sexe et s’agenouilla. Elle enleva mon pantalon et mon boxer. En remontant, elle déposa un baiser chaste sur ma bite. Elle finit de me déshabiller et dénuda mon torse.
Elle me retourna vers les filles. Elle se colla à moi. Nu, le gode découvert, je sentis très distinctement la queue de latex posée entre mes fesses. Margot me pencha et poussa ma tête vers la chatte de Frédérique. Elle s’écarta de moi et se mit à genoux. Ses mains écartèrent mon cul. Son visage s’approchait de mon petit trou. Sa langue vint jouer avec mon anus. Elle commença à tournoyer autour de l’orifice, lentement. Puis, accélérant le mouvement approcha l’un de ses pouces. Il vint se placer tout juste à côté de mon petit trou. La langue de Margot entrait maintenant en moi. Elle tentait de l’enfoncer le plus loin possible. C’était la première fois que l’on me faisait une fleur de lotus. Une sensation très agréable m’envahit. Comme par mimétisme, je descendis ma propre langue du côté de l’anus de Frédérique pour lui prodiguer la même caresse. A ses gémissements, cela ne laissait pas la blonde insensible.
Margot quitta mon anus et se releva. Elle alla vers son sac. Elle en revint, un tube entre les mains. Un gel en sorti qu’elle appliqua sur le gode. Elle fit sortir une nouvelle noix gélatineuse. Je sentis ses doigts plonger entre mes fesses. Le contact froid du gel contracta dans un premier temps mon anus déjà bien humidifié par ses coups de langue. Le bout de la bite vint se placer contre mon petit trou. Perchée sur ses hauts talons, Margot avait la taille idéale. Je retins ma respiration tandis que la brune commença à s’enfoncer en moi. Elle n’avait pas menti, elle y allait tout doucement. Mon sphincter se crispa. Il ne voulait pas laisser entrer le gode. Mais sous l’insistance de la pression de Margot, il dut céder. Et bientôt je sentis la bite glisser dans mon tréfonds. Arrivée au bout, Margot attendit quelques instants le temps que je m’habitue à cette nouvelle sensation. Jugeant m’avoir offert assez de répit, elle recula. Et revint aussitôt. A nouveau, je dus reconnaitre qu’elle n’avait pas eu tort. La sensation était très agréable.
-Maintenant que je suis rentrée, je veux te voir les baiser.
Alice releva et m’embrassa. Je perçus dans ce baiser le goût de Frédérique, mielleux et aigre à la fois. Elle se retourna. Elle vint poser sa chate contre celle de Frédérique. Les deux filles s’embrassait, échangeant salive et cyprine. Leurs mains se perdaient sur la poitrine de l’autre. Leur sexe se frottait l’un à l’autre. Leur clitoris se frôlaient, se frottaient doucement. Elles m’offraient leur chatte et leur cul dégoulinante de mouille, de salive et de plaisir. Je m’enfonçai dans celle de Frédérique. Mon doigt parcourait le texte en latin qui courait le long de sa colonne vertébrale. Je me dis qu’il faudrait un jour lui demander la signification de ce tatouage.
Margot entrait et sortait lentement. Je marquai mon rythme sur le sien en prenant la patronne du restaurant. Ses gémissements étouffés me faisaient comprendre qu’elle aimait.
Je sortis ma bite et la plaçai à l’entrée du sexe d’Alice. D’un coup, suivant la pénétration de Margot, je rentrai dans la chatte de la rousse. Et recommençai mes va-et-vient comme je l’avais fait avec Frédérique. J’alternais ainsi entre les deux filles sortant de l’une entrant dans l’autre tout en suivant la cadence imposée par Margot. Je sentis que ne pourrais tenir longtemps. Cette bite dans mon cul me faisait bander comme je n’avais jamais bandé. Ce bout de silicone me faisait jouir comme je n’avais jamais joui. Je me sentais comblé de baiser deux jolies femmes tout en me faisant pénétrer moi-même.
Margot n’accélérait pas la vitesse. Elle venait et sortait de plus en plus loin. Désormais, à chaque coup de rein, elle le sortait complètement, provoquant à chaque fois une sorte de manque chez moi. Il disparaissait à chaque reprise dans la seconde quand le dildo revenait en moi. Les trois filles criaient maintenant. Deux sous mes assauts et la troisième grâce à l’excitation de me sodomiser.
J’étais dans la chatte d’Alice lorsque je vins. Je m’y enfonçai le plus possible pour lâcher mon foutre. Margot qui avait senti que je giclais s’enfonça immédiatement elle aussi au plus profond. Elle stoppa ses aller et venue me laissant le temps de profiter de l’instant. Elle me serait fort pour que je sois le plus proche d’elle. Je gémis de plaisir en éjaculant toute la jouissance retenue depuis le début de la soirée. Alice ne put retenir ses dents et mordilla un peu plus fort le téton de Frédérique. La blonde grimaça légèrement ressentant la douleur sur sa poitrine. Je vis les traces de ses dents par-dessus son épaule lorsqu’elle retira sa bouche du sein de la blonde.
Observant la scène et semblant avoir attendu ce moment prévis, Yvan retira son sexe du vagin de sa femme. Il s’astiqua avec frénésie. Il finit par éjaculer dans les reins de Marie qui se cambra comme pour garder ce sperme dans le réceptacle formé par le bas de son dos. Elle y trempa les doigts et les amenèrent à sa bouche. Les deux ne nous avaient pas quitté des yeux une seule seconde profitant de l’excitation provoqué par le tableau qu’ils avaient devant eux.
Margot se retira et m’écarta des deux filles. Elle plongea sa tête vers la chatte d’Alice. Mon foutre en dégoulinait et tombait sur la fente de Frédérique. La brune fourra sa tête entre les fesses de ses amies et se mit à laper mon sperme. Il dégoulinait de sa bouche à son menton, de son menton à sa poitrine.
Margot pris ma bite en main et me fit contourner la table. Nous arrivâmes au dessus des visages des deux filles. Frédérique saisit mon membre et le mit en bouche. Une de ses mains vint masser mes couilles tandis qu’elle nettoyait mon sexe du sperme qui en était sorti. Margot avait pris Alice à pleine bouche. Mes deux maitresses s’embrassaient goulument. A la commissure de leurs lèvres, mon foutre dégoulinait. Elles jouaient avec , se le faisant passer d’une bouche à l’autre. Alice pris à son tour ma bite dans la bouche. Margot vint elle, avec sa langue, chercher les lèvres de Frédérique avant de revenir vers mon sexe. Trois bouches s’occupaient de mon membre qui refusait de dégrossir.
Je m’affalai dans la chaise abandonnée derrière mois. Margot vint s’asseoir sur mes genoux et m’embrassa. Je goutai mon propre sperme sur ses lèvres. Ce qui ne me fit pas débander. Frédérique, la tête posée sur la table, caressait les cheveux d’Alice posés sur sa poitrine. Yvan et Marie étaient assis dans un petit canapé posé dans le coin de la pièce. Le calme après la tempête.
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