Révélation...
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Révélation...
Le courrier que je tenais en main, fit grimper mon adrénaline. Il avait été déposé au standard, sous enveloppe kraft, avec mon nom et la mention « à remettre aux mains propres à l’intéressé ». À l’intérieur, j’avais découvert une dizaine de photos. Toutes vouées à ma belle-sœur, la femme de mon frère. Dans les clichés elle se faisait tripoter par deux hommes qui avait caché leur visage sous un masque. Elle se laisser tripatouiller sous sa jupe et sous son chemisier. Elle ne paraissait pas aimé la situation, tout au contraire.
Une chose était certaine, mon correspondant anonyme désirait que je soumette sans aucun doute sexuellement ma belle-sœur. L’auteur de la lettre devait me connaître de réputation.
Bien sûr je m’étais arrangé pour rencontrer Sandrine en tête à tête.
-Qu’est-ce que c’est ? Demanda ma belle-sœur avec anxiété.
Mieux que des paroles, je lui transmis les photos. Son visage se décomposait à mesure qu’elle découvrait les clichés.
-Où as-tu eu ça ? Parvint-elle à articuler d’une voix rauque, perdant son assurance.
Je poussais là, un soupir de soulagement. Je venais sans mal gagner le premier engagement.
-On me les a remis, laissais-je tomber, laconique.
Sa pâleur se muait en rougeur. Ses yeux ne quittaient plus les clichés.
-Qui a fait ça ?
C’était à peine un murmure.
-Je pense que tu peux répondre à cette question mieux que moi, tu ne crois pas ?
Le visage décomposé, Sandrine ne répondait pas, tâchant de remettre de l’ordre dans ses idées. Je la sentais paniquer. Elle gardait le silence un long moment, comme pour accuser le coup, cherchant peut-être qui pouvait être l’auteur des clichées. Sans doute repassait-elle mentalement la liste des gens présent ce jour là, minimum trois. Les deux hommes masqués sur les clichés et celui ou celle qui les prenait en photos.
-Pourquoi tu me… montres… ces photos ? Lâcha-t-elle enfin.
Nos regards se croisèrent. Je lus plus que jamais de la détresse dans les prunelles. C’était le but rechercher.
-Pour que tu saches que je suis au courant de tout, et que j’ai les preuves de ta infidélité.
La rougeur des joues de ma belle-sœur s’accrut. Elle piquait même un fard.
-Je devine que mon frère n’est pas au courant de tes frasques ?
Elle m’écoutait sans parvenir à refermer sa bouche.
-Je pense que je devrais le mettre au courant. Tu ne crois pas ?
Elle déglutit, une expression de panique passait dans ses yeux. Elle secoua la tête, hébétée.
-Tu ne dis rien Sandrine ? Insistais-je. Tu n’ais pas d’accord avec moi ? Du fait qu’il doit le savoir.
-Non ! S’écria-t-elle en s’avançant. Non !
De toute évidence, elle craignait la réaction du frangin. Surtout de perdre tout son confort.
-Non ? Fis-je un sourire carnassier aux lèvres. Comment ça ? Je pense qu’il a tout à fait le droit de savoir à quoi s’amuse sa femme, pendant qu’il trime comme un fou, pour lui payer ses quatre volonté à cette même femme.
Elle me fixait avec effarement, le front marbré de rouge.
-Je t’en prie, non ! M’implora-t-elle d’un timbre de voix cassé.
De grosses larmes roulaient sur ses joues. Sa bouche tremblotait. Elle cherchait dans mon regard à savoir ma pensée. Puis sa tête retomba dans ses paumes ouvertes, et elle se mit à sangloter comme une petite fille. Je me réjouissais de la voir craquer. La partie était presque gagnée. Je la tenais en mon pouvoir. Je me dis que je devais encore attendre, de la faire mariner quelque instant dans son jus avant de la dévorer. La crise de larmes se calmait. Elle reniflait, mais gardant toujours le visage dans ses mains.
-C’est du joli ! Ironisais-je.
-Je ne sais pas pourquoi, tenta-t-elle de se justifier, le visage dans les mains.
-Oui je sais c’est-ce qu’elles disent toutes ! Ricanais-je. Bien sûr, je pourrais faire une exception, fermer les yeux sur ces preuves.
Elle cessa aussitôt de geindre, pour relever son visage baigné de larmes, son maquillage avait coulé. Un espoir faisait briller ses yeux. Elle renifla.
-Tu ferais ça ! Lâcha-t-elle.
-Minute ! L’interrompis-je. Je n’ai jamais dit que j’allais le faire, bien sûr que je pourrais le faire, mais cela suppose qu’il va falloir payer mon silence.
Elle fronçait ses sourcils, avant de laisser tomber.
-Payer ? S’exclama-t-elle. Et combien ?
Je la laissais de nouveau mariner, avant de lâcher : -Qui te parle d’argent ?
À voir son regard se durcir, elle avait deviner mes intentions. Pour s’en convaincre elle lâcha : -Alors quoi d’autre ? Abandonnant les larmes de victime pour jouer les offensées.
-Voyons fait donc travailler tes méninges.
Elle rougit violemment avant de lâcher : -Tu n’y pense tout de même pas ?
Je ricanais dans ma tête.
-C’est vrai, je reconnais que c’était une blague. Tu peux t’en aller.
-Tu en ais sûr ? M’interrogea-t-elle.
-Si je te le dis, mais après, et seulement après, qu’en je serais seul je téléphonais à mon frère.
-Et tu lui diras quoi ?
-A ton avis ?
Je gardais un temps le silence, et laissais tomber d’une voix morne : -Peut-être qu’il te pardonnera. Tu sais avec lui on ne c’est jamais !
Elle restait immobile, se mordant la lèvre, se tordant les poignets. Je sentais qu’elle était prête à céder à mes caprices.
-Ecoute, est-ce la peine d’en arriver là ! Tentant un dernier coup de poker.
-Que ce soit clair ! Soit tu acceptes et alors tu te plies à mes quatre volontés, soit j’en parle à mon frère, à toi de choisir, mais fait le vite, je n‘ai pas que ça à faire.
Elle écoutait. J’avais les yeux braqués sur elle. Ses épaules s’affaissèrent, elle répondit d’une toute petite voix, sans oser me regarder.
-Je… te…non, je suis d’accord… oui je ferai ce que tu attendras de moi… -Alors parfait ! Tant que tu seras gentille et obéissante, ton mari n’en saura rien.
Je m’approchai d’elle et je l’adossai contre le mur et, là, je posais mes lèvres tendrement sur sa bouche, elle avait un peu protesté au début mais avait fini par ouvrir ses lèvres et je commençais à jouer avec sa langue. Je l’embrassais sauvagement, prenant l‘initiative de passer ma main droite sous sa jupe. Au touché je devinais que la coquine portait un string.
-Tu portes des strings ?
-ça m‘arrive oui… -Quand tu as rendez-vous avec ton amant, je pari !
Elle garda le silence.
-Donne-le moi.
D’un coup, elle passa ses deux mains sous sa jupe et, en attrapant les deux extrémités du string de chaque côté, elle la fit glisser. Elle releva une jambe puis l’autre avant de me tendre sa lingerie. Que je m’empressais de prendre pour la fourrer dans ma poche.
-Pour ma collection ! Lui lâchais-je.
Je pense qu’elle n’avait pas pigé, et tant mieux ! De nouveau j’enfouis ma main sous sa jupe. Effleurant du bout des doigts sa raie nue, et son pubis. Je bandais comme un fou. Mes doigts glissaient tout seuls vers sa fente entrouverte de désir.
Saisie d’inspiration, Sandrine se s’inclinait le long de mon corps et tout en prenant son temps sorti mon sexe de sa cachette. Puis, en me regardant droit dans les yeux, elle laissa échapper : -C’est cela que tu voulais.
Et puis, sans attendre ma réplique, elle guida mon sexe entre ses lèvres. Trop bon le plaisir que je prenais, elle me suçait comme j’aimais être sucer.
Je profitais qu’elle s’occupe de moi pour lui toucher de nouveau la chatte.
-Hummm tu es très mouillée belle-sœur !
Je m’écartais assez pour sortir ma queue de sa bouche, et sous son regard inquisiteur, je lui fis prendre la position pour la prendre en levrette. Waouh ! C’était rentré tout seul, elle devait vraiment en avoir envie, la cochonne. Mon gland prit disposition de son vagin tout chaud et tout le reste de ma queue la pénétra jusqu’au fond, un délice ! Tout de suite j’effectuai quelques lents va-et-vient, avant d’augmenter la cadence, pour mieux revenir par la suite à un rythme souple, cherchant de bien fouiller son antre avec ma verge, puis pour finir, je la martelais à grand coup de reins.
-Je suis folle, gémit-elle. Tu me rends folle. Ce n’est pas raisonnable ce que l’on fait. Je vais jouir si tu continues, s’il te plaît, fais-moi jouir.
-À une condition. Répondais-je.
-Tout ce que tu veux… J’accélérais le balancement de mon bassin, à en perdre l’haleine. Je ne pensais plus à mon plaisir mais seulement au sien. Elle se lâcha, en extériorisant le plaisir qu‘elle prenait, c’était super.
-Viens me sucer, lui ordonnais-je après mettre sortie de son antre. Je veux que tu me nettoies un peu.
Sans rien dire, ce qui était rare chez elle, elle se laissa glisser le long de mon corps, mais alors qu’elle s’apprêtait à me prendre en bouche, je lui demandais de ce foutre à poil.
-Je ferai tout ce que tu veux, me lâcha-t-elle. Demande-moi et tu verras.
-Pour l’instant, suce-moi, ouii… entièrement, là sur le gland ta langue, tu lèches bien la mouille, salope.
J’attendais d’être à la limite de la jouissance, pour stopper de nouveau sa fellation.
-À présent, viens, couche-toi sur le divan.
Elle m’obéissait et c’était avec plaisir que je l’avais vue allonger son corps sur le canapé, tout offert à ma malice. Je m’agenouillais, le regard sur son clito, tout gonflé et dressé, et je devinais qu’il devait être fort sensible. Je posais le bout de ma langue tout près, au-dessus, puis je tournais autour, et le goût de sa mouille m‘emplissait la bouche, un goût épicé, fort, presque sauvage. Je léchais doucement. Elle releva les genoux, elle serra ma tête entre ses cuisses, juste un peu, et puis elle les relâchait pour me permettre d’encore la caresser. Je profitais de sa pose pour mettre un doigt dans sa fente, et elle poussait un petit gémissement.
J’ajoutais un deuxième doigt, tout en continuant à la lécher, délicatement, puis un tout petit peu sur son bourgeon, que je prenais entre mes lèvres. Je croyais qu’elle allait devenir folle, elle se cambrait, elle remuait, tout en poussant des petits cris.
En plein délire elle lança : -Mets ton doigt… Mais j’en avais déjà deux doigts dans son antre, que je mis à gigoter énergiquement, et un autre dans son cul, et tout ça en continuant à lui sucer le clito.
-Oh ! Oui, oui, enfonce-le ! C’est bon ce que tu mes fais ! Laissa-t-elle tomber en remuant de plus en plus, se frottant à ma bouche.
Je poussais mon examen en enfonçant mon doigt plus profondément dans son anus.
Oooooh ! Oui, vas-y, fais-moi jouir !
Tout en la suçant je branlais les deux orifices, pour son plus plaisir à entendre ses plaintes.
- Oh ! Oui ! Vas-y, je t’en prie, vas-y ! Avec sa voix de plus en plus plaintive. Avant d’ajouter : -Oh ! Oui, je viens ! Ooouuuiiiiiii !
Elle se cambra et elle jouissait. Je sentais de la mouille coulait sur ma langue, sur mes doigts.
Si on m’aurait dit un jour que j’allais faire jouir ma belle, je ne l’aurai pas cru tant elle était méprisable à mes yeux.
Pensant à mon plaisir, je me redressais et plantais ma queue dans sa chatte. La même où mon frère mettait la sienne. Elle était rentrée d’un seul coup, comme dans du beurre, sa chatte était plus qu’accueillante, c’était un délice de la baiser. Sandrine aimait la queue et ça se voyait. Elle avait joui tout de suite, là devant moi, humm, trop bon !
Je me retirai et la retournai. Elle se redressa et me présenta son cul. Mon sexe trouva l’entrée sans peine. Cette levrette que j’avais tant fantasmée était maintenant devenue réalité !
Le souffle de Sandrine s’accéléra, et de petits cris sortaient de sa bouche à un rythme de plus en plus soutenu. Elle enfonça sa tête dans le coussin. Je m’interrompis plusieurs fois juste avant l’explosion.
Au bout d’un moment elle se retira, me bascule sur le dos et s’empala sur ma verge. Mes deux mains massèrent ses seins. Elle me chevaucha avec une énergie folle. On n’entendait plus que le bruit de ses fesses qui claquaient contre ma verge. Je ne pouvais plus me retenir.
-Je vais jouir… Et alors que je pensais qu’elle allait me finir avec sa main, voir avec sa bouche, elle accéléra le mouvement. Je sentis mon jus sortir par saccades et lui remplir la chatte. Elle se mit à crier et s’écroula sur mon corps. On resta un moment dans cette position, mon sexe toujours en érection. Je pouvais sentir mon liquide ruisseler sur mes couilles. Elle se releva et bascula sur le côté.
Au bout de quelques minutes, elle me dit : -Dommage que l’on ne puisse pas recommencer.
Quelques jours plus tard je reçus de nouveau des clichés de ma belle-sœur toujours en charmante compagnie. Je le lui en fit part, et là elle m’expliqua en toute simplicité qu’elle était expéditrice et qu’elle avait fait ça pour s’avoir comment j’allais réagir, et aussi que j’avais été à la hauteur de son fantasme, voire plus…
Une chose était certaine, mon correspondant anonyme désirait que je soumette sans aucun doute sexuellement ma belle-sœur. L’auteur de la lettre devait me connaître de réputation.
Bien sûr je m’étais arrangé pour rencontrer Sandrine en tête à tête.
-Qu’est-ce que c’est ? Demanda ma belle-sœur avec anxiété.
Mieux que des paroles, je lui transmis les photos. Son visage se décomposait à mesure qu’elle découvrait les clichés.
-Où as-tu eu ça ? Parvint-elle à articuler d’une voix rauque, perdant son assurance.
Je poussais là, un soupir de soulagement. Je venais sans mal gagner le premier engagement.
-On me les a remis, laissais-je tomber, laconique.
Sa pâleur se muait en rougeur. Ses yeux ne quittaient plus les clichés.
-Qui a fait ça ?
C’était à peine un murmure.
-Je pense que tu peux répondre à cette question mieux que moi, tu ne crois pas ?
Le visage décomposé, Sandrine ne répondait pas, tâchant de remettre de l’ordre dans ses idées. Je la sentais paniquer. Elle gardait le silence un long moment, comme pour accuser le coup, cherchant peut-être qui pouvait être l’auteur des clichées. Sans doute repassait-elle mentalement la liste des gens présent ce jour là, minimum trois. Les deux hommes masqués sur les clichés et celui ou celle qui les prenait en photos.
-Pourquoi tu me… montres… ces photos ? Lâcha-t-elle enfin.
Nos regards se croisèrent. Je lus plus que jamais de la détresse dans les prunelles. C’était le but rechercher.
-Pour que tu saches que je suis au courant de tout, et que j’ai les preuves de ta infidélité.
La rougeur des joues de ma belle-sœur s’accrut. Elle piquait même un fard.
-Je devine que mon frère n’est pas au courant de tes frasques ?
Elle m’écoutait sans parvenir à refermer sa bouche.
-Je pense que je devrais le mettre au courant. Tu ne crois pas ?
Elle déglutit, une expression de panique passait dans ses yeux. Elle secoua la tête, hébétée.
-Tu ne dis rien Sandrine ? Insistais-je. Tu n’ais pas d’accord avec moi ? Du fait qu’il doit le savoir.
-Non ! S’écria-t-elle en s’avançant. Non !
De toute évidence, elle craignait la réaction du frangin. Surtout de perdre tout son confort.
-Non ? Fis-je un sourire carnassier aux lèvres. Comment ça ? Je pense qu’il a tout à fait le droit de savoir à quoi s’amuse sa femme, pendant qu’il trime comme un fou, pour lui payer ses quatre volonté à cette même femme.
Elle me fixait avec effarement, le front marbré de rouge.
-Je t’en prie, non ! M’implora-t-elle d’un timbre de voix cassé.
De grosses larmes roulaient sur ses joues. Sa bouche tremblotait. Elle cherchait dans mon regard à savoir ma pensée. Puis sa tête retomba dans ses paumes ouvertes, et elle se mit à sangloter comme une petite fille. Je me réjouissais de la voir craquer. La partie était presque gagnée. Je la tenais en mon pouvoir. Je me dis que je devais encore attendre, de la faire mariner quelque instant dans son jus avant de la dévorer. La crise de larmes se calmait. Elle reniflait, mais gardant toujours le visage dans ses mains.
-C’est du joli ! Ironisais-je.
-Je ne sais pas pourquoi, tenta-t-elle de se justifier, le visage dans les mains.
-Oui je sais c’est-ce qu’elles disent toutes ! Ricanais-je. Bien sûr, je pourrais faire une exception, fermer les yeux sur ces preuves.
Elle cessa aussitôt de geindre, pour relever son visage baigné de larmes, son maquillage avait coulé. Un espoir faisait briller ses yeux. Elle renifla.
-Tu ferais ça ! Lâcha-t-elle.
-Minute ! L’interrompis-je. Je n’ai jamais dit que j’allais le faire, bien sûr que je pourrais le faire, mais cela suppose qu’il va falloir payer mon silence.
Elle fronçait ses sourcils, avant de laisser tomber.
-Payer ? S’exclama-t-elle. Et combien ?
Je la laissais de nouveau mariner, avant de lâcher : -Qui te parle d’argent ?
À voir son regard se durcir, elle avait deviner mes intentions. Pour s’en convaincre elle lâcha : -Alors quoi d’autre ? Abandonnant les larmes de victime pour jouer les offensées.
-Voyons fait donc travailler tes méninges.
Elle rougit violemment avant de lâcher : -Tu n’y pense tout de même pas ?
Je ricanais dans ma tête.
-C’est vrai, je reconnais que c’était une blague. Tu peux t’en aller.
-Tu en ais sûr ? M’interrogea-t-elle.
-Si je te le dis, mais après, et seulement après, qu’en je serais seul je téléphonais à mon frère.
-Et tu lui diras quoi ?
-A ton avis ?
Je gardais un temps le silence, et laissais tomber d’une voix morne : -Peut-être qu’il te pardonnera. Tu sais avec lui on ne c’est jamais !
Elle restait immobile, se mordant la lèvre, se tordant les poignets. Je sentais qu’elle était prête à céder à mes caprices.
-Ecoute, est-ce la peine d’en arriver là ! Tentant un dernier coup de poker.
-Que ce soit clair ! Soit tu acceptes et alors tu te plies à mes quatre volontés, soit j’en parle à mon frère, à toi de choisir, mais fait le vite, je n‘ai pas que ça à faire.
Elle écoutait. J’avais les yeux braqués sur elle. Ses épaules s’affaissèrent, elle répondit d’une toute petite voix, sans oser me regarder.
-Je… te…non, je suis d’accord… oui je ferai ce que tu attendras de moi… -Alors parfait ! Tant que tu seras gentille et obéissante, ton mari n’en saura rien.
Je m’approchai d’elle et je l’adossai contre le mur et, là, je posais mes lèvres tendrement sur sa bouche, elle avait un peu protesté au début mais avait fini par ouvrir ses lèvres et je commençais à jouer avec sa langue. Je l’embrassais sauvagement, prenant l‘initiative de passer ma main droite sous sa jupe. Au touché je devinais que la coquine portait un string.
-Tu portes des strings ?
-ça m‘arrive oui… -Quand tu as rendez-vous avec ton amant, je pari !
Elle garda le silence.
-Donne-le moi.
D’un coup, elle passa ses deux mains sous sa jupe et, en attrapant les deux extrémités du string de chaque côté, elle la fit glisser. Elle releva une jambe puis l’autre avant de me tendre sa lingerie. Que je m’empressais de prendre pour la fourrer dans ma poche.
-Pour ma collection ! Lui lâchais-je.
Je pense qu’elle n’avait pas pigé, et tant mieux ! De nouveau j’enfouis ma main sous sa jupe. Effleurant du bout des doigts sa raie nue, et son pubis. Je bandais comme un fou. Mes doigts glissaient tout seuls vers sa fente entrouverte de désir.
Saisie d’inspiration, Sandrine se s’inclinait le long de mon corps et tout en prenant son temps sorti mon sexe de sa cachette. Puis, en me regardant droit dans les yeux, elle laissa échapper : -C’est cela que tu voulais.
Et puis, sans attendre ma réplique, elle guida mon sexe entre ses lèvres. Trop bon le plaisir que je prenais, elle me suçait comme j’aimais être sucer.
Je profitais qu’elle s’occupe de moi pour lui toucher de nouveau la chatte.
-Hummm tu es très mouillée belle-sœur !
Je m’écartais assez pour sortir ma queue de sa bouche, et sous son regard inquisiteur, je lui fis prendre la position pour la prendre en levrette. Waouh ! C’était rentré tout seul, elle devait vraiment en avoir envie, la cochonne. Mon gland prit disposition de son vagin tout chaud et tout le reste de ma queue la pénétra jusqu’au fond, un délice ! Tout de suite j’effectuai quelques lents va-et-vient, avant d’augmenter la cadence, pour mieux revenir par la suite à un rythme souple, cherchant de bien fouiller son antre avec ma verge, puis pour finir, je la martelais à grand coup de reins.
-Je suis folle, gémit-elle. Tu me rends folle. Ce n’est pas raisonnable ce que l’on fait. Je vais jouir si tu continues, s’il te plaît, fais-moi jouir.
-À une condition. Répondais-je.
-Tout ce que tu veux… J’accélérais le balancement de mon bassin, à en perdre l’haleine. Je ne pensais plus à mon plaisir mais seulement au sien. Elle se lâcha, en extériorisant le plaisir qu‘elle prenait, c’était super.
-Viens me sucer, lui ordonnais-je après mettre sortie de son antre. Je veux que tu me nettoies un peu.
Sans rien dire, ce qui était rare chez elle, elle se laissa glisser le long de mon corps, mais alors qu’elle s’apprêtait à me prendre en bouche, je lui demandais de ce foutre à poil.
-Je ferai tout ce que tu veux, me lâcha-t-elle. Demande-moi et tu verras.
-Pour l’instant, suce-moi, ouii… entièrement, là sur le gland ta langue, tu lèches bien la mouille, salope.
J’attendais d’être à la limite de la jouissance, pour stopper de nouveau sa fellation.
-À présent, viens, couche-toi sur le divan.
Elle m’obéissait et c’était avec plaisir que je l’avais vue allonger son corps sur le canapé, tout offert à ma malice. Je m’agenouillais, le regard sur son clito, tout gonflé et dressé, et je devinais qu’il devait être fort sensible. Je posais le bout de ma langue tout près, au-dessus, puis je tournais autour, et le goût de sa mouille m‘emplissait la bouche, un goût épicé, fort, presque sauvage. Je léchais doucement. Elle releva les genoux, elle serra ma tête entre ses cuisses, juste un peu, et puis elle les relâchait pour me permettre d’encore la caresser. Je profitais de sa pose pour mettre un doigt dans sa fente, et elle poussait un petit gémissement.
J’ajoutais un deuxième doigt, tout en continuant à la lécher, délicatement, puis un tout petit peu sur son bourgeon, que je prenais entre mes lèvres. Je croyais qu’elle allait devenir folle, elle se cambrait, elle remuait, tout en poussant des petits cris.
En plein délire elle lança : -Mets ton doigt… Mais j’en avais déjà deux doigts dans son antre, que je mis à gigoter énergiquement, et un autre dans son cul, et tout ça en continuant à lui sucer le clito.
-Oh ! Oui, oui, enfonce-le ! C’est bon ce que tu mes fais ! Laissa-t-elle tomber en remuant de plus en plus, se frottant à ma bouche.
Je poussais mon examen en enfonçant mon doigt plus profondément dans son anus.
Oooooh ! Oui, vas-y, fais-moi jouir !
Tout en la suçant je branlais les deux orifices, pour son plus plaisir à entendre ses plaintes.
- Oh ! Oui ! Vas-y, je t’en prie, vas-y ! Avec sa voix de plus en plus plaintive. Avant d’ajouter : -Oh ! Oui, je viens ! Ooouuuiiiiiii !
Elle se cambra et elle jouissait. Je sentais de la mouille coulait sur ma langue, sur mes doigts.
Si on m’aurait dit un jour que j’allais faire jouir ma belle, je ne l’aurai pas cru tant elle était méprisable à mes yeux.
Pensant à mon plaisir, je me redressais et plantais ma queue dans sa chatte. La même où mon frère mettait la sienne. Elle était rentrée d’un seul coup, comme dans du beurre, sa chatte était plus qu’accueillante, c’était un délice de la baiser. Sandrine aimait la queue et ça se voyait. Elle avait joui tout de suite, là devant moi, humm, trop bon !
Je me retirai et la retournai. Elle se redressa et me présenta son cul. Mon sexe trouva l’entrée sans peine. Cette levrette que j’avais tant fantasmée était maintenant devenue réalité !
Le souffle de Sandrine s’accéléra, et de petits cris sortaient de sa bouche à un rythme de plus en plus soutenu. Elle enfonça sa tête dans le coussin. Je m’interrompis plusieurs fois juste avant l’explosion.
Au bout d’un moment elle se retira, me bascule sur le dos et s’empala sur ma verge. Mes deux mains massèrent ses seins. Elle me chevaucha avec une énergie folle. On n’entendait plus que le bruit de ses fesses qui claquaient contre ma verge. Je ne pouvais plus me retenir.
-Je vais jouir… Et alors que je pensais qu’elle allait me finir avec sa main, voir avec sa bouche, elle accéléra le mouvement. Je sentis mon jus sortir par saccades et lui remplir la chatte. Elle se mit à crier et s’écroula sur mon corps. On resta un moment dans cette position, mon sexe toujours en érection. Je pouvais sentir mon liquide ruisseler sur mes couilles. Elle se releva et bascula sur le côté.
Au bout de quelques minutes, elle me dit : -Dommage que l’on ne puisse pas recommencer.
Quelques jours plus tard je reçus de nouveau des clichés de ma belle-sœur toujours en charmante compagnie. Je le lui en fit part, et là elle m’expliqua en toute simplicité qu’elle était expéditrice et qu’elle avait fait ça pour s’avoir comment j’allais réagir, et aussi que j’avais été à la hauteur de son fantasme, voire plus…
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