Rue Queûwe curé. Légende 2.
Récit érotique écrit par Marisa marlux [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-08-2018 dans la catégorie A dormir debout
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Rue Queûwe curé. Légende 2.
Le queûwe est un bâton à la dureté éprouvée… Telle est la base de la seconde légende qui permettrait de comprendre, en tout cas d’à moitié comprendre dans un premier temps la raison de ce nom bizarre à cette petite rue du village de Ponsarmont. La deuxième moitié de la compréhension n’est possible qu’à l’écoute de l’histoire qui se raconte ou plutôt se chuchote dans les chaumières, et parfois au milieu d’un fou rire silencieux, dans certaines sacristies de la région.
C’était aussi au 19ème siècle… L’été était terriblement chaud cette année là. Et même l’Eglise n’était plus ce havre de calme tempéré et frais qu’elle pouvait être à d’autres moments. Même là, la chaleur était accablante. La fenaison et les moissons avaient eu lieu sous cette fournaise. Malgré les grattouillis provoqués par la poussière du foin ou de la paille, les hommes travaillaient dur aux champs, les torses musclés et ruisselants de sueur. Les femmes suaient tout autant, et on pouvait le comprendre, elles qui préparaient à manger, allaient porter les pique-niques, et surtout les cruches d’eau pour permettre aux hommes de se désaltérer. Elles en faisaient des kilomètres, chargées comme des baudets. Pour supporter la chaleur, elles aussi se dévêtaient légèrement. Mais la pudeur de l’époque ne leur permettait pas davantage. Elles allaient cependant les bras et les épaules nues, et l’on devinait sous les chemises de certaines des seins libres, alors que les jupes semblaient moins empesées qu’à l’habitude, et on se surprenait à observer les tissus voletants autour de jambes nues, parfois même jusqu’aux cuisses… C’est en tout cas ce que croyaient remarquer les plus observateurs, ou les plus curieux…
Monsieur le curé ne ménageait pas sa peine non plus. Il allait aider là où il pouvait, passant d’une famille à l’autre, conseillant, valorisant la solidarité de ses paroissiens. Et lui aussi avait chaud… Tellement chaud que Monsieur le curé avait décidé de ne rien porter sous sa soutane… Il allait donc en sandalettes, des mollets poilus régulièrement découverts par la légère brise qui parfois venait rafraichir les travailleurs. S’il semblait absorbé par sa tâche, ses paroissiens remarquèrent vite que les bras et les jambes nues des femmes ainsi que la liberté de leurs seins le perturbaient cependant. Et la bosse qui se forma soudain au milieu de sa soutane leur en apporta la preuve définitive. Monsieur le curé bandait en regardant les nudités cependant raisonnables des femmes… Ce furent d’abord des remarques très discrètes, puis un peu moins, pour devenir des rires finalement sans équivoques qui jaillirent dans les différents groupes… Parce que c’est comme cela que ça se passait.
La trique de monsieur le curé était repérée. On le lui faisait plus ou moins discrètement remarquer, et confus, il s’en allait voir une autre famille au travail, mais également composées de femmes appétissantes qui amenaient sa queue à se redresser de plus belle. Et le manège reprenait. Ce qui fit que le soir venu, Tout le village savait la bandaison de Monsieur le curé. Et celui-ci savait que les autres savaient.
Il passa une mauvaise nuit. La chaleur, le souvenir des bras et des jambes luisantes des femmes, ce qu’il prit pour des moqueries, mais surtout ce sentiment d’avoir péché, l’empêchèrent de dormir. Et il ne sortit pas le lendemain. Ni le surlendemain. Ce fut l’instituteur qui lui rendit visite le 3ème jour, inquiet comme le reste de la population de ne plus le voir dans le village. Aurait-il eu une insolation ? L’instituteur était un ami de plus de trente ans. Ils avaient usé leurs fonds de culottes ensemble, sur les bancs de l’école, avaient fait les 400 coups… et s’étaient intéressés ensemble aux filles. Monsieur le curé osa alors raconter à son ami les causes de son tourment. L’ami sourit évidemment, mis au courant par les habitants du village… Et il entreprit de dédramatiser la situation… C’était la nature… Une nature que Dieu, si on y croyait, avait voulue ainsi… Ils passèrent une heure à parler. Puis monsieur le curé ouvrit une bonne bouteille. Puis une seconde, et une seconde heure, puis une troisième passèrent. Et les bouteilles de se succéder. Monsieur le curé acceptait maintenant que ce soit la nature la première responsable de la situation.
Les jours qui suivirent, Monsieur le curé osa ressortir. Mais il s’imposait des caleçons solides qui enfermaient solidement la bêbête qui voulait tant se dresser fièrement… Mais quelques allusions, finalement pas si moqueuses, voire même gentilles, si pas gratifiantes, ainsi que le soleil qui paraissait encore redoubler la force de ses rayons qu’il semblait darder davantage vers sa soutane, lui firent réaliser l’oubli fatal… Un matin, il omit d’enfiler son caleçon… Et la bêbête se fit à nouveau triomphante… Monsieur le curé rougit bien au début… Puis, il s’y fit. De même que ses paroissiens et ses paroissiennes… les remarques ne s’arrêtèrent pas pour autant, mais il les prit avec sympathie. C’est d’ailleurs de cette façon que les habitants du village exprimaient leurs remarques… C’est ainsi que naquit l’histoire du curé bandeur… Le curé au gros bâton… Le Queûwe curé…
C’était aussi au 19ème siècle… L’été était terriblement chaud cette année là. Et même l’Eglise n’était plus ce havre de calme tempéré et frais qu’elle pouvait être à d’autres moments. Même là, la chaleur était accablante. La fenaison et les moissons avaient eu lieu sous cette fournaise. Malgré les grattouillis provoqués par la poussière du foin ou de la paille, les hommes travaillaient dur aux champs, les torses musclés et ruisselants de sueur. Les femmes suaient tout autant, et on pouvait le comprendre, elles qui préparaient à manger, allaient porter les pique-niques, et surtout les cruches d’eau pour permettre aux hommes de se désaltérer. Elles en faisaient des kilomètres, chargées comme des baudets. Pour supporter la chaleur, elles aussi se dévêtaient légèrement. Mais la pudeur de l’époque ne leur permettait pas davantage. Elles allaient cependant les bras et les épaules nues, et l’on devinait sous les chemises de certaines des seins libres, alors que les jupes semblaient moins empesées qu’à l’habitude, et on se surprenait à observer les tissus voletants autour de jambes nues, parfois même jusqu’aux cuisses… C’est en tout cas ce que croyaient remarquer les plus observateurs, ou les plus curieux…
Monsieur le curé ne ménageait pas sa peine non plus. Il allait aider là où il pouvait, passant d’une famille à l’autre, conseillant, valorisant la solidarité de ses paroissiens. Et lui aussi avait chaud… Tellement chaud que Monsieur le curé avait décidé de ne rien porter sous sa soutane… Il allait donc en sandalettes, des mollets poilus régulièrement découverts par la légère brise qui parfois venait rafraichir les travailleurs. S’il semblait absorbé par sa tâche, ses paroissiens remarquèrent vite que les bras et les jambes nues des femmes ainsi que la liberté de leurs seins le perturbaient cependant. Et la bosse qui se forma soudain au milieu de sa soutane leur en apporta la preuve définitive. Monsieur le curé bandait en regardant les nudités cependant raisonnables des femmes… Ce furent d’abord des remarques très discrètes, puis un peu moins, pour devenir des rires finalement sans équivoques qui jaillirent dans les différents groupes… Parce que c’est comme cela que ça se passait.
La trique de monsieur le curé était repérée. On le lui faisait plus ou moins discrètement remarquer, et confus, il s’en allait voir une autre famille au travail, mais également composées de femmes appétissantes qui amenaient sa queue à se redresser de plus belle. Et le manège reprenait. Ce qui fit que le soir venu, Tout le village savait la bandaison de Monsieur le curé. Et celui-ci savait que les autres savaient.
Il passa une mauvaise nuit. La chaleur, le souvenir des bras et des jambes luisantes des femmes, ce qu’il prit pour des moqueries, mais surtout ce sentiment d’avoir péché, l’empêchèrent de dormir. Et il ne sortit pas le lendemain. Ni le surlendemain. Ce fut l’instituteur qui lui rendit visite le 3ème jour, inquiet comme le reste de la population de ne plus le voir dans le village. Aurait-il eu une insolation ? L’instituteur était un ami de plus de trente ans. Ils avaient usé leurs fonds de culottes ensemble, sur les bancs de l’école, avaient fait les 400 coups… et s’étaient intéressés ensemble aux filles. Monsieur le curé osa alors raconter à son ami les causes de son tourment. L’ami sourit évidemment, mis au courant par les habitants du village… Et il entreprit de dédramatiser la situation… C’était la nature… Une nature que Dieu, si on y croyait, avait voulue ainsi… Ils passèrent une heure à parler. Puis monsieur le curé ouvrit une bonne bouteille. Puis une seconde, et une seconde heure, puis une troisième passèrent. Et les bouteilles de se succéder. Monsieur le curé acceptait maintenant que ce soit la nature la première responsable de la situation.
Les jours qui suivirent, Monsieur le curé osa ressortir. Mais il s’imposait des caleçons solides qui enfermaient solidement la bêbête qui voulait tant se dresser fièrement… Mais quelques allusions, finalement pas si moqueuses, voire même gentilles, si pas gratifiantes, ainsi que le soleil qui paraissait encore redoubler la force de ses rayons qu’il semblait darder davantage vers sa soutane, lui firent réaliser l’oubli fatal… Un matin, il omit d’enfiler son caleçon… Et la bêbête se fit à nouveau triomphante… Monsieur le curé rougit bien au début… Puis, il s’y fit. De même que ses paroissiens et ses paroissiennes… les remarques ne s’arrêtèrent pas pour autant, mais il les prit avec sympathie. C’est d’ailleurs de cette façon que les habitants du village exprimaient leurs remarques… C’est ainsi que naquit l’histoire du curé bandeur… Le curé au gros bâton… Le Queûwe curé…
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
On a beau être homme de Dieu, difficile d'imposer à la nature une loi qui n'est pas la sienne. J'aime beaucoup le rythme et le mouvement de votre récit.