Titre de l'histoire érotique : Des ethnologues féminines au pays des hommes nus… Chapitre 7 : Docteur Julie
Récit érotique écrit par Marisa marlux [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-07-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Des ethnologues féminines au pays des hommes nus… Chapitre 7 : Docteur Julie
Un autre médecin… Médecin-fonctionnaire abonné aux visites médicales… Peu passionnant le boulot… Jusqu’au jour où un patient déluré fait une proposition malhonnête… Qui pimente le quotidien… Elles décide avec sa collègue que ce sera plus souvent comme ça…
Les journées succédaient aux journées. Monotones. Julie était médecin du travail et faisait les consultations pour des travailleurs généralement en bonne santé et qui se prêtaient en général d’assez mauvaise grâce à ce moment dans son cabinet.
C’était donc un jour comme un autre, sauf que c’était l’anniversaire d’Evelyne, la secrétaire médicale, avec qui elle s’entendait bien malgré qu’elles partageaient ensemble l’infortune de métiers peu passionnants et peu amusants. La deuxième bouteille de vin blanc avait été bien entamée quand le premier patient avait pointé le bout de son nez dans la salle d’attente. Il fallait retourner au turbin… Ce n’était peut-être pas très professionnel de recevoir dans cet état, mais Julie pouvait assumer ça !
Le premier patient était désagréable, mais elle avait l’habitude, et le début d’ivresse aidant, elle n’avait pas hésité à le remettre à sa place. C’est le second patient qui déclencha l’histoire qui va suivre…
Il déboula en slip, introduit par Evelyne dans mon cabinet. Il avait l’air assez enjoué. Je pratiquai l’examen comme à l’habitude, posant quelques bêtes questions pour occuper le temps et éviter le silence pesant. L’homme me répondit qu’il était archéologue. Comme je trouvais ce métier intéressant, il m’expliqua que justement, il vivait ce moment intensément car ils avaient, la veille, découvert des objets qu’ils désespéraient de trouver à l’endroit de leurs fouilles. Cela expliquait d’ailleurs son état car ils avaient fêté ça ce midi et il avait sans doute un peu abusé sur le porto. Amusant ! Deux légèrement imbibés qui se rencontraient. Comme je lui avais montré de l’intérêt pour son métier, il fit de même pour le mien, mais en n’y mettant pas de gants… Comme je lui confirmais le peu de plaisir à exercer dans ce contexte, il m’envoya :
- Oh ! Mais moi, ça m’amuserait de foutre des gens à poil et de les regarder passer devant moi toute la journée !
Léger sourire. Et dénégation…
- Mais ils ne sont pas tout nus mes patients, puis, je ne les fous pas à poil…
- Oui, mais ça, c’est de votre faute à vous et à votre collègue… Quand on va dans la cabine, elle nous dit de nous déshabiller et de garder notre slip… Moi, je dirais rien sur le slip !
- Et ?
- Bin, y en a qui vont se foutre à poil puisqu’on leur dit de se foutre à poil !
- Mais ça marchera pas votre truc… Et puis y a des gens qui vont se sentir mal à l’aise…
- Mal à l’aise, mal à l’aise… On ne se sent pas mal à l’aise quand on est à poil chez un médecin ! Moi, je peux vous prouver que ça marche !
- Ah oui ? Et comment ça ?
- Je me rhabille et on recommence la visite ! »
Lueur d’amusement dans mes yeux.
- Vous voulez qu’on recommence la visite et qu’Evelyne vous demande de vous déshabiller sans précision sur le slip ? Ouais, mais c’est truqué ! Ça pourrait marcher avec vous…
- Mais qu’est-ce qui vous fait dire ça ? Vous me connaissez à peine… Y a rien qui peut vous permettre d’affirmer ça !
- Mwais… je réfléchis…
Et la lueur d’amusement s’accentue dans mes prunelles… Bin oui, ça se sent ces choses là…
- Et puis, au fond, pourquoi pas… ça va mettre une peu de piment dans note boulot chiant… J’appelle Evelyne.
Et d’expliquer à ma collègue, mi-amusée, et mi-embarrassée ce que le patient (Jonathan) proposait.
Il se rhabille donc, sors de l’appartement où notre service est installé, puis rentre à nouveau et est accueilli par Evelyne sous le regard interloqué des deux patients qui attendent déjà. Surtout qu’il passe avant eux.
Evelyne le conduit jusqu’à la cabine, lui demande alors de se déshabiller, sans autre précision. J’entends la voix de Jonathan la féliciter. Puis Evelyne de rentrer dans mon cabinet et de souffler…
- Je veux pas manquer ça !
Comme à l’habitude, Evelyne va chercher mon patient, qui débarque une seconde fois . Malgré que je ne sois pas vraiment surprise de le trouver nu, je ne peux retenir un petit rire… Evelyne elle, est toute rouge… Jonathan lui semble très à l’aise. Il prend même les choses en main. Enfin, symboliquement je veux dire… Il dirige un peu les opérations.
- Allez… vous faites comme d’habitude… Je m’assieds. Je reste debout ? Et vous, vous restez toujours comme ça, à regarder bêtement les patients ? On s’active là !
Je décide d’agir presque comme d’habitude, me contentant parfois d’un petit supplément, ou d’une petite remarque pour tenter de déstabiliser l’homme. Mais sans succès ! Il reste complètement zen…
Et l’examen se termine. Je prends congé. Mais lui, ne l’entend pas de cette oreille.
- Voilà… vous avez vu ? Ça s’est bien passé ? C’était pas plus amusant que d’habitude ? Et moi ? Vous m’avez senti mal à l’aise ?
Ces questions paraissaient un rien décalées mais il continuait à nous amuser. Surtout qu’il entendait rester tout nu.
- Voilà… Il y en a d’autres dans la salle d’attente. Alors vous, madame Evelyne, vous faites bien comme je vous ai dit… Vous ne parlez pas du slip ! Et puis, vous laissez venir… Et puis, j’ai une autre petite idée… Faites des statistiques !
- Comment ça des statistiques ?
- Et bien, vous classez les gens en fonction de leur réaction ou de leur attitude…
- C'est-à-dire ?
- C’est pourtant pas chinois… Quand Madame Evelyne va les mettre dans la cabine, et qu’elle leur dit de se déshabiller, certains ne vont pas réagir… D’autres vont peut-être poser la question du ‘’complètement ou pas’’ ? Quand elle ira les chercher après qu’ils se soient déshabillés, c’est peut-être à ce moment là que la question va être posée… Et puis, il y en aura qui auront voulu protéger leur pudeur, et d’autres qui auront obéi aux ordres. Ceux qui se retrouvent la floche à l’air dans le cabinet, comment se comportent-ils ? Les mains devant le petit oiseau ? Assis de la manière la plus pudique possible mais sans s’abaisser à cacher la pièce maîtresse ? Ou alors complètement à l’aise voire assez exhibitionniste ? Il sera aussi intéressant de vérifier l’attitude du petit oiseau lui-même… Aura-t-il une tendance à de recroqueviller ou à prendre davantage de place ? Voilà… Et vous notez ça dans votre cahier, et vous voyez les moyennes qui se dégagent… Et quand je reviens l’année prochaine, vous me donnez vos résultats… parce que ça m’intéresse de savoir comment mes semblables se comportent quand on les met tout nu.
- Vous êtes un rigolo vous… Mais je ne peux pas faire ça comme médecin !
- Qu’est-ce que vous ne pouvez pas faire ? Vous demandez à vos patients de se déshabiller pour pratiquer un examen, quoi de plus normal. Certains se foutent à poil… Mais vous ne leur avez pas demandé ! D’ailleurs, je me demande si vous ne pourriez pas le demander à ceux qui ne se sont pas mis tout nu dans la cabine… C’est pas anormal que pour certains examens les gens soient complètement à poil… Vous pouvez examiner nos roubignoles non ? Et donc vous demandez à ceux qui ont gardé le slip de le retirer avant de passer sur la table d’examen… Et s’il y en a qui refuse, vous manquerez quelques petits zoziaux, mais vous pourrez l’indiquer dans vos statistiques… Voilà de quoi mettre du piment dans votre travail… De manière cool, sans brusquer violemment vos patients, mais en profitant de la vie… Et puis… Croyez-moi… Avec deux jolis minois comme les vôtres, les mecs ils ne vont pas hésiter…
- Bin justement… y a pas que des mecs…
- Ah oui, zut… j’avais pas pensé… Idem pour les dames alors… y a pas de raison… et à vous d’établir aussi des analyses chiffrées… ce serait intéressant de voir si face à des nanas comme vous, ce sont les hommes oui les femmes les plus pudiques… ou les plus exhibitionnistes… On peut voir ça comme on veut !
Il nous avait presque convaincu… De toute façon, il fallait le virer de notre bureau, d’autres patients s’impatientaient ( ! ). Et donc nous avons marqué notre intérêt pour sa proposition… et lui avons indiqué que nous allions y réfléchir. Ça a semblé le décevoir… Il espérait sans doute un peu plus d’enthousiasme…
Et le patient suivant est rentré… en slip… et la monotonie a repris. Puis un autre, et encore un autre. Puis un tout nu ! J’ai été décontenancée… J’ai dû rougir assez violemment… Mais j’ai malgré tout pu rester digne… Et j’ai pratiqué l’examen… D’un gars qui ne semblait pas être dérangé de se retrouver à poil devant moi… Puis, avant de faire entrer le suivant, j’ai appelé Evelyne, qui est arrivée embêtée dans le bureau… Et qui m’a dit qu’elle n’avait pas pu résister, qu’elle trouvait ça comique… J’ai trouvé aussi !
C’est le lendemain, que nous avons mis en pratique de manière permanente la proposition de Jonathan. Evelyne avait trouvé un cahier vierge dans les armoires, elle avait fait des colonnes et indiqué dans chacune d’elle les catégories qu’elle avait imaginées possible, sachant que nous devions remplir à deux ce cahier. Date, nom et prénom et puis les différentes possibilités.
Après un an d’investigation et de prise de notes régulière dans notre petit cahier, nous avons analysé les résultats.
Quand Evelyne leur disaient de se déshabiller sans plus de précision, les femmes posaient généralement la question de savoir si c’était complètement. Seul un tiers des hommes osaient interroger sur le sujet. Quand ils ou elles posaient la question, Evelyne s’était enhardie à répondre « c’est comme vous le sentez », laissant les gens à leurs interrogations. Cependant, parmi ceux-ci, très peu se désapaient alors.
Parmi les femmes qui ne posaient pas la question, une grande majorité gardait ses sous-vêtements. Quelques unes déboulaient nues dans le cabinet.
Chez les hommes, beaucoup plus nombreux étaient ceux qui arrivaient le sexe au vent. Certains semblaient très gênés de se retrouver tout nu face à moi. Un tiers mettaient les mains devant leur sexe, un autre tiers, s’asseyait rapidement, même sans que je ne leur propose et adoptaient une position qui tendait à rendre discret leur petit oiseau, le dernier tiers assumait nettement mieux leur nudité, voire avaient une tendance à se pavaner, et même à être un tantinet provocateur.
Parmi ces hommes nus, notons également que près d’un sur dix n’a pas pu garder son zizi au repos pendant toute la consultation… Quelques uns ont maintenu leur érection toute la séance, en étant très embêtés de la situation, d’autres, peu nombreux il est vrai, semblaient la savourer d’autant plus…
Les femmes qui arrivaient en sous-vêtements ne posaient pas de question sur leur apparence. Les hommes qui avaient gardé le slip demandaient bien plus souvent s’ils avaient la tenue règlementaire… J’avais donc travaillé ma réponse pour ces gaillards évitant les réponses trop catégoriques… « Oui » ou « non » ne leur permettait pas de prendre une décision… « Faites pour un mieux », « faites comme vous voulez », « soyez à l’aise,… », étaient des formules qui leur laissaient une certaine liberté. Par contre, « mettez-vous à l’aise » que j’avais tentée semblait les obliger à se foutre nu. J’avais donc opté essentiellement pour les tournures qui leur laissaient une liberté…
Et parmi ces hommes, la moitié d’entre eux enlevait le peu qui leur restait sur le dos (et même un peu plus bas…) pour s’exhiber dans toute leur splendeur (relative cependant la plupart du temps). Parmi ces derniers, on pouvait par ailleurs remarquer des soupçons voire des affirmations de garde à vous plus fréquents que parmi les naturistes avérés qui se présentaient d’office les fesses à l’air.
C’était la première année… Puis, il y eut une seconde année… Avec beaucoup de patients qui revenaient pour leur visite annuelle… On s’était posé la question Evelyne et moi de la continuation de l’analyse systématique dans notre petit cahier (qu’il avait d’ailleurs fallut renouveler). Comme nous avions pris l’habitude, nous avons continué. D’autant plus que finalement, ça nous amusait beaucoup… Surtout que nous faisions régulièrement nos commentaires à deux !
Evelyne qui s’amusait de temps en temps à faire les analyses des notes prises, s’est très vite rendue compte que les messieurs qui arrivaient en slip la première année, ne s’embarrassait plus de ce rempart à leur pudeur la seconde année. Que même, certains qui avaient gardé le slip durant toute la consultation la fois précédente, arrivaient la seconde fois, nus comme des vers.
Et donc, si pour les femmes, les situations n’avaient pas beaucoup évolué, nous avons pu constater que les hommes nus à l’an 1 sont restés nus à l’an 2, que les hommes qui avaient ôté leur slip dans le cabinet sont arrivés quasi tous nus la seconde année, et que la moitié des hommes qui avaient gardé le slip l’an 1, arrivaient aussi nus l’année suivante. La dernière moitié avait souhaité garder sa pudeur…
Que pouvions-nous conclure de toute cette analyse ? D’abord qu’il aurait fallut poser des questions à ces mâles pour en savoir davantage sur leurs comportements… Mais ça, nous ne l’avons pas fait… L’analyse des chiffres nous a cependant permis de tenter certaines explications. Il y a des hommes qui se mettent nus parce qu’il y a consultation médicale, qu’on leur dit qu’ils doivent être nus, et donc qu’ils le sont… quoi de plus normal…
Il y a les hommes qui souhaitent garder leur pudeur. Certains parce qu’ils ont l’habitude des visites médicales et qu’ils savent que pour la plupart d’entre elles, ont garde ses sous-vêtements. D’autres, parce qu’on ne leur ferait enlever ce qui garantit cette pudeur que s’ils y étaient véritablement obligés.
Et puis, il y a les autres… Puisqu’on leur laisse la possibilité de se foutre à poil devant des nanas, et bien, ils s’exécutent avec le plus grand plaisir, plaisir qui se marque parfois très clairement. Certains sans aucune hésitation, voire avec ostentation, d’autres avec un peu plus de difficultés. Mais dès qu’ils sentent la porte ouverte, ils s’y engouffrent. Et puis, il y a certainement les autres, ceux qui ne se sont pas foutu à poil la première année, ou avec difficulté… Et puis qui ont dû fantasmer toute l’année, et rêver souvent d’une nouvelle occasion… Cette nouvelle occasion que nous leur proposons et sur laquelle ils sautent, trop heureux de réaliser leur désir enfoui…
Les journées succédaient aux journées. Monotones. Julie était médecin du travail et faisait les consultations pour des travailleurs généralement en bonne santé et qui se prêtaient en général d’assez mauvaise grâce à ce moment dans son cabinet.
C’était donc un jour comme un autre, sauf que c’était l’anniversaire d’Evelyne, la secrétaire médicale, avec qui elle s’entendait bien malgré qu’elles partageaient ensemble l’infortune de métiers peu passionnants et peu amusants. La deuxième bouteille de vin blanc avait été bien entamée quand le premier patient avait pointé le bout de son nez dans la salle d’attente. Il fallait retourner au turbin… Ce n’était peut-être pas très professionnel de recevoir dans cet état, mais Julie pouvait assumer ça !
Le premier patient était désagréable, mais elle avait l’habitude, et le début d’ivresse aidant, elle n’avait pas hésité à le remettre à sa place. C’est le second patient qui déclencha l’histoire qui va suivre…
Il déboula en slip, introduit par Evelyne dans mon cabinet. Il avait l’air assez enjoué. Je pratiquai l’examen comme à l’habitude, posant quelques bêtes questions pour occuper le temps et éviter le silence pesant. L’homme me répondit qu’il était archéologue. Comme je trouvais ce métier intéressant, il m’expliqua que justement, il vivait ce moment intensément car ils avaient, la veille, découvert des objets qu’ils désespéraient de trouver à l’endroit de leurs fouilles. Cela expliquait d’ailleurs son état car ils avaient fêté ça ce midi et il avait sans doute un peu abusé sur le porto. Amusant ! Deux légèrement imbibés qui se rencontraient. Comme je lui avais montré de l’intérêt pour son métier, il fit de même pour le mien, mais en n’y mettant pas de gants… Comme je lui confirmais le peu de plaisir à exercer dans ce contexte, il m’envoya :
- Oh ! Mais moi, ça m’amuserait de foutre des gens à poil et de les regarder passer devant moi toute la journée !
Léger sourire. Et dénégation…
- Mais ils ne sont pas tout nus mes patients, puis, je ne les fous pas à poil…
- Oui, mais ça, c’est de votre faute à vous et à votre collègue… Quand on va dans la cabine, elle nous dit de nous déshabiller et de garder notre slip… Moi, je dirais rien sur le slip !
- Et ?
- Bin, y en a qui vont se foutre à poil puisqu’on leur dit de se foutre à poil !
- Mais ça marchera pas votre truc… Et puis y a des gens qui vont se sentir mal à l’aise…
- Mal à l’aise, mal à l’aise… On ne se sent pas mal à l’aise quand on est à poil chez un médecin ! Moi, je peux vous prouver que ça marche !
- Ah oui ? Et comment ça ?
- Je me rhabille et on recommence la visite ! »
Lueur d’amusement dans mes yeux.
- Vous voulez qu’on recommence la visite et qu’Evelyne vous demande de vous déshabiller sans précision sur le slip ? Ouais, mais c’est truqué ! Ça pourrait marcher avec vous…
- Mais qu’est-ce qui vous fait dire ça ? Vous me connaissez à peine… Y a rien qui peut vous permettre d’affirmer ça !
- Mwais… je réfléchis…
Et la lueur d’amusement s’accentue dans mes prunelles… Bin oui, ça se sent ces choses là…
- Et puis, au fond, pourquoi pas… ça va mettre une peu de piment dans note boulot chiant… J’appelle Evelyne.
Et d’expliquer à ma collègue, mi-amusée, et mi-embarrassée ce que le patient (Jonathan) proposait.
Il se rhabille donc, sors de l’appartement où notre service est installé, puis rentre à nouveau et est accueilli par Evelyne sous le regard interloqué des deux patients qui attendent déjà. Surtout qu’il passe avant eux.
Evelyne le conduit jusqu’à la cabine, lui demande alors de se déshabiller, sans autre précision. J’entends la voix de Jonathan la féliciter. Puis Evelyne de rentrer dans mon cabinet et de souffler…
- Je veux pas manquer ça !
Comme à l’habitude, Evelyne va chercher mon patient, qui débarque une seconde fois . Malgré que je ne sois pas vraiment surprise de le trouver nu, je ne peux retenir un petit rire… Evelyne elle, est toute rouge… Jonathan lui semble très à l’aise. Il prend même les choses en main. Enfin, symboliquement je veux dire… Il dirige un peu les opérations.
- Allez… vous faites comme d’habitude… Je m’assieds. Je reste debout ? Et vous, vous restez toujours comme ça, à regarder bêtement les patients ? On s’active là !
Je décide d’agir presque comme d’habitude, me contentant parfois d’un petit supplément, ou d’une petite remarque pour tenter de déstabiliser l’homme. Mais sans succès ! Il reste complètement zen…
Et l’examen se termine. Je prends congé. Mais lui, ne l’entend pas de cette oreille.
- Voilà… vous avez vu ? Ça s’est bien passé ? C’était pas plus amusant que d’habitude ? Et moi ? Vous m’avez senti mal à l’aise ?
Ces questions paraissaient un rien décalées mais il continuait à nous amuser. Surtout qu’il entendait rester tout nu.
- Voilà… Il y en a d’autres dans la salle d’attente. Alors vous, madame Evelyne, vous faites bien comme je vous ai dit… Vous ne parlez pas du slip ! Et puis, vous laissez venir… Et puis, j’ai une autre petite idée… Faites des statistiques !
- Comment ça des statistiques ?
- Et bien, vous classez les gens en fonction de leur réaction ou de leur attitude…
- C'est-à-dire ?
- C’est pourtant pas chinois… Quand Madame Evelyne va les mettre dans la cabine, et qu’elle leur dit de se déshabiller, certains ne vont pas réagir… D’autres vont peut-être poser la question du ‘’complètement ou pas’’ ? Quand elle ira les chercher après qu’ils se soient déshabillés, c’est peut-être à ce moment là que la question va être posée… Et puis, il y en aura qui auront voulu protéger leur pudeur, et d’autres qui auront obéi aux ordres. Ceux qui se retrouvent la floche à l’air dans le cabinet, comment se comportent-ils ? Les mains devant le petit oiseau ? Assis de la manière la plus pudique possible mais sans s’abaisser à cacher la pièce maîtresse ? Ou alors complètement à l’aise voire assez exhibitionniste ? Il sera aussi intéressant de vérifier l’attitude du petit oiseau lui-même… Aura-t-il une tendance à de recroqueviller ou à prendre davantage de place ? Voilà… Et vous notez ça dans votre cahier, et vous voyez les moyennes qui se dégagent… Et quand je reviens l’année prochaine, vous me donnez vos résultats… parce que ça m’intéresse de savoir comment mes semblables se comportent quand on les met tout nu.
- Vous êtes un rigolo vous… Mais je ne peux pas faire ça comme médecin !
- Qu’est-ce que vous ne pouvez pas faire ? Vous demandez à vos patients de se déshabiller pour pratiquer un examen, quoi de plus normal. Certains se foutent à poil… Mais vous ne leur avez pas demandé ! D’ailleurs, je me demande si vous ne pourriez pas le demander à ceux qui ne se sont pas mis tout nu dans la cabine… C’est pas anormal que pour certains examens les gens soient complètement à poil… Vous pouvez examiner nos roubignoles non ? Et donc vous demandez à ceux qui ont gardé le slip de le retirer avant de passer sur la table d’examen… Et s’il y en a qui refuse, vous manquerez quelques petits zoziaux, mais vous pourrez l’indiquer dans vos statistiques… Voilà de quoi mettre du piment dans votre travail… De manière cool, sans brusquer violemment vos patients, mais en profitant de la vie… Et puis… Croyez-moi… Avec deux jolis minois comme les vôtres, les mecs ils ne vont pas hésiter…
- Bin justement… y a pas que des mecs…
- Ah oui, zut… j’avais pas pensé… Idem pour les dames alors… y a pas de raison… et à vous d’établir aussi des analyses chiffrées… ce serait intéressant de voir si face à des nanas comme vous, ce sont les hommes oui les femmes les plus pudiques… ou les plus exhibitionnistes… On peut voir ça comme on veut !
Il nous avait presque convaincu… De toute façon, il fallait le virer de notre bureau, d’autres patients s’impatientaient ( ! ). Et donc nous avons marqué notre intérêt pour sa proposition… et lui avons indiqué que nous allions y réfléchir. Ça a semblé le décevoir… Il espérait sans doute un peu plus d’enthousiasme…
Et le patient suivant est rentré… en slip… et la monotonie a repris. Puis un autre, et encore un autre. Puis un tout nu ! J’ai été décontenancée… J’ai dû rougir assez violemment… Mais j’ai malgré tout pu rester digne… Et j’ai pratiqué l’examen… D’un gars qui ne semblait pas être dérangé de se retrouver à poil devant moi… Puis, avant de faire entrer le suivant, j’ai appelé Evelyne, qui est arrivée embêtée dans le bureau… Et qui m’a dit qu’elle n’avait pas pu résister, qu’elle trouvait ça comique… J’ai trouvé aussi !
C’est le lendemain, que nous avons mis en pratique de manière permanente la proposition de Jonathan. Evelyne avait trouvé un cahier vierge dans les armoires, elle avait fait des colonnes et indiqué dans chacune d’elle les catégories qu’elle avait imaginées possible, sachant que nous devions remplir à deux ce cahier. Date, nom et prénom et puis les différentes possibilités.
Après un an d’investigation et de prise de notes régulière dans notre petit cahier, nous avons analysé les résultats.
Quand Evelyne leur disaient de se déshabiller sans plus de précision, les femmes posaient généralement la question de savoir si c’était complètement. Seul un tiers des hommes osaient interroger sur le sujet. Quand ils ou elles posaient la question, Evelyne s’était enhardie à répondre « c’est comme vous le sentez », laissant les gens à leurs interrogations. Cependant, parmi ceux-ci, très peu se désapaient alors.
Parmi les femmes qui ne posaient pas la question, une grande majorité gardait ses sous-vêtements. Quelques unes déboulaient nues dans le cabinet.
Chez les hommes, beaucoup plus nombreux étaient ceux qui arrivaient le sexe au vent. Certains semblaient très gênés de se retrouver tout nu face à moi. Un tiers mettaient les mains devant leur sexe, un autre tiers, s’asseyait rapidement, même sans que je ne leur propose et adoptaient une position qui tendait à rendre discret leur petit oiseau, le dernier tiers assumait nettement mieux leur nudité, voire avaient une tendance à se pavaner, et même à être un tantinet provocateur.
Parmi ces hommes nus, notons également que près d’un sur dix n’a pas pu garder son zizi au repos pendant toute la consultation… Quelques uns ont maintenu leur érection toute la séance, en étant très embêtés de la situation, d’autres, peu nombreux il est vrai, semblaient la savourer d’autant plus…
Les femmes qui arrivaient en sous-vêtements ne posaient pas de question sur leur apparence. Les hommes qui avaient gardé le slip demandaient bien plus souvent s’ils avaient la tenue règlementaire… J’avais donc travaillé ma réponse pour ces gaillards évitant les réponses trop catégoriques… « Oui » ou « non » ne leur permettait pas de prendre une décision… « Faites pour un mieux », « faites comme vous voulez », « soyez à l’aise,… », étaient des formules qui leur laissaient une certaine liberté. Par contre, « mettez-vous à l’aise » que j’avais tentée semblait les obliger à se foutre nu. J’avais donc opté essentiellement pour les tournures qui leur laissaient une liberté…
Et parmi ces hommes, la moitié d’entre eux enlevait le peu qui leur restait sur le dos (et même un peu plus bas…) pour s’exhiber dans toute leur splendeur (relative cependant la plupart du temps). Parmi ces derniers, on pouvait par ailleurs remarquer des soupçons voire des affirmations de garde à vous plus fréquents que parmi les naturistes avérés qui se présentaient d’office les fesses à l’air.
C’était la première année… Puis, il y eut une seconde année… Avec beaucoup de patients qui revenaient pour leur visite annuelle… On s’était posé la question Evelyne et moi de la continuation de l’analyse systématique dans notre petit cahier (qu’il avait d’ailleurs fallut renouveler). Comme nous avions pris l’habitude, nous avons continué. D’autant plus que finalement, ça nous amusait beaucoup… Surtout que nous faisions régulièrement nos commentaires à deux !
Evelyne qui s’amusait de temps en temps à faire les analyses des notes prises, s’est très vite rendue compte que les messieurs qui arrivaient en slip la première année, ne s’embarrassait plus de ce rempart à leur pudeur la seconde année. Que même, certains qui avaient gardé le slip durant toute la consultation la fois précédente, arrivaient la seconde fois, nus comme des vers.
Et donc, si pour les femmes, les situations n’avaient pas beaucoup évolué, nous avons pu constater que les hommes nus à l’an 1 sont restés nus à l’an 2, que les hommes qui avaient ôté leur slip dans le cabinet sont arrivés quasi tous nus la seconde année, et que la moitié des hommes qui avaient gardé le slip l’an 1, arrivaient aussi nus l’année suivante. La dernière moitié avait souhaité garder sa pudeur…
Que pouvions-nous conclure de toute cette analyse ? D’abord qu’il aurait fallut poser des questions à ces mâles pour en savoir davantage sur leurs comportements… Mais ça, nous ne l’avons pas fait… L’analyse des chiffres nous a cependant permis de tenter certaines explications. Il y a des hommes qui se mettent nus parce qu’il y a consultation médicale, qu’on leur dit qu’ils doivent être nus, et donc qu’ils le sont… quoi de plus normal…
Il y a les hommes qui souhaitent garder leur pudeur. Certains parce qu’ils ont l’habitude des visites médicales et qu’ils savent que pour la plupart d’entre elles, ont garde ses sous-vêtements. D’autres, parce qu’on ne leur ferait enlever ce qui garantit cette pudeur que s’ils y étaient véritablement obligés.
Et puis, il y a les autres… Puisqu’on leur laisse la possibilité de se foutre à poil devant des nanas, et bien, ils s’exécutent avec le plus grand plaisir, plaisir qui se marque parfois très clairement. Certains sans aucune hésitation, voire avec ostentation, d’autres avec un peu plus de difficultés. Mais dès qu’ils sentent la porte ouverte, ils s’y engouffrent. Et puis, il y a certainement les autres, ceux qui ne se sont pas foutu à poil la première année, ou avec difficulté… Et puis qui ont dû fantasmer toute l’année, et rêver souvent d’une nouvelle occasion… Cette nouvelle occasion que nous leur proposons et sur laquelle ils sautent, trop heureux de réaliser leur désir enfoui…
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