Titre de l'histoire érotique : Des ethnologues féminines au pays des hommes nus… Chapitre 8 : Elodie ou les vestiaires des footeux...
Récit érotique écrit par Marisa marlux [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-07-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Des ethnologues féminines au pays des hommes nus… Chapitre 8 : Elodie ou les vestiaires des footeux...
Une autre histoire dans les vestiaires de la piscine… Sauf que ces vestiaires sont réquisitionnés par le club de foot du village… Elodie va d’étonnements en étonnements… Et apprécie la situation…
« Merdre ! Travailler le dimanche… Et pour ces footeux tout crottés en plus ». C’avait été la réaction d’Elodie quand elle avait compris que ces week-ends étaient foutus… Elodie travaille comme responsable des vestiaires à la piscine de sa toute petite ville. Une piscine fréquentée par de nombreux nageurs des villages alentours.
C’est quand il avait fallu trouver une solution pour le club de foot voisin, dont les vestiaires nécessitaient de grosses transformations, que ceux de la piscine avaient été proposés par l’administration. La piscine comprenait en effet les vestiaires classiques (hommes d’un côté et femmes de l’autre) mais il y avait également deux vestiaires collectifs totalement distincts pour les clubs sportifs. Ce sont ces deux vestiaires qui avaient été réquisitionnés pour le foot, à charge pour Elodie de les maintenir en état.
De plus, les matches se terminaient après la fermeture habituelle de la piscine, elle se retrouvait donc, « pigeonne », à devoir assumer une tâche peu agréable (les joueurs allaient rendre ces vestiaires dégueulasses) dans des horaires contraignants.
Pour lui rendre la vie de ses dimanches un tout petit peu plus sympathique, on lui avait installé un petit local entre les vestiaires et les douches, avec une chaise, une table, un frigo et une machine à café, ainsi qu’une armoire et tout son nécessaire de nettoyage.
Le premier dimanche était arrivé. L’ambiance était calme, les deux équipes s’étaient préparées et avait quitté le bâtiment dans un bruit inhabituel à la piscine, les studs des godasses claquant dans des couloirs plus habitués aux pieds nus.
Elodie entendait au loin les clameurs des supporters, quelques coups de sifflets de l’arbitre, et même quelques jurons de certains joueurs, tout en lisant un magazine qu’elle avait trouvé près des casiers de ses collègues. Ce n’était pas son genre de lecture, mais si l’ambiance était aussi calme à chaque match, elle prévoirait d’autres lectures.
C’est à la mi-temps que tout à commencé. Elle a entendu la porte grincer, puis un joueur la tête basse réintégrer le vestiaire, laissant les premières traces de boue derrière lui. Il est resté prostré quelques minutes assis sur un banc, puis s’est déshabillé. Il s’est retrouvé complètement à poil et s’est à nouveau assis sous les yeux éberlués d’Elodie. Son travail habituel dans les vestiaires « hommes » ne lui laissait pas ces possibilités. Les hommes se déshabillaient et enfilaient leur maillot dans des cabines, ce qui ne permettait pas l’apparition du moindre bout de zizi. Et là, voilà qu’un mec se dessapait sans la moindre pudeur et s’exposait ensuite sans la moindre retenue. Il attrapa une serviette dans son sac et passa devant Elodie pour se rendre aux douches en lui adressant un petit sourire triste… La douche dura de longues minutes. Puis, il reprit sa serviette et Elodie eut la surprise de le voir s’approcher d’elle puis d’entamer la conversation, le zizi bien en évidence ! Il lui raconta combien il était déçu par son match, combien il était triste d’avoir été remplacé, combien le foot était important pour lui et combien il espérait se réaliser dans ce sport. Être remplacé alors que le foot était toute sa vie, le rendait complètement malheureux. Elodie vit le petit garçon triste à côté d’elle. Elle faillit prendre ce petit garçon triste dans ses bras, mais la vue de cette queue poilue d’une quinzaine de centimètres au moins qui se balançait entre ses guibolles, la ramena à la réalité. Ce n’était pas un petit garçon, mais un homme bien couillu et qui exposait sa couillitude qui se trouvait en face d’elle. Pour la pauvre Elodie, la situation apparaissait un rien surréaliste…
Le mec n’avait pas encore pris la peine de se rhabiller, quand elle entendit de nouvelles clameurs. Le match était terminé, et les deux équipes revenaient. Elle jeta un regard affolé vers le mec nu, craignant qu’ils ne soient vus ensemble dans cette situation saugrenue. Mais le mec, lui, ne semblait pas s’en inquiéter. Et les premiers joueurs rentrèrent. Sales. Très sales… La boue se décollait de leurs chaussures de foot pour maculer les couloirs, leur donnant un aspect qu’elle n’avait jamais connu. Une lueur de désespoir brilla dans ses yeux… Elle sentit les larmes au bord de ses paupières… Mais ces deux hordes de guerriers, certains en vert sous la boue, d’autres, probablement en bleu sous une couche semblable, la détournèrent rapidement de ce découragement. Elle assista à une vitesse étonnante à un strip-tease collectif, très peu académique, mais qui s’avéra être total… Plus d’une vingtaine de mecs, répartis équitablement entre les deux vestiaires, se retrouvaient les fesses et la bite à l’air, sans le moindre complexe… Elodie aperçut au milieu de ces braillards dégueulasses son petit garçon à elle, tout propre, et donc un rien paradoxal… Ces mecs nus et boueux passèrent tous devant Elodie pour se rendre à la douche, d’où elle entendit éclats de voix, parfois salaces et fous rires. Pendant qu’ils étaient sous la douche, Elodie rencontra la surprise suivante… le débarquement de spectateurs et de spectatrices dans les vestiaires. Elle voulut d’abord faire barrage, mais elle se rendit rapidement compte que cela n’aurait guère de sens. Cette intrusion semblait normale et pas du tout incongrue ! Et les mecs tout propres de sortir de leur douche et de se s’exposer sans la moindre retenue… Sous le regard très intéressés des spectatrices. Parce que si les hommes présents parlaient foot, félicitaient, critiquaient, bref, comme ils disent, refaisait le match, les femmes elles, sous une apparence décontractée, n’en rataient pas une miette… C’était probablement pour elles la partie la plus intéressante du match… Puis, ils ont remballé « leur matériel » se sont rhabillés et tous se sont taillés, sauf « le petit garçon » et l’entraîneur qui ont eu la gentillesse de demander à Elodie si elle s’en sortirait. En jetant un regard circulaire autour d’elle, Elodie constata le champ de bataille, et la lourdeur de la tâche qui l’attendait. Elle poussa un soupir de découragement qu’ils ne purent que constater. Ils auraient bien donné un coup de main, mais ils étaient tous les deux pressés. Un conseil salvateur cependant.
- Vous avez bien un tuyau d’arrosage, non ? Un premier passage avec le boyau et le plus gros devrait être parti…
L’idée était bonne, et quand ils sont partis, Elodie a empoigné le flexible et arrosé tout le vestiaire, constatant avec satisfaction que l’eau emportait l’essentiel sur son passage… un bon coup de raclette acheva le travail… ça n’avait finalement pas pris trop de temps…
Quand elle avait raconté sa journée à son mari, celui-ci n’avait pas trop apprécié que ces mâles exhibent leurs quéquettes à sa femme. D’autant plus que lui était un peu chétif, et relativement mal achalandé dans le pantalon… Par contre, quand ses copines avaient écouté son histoire, ce sont plutôt des exclamations d’envie qu’elle avait entendues. Et les copines de tenter de se faire une petite place pour elles aussi assister au spectacle… Ce qui ne posait évidemment pas de problèmes, puisque ces après-matches dans les vestiaires semblaient être résolument portes ouvertes. Et les nanas de prendre rendez-vous pour les prochains week-ends !
Elodie qui ne comprenait rien au foot avait cependant appris que les équipes jouaient une fois sur leur terrain et une autre fois sur le terrain d’un adversaire. À l’heure des matches de ce qu’elle allait dorénavant appeler son équipe, quand cette dernière n’était pas là, c’était les scolaires qui jouaient. Les scolaires étaient des jeunes de 16 et 17 ans.
Avec ces jeunes, lors du premier match, le rituel avait démarré de la même façon. Les deux équipes arrivaient, et ils se mettaient en tenue pour le match. Elle était ensuite tranquille pendant toute la durée du match, les jeunes n’ayant pas le droit de revenir dans les vestiaires à la mi-temps. Au retour, c’était également la douche. Mais si pour les hommes, la bistouquette à l’air devant ces dames semblait de mise avec une belle évidence, cela paraissait moins évident pour ces tout jeunes hommes. La présence d’Elodie semblait les ennuyer davantage. C’était l’engueulade de l’entraîneur qui les avait houspillés pour qu’ils accélèrent la cadence, qui avait eu raison de leurs vêtements souillés par la boue. Ils s’étaient eux aussi retrouvés tout nus, mais beaucoup plus pudiques que leurs ainés, tentant tant bien que mal de cacher leurs sexes. La douche leur avait permis d’extérioriser leur gêne, voire de la surmonter, et c’est déjà beaucoup plus à l’aise qu’ils étaient revenus, propres. Propres et même excités pour certains… Si l’embarras de se retrouver nus en présence d’une dame, avait plutôt eu tendance à mettre en berne leurs kikis, le retour et leur timidité mise à mal par l’effet de groupe, qui pour des jeunes mecs avait plutôt tendance à exalter leur virilité, et bien cette virilité se retrouvait véritablement exaltée pour certains d’entre eux… Ce qui paradoxalement les gênait à nouveau, d’autant plus que les regards appuyés des camarades, voire leurs remarques salaces ne pouvaient qu’accentuer leur trouble…
Elodie avait passé un dimanche bien différent du précédent, mais elle y avait finalement trouvé son compte également… Les jeunes bites rivalisaient finalement avec les bites plus adultes, mais les attitudes différentes selon les âges lui permettaient d’en apprendre beaucoup sur la gent masculine. Ce n’est ni son frère, ni son père, ni son cousin, et pas non plus son homme qui lui auraient permis d’imaginer de telles attitudes… Voire d’en rêver… Parce que ces corps nus qu’elle croisait au boulot, ça commençait à la faire fantasmer… La vie valait la peine d’être vécue, et peut-être différemment de ce qu’elle avait imaginé jusqu’à présent… Même si ces hommes nus n’avaient rien manifesté de particulier qui soit particulièrement érotique, les situations dans lesquelles elle avait été mise, érotisaient pour elle-même l’ambiance du vestiaire.
Et les dimanches se suivirent, se ressemblant finalement assez… Seule l’équipe adverse changeait d’une fois à l’autre. Elle avait d’ailleurs décidé deux choses : d’une part d’aller voir dans cette équipe s’il n’y avait pas de physique particulièrement intéressant, surprenant voire rigolo, et d’autre part de bien observer les physiques de ceux du coin. Certains parce qu’ils étaient plus mignons que d’autres, et pour les autres, parce que dans une petite ville comme la sienne, les gens se connaissaient davantage. Et puisque ces hommes se baladaient la biroute à l’air sans vergogne et sans pudeur, elle regardait avec plaisir, espérant croiser ces mecs en d’autres occasions, à la grande surface ou à la boulangerie du quartier par exemple. Ou pour pouvoir raconter aux copines.
Parce que les copines qui avaient manifesté avec beaucoup d’entrain leur volonté d’assister au spectacle, se retrouvaient moins fières de passer à l’acte…
- Mais moi, je connais untel ou untel… Qu’est-ce que je vais dire, qu’est-ce que je vais faire si je le croise tout nu… Je crois que je serai encore plus gênée que lui !
Elodie passaient donc ces dimanches seule dans son vestiaire… Seule avec ses hommes nus. Elle avait sympathisé avec le moins bon footballeur d’entre eux, puisqu’il continuait à revenir à chaque mi-temps. À chaque fois, il se foutait complètement à poil, puis il venait cause avec lui… Au début, elle était assise, et lui restait debout… ce qui la troublait plus encore, puisqu’elle avait les yeux quasi au niveau de sa queue… queue, qui entre parenthèses, était parmi les plus longues et les plus épaisses des différentes équipes qu’elle avait pu épier ! Quand il arrivait, elle se levait maintenant, et ils restaient là, tous les deux, debout, à siroter un café qu’elle lui proposait, elle habillée, lui tout nu.
- Son petit garçon, comme elle disait à ses copines…
- Oui, mais avec une grosse queue… qu’elles répondaient avec gourmandise…
Son petit garçon qu’elle devait envoyer à la douche sinon il trainait et se refroidissait… Même quand il était sous la douche, il continuait à lui parler. Et comme elle ne comprenait pas, elle s’était approchée de la salle, puis s’était appuyée sur le chambranle de la porte pour continuer la conversation. Et elle avait admiré cet homme bien bâti qui faisait mousser le gel douche sur son corps, sur ses muscles, dans ses cheveux, sur ses fesses, sur son sexe…
Puis, les autres débarquaient et c’était plein de biroutes qui voltigeaient dans tous les sens, et les autres femmes qui venaient admirer…
Et puis tous partaient la laissant seule avec la boue, qu’elle faisait maintenant déguerpir à chaque fois avec la lance d’arrosage.
Une semaine les hommes, les vrais, une semaine les plus jeunes qui pour l’équipe du coin s’étaient habitués à sa présence. Habitués à sa présence, cela signifiait pour certains, ne plus tenir compte de sa présence, et pour d’autres, majoritaires, en tenir compte davantage, et profiter de cette présence féminine pour apprécier l’expérience de l’exhibition virile… Pour l’autre équipe, c’était à chaque fois l’angoisse de se mettre nu avec le risque que la dame ne voit les zizis, et pour la dame, justement, le plaisir un rien pervers de se poster justement bien en évidence, pour les gêner un peu…
Et l’année s’était écoulée jusqu’à la fin du printemps. Les terrains s’asséchaient peu à peu, la boue était moindre, mais cela nécessitait malgré tout le tuyau à chaque fois. Et puis, alors qu’il ne restait que deux matches, elle avait senti une ambiance particulière… S’ils gagnaient cette fois, ils pourraient être champions… Et donc, ce serait la fête…
Et c’est ce qui s’était passé. Son petit garçon n’était pas revenu cette fois. Elodie avait appris que, comme d’habitude, il n’avait joué que la première mi-temps, mais cette fois, il avait voulu rester avec son équipe, pour l’encourager et participer à la fête…
Et ils ont gagné… 4-0. Elodie s’en fout du foot, mais c’est un score dont elle se souviendra toujours… Et les hommes sont revenus, et ils se sont foutus à poil, puis les supporters ont débarqués, plus nombreux que d’habitude. Plus de femmes aussi… Et parmi elles, l’adjointe au maire, qui semblait beaucoup s’amuser de toutes ces nudités mâles qui l’entouraient… Et comme ils avaient gagné, les bouteilles de champagne pétaient. Et comme ils avaient gagné et que quand on gagne on exagère toujours un peu, ils avaient sauté dans la piscine (heureusement après la douche !), bien que le contrat entre le club et la mairie, propriétaire de la piscine, ait été clair. Mais sans doute que l’adjointe au maire allait couvrir cela… Et les hommes de jouer tout nu dans la piscine, et l’adjointe au maire d’apprécier davantage. Et de demander à l’équipe de poser avec elle dans le plus simple appareil :
- Je sais qu’on a déjà fait des photos au terrain, mais j’aimerais encore avoir quelques souvenirs… des vestiaires… minaudait-elle.
Et les mecs, de démontrer leur bonne volonté et de se rassembler autour d’elle. Et elle de ne plus se sentir, entourée de cette petite quinzaine de mecs à poil… Et de déjà imaginer les commentaires qu’elle fera à ces copines quand elle montrera ces photos… Et la photographe présente de mitrailler…
- J’en voudrais quelques unes où vous cachez vos… pénis… hi, hi, hi ! Parce que je voudrais mettre une de ces photos dans mon bureau… mais ce sera déjà assez coquin… sans… ça !
Et la plupart de s’exécuter, sauf l’un ou l’autre qui décide de jouer plus encore l’exhibitionniste. Et la photographe de le remarquer. Et l’adjointe au maire de redemander d’autres photos plus sérieuses
- hi, hi, hi,…
Puis les mecs se décident à se rhabiller… Elodie jouit de ces dernières nudités. La saison prochaine, les vestiaires du club seront réparés… L’adjointe profite des derniers tous nus pour faire quelques photos « de couples », elle habillée, lui à poil… Certains s’y prêtent de bonne grâce, amusés par cette politicienne locale un rien hystérique, d’autres la remballent, avec plus ou moins de politesse… Mais elle ne s’en formalise pas… Les quelques femmes restantes ne sont pas en reste, et elles tentent aussi quelques clichés du plus bel effet…
Le dernier tout nu, c’est évidemment « son petit garçon… » qui propose à Elodie de poser à son tour avec lui…
Elle est toute rouge sur les quelques photos qu’on lui a fait parvenir et qu’elle cache sous sa pile de petites culottes, dans un tiroir que son mari ne fréquente pas…
« Merdre ! Travailler le dimanche… Et pour ces footeux tout crottés en plus ». C’avait été la réaction d’Elodie quand elle avait compris que ces week-ends étaient foutus… Elodie travaille comme responsable des vestiaires à la piscine de sa toute petite ville. Une piscine fréquentée par de nombreux nageurs des villages alentours.
C’est quand il avait fallu trouver une solution pour le club de foot voisin, dont les vestiaires nécessitaient de grosses transformations, que ceux de la piscine avaient été proposés par l’administration. La piscine comprenait en effet les vestiaires classiques (hommes d’un côté et femmes de l’autre) mais il y avait également deux vestiaires collectifs totalement distincts pour les clubs sportifs. Ce sont ces deux vestiaires qui avaient été réquisitionnés pour le foot, à charge pour Elodie de les maintenir en état.
De plus, les matches se terminaient après la fermeture habituelle de la piscine, elle se retrouvait donc, « pigeonne », à devoir assumer une tâche peu agréable (les joueurs allaient rendre ces vestiaires dégueulasses) dans des horaires contraignants.
Pour lui rendre la vie de ses dimanches un tout petit peu plus sympathique, on lui avait installé un petit local entre les vestiaires et les douches, avec une chaise, une table, un frigo et une machine à café, ainsi qu’une armoire et tout son nécessaire de nettoyage.
Le premier dimanche était arrivé. L’ambiance était calme, les deux équipes s’étaient préparées et avait quitté le bâtiment dans un bruit inhabituel à la piscine, les studs des godasses claquant dans des couloirs plus habitués aux pieds nus.
Elodie entendait au loin les clameurs des supporters, quelques coups de sifflets de l’arbitre, et même quelques jurons de certains joueurs, tout en lisant un magazine qu’elle avait trouvé près des casiers de ses collègues. Ce n’était pas son genre de lecture, mais si l’ambiance était aussi calme à chaque match, elle prévoirait d’autres lectures.
C’est à la mi-temps que tout à commencé. Elle a entendu la porte grincer, puis un joueur la tête basse réintégrer le vestiaire, laissant les premières traces de boue derrière lui. Il est resté prostré quelques minutes assis sur un banc, puis s’est déshabillé. Il s’est retrouvé complètement à poil et s’est à nouveau assis sous les yeux éberlués d’Elodie. Son travail habituel dans les vestiaires « hommes » ne lui laissait pas ces possibilités. Les hommes se déshabillaient et enfilaient leur maillot dans des cabines, ce qui ne permettait pas l’apparition du moindre bout de zizi. Et là, voilà qu’un mec se dessapait sans la moindre pudeur et s’exposait ensuite sans la moindre retenue. Il attrapa une serviette dans son sac et passa devant Elodie pour se rendre aux douches en lui adressant un petit sourire triste… La douche dura de longues minutes. Puis, il reprit sa serviette et Elodie eut la surprise de le voir s’approcher d’elle puis d’entamer la conversation, le zizi bien en évidence ! Il lui raconta combien il était déçu par son match, combien il était triste d’avoir été remplacé, combien le foot était important pour lui et combien il espérait se réaliser dans ce sport. Être remplacé alors que le foot était toute sa vie, le rendait complètement malheureux. Elodie vit le petit garçon triste à côté d’elle. Elle faillit prendre ce petit garçon triste dans ses bras, mais la vue de cette queue poilue d’une quinzaine de centimètres au moins qui se balançait entre ses guibolles, la ramena à la réalité. Ce n’était pas un petit garçon, mais un homme bien couillu et qui exposait sa couillitude qui se trouvait en face d’elle. Pour la pauvre Elodie, la situation apparaissait un rien surréaliste…
Le mec n’avait pas encore pris la peine de se rhabiller, quand elle entendit de nouvelles clameurs. Le match était terminé, et les deux équipes revenaient. Elle jeta un regard affolé vers le mec nu, craignant qu’ils ne soient vus ensemble dans cette situation saugrenue. Mais le mec, lui, ne semblait pas s’en inquiéter. Et les premiers joueurs rentrèrent. Sales. Très sales… La boue se décollait de leurs chaussures de foot pour maculer les couloirs, leur donnant un aspect qu’elle n’avait jamais connu. Une lueur de désespoir brilla dans ses yeux… Elle sentit les larmes au bord de ses paupières… Mais ces deux hordes de guerriers, certains en vert sous la boue, d’autres, probablement en bleu sous une couche semblable, la détournèrent rapidement de ce découragement. Elle assista à une vitesse étonnante à un strip-tease collectif, très peu académique, mais qui s’avéra être total… Plus d’une vingtaine de mecs, répartis équitablement entre les deux vestiaires, se retrouvaient les fesses et la bite à l’air, sans le moindre complexe… Elodie aperçut au milieu de ces braillards dégueulasses son petit garçon à elle, tout propre, et donc un rien paradoxal… Ces mecs nus et boueux passèrent tous devant Elodie pour se rendre à la douche, d’où elle entendit éclats de voix, parfois salaces et fous rires. Pendant qu’ils étaient sous la douche, Elodie rencontra la surprise suivante… le débarquement de spectateurs et de spectatrices dans les vestiaires. Elle voulut d’abord faire barrage, mais elle se rendit rapidement compte que cela n’aurait guère de sens. Cette intrusion semblait normale et pas du tout incongrue ! Et les mecs tout propres de sortir de leur douche et de se s’exposer sans la moindre retenue… Sous le regard très intéressés des spectatrices. Parce que si les hommes présents parlaient foot, félicitaient, critiquaient, bref, comme ils disent, refaisait le match, les femmes elles, sous une apparence décontractée, n’en rataient pas une miette… C’était probablement pour elles la partie la plus intéressante du match… Puis, ils ont remballé « leur matériel » se sont rhabillés et tous se sont taillés, sauf « le petit garçon » et l’entraîneur qui ont eu la gentillesse de demander à Elodie si elle s’en sortirait. En jetant un regard circulaire autour d’elle, Elodie constata le champ de bataille, et la lourdeur de la tâche qui l’attendait. Elle poussa un soupir de découragement qu’ils ne purent que constater. Ils auraient bien donné un coup de main, mais ils étaient tous les deux pressés. Un conseil salvateur cependant.
- Vous avez bien un tuyau d’arrosage, non ? Un premier passage avec le boyau et le plus gros devrait être parti…
L’idée était bonne, et quand ils sont partis, Elodie a empoigné le flexible et arrosé tout le vestiaire, constatant avec satisfaction que l’eau emportait l’essentiel sur son passage… un bon coup de raclette acheva le travail… ça n’avait finalement pas pris trop de temps…
Quand elle avait raconté sa journée à son mari, celui-ci n’avait pas trop apprécié que ces mâles exhibent leurs quéquettes à sa femme. D’autant plus que lui était un peu chétif, et relativement mal achalandé dans le pantalon… Par contre, quand ses copines avaient écouté son histoire, ce sont plutôt des exclamations d’envie qu’elle avait entendues. Et les copines de tenter de se faire une petite place pour elles aussi assister au spectacle… Ce qui ne posait évidemment pas de problèmes, puisque ces après-matches dans les vestiaires semblaient être résolument portes ouvertes. Et les nanas de prendre rendez-vous pour les prochains week-ends !
Elodie qui ne comprenait rien au foot avait cependant appris que les équipes jouaient une fois sur leur terrain et une autre fois sur le terrain d’un adversaire. À l’heure des matches de ce qu’elle allait dorénavant appeler son équipe, quand cette dernière n’était pas là, c’était les scolaires qui jouaient. Les scolaires étaient des jeunes de 16 et 17 ans.
Avec ces jeunes, lors du premier match, le rituel avait démarré de la même façon. Les deux équipes arrivaient, et ils se mettaient en tenue pour le match. Elle était ensuite tranquille pendant toute la durée du match, les jeunes n’ayant pas le droit de revenir dans les vestiaires à la mi-temps. Au retour, c’était également la douche. Mais si pour les hommes, la bistouquette à l’air devant ces dames semblait de mise avec une belle évidence, cela paraissait moins évident pour ces tout jeunes hommes. La présence d’Elodie semblait les ennuyer davantage. C’était l’engueulade de l’entraîneur qui les avait houspillés pour qu’ils accélèrent la cadence, qui avait eu raison de leurs vêtements souillés par la boue. Ils s’étaient eux aussi retrouvés tout nus, mais beaucoup plus pudiques que leurs ainés, tentant tant bien que mal de cacher leurs sexes. La douche leur avait permis d’extérioriser leur gêne, voire de la surmonter, et c’est déjà beaucoup plus à l’aise qu’ils étaient revenus, propres. Propres et même excités pour certains… Si l’embarras de se retrouver nus en présence d’une dame, avait plutôt eu tendance à mettre en berne leurs kikis, le retour et leur timidité mise à mal par l’effet de groupe, qui pour des jeunes mecs avait plutôt tendance à exalter leur virilité, et bien cette virilité se retrouvait véritablement exaltée pour certains d’entre eux… Ce qui paradoxalement les gênait à nouveau, d’autant plus que les regards appuyés des camarades, voire leurs remarques salaces ne pouvaient qu’accentuer leur trouble…
Elodie avait passé un dimanche bien différent du précédent, mais elle y avait finalement trouvé son compte également… Les jeunes bites rivalisaient finalement avec les bites plus adultes, mais les attitudes différentes selon les âges lui permettaient d’en apprendre beaucoup sur la gent masculine. Ce n’est ni son frère, ni son père, ni son cousin, et pas non plus son homme qui lui auraient permis d’imaginer de telles attitudes… Voire d’en rêver… Parce que ces corps nus qu’elle croisait au boulot, ça commençait à la faire fantasmer… La vie valait la peine d’être vécue, et peut-être différemment de ce qu’elle avait imaginé jusqu’à présent… Même si ces hommes nus n’avaient rien manifesté de particulier qui soit particulièrement érotique, les situations dans lesquelles elle avait été mise, érotisaient pour elle-même l’ambiance du vestiaire.
Et les dimanches se suivirent, se ressemblant finalement assez… Seule l’équipe adverse changeait d’une fois à l’autre. Elle avait d’ailleurs décidé deux choses : d’une part d’aller voir dans cette équipe s’il n’y avait pas de physique particulièrement intéressant, surprenant voire rigolo, et d’autre part de bien observer les physiques de ceux du coin. Certains parce qu’ils étaient plus mignons que d’autres, et pour les autres, parce que dans une petite ville comme la sienne, les gens se connaissaient davantage. Et puisque ces hommes se baladaient la biroute à l’air sans vergogne et sans pudeur, elle regardait avec plaisir, espérant croiser ces mecs en d’autres occasions, à la grande surface ou à la boulangerie du quartier par exemple. Ou pour pouvoir raconter aux copines.
Parce que les copines qui avaient manifesté avec beaucoup d’entrain leur volonté d’assister au spectacle, se retrouvaient moins fières de passer à l’acte…
- Mais moi, je connais untel ou untel… Qu’est-ce que je vais dire, qu’est-ce que je vais faire si je le croise tout nu… Je crois que je serai encore plus gênée que lui !
Elodie passaient donc ces dimanches seule dans son vestiaire… Seule avec ses hommes nus. Elle avait sympathisé avec le moins bon footballeur d’entre eux, puisqu’il continuait à revenir à chaque mi-temps. À chaque fois, il se foutait complètement à poil, puis il venait cause avec lui… Au début, elle était assise, et lui restait debout… ce qui la troublait plus encore, puisqu’elle avait les yeux quasi au niveau de sa queue… queue, qui entre parenthèses, était parmi les plus longues et les plus épaisses des différentes équipes qu’elle avait pu épier ! Quand il arrivait, elle se levait maintenant, et ils restaient là, tous les deux, debout, à siroter un café qu’elle lui proposait, elle habillée, lui tout nu.
- Son petit garçon, comme elle disait à ses copines…
- Oui, mais avec une grosse queue… qu’elles répondaient avec gourmandise…
Son petit garçon qu’elle devait envoyer à la douche sinon il trainait et se refroidissait… Même quand il était sous la douche, il continuait à lui parler. Et comme elle ne comprenait pas, elle s’était approchée de la salle, puis s’était appuyée sur le chambranle de la porte pour continuer la conversation. Et elle avait admiré cet homme bien bâti qui faisait mousser le gel douche sur son corps, sur ses muscles, dans ses cheveux, sur ses fesses, sur son sexe…
Puis, les autres débarquaient et c’était plein de biroutes qui voltigeaient dans tous les sens, et les autres femmes qui venaient admirer…
Et puis tous partaient la laissant seule avec la boue, qu’elle faisait maintenant déguerpir à chaque fois avec la lance d’arrosage.
Une semaine les hommes, les vrais, une semaine les plus jeunes qui pour l’équipe du coin s’étaient habitués à sa présence. Habitués à sa présence, cela signifiait pour certains, ne plus tenir compte de sa présence, et pour d’autres, majoritaires, en tenir compte davantage, et profiter de cette présence féminine pour apprécier l’expérience de l’exhibition virile… Pour l’autre équipe, c’était à chaque fois l’angoisse de se mettre nu avec le risque que la dame ne voit les zizis, et pour la dame, justement, le plaisir un rien pervers de se poster justement bien en évidence, pour les gêner un peu…
Et l’année s’était écoulée jusqu’à la fin du printemps. Les terrains s’asséchaient peu à peu, la boue était moindre, mais cela nécessitait malgré tout le tuyau à chaque fois. Et puis, alors qu’il ne restait que deux matches, elle avait senti une ambiance particulière… S’ils gagnaient cette fois, ils pourraient être champions… Et donc, ce serait la fête…
Et c’est ce qui s’était passé. Son petit garçon n’était pas revenu cette fois. Elodie avait appris que, comme d’habitude, il n’avait joué que la première mi-temps, mais cette fois, il avait voulu rester avec son équipe, pour l’encourager et participer à la fête…
Et ils ont gagné… 4-0. Elodie s’en fout du foot, mais c’est un score dont elle se souviendra toujours… Et les hommes sont revenus, et ils se sont foutus à poil, puis les supporters ont débarqués, plus nombreux que d’habitude. Plus de femmes aussi… Et parmi elles, l’adjointe au maire, qui semblait beaucoup s’amuser de toutes ces nudités mâles qui l’entouraient… Et comme ils avaient gagné, les bouteilles de champagne pétaient. Et comme ils avaient gagné et que quand on gagne on exagère toujours un peu, ils avaient sauté dans la piscine (heureusement après la douche !), bien que le contrat entre le club et la mairie, propriétaire de la piscine, ait été clair. Mais sans doute que l’adjointe au maire allait couvrir cela… Et les hommes de jouer tout nu dans la piscine, et l’adjointe au maire d’apprécier davantage. Et de demander à l’équipe de poser avec elle dans le plus simple appareil :
- Je sais qu’on a déjà fait des photos au terrain, mais j’aimerais encore avoir quelques souvenirs… des vestiaires… minaudait-elle.
Et les mecs, de démontrer leur bonne volonté et de se rassembler autour d’elle. Et elle de ne plus se sentir, entourée de cette petite quinzaine de mecs à poil… Et de déjà imaginer les commentaires qu’elle fera à ces copines quand elle montrera ces photos… Et la photographe présente de mitrailler…
- J’en voudrais quelques unes où vous cachez vos… pénis… hi, hi, hi ! Parce que je voudrais mettre une de ces photos dans mon bureau… mais ce sera déjà assez coquin… sans… ça !
Et la plupart de s’exécuter, sauf l’un ou l’autre qui décide de jouer plus encore l’exhibitionniste. Et la photographe de le remarquer. Et l’adjointe au maire de redemander d’autres photos plus sérieuses
- hi, hi, hi,…
Puis les mecs se décident à se rhabiller… Elodie jouit de ces dernières nudités. La saison prochaine, les vestiaires du club seront réparés… L’adjointe profite des derniers tous nus pour faire quelques photos « de couples », elle habillée, lui à poil… Certains s’y prêtent de bonne grâce, amusés par cette politicienne locale un rien hystérique, d’autres la remballent, avec plus ou moins de politesse… Mais elle ne s’en formalise pas… Les quelques femmes restantes ne sont pas en reste, et elles tentent aussi quelques clichés du plus bel effet…
Le dernier tout nu, c’est évidemment « son petit garçon… » qui propose à Elodie de poser à son tour avec lui…
Elle est toute rouge sur les quelques photos qu’on lui a fait parvenir et qu’elle cache sous sa pile de petites culottes, dans un tiroir que son mari ne fréquente pas…
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