Sa brosse à dent est chez moi.
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-06-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Sa brosse à dent est chez moi.
C'est mon premier dimanche dans la ville. Je n'y connais personne, Alors je me balade le nez en l'air ce qui me permet de remarquer une corniche sous un balcon et une femme qui se fait mettre un morceau de phallus insoupçonnable. Ça me fait penser à mon ex, celle que j'ai laissée au pays, qui baise si bien, qui aimait me sucer par gourmandise et se faire mettre devant ou derrière à son gré . Maintenant il ne me reste que ma main et ce n'est pas réjouissant.
Je passe devant un café, j'y entre, au fond j'aperçois une rousse éclatante. Je vais m’asseoir en face d'elle à le même table. Elle me regarde d'un air sombre. Je vais me faire jeter, ça ne manque pas... Dès que je lui dit bonjour :
- Ne venez pas me raconter de salades, vous êtes tous les même avec vos bidules.
- Je n'ai pas de bidule, je venais simplement vous dire que vous étiez belle et désirable.
- C'est bien ce que je dis vous venez pour des bricoles.
- Vous dire que vous êtes jolie, adorable avec vos yeux verts, votre visage de madonne, et vos cheveux roux, c'est des bêtises ?
Je lui prends la main en parlant, le plus fort est qu'elle me laisse faire. Je vais en profiter en m’asseyant à ses cotés. Je passe un bras derrière son cou, prends son menton dans une main pour lui tourner la tête. Je pose ma bouche sur la sienne. Je m'attends à être jeté. Sa bouche s'ouvre pour que nos langues fassent connaissance.
Je ne peux pas lui toucher la poitrine car des gens nous regardent. Alors, comme il y a une nappe, je peux poser ma main sur son genou. Je m'aperçois qu'elle porte une mini jupe en jean qui n'arrive qu'à mi cuisses. Sa peau douce donne l'envie d'aller visiter le haut. Je la fais languir en allant doucement, très doucement vers son entrejambes. J'y trouve un string qui tient plus d'un rien que d’un slip. Je n'ai aucunes difficultées pour arriver sur un bouton bien gonflé. Elle tressaille quand j'arrive sur son sexe. Ses jambes sont bien ouvertes, je peux facilement la caresser et de ce fait, la masturber. Son seul réflexe est de m'embrasser plus fort. Je la sens au moment de son orgasme. Elle ne m'a même pas touché la bite. Je lui demande de venir chez moi, je n'habite pas loin. Décidée elle me suit dans le café pour venir chez moi.
Là, changement de personnage : elle n'est plus réservée. C'est une fille libérée qui est devant moi. Elle m'embrasse la première, me sort la queue, la branle avec science. Elle s’arrête, le temps pour nous d'être nus. Pas de temps à perdre en déshabillages savants. Nous sommes vite au lit.
Elle me donne son sexe que je prends avec la bouche. Sa cyprine est agréable, je la lèche en entier avant de me fixer sur son clitoris et son puits où j'entre ma langue. Encore une fois elle se laisse aller dans une jouissance parfaite d'après ce qu'elle en dit. J'ai à peine le temps de lui lécher le cul qu'elle me fait monter vers elle . Je suis son mouvement, elle ne demande que la plus simple des chose :
- Baise moi...
- Je t'enculerai après ?
- Bien sur j'aime, je voudrai te sucer de suite après.
- Si je bande encore, avec plaisir.
Je suis entre ses jambes, elle prend ma bite doucement, comme un objet fragile, la branle un peu pour la mettre ensuite à l'entrée de sa grotte. Nous faisons le même mouvement, je suis au fond de son ventre, elle gémit des ouis, c'est bon, encore, oui, baise moi... Le tout s'arrêtant quand elle crie : JE JOUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIS.
Je n’en suis pas à se point je peux encore la lutiner. Je ne me gêne pas pour lui demander de se mettre en position pour que je l'encule. Elle se tourne seule et me fait un clin d'oeil au passage. Elle passe une main entre ses jambes pour récolter son liquide poisseux pour le mettre sur son anus. Je pose ma queue sur elle, j'enfonce à peine : elle avale ma bite aussitôt et ses gémissements de femme en rut reprennent. Si sur le plan sonore ce n'est pas idéal, pour moi c'est encourageant.
Elle connaît un petit truc qui fait une grande différence, elle serre de temps en temps son sphincter pour emprisonner la queue dans son cul. Elle reste immobile comme si elle me massait. Elle me retiens dans son ventre le temps de jouir deux ou trois fois.
Ensuite elle me donne la permission de sortir de ses entrailles. Je reste la queue en l'air : je n'ai pas joui encore. Comme promis elle s'empare de ma pine et la met dans sa bouche. au début elle lèche simplement le gland en me branlant un peu et enfin elle met le tout dans sa bouche. Je vois ses lèvres aller et venir comme un con autour de ma bite. Je l'averti avant d'éjaculer. Elle n'attend que ça. Tout mon foutre change de destination de ma bite à sa bouche et de sa langue dans son gosier.
Nous nous arrêtons, je pense qu'elle va partir mais je me trompe, je baise trop bien paraît-il ! Elle passe la nuit avec moi, comme les suivantes d'ailleurs. La journée elle me fait connaître la ville. Sa brosse à dent est chez moi...
Je passe devant un café, j'y entre, au fond j'aperçois une rousse éclatante. Je vais m’asseoir en face d'elle à le même table. Elle me regarde d'un air sombre. Je vais me faire jeter, ça ne manque pas... Dès que je lui dit bonjour :
- Ne venez pas me raconter de salades, vous êtes tous les même avec vos bidules.
- Je n'ai pas de bidule, je venais simplement vous dire que vous étiez belle et désirable.
- C'est bien ce que je dis vous venez pour des bricoles.
- Vous dire que vous êtes jolie, adorable avec vos yeux verts, votre visage de madonne, et vos cheveux roux, c'est des bêtises ?
Je lui prends la main en parlant, le plus fort est qu'elle me laisse faire. Je vais en profiter en m’asseyant à ses cotés. Je passe un bras derrière son cou, prends son menton dans une main pour lui tourner la tête. Je pose ma bouche sur la sienne. Je m'attends à être jeté. Sa bouche s'ouvre pour que nos langues fassent connaissance.
Je ne peux pas lui toucher la poitrine car des gens nous regardent. Alors, comme il y a une nappe, je peux poser ma main sur son genou. Je m'aperçois qu'elle porte une mini jupe en jean qui n'arrive qu'à mi cuisses. Sa peau douce donne l'envie d'aller visiter le haut. Je la fais languir en allant doucement, très doucement vers son entrejambes. J'y trouve un string qui tient plus d'un rien que d’un slip. Je n'ai aucunes difficultées pour arriver sur un bouton bien gonflé. Elle tressaille quand j'arrive sur son sexe. Ses jambes sont bien ouvertes, je peux facilement la caresser et de ce fait, la masturber. Son seul réflexe est de m'embrasser plus fort. Je la sens au moment de son orgasme. Elle ne m'a même pas touché la bite. Je lui demande de venir chez moi, je n'habite pas loin. Décidée elle me suit dans le café pour venir chez moi.
Là, changement de personnage : elle n'est plus réservée. C'est une fille libérée qui est devant moi. Elle m'embrasse la première, me sort la queue, la branle avec science. Elle s’arrête, le temps pour nous d'être nus. Pas de temps à perdre en déshabillages savants. Nous sommes vite au lit.
Elle me donne son sexe que je prends avec la bouche. Sa cyprine est agréable, je la lèche en entier avant de me fixer sur son clitoris et son puits où j'entre ma langue. Encore une fois elle se laisse aller dans une jouissance parfaite d'après ce qu'elle en dit. J'ai à peine le temps de lui lécher le cul qu'elle me fait monter vers elle . Je suis son mouvement, elle ne demande que la plus simple des chose :
- Baise moi...
- Je t'enculerai après ?
- Bien sur j'aime, je voudrai te sucer de suite après.
- Si je bande encore, avec plaisir.
Je suis entre ses jambes, elle prend ma bite doucement, comme un objet fragile, la branle un peu pour la mettre ensuite à l'entrée de sa grotte. Nous faisons le même mouvement, je suis au fond de son ventre, elle gémit des ouis, c'est bon, encore, oui, baise moi... Le tout s'arrêtant quand elle crie : JE JOUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIS.
Je n’en suis pas à se point je peux encore la lutiner. Je ne me gêne pas pour lui demander de se mettre en position pour que je l'encule. Elle se tourne seule et me fait un clin d'oeil au passage. Elle passe une main entre ses jambes pour récolter son liquide poisseux pour le mettre sur son anus. Je pose ma queue sur elle, j'enfonce à peine : elle avale ma bite aussitôt et ses gémissements de femme en rut reprennent. Si sur le plan sonore ce n'est pas idéal, pour moi c'est encourageant.
Elle connaît un petit truc qui fait une grande différence, elle serre de temps en temps son sphincter pour emprisonner la queue dans son cul. Elle reste immobile comme si elle me massait. Elle me retiens dans son ventre le temps de jouir deux ou trois fois.
Ensuite elle me donne la permission de sortir de ses entrailles. Je reste la queue en l'air : je n'ai pas joui encore. Comme promis elle s'empare de ma pine et la met dans sa bouche. au début elle lèche simplement le gland en me branlant un peu et enfin elle met le tout dans sa bouche. Je vois ses lèvres aller et venir comme un con autour de ma bite. Je l'averti avant d'éjaculer. Elle n'attend que ça. Tout mon foutre change de destination de ma bite à sa bouche et de sa langue dans son gosier.
Nous nous arrêtons, je pense qu'elle va partir mais je me trompe, je baise trop bien paraît-il ! Elle passe la nuit avec moi, comme les suivantes d'ailleurs. La journée elle me fait connaître la ville. Sa brosse à dent est chez moi...
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