Sa langue - histoire érotique

Sa bouche quitte mon sexe. C'était presque trop bon cette langue
sur mes endroits les plus sensibles. En plus ses mains me
caressaient ailleurs, un sein et surtout ses deux doigts dans mon cul
qui allaient et venaient. Je ne savais plus comment me mettre: je
sais que je gémissais, surtout quand je jouissais.
Sa longue chevelure blonde ajoutait un je ne sais quoi à mon
excitation.
Finalement si je me trouve dans cette situation, je l'ai bien cherché.
A dire vrai quand je l'ai vu j'ai cru défaillir, tellement je la trouvais
jolie et excitante. Nos regard se sont croisés. Je ne sais si mon désir
pour elle était visible: je ne pensais qu'à ça. Elle souriait et me
regardait droit dans les yeux. Je voyais sa crinière et ses seins
dessous. je ne pouvais pas voir ses fesses, sinon je crois que je me
serais retrouvé assis d'émotion.
Je me suis approché d'elle et lui ai simplement dit qu'elle était très
belle et désirable. Elle ne baissait pas ses yeux et semblait elle
aussi attirée. Pourtant je crois être un simplement homme normal,
comme il y en a beaucoup.
Eros jouait son rôle et nous rapproche. Les quelques personnes
autour de nous ne se sont même pas aperçus que je l'entraine
dehors, chez moi.
Bien sur nous nous sommes arrêtés en route pour échanger notre
premier baiser. Nos lèvres se touchent à peine quand sa langue, la
première venait envahir ma bouche. Comme des jeunes amoureux
nous nous sommes tenus pas la taille. En arrivant devant chez moi,
encore un baiser nous réunit. Enfin nous sommes dans mon petit
studio. Nos lèvres collées ne peuvent se détacher. Je la tiens par la
taille, elle par les épaules. Je descends jusqu'à ses fesses que je
caresse par dessus sa robe. Elle me laisse faire. Après tout je fais
mon rôle d'homme, puisque c'est moi qui avait commencé.
Je lève le bas de sa robe jusqu'à ses fesses. Enfin je trouve son
string et passe une main dessous pour aller chercher...........je ne
sais quoi, ou le cul ou le reste ou tous les deux à la fois, vas savoir,
je ne m'en souviens même pas.
Par contre je me souviens bien de la suite: nous sommes couchés
sur mon lit, bien blottis. J'ai une main sur un sein et le caresse
comme un petit chat. Sa belle poitrine ne tombe pas d'un pli. J'ai ma
bouche occupée à lui sucer le téton de l'autre seins: je le fais jaillir.
Elle attend son heure. Je descends ma bouche vers son pubis. Ses
mains semblent la guider vers son antre de plaisir. J'arrive juste à la
limite de son sexe. J'aurais pu m'y précipiter et je ne l'ai pas fait. Je
tourne simplement autour. Sa main m'oblige à aller chercher son
petit bouton. A dire vrai il n'était pas si petit que ça: au contraire il
dépasse la moyenne. Pour être plus à mon aise je me tourne et lui
fais écarter les jambes pour passer ma tête. Je m'attarde un peu en
route sur l'entrée de son cul, sur l'entrée de son vagin et enfin
j'arrivais sur son clitoris. Long comme il est, je peux le prendre dans
ma bouche et l'y aspirer. Je le téte tout simplement. Ses mains
appuyent sur ma tête comme pour me dire de continuer. Elle ne dit
pas un mot, seul ses gémissements montrent que je lui donne du
plaisir. Enfin le moment fatidique arrive: elle cri simplement ce que
beaucoup de femme crient: je Jouiiiiiiiiiiiis. Je garde son clitoris dans
la bouche et recommence encore mes sucions. Elle en jouit
plusieurs fois.
Quand je me retourne elle m'embrasse encore comme la première
fois. Elle me demande une simple chose: baises moi. Comme je
bande fortement depuis longtemps, je peux et je veux bien la
satisfaire et jouir d'elle. Elle a encore les jambes ouvertes et elle
m'invite à m'y installer.Je ne veux pas qu'elle me guide: je trouve
aussitôt son vagin et j'y rentre facilement tellement elle mouille. Elle
lève ses jambes et les pose sur mes hanches. Nous ne formons
plus qu'un seul corps. Nos lèvres sont à nouveaux ensembles, bien
soudées. Elle m'accompagne dans ma cadence de baise. Placée
comme elle est, je suis prisonnier de son con. Je suis prêt à jouir en
elle. Pourtant c'est elle qui est prise d'orgasmes multiples qui, il me
semble, n'arrêtent pas une seule seconde: son vagin se contracte
en rythme presque depuis le début.Iil faut croire que ça la fatigue.
Elle descends ses jambes et me demande de sortir. Dommage,
j'étais sur le point de partir moi aussi. Je vais lui en faire le reproche
quand elle me dit j'ai envie de te sucer. Je ne m'attendais pas à une
telle championne du pompier !!
Elle ne me prend pas de suite dans sa bouche: elle me caresse
toute la queue comme pour en prendre possession. Ensuite, elle me
caresse les couilles, m'embrasse le bas ventre, et enfin ouvre sa
bouche. Je pense qu'elle va enfin me prendre: non, elle fait comme
si elle allait me sucer et ne fait que souffler dessus. Elle lèche toute
la longueur de mon vit. elle lèche longtemps, très longtemps. je
m'impatiente. Elle me fait languir. Et enfin arrive le moment que
j'attend: sa bouche ouverte me décalotte tout simplement: C'est au
tour de sa langue à s'enrouler autour de mon gland longtemps,
presqu'à me faire jouir. Elle connait bien les façons de la fellation:
elle me lâche. Elle ne me reprend qu'après m'avoir mis deux doigts,
mouillés par sa cyprine dans le cul et les faire aller et venir, comme
si elle me faisait un sodomie. Enfin elle revient et à nouveau enroule
sa langue sur le bout de ma queue. Enfin elle rentre et ressort ma
pine de sa bouche, et enfin elle se la met à fond dans la bouche. je
crois défaillir de bonheur: ses cheveux ajoute à mon plaisir en
venant s'étaler sur mon ventre. Juste avant de jouir je le lui dit: elle
me garde en elle et reçoit ma décharge qui doit être importante,
puisque quand elle se relève elle a encore du sperme au coin des
lèvres. Elle revient près de moi et m'embrasse encore une fois sur la
bouche: je sens le goût de mon sperme dans sa bouche: ça ne me
dégoute pas, au contraire.
Je recommence mes caresses sur ses seins. elle a simplement
posé une main près de ma queue qu'elle caresse distraitement, on
va dire comme ça. En réalité, elle me caresse tout doucement puis
plus directement jusqu'à me faire bander encore une fois. J'ai affaire
à un madone de la baise.
Cette fois, elle a jouit de ma langue, de ma bite dans le con. Son
seul voeu immédiat est de se faire mettre par derrière. Avant tout
elle me prend encore une fois la queue dans la bouche pour dit-elle
profiter du goût de ma queue et de mon sperme. Enfin elle se relève,
se met de trois quart sur le ventre et ouvre ses fesses. Elle les
mouille avec sa cyprine et me supplie: mets moi la au cul. J'aime
bien enculer les filles, c'est plus serré et plus excitant qu'un simple
con. Comment peut-on se passer de sodomie. même si certaines
femmes hésitent, à tort, elle ne savent pas ce qu'elle perdent.
Ma blonde ne tout cas aime. Elle aime tant que dès que j'ai passé le
sphincter, elle jouit. Petit à petit et lentement pour bien profiter de
son anus, j'entre à fond en elle: mes couilles viennent tout contre
ses fesses. je passe une main vers son clitoris et y trouve la sienne
qui se branle. C'est un sérieuse baiseuse. Elle jouit encore plusieurs
fois: je la sens autour de ma pine.
Epuisés nous nous endormons. Ce n'est qu'au matin que nous
recommençons à nous faire l'amour. Elle baise toujours aussi bien.
Si nous nous revoyons, c'est promis nous baiserons encore plus et
mieux.