Sacré Dorothé 2
Récit érotique écrit par Lancer [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-05-2009 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Sacré Dorothé 2
Il est huit heures du matin quand Dorothée et Hervé rentrent Florent à l'hôpital. Il es t de suite pris en charge par le service. Radios, prises de sang, bref, les examens complets.
-Vous pouvez y aller, dit l'interne, il en a pour la journée. On vous tiendra au courant.
-Soyez sages tous les deux, ironise Florent.
-T'inquiète mon chéri.
-Allez, remet toi vite frangin.
Ils l'embrassent, et se retrouvent dans le hall
-C'est pas vrai, dit une voix, mais c'est Hervé
-Paul, répond-il, que fais-tu là?
-C'est ma nouvelle clinique, répond Paul. Tu as quelqu'un dans le service?
-Ben oui, mon frère, et voici Dorothée, son épouse. Il est à la chambre 201.
Paul prend son portable.
-Marie, c'est Paul. Je tiens a ce que le patient de la chambre 201, soit traité comme un roi.
Merci, on se voit ce soir. Voilà, çà c'est fait. Maintenant, je vous emmène à la maison. Si, si.
Marjorie va être heureuse de te voir. Même Jackie sera contente.
"En plus de le supporter, il va falloir que je supporte ses ex" pense Dorothée.
Ils sont accueillis par Jackie, les bras ouverts.
-Oh mon fils, dit-elle, comment vas-tu? Embrasse moi vite chéri
-Pas trop mal, répond Hervé, et Marjorie, çà va?
-Toujours pareil, elle se prépare. Je vais la chercher.
Marjorie apparait. Dorothée est confuse, honteuse au fond d'elle même. Marjorie est tétraplégique. Elle est sur un fauteuil roulant.
-Mon sauveur, cri-t-elle. Dans mes bras mon amour.
Ils ont le même âge tout les deux.
-Chérie, va cueillir des fleurs pendant que je prépare l'apéritif, dit Paul.
En chemin, Jackie raconte à Dorothée comment Hervé à sauver Marjorie d'une mort certaine, en la tirant de la voie ferré, au risque d'y laisser sa vie.
-A bon, s'étonne Dorothée, il en a jamais parlé, pas devant moi en tout cas.
-Il n'en parle jamais. Mais nous, on ne peut pas oublier ce geste. Il fait parti de nôtre
famille, même si on ne le voit pas souvent.
-Cà m'étonne qu'il n'est jamais rencontré une femme, poursuit Dorothée. Elle serai été
heureuse avec lui.
-Mais il a aimé une fille, comme un fou. Le jour ou il a décidé de lui demandé de sortir
avec lui, la jeune fille s' était mise avec quelqu'un, çà l'a détruit.
-Pourquoi a-t-elle fait çà, demande Dorothée.
-Parce que elle n'en savait rien. Il n'a jamais voulu lui dire de peur de lui briser sa vie.
Quand elles reviennent au salon, Hervé joue aux cartes avec Marjorie. Il l'a taquine, l'a fait rire.
-Tu as encore triché, polisson, dit-elle.
Il lui caresse les cheveux, et l'embrasse tendrement. Dorothée est admirative devant tant de gentillesses à l'égard de cette fille. Tant d'affection, sans jamais se vanter, çà force le respect. Elle sans doute pas, mais Hervé remonte dans son estime.
Le repas se termine vers huit heure. Ils prennent congés, en promettant de revenir. En s'asseyant dans la voiture, la jupe de Dorothée remonte en haut des cuisses. Hervé ne s'en rend pas compte. Ils arrivent à la villa vers dix sept heure. Ils n'ont pas très faim.
-Tu m'en veux toujours, demande Hervé. Je m'en veux d'avoir abusé de la situation.
-Abusé, reprend-elle, tu savais que je pouvais pas me défendre. Tu as profité de moi.
Il me semble encore sentir tes doigts dans mon ventre. Enfin, n'en parlons plus.
Ils vont prendre une douche, et prennent un repas léger. Une fois sorti de table, Dorothée ouvre la fenêtre et scrute le ciel. Hervé s'avance doucement derrière elle. Elle sent son souffle dans son cou.
-C'est qui cette fille avec qui tu voulais sortir?
-Ah, Jackie t'a raconté, répond-il. C'est une période noire de ma vie.
-Florent l'a connaissait?
-Bien sur.
-Je peux savoir qui c'était. Enfin, si tu veux.
Le silence s'installe. Dorothée ne sait rien de cette histoire. Après une courte hésitation...
-C'était toi Dorothée, c'était toi. Je monte me coucher, bonne nuit.
Dorothée met sa main devant son visage.
"C'est pas vrai, se dit-elle, mon dieu".
Des larmes perlent sur ses joues. Elle a l'impression d'être passée à côté de quelque chose.
-Attend, dit-elle, vient.
Hervé s'avance et pose une main sur son épaule. Elle la sienne par dessus.
-Pourquoi, dit Dorothée aux bords des larmes, pourquoi. Serre moi, s'il te plait.
Il passe un bras autour de sa taille.
-Tu me pardonne maintenant.
-Bien sur que je te pardonne.
Une main glisse sous le pull, entre les cuisses.
-Mais tu es toute nue, remarque-t-il. Tu veux que je te refasse le coup de la barrière?
-Toute les nuits je pense à cette journée, poursuit Dorothée. Je n'ai jamais joui comme
cet après midi là. Vas-y enfoiré, caresse moi de partout. tu sais que j'aime me faire
doigter, hein? Regarde comme tu me fais mouiller.
Hervé joue avec les lèvres humides, fait tourner un doigt sur le clitoris sorti de sa capuche, et pénètre la fente avec deux autres doigts. Dorothée sent le désir monter en elle. Elle ferme la fenêtre, ôte son pull et sa jupe.
-Tire moi, là, sur la moquette, s'il te plait.
Hervé baisse son caleçon. Ils sont nus tout les deux. Ils roulent au sol, les corps s'enlacent, les langues se fouillent, se nouent entre elles. Dorothée sent le membre contre ses cuisses et sa chatte. Elle glisse une main entre eux, et lui saisit le sexe.
-La nature à l'air de t'avoir gâté salaud, jubile-t-elle. Je sens que je vais me régaler.
Elle se porte à la hauteur de la queue de son beau frère, et enroule le gland entièrement décalotté autour de sa langue. Elle fait rouler les testicules assez violemment, entre ses doigts.
-Aie, aie, sursaute Hervé, doucement, c'est sensible. Tu vas voir quand je vais te le mettre,
salope.
-Il faut bien que je me venge, répond-elle. Et moi, tu vas voir comme je vais te faite pleurer
la queue. Tu vas me supplier d'arrêter.
Dorothée enjambe Hervé, et guide sa bite contre sa chatte. Elle s'y empale dessus en poussant un cri de plaisir.
-Ha, ha, nique moi, gémit-elle, je suis en manque en ce moment.
C'est sur, Dorothée est en chaleur, Hervé le sait. Elle ne va pas tenir longtemps. Il sent la mouille couler sur ses couilles.
-Enculé, hurle-t-elle, tu me maques salaud. Tu me fais jouir, ha..ha oui que c'est bon.
vas-y, bourre moi, mon bouton est en feu.
Hervé arrive à se maitriser. Il sait que la nuit va être longue.
-Tu aimes la queue, hein? Ironise Hervé. Tu en veux encore.
-Tu le sais salaud, vas-y, donne moi .
-Tu seras sage, obéissante, demande -t-il.
-Tout ce que tu voudras mon amour, mais s'il te plait, met moi un coup de queue. Après,
je te taillerai une pipe, tu m'en diras des nouvelles.
Pendant une bonne partie de la nuit, Dorothée va s'abandonner corps et âmes. Elle va jouir comme jamais, hurler de plaisir. Elle est à la merci de son beau frère. Elle va sucer, se faire niquer, sodomiser. C''est épuisée, les yeux cernés, qu'elle s'endort dans les bras de son amant.
Dorothée se réveille vers neuf heure du matin. Elle descend au salon, Hervé est appuyé à la fenêtre. C'est une belle journée qui s'annonce. Dorothée ouvre son peignoir, et se colle contre lui. Elle le prend par la taille, et plonge ses mains dans le caleçon. Elle fait rouler les testicules entre ses doigts, caresse le gland décalotté. Elle le branle doucement.
-Tu veux que je te raconte ce qui m'est arrivé, un après midi. J'étais appuyée cotre
une barrière, et ............
-Vous pouvez y aller, dit l'interne, il en a pour la journée. On vous tiendra au courant.
-Soyez sages tous les deux, ironise Florent.
-T'inquiète mon chéri.
-Allez, remet toi vite frangin.
Ils l'embrassent, et se retrouvent dans le hall
-C'est pas vrai, dit une voix, mais c'est Hervé
-Paul, répond-il, que fais-tu là?
-C'est ma nouvelle clinique, répond Paul. Tu as quelqu'un dans le service?
-Ben oui, mon frère, et voici Dorothée, son épouse. Il est à la chambre 201.
Paul prend son portable.
-Marie, c'est Paul. Je tiens a ce que le patient de la chambre 201, soit traité comme un roi.
Merci, on se voit ce soir. Voilà, çà c'est fait. Maintenant, je vous emmène à la maison. Si, si.
Marjorie va être heureuse de te voir. Même Jackie sera contente.
"En plus de le supporter, il va falloir que je supporte ses ex" pense Dorothée.
Ils sont accueillis par Jackie, les bras ouverts.
-Oh mon fils, dit-elle, comment vas-tu? Embrasse moi vite chéri
-Pas trop mal, répond Hervé, et Marjorie, çà va?
-Toujours pareil, elle se prépare. Je vais la chercher.
Marjorie apparait. Dorothée est confuse, honteuse au fond d'elle même. Marjorie est tétraplégique. Elle est sur un fauteuil roulant.
-Mon sauveur, cri-t-elle. Dans mes bras mon amour.
Ils ont le même âge tout les deux.
-Chérie, va cueillir des fleurs pendant que je prépare l'apéritif, dit Paul.
En chemin, Jackie raconte à Dorothée comment Hervé à sauver Marjorie d'une mort certaine, en la tirant de la voie ferré, au risque d'y laisser sa vie.
-A bon, s'étonne Dorothée, il en a jamais parlé, pas devant moi en tout cas.
-Il n'en parle jamais. Mais nous, on ne peut pas oublier ce geste. Il fait parti de nôtre
famille, même si on ne le voit pas souvent.
-Cà m'étonne qu'il n'est jamais rencontré une femme, poursuit Dorothée. Elle serai été
heureuse avec lui.
-Mais il a aimé une fille, comme un fou. Le jour ou il a décidé de lui demandé de sortir
avec lui, la jeune fille s' était mise avec quelqu'un, çà l'a détruit.
-Pourquoi a-t-elle fait çà, demande Dorothée.
-Parce que elle n'en savait rien. Il n'a jamais voulu lui dire de peur de lui briser sa vie.
Quand elles reviennent au salon, Hervé joue aux cartes avec Marjorie. Il l'a taquine, l'a fait rire.
-Tu as encore triché, polisson, dit-elle.
Il lui caresse les cheveux, et l'embrasse tendrement. Dorothée est admirative devant tant de gentillesses à l'égard de cette fille. Tant d'affection, sans jamais se vanter, çà force le respect. Elle sans doute pas, mais Hervé remonte dans son estime.
Le repas se termine vers huit heure. Ils prennent congés, en promettant de revenir. En s'asseyant dans la voiture, la jupe de Dorothée remonte en haut des cuisses. Hervé ne s'en rend pas compte. Ils arrivent à la villa vers dix sept heure. Ils n'ont pas très faim.
-Tu m'en veux toujours, demande Hervé. Je m'en veux d'avoir abusé de la situation.
-Abusé, reprend-elle, tu savais que je pouvais pas me défendre. Tu as profité de moi.
Il me semble encore sentir tes doigts dans mon ventre. Enfin, n'en parlons plus.
Ils vont prendre une douche, et prennent un repas léger. Une fois sorti de table, Dorothée ouvre la fenêtre et scrute le ciel. Hervé s'avance doucement derrière elle. Elle sent son souffle dans son cou.
-C'est qui cette fille avec qui tu voulais sortir?
-Ah, Jackie t'a raconté, répond-il. C'est une période noire de ma vie.
-Florent l'a connaissait?
-Bien sur.
-Je peux savoir qui c'était. Enfin, si tu veux.
Le silence s'installe. Dorothée ne sait rien de cette histoire. Après une courte hésitation...
-C'était toi Dorothée, c'était toi. Je monte me coucher, bonne nuit.
Dorothée met sa main devant son visage.
"C'est pas vrai, se dit-elle, mon dieu".
Des larmes perlent sur ses joues. Elle a l'impression d'être passée à côté de quelque chose.
-Attend, dit-elle, vient.
Hervé s'avance et pose une main sur son épaule. Elle la sienne par dessus.
-Pourquoi, dit Dorothée aux bords des larmes, pourquoi. Serre moi, s'il te plait.
Il passe un bras autour de sa taille.
-Tu me pardonne maintenant.
-Bien sur que je te pardonne.
Une main glisse sous le pull, entre les cuisses.
-Mais tu es toute nue, remarque-t-il. Tu veux que je te refasse le coup de la barrière?
-Toute les nuits je pense à cette journée, poursuit Dorothée. Je n'ai jamais joui comme
cet après midi là. Vas-y enfoiré, caresse moi de partout. tu sais que j'aime me faire
doigter, hein? Regarde comme tu me fais mouiller.
Hervé joue avec les lèvres humides, fait tourner un doigt sur le clitoris sorti de sa capuche, et pénètre la fente avec deux autres doigts. Dorothée sent le désir monter en elle. Elle ferme la fenêtre, ôte son pull et sa jupe.
-Tire moi, là, sur la moquette, s'il te plait.
Hervé baisse son caleçon. Ils sont nus tout les deux. Ils roulent au sol, les corps s'enlacent, les langues se fouillent, se nouent entre elles. Dorothée sent le membre contre ses cuisses et sa chatte. Elle glisse une main entre eux, et lui saisit le sexe.
-La nature à l'air de t'avoir gâté salaud, jubile-t-elle. Je sens que je vais me régaler.
Elle se porte à la hauteur de la queue de son beau frère, et enroule le gland entièrement décalotté autour de sa langue. Elle fait rouler les testicules assez violemment, entre ses doigts.
-Aie, aie, sursaute Hervé, doucement, c'est sensible. Tu vas voir quand je vais te le mettre,
salope.
-Il faut bien que je me venge, répond-elle. Et moi, tu vas voir comme je vais te faite pleurer
la queue. Tu vas me supplier d'arrêter.
Dorothée enjambe Hervé, et guide sa bite contre sa chatte. Elle s'y empale dessus en poussant un cri de plaisir.
-Ha, ha, nique moi, gémit-elle, je suis en manque en ce moment.
C'est sur, Dorothée est en chaleur, Hervé le sait. Elle ne va pas tenir longtemps. Il sent la mouille couler sur ses couilles.
-Enculé, hurle-t-elle, tu me maques salaud. Tu me fais jouir, ha..ha oui que c'est bon.
vas-y, bourre moi, mon bouton est en feu.
Hervé arrive à se maitriser. Il sait que la nuit va être longue.
-Tu aimes la queue, hein? Ironise Hervé. Tu en veux encore.
-Tu le sais salaud, vas-y, donne moi .
-Tu seras sage, obéissante, demande -t-il.
-Tout ce que tu voudras mon amour, mais s'il te plait, met moi un coup de queue. Après,
je te taillerai une pipe, tu m'en diras des nouvelles.
Pendant une bonne partie de la nuit, Dorothée va s'abandonner corps et âmes. Elle va jouir comme jamais, hurler de plaisir. Elle est à la merci de son beau frère. Elle va sucer, se faire niquer, sodomiser. C''est épuisée, les yeux cernés, qu'elle s'endort dans les bras de son amant.
Dorothée se réveille vers neuf heure du matin. Elle descend au salon, Hervé est appuyé à la fenêtre. C'est une belle journée qui s'annonce. Dorothée ouvre son peignoir, et se colle contre lui. Elle le prend par la taille, et plonge ses mains dans le caleçon. Elle fait rouler les testicules entre ses doigts, caresse le gland décalotté. Elle le branle doucement.
-Tu veux que je te raconte ce qui m'est arrivé, un après midi. J'étais appuyée cotre
une barrière, et ............
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