Sacré Dorothée
Récit érotique écrit par Lancer [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-04-2009 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Sacré Dorothée
Comme prévu, Dorothée, belle brune de vingt et un ans, amène son jeune frère Dan, âgé de quinze ans, passionné de cyclisme, voir l'arrivée de l'étape. Son mari, Florent, âgé de vingt cinq ans, est resté à la villa, pour faire la sieste. Il doit être hospitalisé demain pour une opération à la jambe, suite à un accident. Il a demandé à Hervé, son frère ainé âgé de vingt neuf ans, s'il pouvait passé quelques jours à la maison, pendant sa convalescence. Il fait un temps caniculaire. Dorothée est vêtue d'une minijupe et d'un débardeur, Dan, d'un bermuda et d'un sweat.
Dorothée et son frère arrive de bonne heure, pour être en bonne place contre les barrières de sécurité. Dan s'y colle, protégé par sa soeur. Dorothée passe un jambe sur le côté, et pose son pied sur la barrière. En une demi heure, une foule considérable s'est formée derrière eux. Ils sont littéralement plaqués contre le dispositif de sécurité. D'un coup, Dorothée sent une main, apparemment d'homme, se poser sur sa cuisse droite.. D'un mouvement de jambe, elle la repousse. L'assaut se répète deux ou trois fois.
Dorothée, les mains encrées sur la barrière, ne peut guère se défendre. Cette fois, la main se pose sur les fesses, et s'insinue entre les cuisses. Elle avance son bassin pour éviter le contact, en vain. Les doigts écartent le string, et parcourent les lèvres de sa chatte de haut en bas, jusqu'au clitoris.Dorothée se sent prise. Les doigts pénètrent légèrement sa fente. La situation est dangereuse. mais n'est-il pas excitant de vivre dangereusement. Elle ne peut pas se retourner, mais le veut-elle vraiment. Ne préfère-t-elle pas se laisser faire sans savoir. Les lèvres de Dorothée sont de plus en plus humides. L'homme en profite pour ajouter un deuxième doigt, et pénètre la chatte de la jeune femme.
"Quel salaud, pense-t-elle, il a sorti mon bouton. Le bassin de Dorothée ne se dérobe plus. Au contraire, elle cambre ses reins pour mieux se faire prendre. Elle mouille de plus en plus, son clitoris est en feu. Les doigts vicieux commence leur va et vient. Dorothée décale son pied pour s'écarter d'avantage. Sa poitrine durcit. Elle sent le bout de ses seins se tendre sous le débardeur. Elle est entrain de se faire mener vers la jouissance. Sa respiration s'accélère. Elle veut retarder l'échéance, c'est tellement bon. Si bon qu'elle ne peut plus résister, elle joui. Elle profite du passage du peloton, et de la fougue des spectateurs pour hurler son plaisir. Elle parvient à libérer une main, et la porte entre ses cuisses pour retenir les doigts qui la fouille. Mieux, elle les accompagne. Elle sent la cyprine couler sur ses cuisses. Les doigts se retirent. Elle prend un mouchoir pour colmater les fuites.
Les spectateurs se déplacent vers la ligne d'arrivée. Dorothée se retourne.
"Mais qui cela peut-il être"
Vers dix huit heure, elle pose son frère chez ses parents, et rentre chez elle.
-Alors ma chérie, c'était bien demande Florent.
-Super, répond-elle, mais je suis en nage avec cette chaleur. Je vais prendre une douche.
Quand elle revient, les deux frères sont en train de discuter.
-Tiens, le beau gosse, dit Dorothée, çà va.
-Très bien, et toi. Alors, il va falloir me supporter quelques jours.
-C'est pas grave, au contraire, çà nous fait plaisir.
Ils s'embrassent. Dorothée a toujours eu un faible pour son beau frère. Juste avant le mariage, ils avaient faillis avoir une relation. mais la raison l'avait emportée.
-Pendant que tu prépare l'apéritif, je vais prendre une douche, dit Florent.
Hervé mate sa belle soeur. C'est vrai qu'elle est belle, ses cheveux humides tombant sur ses épaules. Elle n'a pas de soutien gorge. Il aperçoit le bout des seins tendre le caraco.
-Tu veux un coup de main, demande Hervé.
-C'est gentil, merci, répond-elle, prépare les glaçons si tu veux.
-Alors, tu as passé un bon après midi avec ton frère.
-Trop de monde, poursuit-elle, çà va que c'était pour lui. J'aurai préféré faire la sieste avec
mon mari.
-A bon, une sieste câline?
-Avant qu'il rentre à l'hôpital, ce serai été bien non?
-Tu as pas tout perdu, dit Hervé, il se passe tellement de chose dans la foule. Il y en
a même qui se font doigter.
Dorothée, dos a lui, marque un temps d'arrêt. Elle ouvre grand les yeux.
"Que veut-il dire, se dit-elle"
Elle se retourne, et aperçoit le sourire en coin de son beau frère. Elle a compris.
-Mon dieu, rougit-elle, rassure moi, c'est pas toi qui a fait çà. Tu aurais pas osé.
-Chut, doucement, dit Hervé, Florent peut nous entendre. je suis désolé, j'ai fais
une bêtise, mais tu étais tellement attirante.
Dorothée s'assied, son visage entre ses mains.
-Si Florent apprend çà. Et dire que tu m'as faite jouir. Tu as abusé de moi.
- T'inquiète pour Florent, il n'en saura rien. Mais tu vois que tu t'es régalé.
-Mais je suis une femme, dit-elle en larmes. Mon corps a réagit. Tu le savais.
Je te le pardonnerai jamais ce que tu m'as fait.
-faisons comme si de rien n'était, poursuit Hervé. Demain je serai parti.
-Non, répond-elle, Florent tient à ce que tu reste, mais ne t'approche pas de moi.
-Qu'est-ce-que vous complotez tout les deux, ironise Florent. Ce que vous allez faire
pendant mon absence. D'être sage, OK?
Ils trinquent tous les trois. Hervé croise le regard de Dorothée.
Dorothée et son frère arrive de bonne heure, pour être en bonne place contre les barrières de sécurité. Dan s'y colle, protégé par sa soeur. Dorothée passe un jambe sur le côté, et pose son pied sur la barrière. En une demi heure, une foule considérable s'est formée derrière eux. Ils sont littéralement plaqués contre le dispositif de sécurité. D'un coup, Dorothée sent une main, apparemment d'homme, se poser sur sa cuisse droite.. D'un mouvement de jambe, elle la repousse. L'assaut se répète deux ou trois fois.
Dorothée, les mains encrées sur la barrière, ne peut guère se défendre. Cette fois, la main se pose sur les fesses, et s'insinue entre les cuisses. Elle avance son bassin pour éviter le contact, en vain. Les doigts écartent le string, et parcourent les lèvres de sa chatte de haut en bas, jusqu'au clitoris.Dorothée se sent prise. Les doigts pénètrent légèrement sa fente. La situation est dangereuse. mais n'est-il pas excitant de vivre dangereusement. Elle ne peut pas se retourner, mais le veut-elle vraiment. Ne préfère-t-elle pas se laisser faire sans savoir. Les lèvres de Dorothée sont de plus en plus humides. L'homme en profite pour ajouter un deuxième doigt, et pénètre la chatte de la jeune femme.
"Quel salaud, pense-t-elle, il a sorti mon bouton. Le bassin de Dorothée ne se dérobe plus. Au contraire, elle cambre ses reins pour mieux se faire prendre. Elle mouille de plus en plus, son clitoris est en feu. Les doigts vicieux commence leur va et vient. Dorothée décale son pied pour s'écarter d'avantage. Sa poitrine durcit. Elle sent le bout de ses seins se tendre sous le débardeur. Elle est entrain de se faire mener vers la jouissance. Sa respiration s'accélère. Elle veut retarder l'échéance, c'est tellement bon. Si bon qu'elle ne peut plus résister, elle joui. Elle profite du passage du peloton, et de la fougue des spectateurs pour hurler son plaisir. Elle parvient à libérer une main, et la porte entre ses cuisses pour retenir les doigts qui la fouille. Mieux, elle les accompagne. Elle sent la cyprine couler sur ses cuisses. Les doigts se retirent. Elle prend un mouchoir pour colmater les fuites.
Les spectateurs se déplacent vers la ligne d'arrivée. Dorothée se retourne.
"Mais qui cela peut-il être"
Vers dix huit heure, elle pose son frère chez ses parents, et rentre chez elle.
-Alors ma chérie, c'était bien demande Florent.
-Super, répond-elle, mais je suis en nage avec cette chaleur. Je vais prendre une douche.
Quand elle revient, les deux frères sont en train de discuter.
-Tiens, le beau gosse, dit Dorothée, çà va.
-Très bien, et toi. Alors, il va falloir me supporter quelques jours.
-C'est pas grave, au contraire, çà nous fait plaisir.
Ils s'embrassent. Dorothée a toujours eu un faible pour son beau frère. Juste avant le mariage, ils avaient faillis avoir une relation. mais la raison l'avait emportée.
-Pendant que tu prépare l'apéritif, je vais prendre une douche, dit Florent.
Hervé mate sa belle soeur. C'est vrai qu'elle est belle, ses cheveux humides tombant sur ses épaules. Elle n'a pas de soutien gorge. Il aperçoit le bout des seins tendre le caraco.
-Tu veux un coup de main, demande Hervé.
-C'est gentil, merci, répond-elle, prépare les glaçons si tu veux.
-Alors, tu as passé un bon après midi avec ton frère.
-Trop de monde, poursuit-elle, çà va que c'était pour lui. J'aurai préféré faire la sieste avec
mon mari.
-A bon, une sieste câline?
-Avant qu'il rentre à l'hôpital, ce serai été bien non?
-Tu as pas tout perdu, dit Hervé, il se passe tellement de chose dans la foule. Il y en
a même qui se font doigter.
Dorothée, dos a lui, marque un temps d'arrêt. Elle ouvre grand les yeux.
"Que veut-il dire, se dit-elle"
Elle se retourne, et aperçoit le sourire en coin de son beau frère. Elle a compris.
-Mon dieu, rougit-elle, rassure moi, c'est pas toi qui a fait çà. Tu aurais pas osé.
-Chut, doucement, dit Hervé, Florent peut nous entendre. je suis désolé, j'ai fais
une bêtise, mais tu étais tellement attirante.
Dorothée s'assied, son visage entre ses mains.
-Si Florent apprend çà. Et dire que tu m'as faite jouir. Tu as abusé de moi.
- T'inquiète pour Florent, il n'en saura rien. Mais tu vois que tu t'es régalé.
-Mais je suis une femme, dit-elle en larmes. Mon corps a réagit. Tu le savais.
Je te le pardonnerai jamais ce que tu m'as fait.
-faisons comme si de rien n'était, poursuit Hervé. Demain je serai parti.
-Non, répond-elle, Florent tient à ce que tu reste, mais ne t'approche pas de moi.
-Qu'est-ce-que vous complotez tout les deux, ironise Florent. Ce que vous allez faire
pendant mon absence. D'être sage, OK?
Ils trinquent tous les trois. Hervé croise le regard de Dorothée.
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