Sacrée collègue

- Par l'auteur HDS Pierrechartreux -
Auteur homme.
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Récit libertin : Sacrée collègue Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-06-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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(9.0 / 10)

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Sacrée collègue
Je suis Pierre et à la retraite depuis 6 mois et n’ai pas revu mes anciens collègues depuis mon départ malgré que mon épouse Elisabeth travaille toujours dans cette entreprise. Je reçois un appel téléphonique d’Estelle qui nous invite le vendredi soir prochain à venir leur rendre visite et à passer le week-end avec elle, son époux Bertrand et leurs 2 enfants. Estelle est la supérieure hiérarchique d’Elisabeth et lorsque j’étais en activité, je l’ai formée à différentes tâches et elle était sous mes ordres. Estelle a 36 ans, mesure 1,60 m, est très active au bureau et paraît tout à fait heureuse et bien dans sa peau.
Je dis à Estelle que je la rappelle pour lui donner notre réponse dans la soirée. Car malheureusement Elisabeth doit se rendre auprès de sa famille à cette même période. Mais elle me dit, fais ce que tu veux, si tu en as envie, vas y. Je rappelle Estelle pour lui dire la situation et qu’étant seul, je préférais reporter. Mais elle insista, me disant qu’elle ne m’avait pas vu depuis un certain temps et que même seul je pouvais venir chez eux. Devant son insistance j’acceptais son invitation.
Le vendredi en fin d’après-midi je passe chez un fleuriste acheter un beau bouquet et à 19 heures je me présente à la porte de leur maison. Un petit coup de sonnette bref et la porte s’ouvre. Estelle entre-ouvre la porte, elle est vêtue d’une jupe noire courte à mi-cuisses et d’un chemisier blanc légèrement transparent. C’est une collègue que j’ai toujours appréciée, pas un canon de beauté mais tout de même très attirante. Je ne lui en ai jamais parlé mais je dois dire que j’ai à maintes reprises fait des rêves érotiques dans lesquels elle était ma partenaire. Je lui fais quatre bises et me risque à lui glisser à l’oreille : tu es toujours aussi séduisante. Elle me regarde, me dit merci c’est gentil, et j’aperçois ses joues toutes rose. Elle me conduit au salon où je salue Bertrand et les enfants.
Pour rester entre adultes, Estelle fait diner ses deux enfants pour ne pas qu’ils veillent trop tard. Puis pendant qu’ils s’amusent un peu et regardent un dvd, nous nous installons chacun dans un fauteuil devant la table basse, Bertrand à la gauche d’Estelle et moi en face d’eux. J’avais emmené deux bouteilles de champagne bien frappées et Bertrand en ouvre une pour l’apéritif. Chacun une coupe à la main, nous trinquons en bavardant du bon vieux temps passé au bureau puis Bertrand nous ressert une nouvelle coupe. Estelle qui d’habitude se limite à un verre, ne refuse pas et le nectar se laisse boire aisément. A la fin du 2ème verre, ses joues se colorent à nouveau joliment d’un beau rose, l’alcool lui va à ravir. Elle sourit, me regarde et j’aperçois juste en face de moi ses jambes et ses cuisses que j’ai si souvent caressées dans mes rêves. Et tout de suite j’ai à nouveau envie d’elle. L’apéritif est maintenant terminé et Estelle demande à Bertrand d’aller mettre les enfants en pyjama, de leur raconter une histoire à chacun et de les coucher. Tout ce petit monde monte à l’étage pour préparer l’endormissement pendant qu’Estelle s’occupe de la logistique du dîner.
Je n’aime pas trop rester à ne rien faire et demande à Estelle ce à quoi que je peux l’aider. Elle me dit de venir dans la cuisine afin de déboucher une bouteille de vin blanc pendant qu’elle prépare les entrées, foie gras et saumon fumé. Ne connaissant pas sa cuisine, je lui demande où se trouve le tir bouchon. Elle s’approche de moi et ouvre le placard et me donne l’ustensile. Sa main touche la mienne et une secousse me parcourt, nous sommes face à face et je lui dis les yeux dans les yeux : tu es terriblement désirable. Elle sourit, son regard ne quitte pas le mien, ses joues sont de plus en plus rouge. Je ne lui laisse pas le temps de réagir et je la prends dans mes bras et l’embrasse sur ses lèvres. Après un timide geste de recul, elle s’abandonne et nos bouches s’unissent goulûment à perdre haleine. Nos lèvres jouent ensemble, j’introduis ma langue et elle me donne la sienne dans un tourbillon d’envie. Nous reprenons nos esprits et dressons la table comme si de rien n’était, juste au moment où Bertrand descend de l’étage.
Le repas commence agréablement, le foie gras est dégusté puis le saumon, je contemple la bouche d’Estelle qui s’entrouvre à chaque bouchée de manière sensuelle et j’ai à nouveau envie d’elle. Malencontreusement ma serviette de table tombe au sol et je me penche pour la ramasser. Et là je vois Estelle face à moi, ayant remonté sa petite jupe, sa main droite se caressant son minou à travers sa culotte en dentelle noire. L’envie de bondir sous la table et de faire moi-même la caresse me prend mais je reste stoïque, Bertrand étant à côté de nous. Nous bavardons gaiement, chacun parlant de tout et de rien. Puis nous dégustons la viande et le fromage. Nous allons passer au dessert quand un des enfants se met à pleurer, Estelle dit à Bertrand de monter et de tenter de le calmer pendant que nous débarrassons et changeons les assiettes. Les va et vient à la cuisine se succèdent, et Estelle me sollicite pour couper la gâteau et ouvrir la 2ème bouteille de champagne. A nouveau seuls dans la cuisine, je lui dit que j’ai vu ce qu’elle s’est fait sous la table et elle me dit que Bertrand entre son boulot, son footing les matins, il ne l’a pas touché depuis trois mois. Elle me regarde et là c’est elle qui se jette sur moi et elle me donne sa bouche en se plaquant contre moi. Je sens la chaleur de son corps à travers sont chemisier, ses têtons dressés sur mon torse et une folle envie monter en moi. Estelle sent mon sexe tendu contre son pubis et pose sa main sur cet objet de désir. Le repas se termine, nous finissons le champagne puis nous reprenons possession des fauteuils du salon. Après un bon café, Bertrand me propose un armagnac pour digérer, Estelle prend une crème de cassis. Nous continuons à converser, Estelle a les joues rose vif, les yeux brillants et elle me provoque en écartant ses cuisses et en me dévoilant sa culotte noire. Le temps passant sans s’en rendre compte, minuit sonne et Bertrand nous dit qu’il va se coucher car il se lève à 6 heures pour aller courir pendant 1 heure et demi. Nous lui souhaitons bonne nuit, Estelle dit qu’il ne faut pas qu’il y ait un tremblement de terre cette cuit car avec le sommeil lourd qu’à Bertrand et l’alcool qu’il a ingurgité, il ne risque pas de s’en apercevoir. Elle me montre ma chambre juste en face de la leur au rez de chaussée. Bertrand est déjà couché et presque déjà endormi, je m’approche d’Estelle, la prend dans mes bras et l’embrasse langoureusement. Puis nous partons dans nos chambres respectives.
Les portes n’étant pas fermées totalement, j’entends Bertrand respirer lourdement ce qui confirme la réflexion d’Estelle sur sa façon de dormir. Par contre elle ne dort pas et je la devine tournant et virant sans trouver le sommeil. Après cette soirée elle m’a laissé dans un état d’excitation extrême et je pense que pour elle c’est identique. Ne dormant toujours à 2 heures, je me lève sans bruit et ouvre la porte de leur chambre. Lui dort comme un rocher et elle se tourne vers la porte. Ils avaient un lit extra large et elle se pousse pour me laisser une place. Je suis nu et me glisse sous le drap, elle a une nuisette en dentelle et pas de sous-vêtement. Immédiatement nos bouches se cherchent, nos lèvres se goûtent, nos langues s’entremêlent et nous restons au moins 10 minutes à nous embrasser. Puis mes mains prennent possession de ce corps que j’ai tant désiré, sa peau est blanche et sucrée. Ses petits seins sont fermes mais très réactifs à mes caresses, les pointes dressées par le désir. Mes mains parcourent ses cuisses, sa croupe, remontent le long du dos et masse sa nuque. Bertrand lui ne bronche pas et ne se rend compte de rien, il vaut mieux. Je sens la chaleur du corps d’Estelle brûlant de désir contre le mien, mon sexe est dressé comme un pieu, elle le prend de sa main droite et commence doucement à le masturber. Ma main descend le long de son ventre et caresse son petite toison, astique son clitoris. Ses jambes s’ouvrent, je pénètre doucement avec un doigt son sexe, allant et venant et je devine ses petits cris retenus. Le mouvement s’accélère et son envie étant tellement forte, elle jouit entre mes mains dans un râle de plaisir. Puis à nouveau nous reprenons nos caresses, sa longue abstinence lui décuple ses fantasmes et elle se met sur moi, prend mon sexe dans sa main et s’empale littéralement dessus. Energiquement mais pas trop pour ne pas réveiller Bertrand, Estelle s’introduit au plus profond d’elle-même mon membre. Elle reste immobile, remplie de moi puis elle part en accélérant à la recherche de sa jouissance. Après de longues minutes de fusion, je sens Estelle jouir abondamment et en même temps je l’emplis de mon sirop. Nous restons un long moment l’un dans l’autre, repus de plaisir puis le réveil indiquant 4 heures je retourne ma chambre.
Dans un demi-sommeil j’entends du bruit et une porte extérieure se fermer. Je ne réagis pas que c’est Bertrand qui vient de partir pour son footing matinal. A peine 5 minutes après, je sens une main enlever le drap et une bouche aspirer mon sexe. Estelle à peine son mari parti, est revenu pleine de désirs inassouvis. Sa bouche est chaude et va et vient sur mon membre qui apprécie cette gâterie et se dresse tel un mât. Elle se met en position et me dit : prends possession de ma chatte et fais moi jouir. Ce minou encore humide au dessus de ma bouche attire mes lèvres tel un aimant, je prends son sexe à pleine bouche, suce et lèche son clitoris et la pénètre de ma langue. Les enfants ne pouvant l’entendre de l’étage, elle se donne sans retenue, pousse des cris et jouit abondamment dans ma bouche. De sentir son plaisir, je jouis à mon tour et inonde sa bouche de mon sperme. Elle me dit : il y a bien longtemps que je n’ai pas aussi joui. Nous avons encore du temps devant nous avant qu’il ne revienne dit elle : fais moi crier de plaisir. Elle se met sur le lit, sur les coudes et les genoux, les jambes écartées et les fesses en l’air et je la pénètre en levrette tout doucement, puis en accélérant le rythme. Elle aime la position, jette son sexe à la rencontre du mien en poussant des grognements. Je la pilonne tel un artilleur, allant au plus profond de son intimité jusqu’à ce que nous explosons de plaisir. Nous glissons sur le flanc, restant en communion puis je me retire, la caresse longuement en l’embrassant tendrement. Elle me dit : te connaissant au bureau, je n’aurais jamais cru cela de toi. Je lui réponds que si je l’avais su avec une telle nature, j’aurais essayé de la connaitre intimement plus tôt.
Elle ne s’était jamais confiée sur sa vie privée au boulot mais elle me dit que Bertrand est le seul homme qu’elle a connu et qu’elle n’a jamais vraiment atteint le 7ème ciel. Il est bien trop conventionnel et sage en amour. Blottie contre moi, elle me dit qu’elle veut essayer la sodomie pour tester et voir si cela lui plait. Je me dis que décidément Estelle me surprend avec son petit air de femme sage et rangée. En ayant envie moi aussi, je ne me fais pas prier. Je la retourne sur le bord du lit à plat ventre, jambes ouvertes et délicatement je pose mon gland sur son anus. Son petit trou étant encore vierge, j’enfonce avec douceur mon pieu raide en elle entièrement. Je vais, je viens lentement mais elle me dit qu’elle trouve cela très bon et me demande de la prendre avec plus de bestialité. J’augmente le rythme et la force des pénétrations, son anus en réclame encore et se jette sur mon sexe. Elle émet des feulements, pousse des cris de bonheur et en même temps ma main droite lui masturbe le sexe tout chaud et humide. Mes coups de boutoir dans son anus associés à mes doigts qui fouillent son intimité, font qu’elle ne tarde pas à prendre son pied. Nous jouissons en communion totale au même instant, totalement rassasiés par cette nuit intense d’amour.
Je me retire et nous restons l’un contre l’autre enlacés. Elle me dit : il faudra que l’on se revoit plus régulièrement. Tu pourrais venir bavarder le mercredi matin quand Bertrand et les enfants ne sont pas là. Je vois d’ici les conversations que nous allons avoir avec les mains. Je lui dis : c’est avec plaisir que je viendrai te voir.
Je lui demande si dans sa jeunesse ou depuis son mariage, elle a pris du plaisir avec une autre femme. Elle me répond que jamais mais qu’elle serait maintenant prête à franchir le pas. Je lui suggère alors de tenter l’expérience en réalisant un de mes fantasmes qui est de voir mon épouse Elisabeth avec une autre femme. Estelle me dit que ce serait plus plaisant car elles se connaissent déjà bien par le milieu professionnel et d’autant plus qu’elle a toujours trouvé Elisabeth belle femme et qu’elle doit être douce. Je lui promets de tout faire pour provoquer une rencontre chez nous, lui donner des conseils pour tenter de séduire Elisabeth et la conquérir. Mais c’est une autre histoire, que je vous conterai ultérieurement.
Après de longs baisers, elle retourne dans la chambre conjugale et un peu plus de 5 minutes plus tard, nous entendons les clés dans la serrure de la porte d’entrée. Bertrand rentre.

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Texte coquin : Sacrée collègue
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