Sacrée collègue : acte 2

- Par l'auteur HDS Pierrechartreux -
Auteur homme.
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Récit libertin : Sacrée collègue : acte 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-06-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Sacrée collègue : acte 2
Nous sommes vendredi matin et je reçois un appel téléphonique de Bertrand l’époux d’Estelle, mon ancienne collègue de 36 ans avec qui j’ai eu une relation torride lors d’un dîner à leur domicile la semaine dernière. Il me dit : bonjour Pierre, excuse-moi de te déranger mais j’ai un service à te demander. C’est les vacances scolaires et les enfants sont chez les grands-parents, moi j’ai mes entrainements en vue d’un marathon et Estelle a un concours à préparer avec une épreuve d’informatique. Elle a quelques lacunes et tu serais sympa si tu pouvais venir lui donner des leçons. Viens avec Elisabeth ton épouse et passez la soirée chez nous.
Je lui dis que comme la dernière fois, mon épouse n’est pas là et que nous pourrions repousser au week-end suivant. Il me dit qu’eux ne sont pas libres et que c’est urgent car les épreuves approchent. Viens quand même tout seul ce soir, notre dernier week-end était très réussi et j’en garde un très bon souvenir. Je lui dis que moi aussi je l’ai très apprécié et que je viendrai avec plaisir. Rendez-vous à 17 heures chez nous car je dois courir avec des potes à 19 heures.
C’est l’été et il fait très chaud, je m’habille en tenue décontractée, bermuda léger et chemisette blanche. Je me dis que le week-end dernier j’avais offert des fleurs aussi cette fois-ci je vais offrir des macarons et un punch maison. Me voici donc parti car j’ai horreur d’être en retard, c’est un manque de correction. Arrivé devant leur porte, je donne un bref coup de sonnette et la porte s’ouvre sur Bertrand qui m’accueille chaleureusement, poignée de main ferme, petite tape sur l’épaule en me disant : bonjour, tu es un vrai pote sur qui on peut compter. Je lui réponds que c’est normal d’aider Estelle après son dernier accueil. Il me dit : viens dans le jardin, nous sommes en train de prendre le soleil. Je traverse la maison, pénètre dans le jardin où elle est allongée sur son bain de soleil. Elle va se lever quand je lui dis de ne pas bouger, elle est vêtue d’un haut de maillot de bain décolleté et d’un pagne haïtien mi-cuisses qui font ressortir sa peau blanche. Je me penche vers elle et lui fais quatre bises très appuyées sur les joues en disant : tu es très belle, tu ressembles à un bouquet de fleurs. Bertrand acquiesce mais lui dit : tu ne vas pas rester dans cette tenue pendant ton cours.
Il fait très chaud et Estelle nous dit de rentrer dans le salon, nous serons mieux pour goûter aux macarons et au punch. Suite à la remarque de Bertrand, elle part se changer dans leur chambre et reviens vêtue d’un tee-shirt rouge moulant et d’une jupe noire courte et fendue devant. Pendant ce temps Bertrand prépare la collation sur la table basse du salon. Bertrand nous sert un punch bien frais mais lui prend un jus d’orange. Je ne prends pas d’alcool car je vais courir bientôt et j’ai une préparation stricte pour mes courses. Estelle est en face de moi, je la soupçonne d’avoir monté ce coup pour me revoir car je la connais et elle n’a pas spécialement de lacunes en informatique. Elle se penche en avant pour prendre un macaron et dans son mouvement, elle écarte un peu ses jambes en me regardant. Je n’en suis pas sûr mais il me semble qu’elle n’a pas mis de petite culotte et que je vois sa toison. Elle met délicatement un macaron entre ses lèvres, le suce de façon suggestive avant de l’aspirer dans sa bouche. Je m’imagine autre chose que ce macaron entre ses lèvres. La chaleur aidant, nous avons terminé notre 1er verre et Bertrand nous en sert un autre en disant : il faut prendre des forces pour la suite. Nous bavardons à bâtons rompus, et sommes inondés des techniques d’entrainements sportifs qui commencent à nous saouler. Nos verres sont vides, il est 18 heures 30 et décidons de commencer le cours. Nous nous installons dans le bureau à côté de leur chambre, chacun sur une chaise côte à côte. Je demande à Estelle ce qu’elle veut que je lui montre et d’emblée elle me dit : je veux voir ton sexe. Il faut dire que la dernière fois elle avait bien pris son pied et moi aussi. Je lui dis d’attendre que Bertrand parte et en attendant je lui explique des raccourcis clavier pour gagner du temps. Elle me frôle mes mollets découverts avec les siens, met sa main sur la mienne sur la souris. Comme la première fois ces simples contacts m’électrisent dans tout mon corps. A 19 heures Bertrand rentre dans la pièce, nous dit qu’il va courir et fait une bise sur les lèvres d’Estelle. J’en ai au moins jusqu’à 21 heures, je te téléphonerai pour te tenir au courant. Nous lui disons : bon courage et lui dit : travaillez bien. Sur ce il part et nous entendons la porte qui se referme. La voiture démarre et à ce moment je sens la main d’Estelle qui ne perd pas de temps et cherche mon sexe.
Je lui dis que son idée de cours d’informatique est très astucieuse mais qu’il va falloir faire un minimum pour éventuellement que Bertrand y croit. Maintenant seuls nous nous mettons debout, serrés l’un contre l’autre et nous partons dans un baiser interminable, goutant et mordillant nos lèvres, mélangeant nos langues dans un tourbillon sensuel. Pendant 10 minutes nous nous excitons mutuellement par nos baisers, sa main déboutonne ma chemisette, masse mon torse puis mes fesses. Je ne suis pas en reste, je passe ma main gauche dans ses cheveux, elle adore et la droite descend et passe par la fente de sa petite jupe noire pour constater effectivement que son joli minou était à tout vent. Je l’effleure légèrement et elle frémit. Je lui dis qu’il serait temps de travailler sa vitesse de frappe au clavier et lui demande de s’installer sur la chaise face au micro-ordinateur. Je lui donne un texte de quatre pages à taper en Word et elle commence sa leçon. Je m’accroupis sous le bureau et me présente face à ses jambes, je caresse ses mollets, les embrasse puis remonte sur ses genoux ronds et mets mes deux mains à la naissance de ses cuisses. Estelle entrouvre ses cuisses pour me faciliter la tâche et mes mains remontent jusqu’à sa toison. Elle sursaute un peu, mais cela lui plait, elle remonte sa jupette et écarte autant qu’elle peut ses cuisses en avançant son bassin vers moi. Je caresse ses lèvres intimes, masse son clito qui répond immédiatement et la pénètre avec un doigt. Son sexe est déjà chaud et humide et le mouvement de mon doigt ne fait qu’empirer la chose. Elle me dit : c’est bon mais passe un autre doigt puis un troisième. Je m’exécute et Estelle lance son bassin sur ma main pour se pénétrer encore plus, sa vitesse de frappe se ralentit. Se sachant seule avec moi dans la maison, elle se lâche et pousse des feulements, des grognements et des cris de plus en plus forts jusqu’à ce qu’elle jouisse dans ma main. Je retire mes doigts tout plein de sa cyprine et lui fait goûter sa liqueur de jouissance. J’approche ma bouche de son sexe et lape son jus, son sirop d’amour, il a un goût légèrement sucré et une odeur délicate. Je me relève, lui prends le visage entre mes mains et lui délivre un baiser passionné en disant : tu m’as manqué, j’avais hâte de te revoir. Elle me répond que depuis une semaine, son corps est en fusion et ce n’est pas Bertrand qui l’a honorée une fois qui a pu calmer ses désirs. Cela lui a paru bien fade.
Nous nous dévêtons totalement, je m’assieds sur la chaise et elle à califourchon sur moi face à moi. Je découvre sa petite poitrine et lui lèche les tétons qui se dressent au garde à vous, ma langue parcourt les lobes de ses seins. Tout son corps frémit alors que mes mains caressent ses fesses fermes. Je risque un doigt dans la fente de son anus et elle ouvre encore plus ses jambes. Je dis à Estelle : mais ma chère nous avons du boulot alors on y va. Elle se retourne face au clavier et recommence sa frappe de caractères. Elle sent mon sexe contre son dos, dressé bien raide et le volcan qui est en elle est loin d’être éteint. Alors elle se soulève légèrement, prend avec sa main droite mon sexe et le met sur son sexe. Et sans attendre elle s’empale dessus au plus profond d’elle, le travail est stoppé mais elle, monte et descend sur ma bite, avec de plus en plus de vigueur et de plus en plus vite. Je sens venir l’extase, elle accélère encore, gémit et pousse des cris rauques et je sens et j’entends qu’elle jouit et à mon tour j’explose en elle. Après un long baiser je lui dis d’arrêter Word et que nous continuerons demain.
Nous retournons nus au salon reprendre des forces, quelques macarons et un verre de punch. Elle aime bien mon punch que j’avais déjà plusieurs fois amené au bureau lors d’arrosages. Son teint rose du à ses trois verres et aux multiples jouissances qu’elle venait d’avoir, sa silhouette mince la font ressembler à une gamine malgré ses 36 ans. Pas rassasiée du tout, elle me dit : suis-moi dans la chambre, à 4 pattes et elle part dans la maison. Je la suis dans la même position, juste derrière elle et cette situation m’excite diablement. Je lui renifle les fesses et passe ma langue sur son petit trou trou. Elle ralentit l’allure et se cambre pour mieux sentir la caresse. Arrivés dans sa chambre nous nous allongeons sur son grand lit où la fois précédente nous avions baisé à côté de Bertrand qui dormait comme un ours qui hiberne. Allongé sur le dos, mon sexe est en totale érection ce qui n’a pas échappé à Estelle. Elle m’embrasse les pieds, remonte le long de mes jambes et se met à lécher mon gland. Sa bouche est chaude, ses petits coups de langue agréables et lorsque elle engloutit mon membre entier, je suis au 7ème ciel. Je lui prends la tête pour ne pas qu’elle se retire mais elle n’en a pas l’intention. Elle me suce, elle me lèche, caresse mes couilles et va et vient sur mon sexe. J’essaye de me retenir le plus possible mais je finis par la remplir de mon sperme. Je la retourne sur le dos, pivote et me lance dans un 69 endiablé. Ce ne sont que coups de langue sur ses lèvres intimes, aspiration de son clito puis ma langue s’introduit dans sa petite caverne humide. Elle serre ses cuisses pour m’emprisonner, puis comme elle se relâche, je la pénètre avec 3 phalanges pendant qu’elle me fait une pipe du tonnerre. Nos souffles sont courts, nous crions de plaisir et nous atteignons le nirvana en totale symbiose. Nous nous faisons à nouveau face, serrés l’un contre l’autre, nos bouches pleines du fruit de notre jouissance et nous nous embrassons tendrement. Estelle me dit : comme c’est bon mais j’ai envie d’autre chose si tu vois ce que je veux dire. Je te veux, défonce moi la chatte. Je ne pense qu’à ça depuis 1 semaine lui dis-je. Je bascule sur elle la queue bien raide, elle écarte ses cuisses et je m’introduis en elle en un mouvement lent mais continu et commence à la labourer à grands coups de sexe.
Son téléphone portable sur la table de chevet se met à sonner et comme Bertrand devait l’appeler, elle reprend sa respiration, prend le combiné et décroche. Effectivement c’est lui, qui lui demande si le travail avance et il lui dit qu’il va rentrer vers 22 heures car il va passer boire un verre chez un copain. La situation est cocasse, tout en étant empalée sur mon sexe, elle répond que nous bossons bien et que je suis très pédagogue. Elle raccroche et me dit : allez allez, mon professeur adoré n’a pas fini son cours et l’élève attend avec impatience. Je reprends mes va et viens, excité par cette situation, allant de plus en plus profond, et lorsqu’elle me dit que ça vient, j’accélère encore la cadence et la violence du pilonnage. Elle me bloque avec ses jambes béantes, son corps est parcouru de soubresauts, elle me griffe le dos, crie comme une diablesse. Elle jouit et je sens sur ma queue sa cyprine et moi aussi j’explose en elle l’inondant de mon foutre. Nous restons longuement l’un sur l’autre, l’un dans l’autre. Nous jetons un regard à la pendule qui marque 21 heures, encore 1/2 heure pour nous. Estelle me demande de rester en elle, je bande toujours comme un turc et nous basculons de côté pour inverser les rôles. Elle est maintenant sur moi, elle redresse son corps pour mieux sentir mon sexe en elle et se met à aller et venir, éjectant presque ce pieu qui la pénètre. Mais le gland au bord de ses lèvres, elle l’engloutit aussitôt frénétiquement avec violence, avec fougue, maitrisant son plaisir et essayant de le repousser à l’extrême. Je lui pétris ses petits seins, titille ses pointes, ce qui l’excite encore plus et alors elle part dans un rodéo sexuel, chevauchant ma bite comme une furie, au galop. Elle crie de plaisir, devient un peu crue dans ses mots : allez défonce moi, baise moi comme une petite salope. Je prends sa taille pour appuyer et amplifier la pénétration, nos ventres sont irradiés de plaisir et dans un râle long et puissant, nous jouissons à nouveau, aussi fort que si c’était la 1ère fois. Elle s’allonge à côté de moi et je me blottis contre ses reins. Elle sent mon membre dressé dans la raie de son petit cul et me dit : non pas ce soir mon amour, je ne veux que des bits !!!!
Après une dernière étreinte et un baiser fougueux, nous nous rhabillons, passons à la salle de bain et donnons un petit coup de peigne. Nous passons au salon, prenons quelques macarons et un punch pour nous remettre de nos émotions. Estelle décide de me montrer les photos de sa jeunesse, de ses dernières vacances en attendant le retour de Bertrand. Nous bavardons, rigolons beaucoup en nous effleurant de temps en temps de la main. A l’heure annoncée Bertrand fait son retour, visiblement fatigué de son entrainement. Nous lui disons que vous venons de finir de bosser et que je l’attendais pour le saluer avant de prendre congé. Il me demande de rester manger un morceau avec eux avant de rentrer mais je trouve une raison pour décliner l’invitation. Je me lève, serre la main de Bertrand qui me dit : j’espère qu’elle a bien retenu la leçon, reviens quand tu veux, tu es ici chez toi. Je lui réponds qu’Estelle est très assidue et qu’elle ne demande qu’à apprendre de nouvelles choses. Sur ces propos Bertrand nous laisse en disant qu’il va prendre une douche avant de grignoter et de se coucher car il est rincé.
Estelle me raccompagne dans le couloir, entrouvre la porte d’entrée, nous entendons le bruit de l’eau de la douche qui coule. Je lui dis au revoir en lui roulant une pelle d’enfer, lui pelotant tout son corps passionnément. La coquine n’avait toujours pas remis sa petite culotte et le contact sur ma main de sa petite chatte brulante et humide m’a mis dans un état de surexcitation extrême. D’un coup je sors mon sexe dur comme un rocher et d’une seule poussée je m’introduis au plus profond de sa grotte et je lui assène de violents coups de reins, la pilonnant tel un canon lors d’une offensive. Elle se mord les lèvres pour ne pas crier, son souffle est court, ses mains s’accrochent à moi et une dernière fois nous jouissons dans une communion parfaite. Je me retire, me réajuste, ma belle me dit : reviens vite me donner un cours, j’ai encore quelques lacunes. Je lui demande si elle est toujours d’accord pour son expérience lesbienne avec Elisabeth et elle me répond qu’en amour elle veut tout apprendre et essayer. Je lui suggère qu’au bureau elle la fasse venir dans son bureau et qu’elle la provoque et l’aguiche par des postures suggestives, des compliments et des questions personnelles, de pratiques sexuelles pour voir sa réaction. Et moi de mon côté je sonderai Elisabeth à son retour au domicile pour connaitre son opinion sur toi, ton physique, ton caractère … Sur ces bonnes paroles et un dernier baiser tendre, nous nous séparons à contrecœur.

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