Sacrée collègue : Ma femme offerte
Récit érotique écrit par Pierrechartreux [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-09-2014 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Sacrée collègue : Ma femme offerte
Le week-end de la Pentecôte une soirée est organisée par le CE de notre entreprise dans le Loir et Cher, samedi visite d’une cave viticole et dégustation l’après-midi, et repas dansant en soirée. C’est l’occasion que nous avons choisie mon ancienne collègue Estelle et moi pour monter un scénario en vue de draguer mon épouse Elisabeth et que les deux belles s’initient aux plaisirs féminins.
Encore une fois Bertrand l’époux d’Estelle ne peut venir avec elle, étant parti pour courir un marathon. Mais cette absence nous arrange bien en fait pour notre plan. Pour éviter de reprendre la route après avoir consommé de l’alcool et à cause de la fatigue, nous avons réservé une chambre d’hôtel pour la nuit. Nous avons prétexté qu’il ne restait plus que ce style de chambre pour prendre deux chambres communicantes.
Samedi en tout début d’après-midi nous passons chercher Estelle à son domicile. Elle s’installe à l’arrière derrière moi qui suis au volant, remonte un peu sa jupe, écarte sensiblement ses cuisses et met sa ceinture de sécurité. Elle est vêtue d’une adorable jupe vaporeuse de couleur blanche à mi-cuisses et d’un chemisier noir fermé par boutons pression. Nous avons presque 2 heures de route et la conversation s’engage sur l’entreprise, les collègues, les enfants …. Tout y passe, la radio est restée éteinte tout le trajet. Pour converser Elisabeth tourne le haut de son corps vers la place arrière et comme convenu, Elisabeth ne peut que voir ces cuisses découvertes. Le trajet se passe agréablement sans encombre et nous arrivons au point de ralliement, la cave du viticulteur.
Le vigneron nous fait visiter son exploitation en nous expliquant les techniques de vinification sous une chaleur accablante. Puis nous entrons dans le chai et il nous fait goûter ses différents cépages. Il est 17H30, nous avons eu très chaud et les verres de dégustation descendent délicieusement. Les pommettes rosissent, les rires fusent et nous sommes bien.
Il est maintenant 18H30 et nous passons prendre possession de notre chambre, prendre une douche pour nous relaxer un peu. Nous sommes respectivement dans nos chambres, Estelle a laissé légèrement entrouverte la porte de séparation. Nous l’entendons prendre sa douche en sifflotant gaiement, se sécher puis nous percevons des bruits de respiration haletante. Elisabeth passe un œil par l’entrebâillement de la porte et suivant le plan convenu, trouve Estelle nue sur le lit, jambes ouvertes en train de se caresser et de se fourrer les doigts dans sa chatte. Elisabeth reste un moment à regarder et à écouter avant de revenir près de moi. Elle me raconte la scène suggestive et je lui demande si elle veut que je lui fasse le même plaisir. Elle est tentée car certainement excitée par ce qu’elle a contemplé mais refuse car elle a peur qu’Estelle nous entende et nous surprenne.
Nous en restons là et nous préparons pour la soirée qui débute à 20 heures. Nous partons à pied sur le lieu où se déroule cette soirée, pas très loin de notre hôtel. Un bar est dressé sous un barnum et sous un autre le repas est organisé sous forme de buffet campagnard. Un peu à l’écart une piste de danse avec un orchestre, et dans le parc sont disposés des bancs à l’abri des regards. Après un petit discours du responsable du CE nous souhaitant une bonne soirée, nous nous dirigeons vers le bar, je demande 3 flutes de champagne au serveur. Il fait toujours chaud malgré l’heure, nous dégustons des petits fours et le champagne se laisse boire comme du petit lait. Il est bien frappé, les femmes sont en général friandes de cette boisson et nous revenons au bar pour une 2ème puis une 3ème coupe. Avec les dégustations de la cave et le champagne, Estelle et Elisabeth sont adorables avec leurs joues roses, elles plaisantent et rient de bon cœur.
Les musiciens ont commencé à jouer pour mettre l’ambiance, j’invite Estelle à danser un slow sur « Pour un flirt avec toi ». Les lumières sont tamisées, j’enlace ma partenaire et je sens son corps chaud contre le mien. Discrètement je passe ma main sous sa jupe et je sens tout de suite sa toison. Je lui ai dit de ne pas mettre de sous-vêtement, je ne peux retenir une érection mais je me contiens car nous ne sommes pas là pour cela.
A la fin de la chanson nous revenons au buffet pour nous restaurer un peu, nous dégustons toutes sortes de canapés délicieux, de petits sandwichs que nous arrosons de verres de rosé bien frais de la région. La soirée bat son plein, alternant discutions avec d’autres collègues, ou entre nous trois et ripaille.
Après plusieurs rocks, jerks et autres danses endiablées, l’orchestre fait son ¼ d’heure de slows. J’invite Hélène une ex-collègue que j’apprécie à danser et Estelle demande à Elisabeth. Je suis du coin de l’œil mes 2 nanas, Estelle tient fermement sa cavalière, une main autour de la taille et l’autre derrière le cou. Elles sont tétons contre tétons, Elisabeth est bien maintenue et ne peut se reculer, et elle n’ose pas manifester d’opposition de peur d’alerter l’entourage. Les slows s’enchaînent et Estelle ne lâche pas sa proie, elle la veut. Tout en dansant, elle glisse sa jambe droite entre celles d’Elisabeth, Estelle a son minou collé à la cuisse d’Elisabeth qui ferme les yeux, bercée par la musique, annihilée par la chaleur et les coupes de champagne.
Après cet intermède musical, Elisabeth et sa petite chef se dirigent vers un coin du parc et s’assoient sur un banc pour goûter à un peu de calme. Elles sont côte à côte et papotent de la soirée, Estelle lui demande si elle a aimé danser avec elle. Elisabeth lui répond que c’était des instants magiques car ce n’est pas souvent qu’elle danse et encore moins avec une autre femme. Sur ce Estelle se saisit avec sa main droite de la main d’Elisabeth, remonte sa jupe de sa main gauche et autoritairement plaque cette main sur son intimité toute humide en disant : « Bertrand ne me touche pratiquement plus et j’ai décidé d’essayer les plaisirs lesbiens et c’est avec toi que j’en ai envie. Tu sens l’effet que tu me fais ».
Elisabeth tente bien de retirer sa main mais voyant cela, Estelle pivote légèrement la main de sa partenaire, lui serre les doigts et d’un coup énergique se pénètre la chatte avec les 4 doigts. Elisabeth est surprise mais dans son état euphorique et découvrant une sensation nouvelle, elle laisse faire sa petite chef. Pour ne pas la bloquer Estelle lâche la pression exercée sur la main et Elisabeth la retire mais somme toute sans précipitation.
Elles rejoignent le buffet, se jettent sur les petits fours sucrés et prennent une dernière coupe de champagne en trinquant les yeux dans les yeux, un petit sourire au coin des lèvres. Sur ces entrefaites, le jour pointant son nez nous décidons de rejoindre notre chambre. Une bise sur la joue, on se souhaite une bonne courte nuit et nous nous glissons sous les draps.
Au bout d’une heure je suis réveillé par un bruit de porte mais je fais comme si de rien n’était. Estelle s’approche de notre lit, du côté d’Elisabeth et lui chuchote : « tu dors » ? Elisabeth à son tour murmure : « je n’arrive pas à trouver le sommeil, je repense à la scène de tout à l’heure sur le banc ». Estelle s’aperçoit du trouble qu’elle lui a causé et cherche à la faire chavirer totalement. Elle pose ses lèvres sur celles d’Elisabeth qui se laisse faire mais ne répond pas à son baiser. Estelle harcèle cette bouche avec sa langue, essaie d’entrouvrir les lèvres. Finalement Elisabeth vaincue, s’offre à Estelle dans un baiser langoureux, leurs langues se mêlant dans un ballet tendre. Estelle lui demande de venir avec elle dans sa chambre, Elisabeth jette un regard sur moi et me croyant endormi, se lève discrètement pour suivre sa belle. Elles s’allongent côte à côte sur le lit et reprennent leur baiser endiablé. Les lèvres d’Estelle embrassent le cou, les joues, les yeux, reviennent sur les lèvres et repartent. Elisabeth répond aux baisers mais est plutôt passive et laisse l’initiative à sa partenaire.
Elles sont toutes deux en nuisette courte, noir pour Estelle et rouge pour Elisabeth. Les mains d’Estelle parcourt la poitrine d’Elisabeth par-dessus le tissu, titille les tétons qui se redressent immédiatement, descendent sur son ventre. Elisabeth frémit sous ces mains qui la caressent, elle a ses mains dans les cheveux d’Estelle et lui tient la tête comme pour ne pas qu’elle s’arrête. Pour mieux découvrir leurs corps respectifs, les nuisettes passent par-dessus bord et elles se retrouvent totalement nues. Estelle jette à nouveau son dévolu sur les petits seins de sa partenaire mais avec sa bouche, elle les lèche, les suce, les mordille et parallèlement elle descend sa main droite sur le sexe d’Elisabeth. Elle caresse sa toison, ses lèvres pelviennes qu’elle entrouvre pour découvrir sa petite caverne toute humide. « Ma chérie je vois que je te fais le même effet que moi » lui dit-elle. Je me suis levé et discrètement dans la pénombre je suis la progression de ce dépucelage lesbien entre mon épouse et ma maîtresse.
J’entends les gémissements d’Elisabeth, cette scène m’excite mais je me contiens car cette nuit doit être leur nuit. De passive Elisabeth prend maintenant des initiatives et tente des caresses ciblées, les seins d’Estelle sont à leur tour léchés, malaxés, caressés. Les tétons sont aspirés et se dressent tout rouge tandis que la respiration d’Estelle est saccadée. Estelle a toujours la main sur le sexe d’Elisabeth, délicatement elle titille le clitoris, le fait rouler sous ses doigts puis avec douceur introduit un doigt dans la chatte hyper humide. Elisabeth se laisse faire, c’est bon et c’est une sensation qu’elle n’a jamais ressentie jusqu’à ce jour. Elle dit à Estelle : « vas y, ne t’arrêtes pas c’est si bon. Fais moi jouir ». Estelle entame ses va-et-vient sous les gémissements d’Elisabeth, puis lentement introduit un 2ème doigt et masturbe avec douceur cette chatte. Elisabeth gémit de plus en plus vite et ne tarde pas à jouir dans un râle de bonheur. Elle inonde de cyprine la main d’Estelle qui descend sa bouche et lape cette liqueur
du bonheur. Elisabeth lui prend la tête et la plaque sur son sexe pour ne pas qu’elle se retire. Estelle enlève ses doigts et met à sa place sa langue qu’elle tourne et retourne, sort et rentre, aspire le clitoris et à nouveau Elisabeth explose dans la bouche de sa chef. Je n’aurais jamais crû que ce soit aussi bon entre filles, dit-elle. Estelle se remet corps contre corps contre Elisabeth et elles repartent dans un ballet de baisers langoureux. Elisabeth lui fait remarquer qu’elle doit être un peu frustrée de ne pas avoir joui et elle lui propose qu’elle s’abandonne à elle. Elle a eu l’exemple d’Estelle et elle va tenter de lui faire également plaisir. Elisabeth commence elle par des caresses buccales sur le clitoris d’Estelle, lèche ses lèvres et pénètre de sa langue son minou. Estelle est déjà toute excitée par ce qu’elle a fait subir à sa collègue et ce broute-minou lui déclenche sa première extase lesbienne. Elle jouit elle aussi avec un feulement de femme comblée dans la bouche d’Elisabeth. Celle-ci de sentir sur ses lèvres ce liquide intime, cela lui cause une gêne et elle se retire et revient embrasser sa maîtresse.
Elle s'allonge sur le dos et Estelle vient se positionner sur elle jambes ouvertes et frotte son mont de vénus sur le sien en mimant la pénétration. Ce plaisir à tour de rôle ne les a pas comblées totalement et elles repartent dans un 69 endiablé pour chercher la communion de la jouissance. A califourchon sur sa partenaire Estelle lèche ce corps, goûte cette peau qui s'offrent à elle, caressent les cuisses en remontant jusqu'au petit jardin intime. Les lèvres sont écartées, la langue suce le clitoris puis pénètre la caverne ruisselante tandis qu'elle sent qu'Elisabeth lui rend caresse pour caresse. Les bouches jouent avec les minous, chacune se retient de jouir maintenant, puis ce sont au tour des doigts d'explorer leurs intimités. D'abord un seul allant et venant lentement, puis deux et enfin trois de plus en plus vite. Les gémissements retentissent, les respirations s'accélèrent et le plaisir tenaillant leurs ventres, elles jouissent ensemble dans un concert de petits cris de plaisir. Elles restent un long moment enlacées, un dernier baiser amoureux et Elisabeth rejoint le lit conjugal que j'ai regagné quelques instants plus tôt.
Après un petit somme de 2 heures, nous ouvrons péniblement les yeux, il est 9H30 et nous voulons nous restaurer. Elisabeth me fait un baiser sur les lèvres, se serre contre moi et me dit :"j'ai quelque chose à t'avouer". Je fais l'innocent et je lui demande quoi. Elle me répond : "Cette nuit j'ai fait l'amour avec Estelle et c'était très bien". Depuis le temps que je te parlais de mon fantasme de te voir dans les bras d'une femme, tu as eu raison et je t'approuve dans ton choix d'Estelle lui dis-je.
J'embrasse longuement mon épouse, nous nous préparons et nous descendons prendre notre petit déjeuner. Estelle est déjà dans la salle et nous voit arriver main dans la main, elle nous lance un regard amusé et amoureux avec un petit sourire de satisfaction au coin des lèvres.
Le petit déjeuner avalé dans une ambiance franchement gaie, nous quittons l'hôtel et décidons de faire un peu de tourisme à Blois avant de rentrer. Nous visitons le château, puis le musée de la magie et allons acheter de quoi pique-niquer. Nous trouvons une table et nous installons avec nos victuailles, mes deux femmes mangent une banane chacune par un bout de façon suggestive. Puis leurs lèvres se rencontrent, elles échangent un baiser et éclatent de rire en se regardant. Je les contemple, elles sont belles, radieuses et heureuses de s'être abandonnées l'une à l'autre. Nous flânons une partie de l'après-midi puis prenons la route du retour vers 17 heures.
Le trajet se déroule plutôt calmement, chacun essayant de récupérer un peu de la courte nuit dernière. J'échange quelques regards avec Estelle dans le rétroviseur, elle a une position jambes ouvertes et j'ai un peu de mal à me concentrer sur la conduite. Puis mes 2 chéries s'assoupissent jusqu'à notre arrivée à notre domicile. Nous avons convenu qu'Estelle étant seule le reste du week-end, elle viendrait passer le dimanche soir et le lundi avec nous.
Il est 19 H 30, il fait encore chaud. Nous nous changeons pour être à l'aise, Elisabeth un short et un tee-shirt ajusté, Estelle une mini-jupe boutonnée sur le devant et un haut de maillot de bain, et moi torse nu en bermuda. Nous préparons une salade froide, du jambon de pays et du melon et nous dégustons ces mets arrosés d'un rosé bien frais. Puis nous nous installons sur le canapé du salon, Elisabeth entre nous, et mettons un film de comédie. Nous rions beaucoup, tantôt je dépose un baiser sur les lèvres de mon épouse, Estelle lui caresse les cuisses et autres gestes tendres. Le DVD terminé, nous décidons d'aller dormir un peu, nous montrons sa chambre à Estelle, lui souhaitons bonne nuit et allons nous allonger.
Malgré la fatigue et le manque de sommeil, je ne parviens pas à m'endormir, je repense à toutes ces scènes sensuelles auxquelles j'ai assisté et j'ai envie de faire l'amour à Elisabeth. Mes mains deviennent baladeuses, parcourent ce corps désirable dans sa nuisette. Mes caresses font leur effet, elle se love contre moi, m'embrasse goulument et me dit : "je peux aller chercher Estelle". Je lui réponds affirmativement, si bien sur elle est d'accord. Elle se lève, part dans la chambre de sa maîtresse et peu de temps après revient avec elle. Elles s'allongent, Elisabeth au milieu de nous. Commence alors un concerto à 4 mains et 2 bouches, son corps est pris d'assaut. 2 bouches simultanément l'embrassent sur les lèvres et les 2 langues en fusion lui ramonent les amygdales. Elle ne sait plus où donner de la tête, 4 mains lui pétrissent les seins puis descendent sur le ventre. Les 2 bouches titillent les tétons, elle râle de plaisir et nous demande de continuer. Estelle descend sa main et caresse la toison brune, excite le clitoris, caresse les lèvres puis elle prend ma main, nous joignons nos doigts et nous la pénétrons lentement avec chacun un doigt. Elle pousse de petits cris de plus en plus rapprochés, a des soubresauts, nous sentons qu'elle ne va pas tarder à exploser. Nous retirons nos 2 doigts et reprenons la pénétration avec 2 doigts chacun. Nos va et vient sont plus rapides et plus puissants et dans un feulement elle nous inonde de sa liqueur. D'un mouvement non concerté, nous descendons nos visages sur cette rivière que nous lapons de nos langues impatientes et entremêlées.
Sa cyprine a un goût et une odeur inhabituels, légèrement sucrée et parfum de fleurs, phénomène peut-être dû à cette double jouissance mixte. Elisabeth est relaxée, apaisée un sourire au coin des lèvres et dit à Estelle : "maintenant que vous m'avez fait jouir, c'est à mon tour de te prendre". Estelle est basculée et se retrouve sur le dos, Elisabeth est à califourchon à genoux sur elle. Elle l'embrasse longuement, lui mange les lèvres, leurs langues se mêlent, ses mains explorent chaque cm2 de son corps tandis que moi je caresse les fesses de ma femme. Elisabeth descend sa bouche le long du corps d'Estelle, s'attarde sur ses seins et ses tétons, puis sur son ventre pour aboutir sur sa chatte déjà toute humide. Elle a pris de l'assurance et elle lui suce le clitoris pendant qu'elle enfourne 2 doigts dans son intimité. Elisabeth me demande de la pénétrer en levrette, je pose mon gland à l'entrée de son sexe. Mon membre est aspiré par cette grotte dans laquelle je vais et je viens pendant qu'Elisabeth continue à branler sa collègue. Nous restons longuement à faire monter le plaisir, les cris d'une fille répondent à ceux de l'autre. Chacune d'elle dit : "je sens que ça vient, ne t'arrêtes surtout pas". Je serre les hanches d'Elisabeth et la pilonne de plus en plus loin et vigoureusement, elle-même mets un 3ème doigt dans la chatte et accélère la masturbation. Le plaisir irradie nos corps et nous jouissons au même instant dans des râles de bonheur.
Je me retire et là à ma grande surprise Elisabeth me dit : "maintenant fais à Estelle ce que tu m'as fait, possèdes la". Je lui réponds qu'il faut d'abord qu'elle soit consentante, ce à quoi bien évidemment après nos récentes relations, elle dit oui. C'est au tour d'Estelle pendant que je la caresse, d'exciter tous les sens de ma femme, elle l'embrasse tendrement, joue avec ses lèvres, avec sa langue, dépose des baisers dans le cou. Je découvre la douceur qu'il peut y avoir dans ces relations féminines, elles connaissent leurs corps et savent en extirper un plaisir plus soft. Ces jeux amoureux me mettent dans tous mes états, j'ai une trique monstre, je colle mon sexe dans la raie des fesses d'Estelle. Elle s'avance légèrement, ouvre ses jambes, mon sexe descend sur sa chatte et elle se recule et s'empale dans un grognement. Elle me dit de la ramoner sans ménagement tandis qu'elle a la langue et les doigts qui furètent dans l'intimité d'Elisabeth.
Je me retire d'Estelle pour lui prendre à pleine bouche sa belle moule, aussi humide que si elle sortait de l'océan, je la goûte, la déguste, l'aspire, la pénètre de la langue et à cet instant elle ne peut se retenir et m'arrose de sa liqueur d'amour tandis qu'elle continue d'astiquer le clitoris d'Elisabeth. Excité au plus haut point je me remets en position et m'introduis au plus profond de l'intimité d'Estelle qui comme si elle était en manque, jette en arrière son postérieur pour mieux sentir mon membre. Estelle attaque à présent le minou de ma femme, la langue s'insinue en lui, ressort puis c'est l'introduction de 2 doigts qui le branlent. Elisabeth lui dit : "je suis à toi, fais moi ce que tu veux, fais moi crier de plaisir". Il ne faut pas lui dire 2 fois, sa petite chef adorée lui mets maintenant les 4 doigts de la main droite dans le con et après avoir humidifié un doigt de la main gauche, elle pénètre timidement son anus. Chose étrange, Elisabeth ne refuse pas la caresse et au contraire elle ouvre béantes ses cuisses pour lui faciliter l'introduction. J'en reste baba, elle a toujours refusé de me le donner malgré mes multiples demandes. Devant cette invitation, Estelle enfonce totalement son doigt, Elisabeth se retrouve pénétrée par sa maîtresse dans ses 2 orifices. Tandis que je continue à défoncer la chatte d'Estelle, les allers et venues des doigts de fée d'Estelle font des miracles.
Elisabeth halète, gémit, pousse des cris, son corps de tend et elle déverse sa cyprine sur Estelle. De sentir sa compagne jouir, Estelle a son tour joui et je sens sur mon sexe son jus se déverser et une fraction de seconde plus tard j'inonde sa petite caverne de mon sperme. Nous restons quelques minutes dans cette position, vidés, heureux puis Estelle bascule sur le côté, prend la bouche d'Elisabeth pour une symphonie de baisers tout en parcourant son corps de ses mains avides. Toujours très excité je reprends possession du sexe de ma femme, la baisant furieusement tout en masturbant la chatte d'Estelle de ma main droite. Nous jouissons tous les 3 à nouveau et Estelle et moi disons à Elisabeth : "bon anniversaire ma chérie, nous espérons que ton cadeau t'a plu". Sur quoi elle nous répond que c'est un de ses meilleurs et qu'elle n'avait jamais joui aussi fort.
Nous nous remettons allongés sur le dos et je me dis que ce week-end est mémorable, j'ai offert ma femme à sa collègue et sans le savoir mon épouse a jeté dans mes bras sa petite chef, officialisant en quelque sorte la relation que nous avions déjà ensemble. Nous restons un long moment serrés les uns contre les autres, à nous embrasser et nous caresser tendrement puis nous sombrons dans les bras de Morphée, pour reprendre des forces car le week-end n'est pas encore terminé.
Encore une fois Bertrand l’époux d’Estelle ne peut venir avec elle, étant parti pour courir un marathon. Mais cette absence nous arrange bien en fait pour notre plan. Pour éviter de reprendre la route après avoir consommé de l’alcool et à cause de la fatigue, nous avons réservé une chambre d’hôtel pour la nuit. Nous avons prétexté qu’il ne restait plus que ce style de chambre pour prendre deux chambres communicantes.
Samedi en tout début d’après-midi nous passons chercher Estelle à son domicile. Elle s’installe à l’arrière derrière moi qui suis au volant, remonte un peu sa jupe, écarte sensiblement ses cuisses et met sa ceinture de sécurité. Elle est vêtue d’une adorable jupe vaporeuse de couleur blanche à mi-cuisses et d’un chemisier noir fermé par boutons pression. Nous avons presque 2 heures de route et la conversation s’engage sur l’entreprise, les collègues, les enfants …. Tout y passe, la radio est restée éteinte tout le trajet. Pour converser Elisabeth tourne le haut de son corps vers la place arrière et comme convenu, Elisabeth ne peut que voir ces cuisses découvertes. Le trajet se passe agréablement sans encombre et nous arrivons au point de ralliement, la cave du viticulteur.
Le vigneron nous fait visiter son exploitation en nous expliquant les techniques de vinification sous une chaleur accablante. Puis nous entrons dans le chai et il nous fait goûter ses différents cépages. Il est 17H30, nous avons eu très chaud et les verres de dégustation descendent délicieusement. Les pommettes rosissent, les rires fusent et nous sommes bien.
Il est maintenant 18H30 et nous passons prendre possession de notre chambre, prendre une douche pour nous relaxer un peu. Nous sommes respectivement dans nos chambres, Estelle a laissé légèrement entrouverte la porte de séparation. Nous l’entendons prendre sa douche en sifflotant gaiement, se sécher puis nous percevons des bruits de respiration haletante. Elisabeth passe un œil par l’entrebâillement de la porte et suivant le plan convenu, trouve Estelle nue sur le lit, jambes ouvertes en train de se caresser et de se fourrer les doigts dans sa chatte. Elisabeth reste un moment à regarder et à écouter avant de revenir près de moi. Elle me raconte la scène suggestive et je lui demande si elle veut que je lui fasse le même plaisir. Elle est tentée car certainement excitée par ce qu’elle a contemplé mais refuse car elle a peur qu’Estelle nous entende et nous surprenne.
Nous en restons là et nous préparons pour la soirée qui débute à 20 heures. Nous partons à pied sur le lieu où se déroule cette soirée, pas très loin de notre hôtel. Un bar est dressé sous un barnum et sous un autre le repas est organisé sous forme de buffet campagnard. Un peu à l’écart une piste de danse avec un orchestre, et dans le parc sont disposés des bancs à l’abri des regards. Après un petit discours du responsable du CE nous souhaitant une bonne soirée, nous nous dirigeons vers le bar, je demande 3 flutes de champagne au serveur. Il fait toujours chaud malgré l’heure, nous dégustons des petits fours et le champagne se laisse boire comme du petit lait. Il est bien frappé, les femmes sont en général friandes de cette boisson et nous revenons au bar pour une 2ème puis une 3ème coupe. Avec les dégustations de la cave et le champagne, Estelle et Elisabeth sont adorables avec leurs joues roses, elles plaisantent et rient de bon cœur.
Les musiciens ont commencé à jouer pour mettre l’ambiance, j’invite Estelle à danser un slow sur « Pour un flirt avec toi ». Les lumières sont tamisées, j’enlace ma partenaire et je sens son corps chaud contre le mien. Discrètement je passe ma main sous sa jupe et je sens tout de suite sa toison. Je lui ai dit de ne pas mettre de sous-vêtement, je ne peux retenir une érection mais je me contiens car nous ne sommes pas là pour cela.
A la fin de la chanson nous revenons au buffet pour nous restaurer un peu, nous dégustons toutes sortes de canapés délicieux, de petits sandwichs que nous arrosons de verres de rosé bien frais de la région. La soirée bat son plein, alternant discutions avec d’autres collègues, ou entre nous trois et ripaille.
Après plusieurs rocks, jerks et autres danses endiablées, l’orchestre fait son ¼ d’heure de slows. J’invite Hélène une ex-collègue que j’apprécie à danser et Estelle demande à Elisabeth. Je suis du coin de l’œil mes 2 nanas, Estelle tient fermement sa cavalière, une main autour de la taille et l’autre derrière le cou. Elles sont tétons contre tétons, Elisabeth est bien maintenue et ne peut se reculer, et elle n’ose pas manifester d’opposition de peur d’alerter l’entourage. Les slows s’enchaînent et Estelle ne lâche pas sa proie, elle la veut. Tout en dansant, elle glisse sa jambe droite entre celles d’Elisabeth, Estelle a son minou collé à la cuisse d’Elisabeth qui ferme les yeux, bercée par la musique, annihilée par la chaleur et les coupes de champagne.
Après cet intermède musical, Elisabeth et sa petite chef se dirigent vers un coin du parc et s’assoient sur un banc pour goûter à un peu de calme. Elles sont côte à côte et papotent de la soirée, Estelle lui demande si elle a aimé danser avec elle. Elisabeth lui répond que c’était des instants magiques car ce n’est pas souvent qu’elle danse et encore moins avec une autre femme. Sur ce Estelle se saisit avec sa main droite de la main d’Elisabeth, remonte sa jupe de sa main gauche et autoritairement plaque cette main sur son intimité toute humide en disant : « Bertrand ne me touche pratiquement plus et j’ai décidé d’essayer les plaisirs lesbiens et c’est avec toi que j’en ai envie. Tu sens l’effet que tu me fais ».
Elisabeth tente bien de retirer sa main mais voyant cela, Estelle pivote légèrement la main de sa partenaire, lui serre les doigts et d’un coup énergique se pénètre la chatte avec les 4 doigts. Elisabeth est surprise mais dans son état euphorique et découvrant une sensation nouvelle, elle laisse faire sa petite chef. Pour ne pas la bloquer Estelle lâche la pression exercée sur la main et Elisabeth la retire mais somme toute sans précipitation.
Elles rejoignent le buffet, se jettent sur les petits fours sucrés et prennent une dernière coupe de champagne en trinquant les yeux dans les yeux, un petit sourire au coin des lèvres. Sur ces entrefaites, le jour pointant son nez nous décidons de rejoindre notre chambre. Une bise sur la joue, on se souhaite une bonne courte nuit et nous nous glissons sous les draps.
Au bout d’une heure je suis réveillé par un bruit de porte mais je fais comme si de rien n’était. Estelle s’approche de notre lit, du côté d’Elisabeth et lui chuchote : « tu dors » ? Elisabeth à son tour murmure : « je n’arrive pas à trouver le sommeil, je repense à la scène de tout à l’heure sur le banc ». Estelle s’aperçoit du trouble qu’elle lui a causé et cherche à la faire chavirer totalement. Elle pose ses lèvres sur celles d’Elisabeth qui se laisse faire mais ne répond pas à son baiser. Estelle harcèle cette bouche avec sa langue, essaie d’entrouvrir les lèvres. Finalement Elisabeth vaincue, s’offre à Estelle dans un baiser langoureux, leurs langues se mêlant dans un ballet tendre. Estelle lui demande de venir avec elle dans sa chambre, Elisabeth jette un regard sur moi et me croyant endormi, se lève discrètement pour suivre sa belle. Elles s’allongent côte à côte sur le lit et reprennent leur baiser endiablé. Les lèvres d’Estelle embrassent le cou, les joues, les yeux, reviennent sur les lèvres et repartent. Elisabeth répond aux baisers mais est plutôt passive et laisse l’initiative à sa partenaire.
Elles sont toutes deux en nuisette courte, noir pour Estelle et rouge pour Elisabeth. Les mains d’Estelle parcourt la poitrine d’Elisabeth par-dessus le tissu, titille les tétons qui se redressent immédiatement, descendent sur son ventre. Elisabeth frémit sous ces mains qui la caressent, elle a ses mains dans les cheveux d’Estelle et lui tient la tête comme pour ne pas qu’elle s’arrête. Pour mieux découvrir leurs corps respectifs, les nuisettes passent par-dessus bord et elles se retrouvent totalement nues. Estelle jette à nouveau son dévolu sur les petits seins de sa partenaire mais avec sa bouche, elle les lèche, les suce, les mordille et parallèlement elle descend sa main droite sur le sexe d’Elisabeth. Elle caresse sa toison, ses lèvres pelviennes qu’elle entrouvre pour découvrir sa petite caverne toute humide. « Ma chérie je vois que je te fais le même effet que moi » lui dit-elle. Je me suis levé et discrètement dans la pénombre je suis la progression de ce dépucelage lesbien entre mon épouse et ma maîtresse.
J’entends les gémissements d’Elisabeth, cette scène m’excite mais je me contiens car cette nuit doit être leur nuit. De passive Elisabeth prend maintenant des initiatives et tente des caresses ciblées, les seins d’Estelle sont à leur tour léchés, malaxés, caressés. Les tétons sont aspirés et se dressent tout rouge tandis que la respiration d’Estelle est saccadée. Estelle a toujours la main sur le sexe d’Elisabeth, délicatement elle titille le clitoris, le fait rouler sous ses doigts puis avec douceur introduit un doigt dans la chatte hyper humide. Elisabeth se laisse faire, c’est bon et c’est une sensation qu’elle n’a jamais ressentie jusqu’à ce jour. Elle dit à Estelle : « vas y, ne t’arrêtes pas c’est si bon. Fais moi jouir ». Estelle entame ses va-et-vient sous les gémissements d’Elisabeth, puis lentement introduit un 2ème doigt et masturbe avec douceur cette chatte. Elisabeth gémit de plus en plus vite et ne tarde pas à jouir dans un râle de bonheur. Elle inonde de cyprine la main d’Estelle qui descend sa bouche et lape cette liqueur
du bonheur. Elisabeth lui prend la tête et la plaque sur son sexe pour ne pas qu’elle se retire. Estelle enlève ses doigts et met à sa place sa langue qu’elle tourne et retourne, sort et rentre, aspire le clitoris et à nouveau Elisabeth explose dans la bouche de sa chef. Je n’aurais jamais crû que ce soit aussi bon entre filles, dit-elle. Estelle se remet corps contre corps contre Elisabeth et elles repartent dans un ballet de baisers langoureux. Elisabeth lui fait remarquer qu’elle doit être un peu frustrée de ne pas avoir joui et elle lui propose qu’elle s’abandonne à elle. Elle a eu l’exemple d’Estelle et elle va tenter de lui faire également plaisir. Elisabeth commence elle par des caresses buccales sur le clitoris d’Estelle, lèche ses lèvres et pénètre de sa langue son minou. Estelle est déjà toute excitée par ce qu’elle a fait subir à sa collègue et ce broute-minou lui déclenche sa première extase lesbienne. Elle jouit elle aussi avec un feulement de femme comblée dans la bouche d’Elisabeth. Celle-ci de sentir sur ses lèvres ce liquide intime, cela lui cause une gêne et elle se retire et revient embrasser sa maîtresse.
Elle s'allonge sur le dos et Estelle vient se positionner sur elle jambes ouvertes et frotte son mont de vénus sur le sien en mimant la pénétration. Ce plaisir à tour de rôle ne les a pas comblées totalement et elles repartent dans un 69 endiablé pour chercher la communion de la jouissance. A califourchon sur sa partenaire Estelle lèche ce corps, goûte cette peau qui s'offrent à elle, caressent les cuisses en remontant jusqu'au petit jardin intime. Les lèvres sont écartées, la langue suce le clitoris puis pénètre la caverne ruisselante tandis qu'elle sent qu'Elisabeth lui rend caresse pour caresse. Les bouches jouent avec les minous, chacune se retient de jouir maintenant, puis ce sont au tour des doigts d'explorer leurs intimités. D'abord un seul allant et venant lentement, puis deux et enfin trois de plus en plus vite. Les gémissements retentissent, les respirations s'accélèrent et le plaisir tenaillant leurs ventres, elles jouissent ensemble dans un concert de petits cris de plaisir. Elles restent un long moment enlacées, un dernier baiser amoureux et Elisabeth rejoint le lit conjugal que j'ai regagné quelques instants plus tôt.
Après un petit somme de 2 heures, nous ouvrons péniblement les yeux, il est 9H30 et nous voulons nous restaurer. Elisabeth me fait un baiser sur les lèvres, se serre contre moi et me dit :"j'ai quelque chose à t'avouer". Je fais l'innocent et je lui demande quoi. Elle me répond : "Cette nuit j'ai fait l'amour avec Estelle et c'était très bien". Depuis le temps que je te parlais de mon fantasme de te voir dans les bras d'une femme, tu as eu raison et je t'approuve dans ton choix d'Estelle lui dis-je.
J'embrasse longuement mon épouse, nous nous préparons et nous descendons prendre notre petit déjeuner. Estelle est déjà dans la salle et nous voit arriver main dans la main, elle nous lance un regard amusé et amoureux avec un petit sourire de satisfaction au coin des lèvres.
Le petit déjeuner avalé dans une ambiance franchement gaie, nous quittons l'hôtel et décidons de faire un peu de tourisme à Blois avant de rentrer. Nous visitons le château, puis le musée de la magie et allons acheter de quoi pique-niquer. Nous trouvons une table et nous installons avec nos victuailles, mes deux femmes mangent une banane chacune par un bout de façon suggestive. Puis leurs lèvres se rencontrent, elles échangent un baiser et éclatent de rire en se regardant. Je les contemple, elles sont belles, radieuses et heureuses de s'être abandonnées l'une à l'autre. Nous flânons une partie de l'après-midi puis prenons la route du retour vers 17 heures.
Le trajet se déroule plutôt calmement, chacun essayant de récupérer un peu de la courte nuit dernière. J'échange quelques regards avec Estelle dans le rétroviseur, elle a une position jambes ouvertes et j'ai un peu de mal à me concentrer sur la conduite. Puis mes 2 chéries s'assoupissent jusqu'à notre arrivée à notre domicile. Nous avons convenu qu'Estelle étant seule le reste du week-end, elle viendrait passer le dimanche soir et le lundi avec nous.
Il est 19 H 30, il fait encore chaud. Nous nous changeons pour être à l'aise, Elisabeth un short et un tee-shirt ajusté, Estelle une mini-jupe boutonnée sur le devant et un haut de maillot de bain, et moi torse nu en bermuda. Nous préparons une salade froide, du jambon de pays et du melon et nous dégustons ces mets arrosés d'un rosé bien frais. Puis nous nous installons sur le canapé du salon, Elisabeth entre nous, et mettons un film de comédie. Nous rions beaucoup, tantôt je dépose un baiser sur les lèvres de mon épouse, Estelle lui caresse les cuisses et autres gestes tendres. Le DVD terminé, nous décidons d'aller dormir un peu, nous montrons sa chambre à Estelle, lui souhaitons bonne nuit et allons nous allonger.
Malgré la fatigue et le manque de sommeil, je ne parviens pas à m'endormir, je repense à toutes ces scènes sensuelles auxquelles j'ai assisté et j'ai envie de faire l'amour à Elisabeth. Mes mains deviennent baladeuses, parcourent ce corps désirable dans sa nuisette. Mes caresses font leur effet, elle se love contre moi, m'embrasse goulument et me dit : "je peux aller chercher Estelle". Je lui réponds affirmativement, si bien sur elle est d'accord. Elle se lève, part dans la chambre de sa maîtresse et peu de temps après revient avec elle. Elles s'allongent, Elisabeth au milieu de nous. Commence alors un concerto à 4 mains et 2 bouches, son corps est pris d'assaut. 2 bouches simultanément l'embrassent sur les lèvres et les 2 langues en fusion lui ramonent les amygdales. Elle ne sait plus où donner de la tête, 4 mains lui pétrissent les seins puis descendent sur le ventre. Les 2 bouches titillent les tétons, elle râle de plaisir et nous demande de continuer. Estelle descend sa main et caresse la toison brune, excite le clitoris, caresse les lèvres puis elle prend ma main, nous joignons nos doigts et nous la pénétrons lentement avec chacun un doigt. Elle pousse de petits cris de plus en plus rapprochés, a des soubresauts, nous sentons qu'elle ne va pas tarder à exploser. Nous retirons nos 2 doigts et reprenons la pénétration avec 2 doigts chacun. Nos va et vient sont plus rapides et plus puissants et dans un feulement elle nous inonde de sa liqueur. D'un mouvement non concerté, nous descendons nos visages sur cette rivière que nous lapons de nos langues impatientes et entremêlées.
Sa cyprine a un goût et une odeur inhabituels, légèrement sucrée et parfum de fleurs, phénomène peut-être dû à cette double jouissance mixte. Elisabeth est relaxée, apaisée un sourire au coin des lèvres et dit à Estelle : "maintenant que vous m'avez fait jouir, c'est à mon tour de te prendre". Estelle est basculée et se retrouve sur le dos, Elisabeth est à califourchon à genoux sur elle. Elle l'embrasse longuement, lui mange les lèvres, leurs langues se mêlent, ses mains explorent chaque cm2 de son corps tandis que moi je caresse les fesses de ma femme. Elisabeth descend sa bouche le long du corps d'Estelle, s'attarde sur ses seins et ses tétons, puis sur son ventre pour aboutir sur sa chatte déjà toute humide. Elle a pris de l'assurance et elle lui suce le clitoris pendant qu'elle enfourne 2 doigts dans son intimité. Elisabeth me demande de la pénétrer en levrette, je pose mon gland à l'entrée de son sexe. Mon membre est aspiré par cette grotte dans laquelle je vais et je viens pendant qu'Elisabeth continue à branler sa collègue. Nous restons longuement à faire monter le plaisir, les cris d'une fille répondent à ceux de l'autre. Chacune d'elle dit : "je sens que ça vient, ne t'arrêtes surtout pas". Je serre les hanches d'Elisabeth et la pilonne de plus en plus loin et vigoureusement, elle-même mets un 3ème doigt dans la chatte et accélère la masturbation. Le plaisir irradie nos corps et nous jouissons au même instant dans des râles de bonheur.
Je me retire et là à ma grande surprise Elisabeth me dit : "maintenant fais à Estelle ce que tu m'as fait, possèdes la". Je lui réponds qu'il faut d'abord qu'elle soit consentante, ce à quoi bien évidemment après nos récentes relations, elle dit oui. C'est au tour d'Estelle pendant que je la caresse, d'exciter tous les sens de ma femme, elle l'embrasse tendrement, joue avec ses lèvres, avec sa langue, dépose des baisers dans le cou. Je découvre la douceur qu'il peut y avoir dans ces relations féminines, elles connaissent leurs corps et savent en extirper un plaisir plus soft. Ces jeux amoureux me mettent dans tous mes états, j'ai une trique monstre, je colle mon sexe dans la raie des fesses d'Estelle. Elle s'avance légèrement, ouvre ses jambes, mon sexe descend sur sa chatte et elle se recule et s'empale dans un grognement. Elle me dit de la ramoner sans ménagement tandis qu'elle a la langue et les doigts qui furètent dans l'intimité d'Elisabeth.
Je me retire d'Estelle pour lui prendre à pleine bouche sa belle moule, aussi humide que si elle sortait de l'océan, je la goûte, la déguste, l'aspire, la pénètre de la langue et à cet instant elle ne peut se retenir et m'arrose de sa liqueur d'amour tandis qu'elle continue d'astiquer le clitoris d'Elisabeth. Excité au plus haut point je me remets en position et m'introduis au plus profond de l'intimité d'Estelle qui comme si elle était en manque, jette en arrière son postérieur pour mieux sentir mon membre. Estelle attaque à présent le minou de ma femme, la langue s'insinue en lui, ressort puis c'est l'introduction de 2 doigts qui le branlent. Elisabeth lui dit : "je suis à toi, fais moi ce que tu veux, fais moi crier de plaisir". Il ne faut pas lui dire 2 fois, sa petite chef adorée lui mets maintenant les 4 doigts de la main droite dans le con et après avoir humidifié un doigt de la main gauche, elle pénètre timidement son anus. Chose étrange, Elisabeth ne refuse pas la caresse et au contraire elle ouvre béantes ses cuisses pour lui faciliter l'introduction. J'en reste baba, elle a toujours refusé de me le donner malgré mes multiples demandes. Devant cette invitation, Estelle enfonce totalement son doigt, Elisabeth se retrouve pénétrée par sa maîtresse dans ses 2 orifices. Tandis que je continue à défoncer la chatte d'Estelle, les allers et venues des doigts de fée d'Estelle font des miracles.
Elisabeth halète, gémit, pousse des cris, son corps de tend et elle déverse sa cyprine sur Estelle. De sentir sa compagne jouir, Estelle a son tour joui et je sens sur mon sexe son jus se déverser et une fraction de seconde plus tard j'inonde sa petite caverne de mon sperme. Nous restons quelques minutes dans cette position, vidés, heureux puis Estelle bascule sur le côté, prend la bouche d'Elisabeth pour une symphonie de baisers tout en parcourant son corps de ses mains avides. Toujours très excité je reprends possession du sexe de ma femme, la baisant furieusement tout en masturbant la chatte d'Estelle de ma main droite. Nous jouissons tous les 3 à nouveau et Estelle et moi disons à Elisabeth : "bon anniversaire ma chérie, nous espérons que ton cadeau t'a plu". Sur quoi elle nous répond que c'est un de ses meilleurs et qu'elle n'avait jamais joui aussi fort.
Nous nous remettons allongés sur le dos et je me dis que ce week-end est mémorable, j'ai offert ma femme à sa collègue et sans le savoir mon épouse a jeté dans mes bras sa petite chef, officialisant en quelque sorte la relation que nous avions déjà ensemble. Nous restons un long moment serrés les uns contre les autres, à nous embrasser et nous caresser tendrement puis nous sombrons dans les bras de Morphée, pour reprendre des forces car le week-end n'est pas encore terminé.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très bien écrit et sans faute .
Un plaisir de vous lire
Michel
Un plaisir de vous lire
Michel
Très bonne initiative d'initier sa femme au saphisme avec sa maitresse tout en officialisant sa liaison