Sacrée Myriam 2

- Par l'auteur HDS Aqw123 -
Récit érotique écrit par Aqw123 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Sacrée Myriam 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-01-2022 dans la catégorie Plus on est
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Sacrée Myriam 2
Je suis Myriam. Après une longue absence et sous un nouveau compte, je reprends la publication de la suite de mes aventures et de quelques copines partageuses… Les épisodes précédents sont sous le nom d’auteur aqw12.
…Effectivement, les jours suivants, jusqu’aux arrivées de nos conjoints respectifs et de mes enfants, furent d’un niveau érotique et d’une intensité sexuelle que je n’avais jamais connu même au cœur de mes folles années étudiantes. Je ne pourrais absolument pas dire le nombre de rapports que nous avons eu, le nombre de fois où il m’a sauté sauvagement ou baisé tendrement, le nombre de fois où il a dévoré mon cul et ma chatte, le nombre de fois où il m’a prise par la chatte ou le trou du cul, faisant de moi une femelle en chaleur permanente toujours partante à donner sa croupe ou à offrir son con… Et le nombre de fois aussi où il honoré Tante Lucie qui se montrait docile, chienne et terriblement endurante, sans parler du nombre de pipes qu’il lui a demandé tandis que sa queue sortait à peine de mon vagin ou de mon derrière. S’il en est une qui connaît parfaitement le goût des zones très intimes, c’est bien ma marraine !
Avec Mikaël, nous nous comportions comme un petit couple d’adolescents, nous tripotant sans arrêt, nous embrassant sans cesse. Dans les heures qui suivirent la douche qui avait remis en service la buffarde de ma Marraine, celle-ci m’avoua ne pas s’être fait sauter depuis trois longues années avant cette séance aquatique. Elle nous prépara un déjeuner léger tandis que Mikaël me caressait doucement les seins sur le canapé. Nous passons à table passablement excités. Je ne portais qu’un bikini jaune très minimaliste et largement provoquant. Je l’avais emporté dans le but de convier mon mari à un bain de minuit qui réveillerait peut-être notre couple. Au lieu d’une hypothétique excitation de mon mari, je préférais finalement, désormais, le destiner à l’énervement certain de mon beau-frère. Tante Lucie avait passé une robe bandeau rouge ample. Au moment du dessert, Mikaël décida de déguster son sorbet coco sur mes seins. Sans me faire prier, je mis mes tétons à l’air. Il déposé, avec sa cuillère un peu de glace sur chacune de mes tétines bandées par la situation et le froid puis il les gobait, les sucer pour déguster sa glace. Puis il se leva et s’approcha de Tante Lucie. Sans rien dire, il sortit sa queue tendue et la trempa dans la coupe de glace de la sexagénaire. Cette dernière comprit aussitôt et suça onctueusement la bite glacée. Il lui prit alors la tête à deux mains et lui baisa la bouche furieusement mais la mamie tint le coup et ne perdit pas le fil de sa pipe même si de long fil de bave lui coulaient du menton. Il eut encore envie de me prendre après cette pipe rageuse. Je m’allongeais sur le canapé et il vient me couvrir tout en tendresse, tout en douceur. Il me pénétra doucement, me caressa, m’embrassa, bref me fit l’amour comme on me le fit rarement. Mes sens en furent bouleversés et nous décidâmes d’aller profite de la plage voisine.

La plage était celle d’un club de vacances privé mais locaux et touristes se partageaient l’espace. Je marchais lascive, pliée dans mon paréo. Toute émoustillée de me sentir tenue de prêt par un jeune homme aussi séduisant. Les femmes de mon âge me regardaient avec jalousie. Les jeunes hommes devaient se demander comment il avait trouvé cette cougar aux airs si sages. Nous ne cessons de flirter sur la plage quand Mikaël m’annonce qu’il a envie de me « tringler » tout de suite dans l’eau. J’en meurs d’envie mais la plage est encore très fréquentée à cette heure, y compris par des familles de touristes et par de nombreux locaux dont beaucoup de visages qui ne me sont pas inconnus. Il m’embrasse divinement et me glisse délicatement deux doigts dans la chatte. Elle est déjà tellement baveuse ! Inutile de préciser à quel point je suis partante et la situation m’excite déjà. Mais il décide de la pimenter encore avec un jeu un peu plus audacieux. Il me demande de me mettre seins nus. Jusque-là, rien d’exceptionnel car beaucoup de femmes sont topless sur la plage. En revanche, c’est une première pour moi et surtout sur une plage de mon île natale. Je deviens encore plus attentive aux visages connus se trouvant sur la plage. Parmi eux, d’anciens camarades de classe de mes sœurs ou moi-même et quelques anciennes copines de lycée (maintenant mariées et mères de famille) qui me regardent désormais en ajoutant du jugement (les femmes) ou de l’envie (les hommes) à leur insistance. Toujours avec ses doigts plantés dans ma vulve, il me parle à l’oreille et se met à commenter les femmes qui nous entourent. Il me pose des questions sans équivoque. Il veut clairement me faire fantasmer sur des femmes. Ainsi, il me demande laquelle j’aimerai lécher, laquelle j’aimerai voir en train de sucer, de se faire prendre ou sodomiser ; avec laquelle je me mettrai en ciseau pour que nos deux chattes se frottent. Je me prends au jeu et lui réponds avec de plus en plus de précision et d’envie. Les regards sont très insistants sur moi et tout le monde devine aisément que je me fais doigter frénétiquement par mon jeune compagnon. Il retire ses doigts, se lève d’un bond et court à l’eau. Je reste seule sur ma serviette, un peu déboussolée. Je sens une présence derrière moi. Il s’agit d’un monsieur âgé avec un sourire ambigu. Je le reconnais tout de suite, avant même qu’il ne m’appelle par mon prénom. Cyprien est un ami de longue date de mes parents. Je l’ai toujours vu venir passé du temps à la maison. Il doit avoir l’âge de mon père : environ 70 ans. Il connaît mon mari et sait donc bien que ce qu’il a deviné entre moi et mon beau-frère a valeur de chantage. Il me regarde souriant et m’annonce. Je crois que ton amoureux t’attend pour finir ce que vous avez commencé depuis un petit moment… Ton mari sait que tu aimes les jeunes blancs ? Va le rejoindre, je garde vos affaires. Je passerai te voir ce soir. Tu loges chez ta tante Lucie comme à chaque fois que vous venez, c’est bien ça ?
Je suis confuse mais toujours excitée. Avec l’aplomb qu’il me reste à cet instant, je lui dis : « A ce soir alors ! ». Je me lève et marche hâtivement vers la mer. J’y rejoins Mickaël qui m’empoigne immédiatement par les fesses, me serre contre lui. Je sens sa queue gonflée contre le triangle en tissu de mon maillot de bain. Ses mains ouvrent mes fesses. Ses doigts agiles écartent l’entrecuisse de mon slip et sa queue cherche l’entrée de ma grotte. Il m’empale sur son pieu, me regarde dans les yeux. « Il voulait quoi les vieux Cyprien ? » « Ils nous a grillé sur la plage et il va passer chez Marraine ce soir pour me parler ! » « A ton avis, il va te dire quoi ? » « Il va me demander une gâterie… » « Ah bon ? T’es sûre ? » « Oui, je me souviens quand j’étais ado, il a grillé maman avec un parent d’élève et à partir de ce moment-là, il a baisé régulièrement notre mère. Il venait à la maison quand Papa était absent. Il lui touchait le cul, les seins et ils allaient dans la chambre et on entendait maman gémir… » « Mais je croyais que c’était un ami de la famille ? » « C’est un super copain de papa ! Bien sûr puisqu’il baise sa femme depuis des lustres ! Mais c’est un vieux pervers ! Donc je ne m’attends à rien de bon ce soir… C’était le risque… On verra ce soir. En attendant défonce moi mon chéri s’il te plaît ? »Dans l’eau jusqu’aux épaules, il commence à me faire monter et descendre sur sa colonne de chair. Je ne sais si c’est la situation ou le récit mais je joui très rapidement et je sens que j’expulse de jets de cyprine dans la mer. Mon amant décharge bien vite lui aussi. Nous jouons un temps dans l’eau puis décidons de rentrer. Sur la plage, les regards sur nous sont lourds ou envieux. Nous ne nous éternisons pas.
A la maison, Tante Lucie somnole sous le ventilateur du salon. Mickaël s’approche doucement et glisse une main dans son décolleté. Il lui empoigne un sein et commence à le malaxer. A travers ses fines lunettes, Marraine ouvre un œil, sourit et lui dit : « Ta morue t’as pas vidé assez cet après-midi à la plage ? Pourtant vous n’êtes pas passés inaperçus mes cochons. J’ai déjà reçu six ou sept coups de fil de copines, de gens qui t’ont reconnu, Myriam, pour me dire qu’ils t’ont vu faire la trainée avec un ti mâle blanc. J’ai même eu les détails : seins nus, elle gémissait sur la plage puis il l’a cabossé dans la mer… Vous voyez, ici, tout se sait mes chéris… » « Et ça t’a excité vieille salope ? » Lui rétorque Mickaël qui lui triture toujours un néné. Tante Lucie retrousse lestement sa jupe ample et dévoile son abricot brillant… « Je te laisse le vérifier mon grand ! » Lâchant le sein flasque, mon amant se jette sur la vulve béante de ma Marraine et la dévore goulument. Je suis médusée par son appétit. Sans même me jeter un regard, il se relève, attrape la sexagénaire par le bras et la presse vers sa chambre. Je perçois juste une phrase avant que la porte ne se referme « Il faut pas laisser une chatte de mamie dans cet état ! » Je colle mon œil à la serrure et je vois déjà les deux corps nus s’emboitaient. Il monte sur elle avec une énergie folle. Je suis penchée en avant, j’ai dénoué mon paréo qui est sur le sol et la vision de mon amant et ma tante baisant comme des animaux me fait onduler le bassin. Je remue donc doucement et lascivement mon cul de mère de famille seulement vêtu se mon slip de bain jaune et tendu en arrière.
« Quel accueil ! Je n’en attendais pas autant ! » C’est Cyprien qui vient d’entrer et se régale du spectacle décrit.
Il s’approche de moi. Je lui fais face désormais. Il me prend pas la taille et me serre contre lui. « Tu n’es pas idiote. Tu sais comment ça va finir Mymy, n’est-ce pas ? Tu te souviens de ta mère ? Tu me fais bander depuis un sacré moment toi et je ne vais pas t’épargner ma jolie. » Je baisse les yeux pour lui montrer que j’ai compris et que je souhaite son silence vis-à-vis de mon mari. Ses deux grandes mains claquent donc mon cul et sa bouche aspire la mienne. Je sens une terrible érection contre ma cuisse. Il semble très vert pour son âge. « Ton père devrait prendre du viagra pour baiser encore ta mère… Elle s’en plaint à chaque fois qu’elle m’appelle depuis Paris. C’est pour ça que je suis venu en métropole deux fois l’an dernier. Ta maman manque de sexe ma poulette… Comme toi on dirait ! Le viagra, ça marche très bien, tu vas voir ma championne ! » Il me parle, me tripote, me pétris les seins, me malaxe le sexe à travers mon maillot, maltraite mon cul, passe des doigts appuyés le long de ma raie et enfonce une phalange dans mon anus. Je me sens à sa merci et c’est ce qu’il désire. Il me parle, de ma mère, de mon cul qui l’excite depuis mon adolescence, du fait qu’il me trouvait encore plus bandante quand j’étais enceinte ; me parle de maman, de son cul, de la façon dont elle aimait se faire baiser, du fait qu’il lui tétait les seins quand elle était enceinte ou venait juste d’accoucher de mes jeunes sœurs. Je suis autant choquée qu’excitée. Il déballe mes seins, les dévore, les suce. Il remonte me murmure à l’oreille encore des insanités « Tu aimes la queue toi, tu sens le cul depuis que t’as 15 ans, tu as une bouche à pipe et une tête de gentille salope ! » Ses lèvres frôlent mon oreille. Je me tends comme électrisée et il comprend que mes oreilles sont érogènes. Ce qu’il me révèle c’est qu’il s’agit d’un héritage maternel. « Ah tu jouis des oreilles ? Comme ta salope de mère ma jolie… Alors tu vas aimer ça ! » Aussitôt, il me tourne la tête et me dévore l’oreille. Sa langue me fouille en même temps qu’il rentre un doigt dans mon vagin. Je lève un pied du sol pour écarter les cuisses et fléchis les genoux emportée par une vague d’excitation. Sa langue se met à fouetter vigoureusement mon lob et en bas, son pouce clique mon clitoris au même rythme… Je suis complétement emportée et je lâche des râles de femelle en période de chaleur.
Il ne s’arrête pas là et veut vérifier jusqu’où va ma ressemblance avec ma mère qu’il semble connaître sur le bout des doigts… et pas seulement ! Ta mère aime ça aussi. De façon inattendue, ramenant mon visage face à lui, il m’aspire le nez. Aussitôt il pince mon téton droit entre son pouce et son index. Il dévore mon appendice nasal en triturant ma pointe de sein et je sombre à nouveau dans la délectation. C’est encore plus humiliant lorsqu’il revient toucher ma chatte. Elle est tellement gorgée de cyprine que le jus me coule le long des cuisses chaque fois que ses doigts me pistonnent.
C’est à cet instant que Lucie et Mickaël sortent de la chambre. Cyprien marque un temps d’arrêt, relâche mon nez, comprend, sourit vicieusement et dit : « Le lit est chaud on dirait ? C’est notre tour ma chérie ! » Puis à Mickaël : « Tu m’en veux pas, je t’emprunte une de tes deux putains mon garçon… T’as raison de t’énerver sur la vieille Lucie, elle tient encore la route… Mais ta belle-mère vaut encore plus le coup mon gars ! »Laissant la porte ouverte, Cyprien me pousse dans la chambre, me jette sur le lit et baisse son pantalon. Il est l’incarnation du cliché noir. Mon mari a beau être Martiniquais et bien membré ; j’ai beau avoir essayé quelques hommes d’ici et quelques africains en métropole, je n’ai jamais vu un sexe de cette dimension. Dur comme du béton grâce à la pilule magique, je vais comprendre ce que l’expression « se faire démonter » signifie vraiment. Cyprien va ainsi me pilonner pendant près de deux heures. Trois fois il éjaculera sans que son érection ne s’estompe pour me reprendre de plus belle encore et encore. Je « à la casserole » sur le dos, sur le ventre, à quatre pattes, chevauchant, debout penchée en avant, un pied sur la table de nuit, les épaules au sol et les fesses sur le bord du lit… Je n’échapperai pas à une sodomie déchaînée qui m’arrachera des cris de truie et une jouissance incomparable à toutes celles que j’avais pu connaître jusque-là. Je termine épuisée et ouverte comme jamais. J’ai du sperme absolument partout. Mes seins sont collants, ma raie du cul est une rigole de sueur.
Cyprien se rhabille. « Donc demain à 11h chez moi ma jolie Mymy, comme on a dit ! Débardeur moulant, jupe courte et chatte bien rasée surtout ! »Je suis étourdie et comprends à peine ce qu’il me dit. Mon cerveau rembobine. Pendant l’action, tandis qu’il ouvrait mon anus, il m’a proposé en me léchant l’oreille, de venir chez lui le lendemain pour une séance avec des copains à lui. « T’en as envie n’est-ce pas ma grosse pute ? » Dans le feu de l’action et en état second, j’ai crié « Ouiiii putain ouiiiiii je suis ta puuuuute ! » Et il m’a dévoré l’oreille de plus belle en m’enculant fort jusqu’à ce que je jouisse à en presqu’en perdre connaissance.
Ce soir-là, Mickaël a couché avec Tante Lucie et je les ai entendus baiser une grande partie de la nuit.

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Texte coquin : Sacrée Myriam 2
Histoire sexe : Une rose rouge
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