Sacrée Myriam 3
Récit érotique écrit par Aqw123 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-01-2022 dans la catégorie Plus on est
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Sacrée Myriam 3
Le lendemain matin, je peine à sortir de la torpeur en repassant le film de la journée précédente. Dans la chambre d’à côté, j’entends encore Mickaël qui honore tante Lucie sans retenue. J’entends les fessées, les gémissements, les mots crus. Quand je me suis endormie ils baisaient et voilà qu’ils y sont encore. Ma marraine est décidemment increvable pour ces 67 ans.
Je pense à ce qui m’attend et mon RDV chez Cyprien. Incapable de dire pourquoi mais je suis terrorisée par l’idée d’arriver en retard. Je me prépare en me hâtant car le soleil est déjà haut dans le ciel bleu. Mickaël s’en amuse : « T’es vraiment pressée d’aller te faire partouzer ma Mymy… On dirait une collégienne le matin du brevet. Mais t’en fais pas, tu vas l’avoir ton examen ; il suffit juste de donner ton gros cul et pour ça t’es la meilleure ! »Il m’accompagne et nous descendons de voiture à 11h pile. Cyprien nous accueille. Il propose à Mickaël de rester et de participer s’il le souhaite. Il nous précède et nous entrons dans le salon. Sept autres hommes me dévisagent et détaillent mon corps. Il y a là un de mes anciens profs d’histoire géo au lycée. Il doit avoir le même âge que Cyprien mais semble moins en forme. Petit, trapu, bedonnant, le front luisant de sueur. Un homme blanc d’une cinquantaine d’année, un autre à qui je donne juste 20 ans. J’apprendrais bien vite qu’il s’agit du père et du fils. Je reconnais deux charmants antillais avec qui j’ai dû aller en classe au collège. Un autre vieil homme, assis dans un fauteuil me regarde avec envie. Il s’agit de l’ancien banquier de mes parents. Il passait souvent à la maison et appelait souvent pour convoquer ma mère qui collectionnait les prêts conso et les découverts. Enfin, un homme pâle et roux au visage anguleux d’une trentaine d’année. Il s’agit d’un touriste anglais dont je me souviens aussitôt. Sa femme et lui étaient assis à côté de Mickaël et moi hier, sur la plage. Il me connait donc déjà très bien…Mickaël s’assoit discrètement dans un coin de la pièce tandis que Cyprien prend la parole en me poussant au milieu du salon. « Voilà Myriam les copains. Certains la connaissent, d’autres pas encore mais elle est venue pour se faire baiser. Elle est maman donc pas la peine de prendre des gants, elle aime la queue, j’ai pu le vérifier hier soir ! Mymy, je te présente tes étalons. J’espère que t’es en forme parce que certains veulent ton cul depuis des années, n’est-ce pas Marius et Théodore ? » Mes anciens camarades de classe acquiescent.
« Elle était déjà bandante au collège, hein les gars ? Mais vous allez bien rattraper le temps perdu et lui monter dessus comme elle me mérite !
Monsieur Léonard, vous, vous avez surtout utilisé sa maman quand vous teniez la caisse d’épargne de St Anne, c’est bien ça ?... Fallait régler les découverts alors la gentille institutrice donnait son cul facilement, n’est-ce pas ? » Le vieux banquier sourit de façon lubrique… et précise « Parfois, on le lui achetait même pour l’offrir à nos meilleurs conseillers en récompense son joli cul d’institutrice ! » L’éclat de rire est général. Je suis choquée…Cyprien reprend : « Mymy, tu vas faire une bonne œuvre pour le tourisme de l’île. Tu vois ce grand monsieur très blanc. Il s’agit d’un touriste anglais à qui tu as tapé dans l’œil hier et il n’a jamais retourné une négresse… Tout comme nos deux amis qui sont père et fils et qui vont retourner en métropole en disant à leurs amis qu’ils se sont mis une négresse au bout de la queue !... Et enfin, tu te souviens de Monsieur Lavelor que tu avais en histoire et géo au lycée… Figure toi qu’il se souvient très bien de ton petit cul de lycéenne que tu lui avais gentiment montré pour qu’il ne dise pas à ta maman que tu avais triché à un contrôle, je crois ?... Eh bien plus de 20 après, il a envie de rentrer dedans, figure toi !... »« Il a bien fait d’être patient ! » lance l’ancien banquier et l’éclat de rire est à nouveau général.
Cette histoire est vieille mais son souvenir me revient. En classe de terminale, un jour de contrôle surprise, j’avais discrètement sorti mon cours pour tricher et éviter une mauvaise note. Pendant le contrôle, Monsieur Lavelor s’en est aperçu et il est venu se placer juste derrière moi jusqu’à la fin de l’épreuve. Il m’a calmement demandé de rester tandis que les autres élèves quittaient la classe. Il a alors commencé à me réprimander, me menaçant d’informer mes parents via un mot sur mon carnet de correspondance. Je le suppliais de ne pas faire ça et dans un élan de désespoir puisqu’il semblait inflexible, je commençais à relever ma jupe sur mes cuisses jusqu’à dévoiler mon fond de culotte. Il est alors devenu blême me demandant ce que je faisais. «Je sais que vous aimez bien me faire passer au tableau quand je suis en short moulant Monsieur. Je sais que vous me regardez souvent. Je vous laisse me regarder toute nue et vous ne dites rien à mes parents… » Comme il ne parlait plus, j’ai pris cela pour un marché conclut. Alors, je me suis mise nue, dévoilant mes jeunes seins, mon sexe orné d’un triangle de poils crépus et noirs. Il est passé derrière moi, a empoigné mes mamelons, les pressant puis j’ai senti son visage descendre le long de mon dos. En face de mes fesses, il est resté un temps contemplatif puis il a enfoui son visage dans mon cul. Il m’a reniflé bruyamment, j’ai senti sa langue s’engageait entre mes cuisses et râper la sortie de ma fente puis remonter sur mon anus. Pendant quelques minutes, il s’est enivré de mes effluves de jeune fille et repus de mon intimité de pucelle. Puis il s’est relevé, m’a demandé de me rhabiller et nous n’avons plus jamais parlé de rien. Je me souviens juste que j’avais eu la meilleure note de la classe à ce contrôle surprise !
Perdu dans mes pensées, je ne remarque même pas que les mâles désormais m’entourent. Certains ont sorti leurs queues et les attouchements commencent. Je suis happée par des mains, serrée par des bras, gobée par des bouches. Ma jupe est déjà troussée et mon arrière train, tâté, claqué, pincé puis… mordu ! C’est Monsieur Lavelor qui s’est remis dans la même situation qu’il y a plus de 20 ans et qui me renifle, me dévore, me goûte. « Alors, elle sent toujours bon du cul ? » lui demande un autre. Sortant son visage usé de ma raie : « Elle a bien mûrit mais elle pue comme il faut les gars ! Ça sent la moule ! » Et il reprend sa dégustation. Comme mes seins sont déballés de mon top et mes tétons tirés fortement, je me penche en avant et mon lécheur s’en réjoui.
Des bites claquent mon visage, mes cheveux sont tirés et je prends une première tige en bouche. C’est celle de l’anglais. Je pompe mais les autres sont pressants. Alors je commence à passer ma bouche d’une à l’autre. Les queues blanches et d’autres noires se remplacent dans ma bouche. Je suis nue désormais et touché de toutes parts. Le jeune homme blanc a remplacé Monsieur Lavelor et il me lèche la chatte par devant au même moment, je remarque que je suis en train de sucer son père. Les mots crus se font plus de en plus précis. Les doigts me fouillent, on écarte mes fesses, on malaxe mes seins, on claque mes joues à coups de bite ou avec des gifles nerveuses. Je reçois des fessées, on claque aussi mes seins qui ballottent. Je suis toujours penchée en avant et je sens une première queue qui rentre en moi. Incapable de dire qui me prend. Je continue de sucer les sexes que l’on me présente. L’homme en moi commence à me pilonner avec énergie. Je tombe à genoux puis à 4 pattes et un autre vient le remplacer, toujours par derrière. Cette fois, je sens des doigts qui s’invitent dans rectum. Mon ancien prof semble se faire sucer avec délectation en décrivant aux autres la lycéenne que j’étais. Mes anciens camarades de classe abondent en disant que j’étais déjà bandante au collège et ils prennent une initiative. L’un d’eux s’allonge au sol. Je comprends l’invitation. Je me libère poliment de la saillie virile que je suis en train de recevoir. J’en profite pour jeter un œil derrière moi et constate que c’était l’ancien banquier qui me limait.
J’enjambe mon ancien camarade de classe et commence à le chevaucher. Il me saisit par la nuque, me plaque contre lui et me défonce en force. Je gémis. La tempête se calme et j’entends les encouragements des hommes sans comprendre. Mon autre camarade de classe s’est posté derrière moi et appuie son gland sur mon anus. J’essaie de me débattre en protestation. Son pote me tient fort contre lui d’une main et écarte ma fesse droite de l’autre. Assez vite, je sens glisser le chibre du second dans le conduis de mon cul et je prends ma première double pénétration de la journée. Les 2 me besognent en cadence et l’anglais en profite pour se faire sucer à nouveau. Sans doute serré par mon trou du cul, c’est celui de derrière qui jouit en premier, m’inondant le fessier de son foutre. Son copain ne tarde pas. Je le sens dur comme du fer en moi et je suis moi-même proche de l’orgasme. A ce moment, Mickaël ordonne à mon étalon : « Mets lui une bonne gifle maintenant, ça va la faire jouir ! » Je me souviens lui avoir parlé de cette pratique quand nous étions dans l’avion. Mon baiseur s’exécute ; me balance une bonne paire de gifles qui cinglent mes joues en me traitant de « pute » et je pars dans un orgasme bruyant. Il arrache sa queue de ma chatte. Se dégage d’en dessous de moi, se relève et vient éjaculer abondamment sur mon visage ruisselant de sueur et déformé par l’orgasme dont je me remets tout juste. Pas le temps pour la toilette. Je me sens attrapée par la taille et un homme tente de me retourner. Il est couché à côté de moi et me retourne pour me faire m’empaler sur sa verge mais en lui tournant le dos. C’est le british. Sa longue queue fine et pâle rentre sans mal dans ma vulve béante. Je m’allonge à plat dos sur son torse. Il passe ses mains sous mes genoux pour me plier les jambes et les ouvrir. J’ai les jambes en l’air et il me saute en donnant de grands coups de bassin sous moi. C’est alors que le vieux banquier se rappelle d’un détail : « Sa mère adorait cette position aussi mais c’était surtout bien pratique pour faire quelque chose… regardez ! Elle doit être assez large pour ça elle aussi. »Pliant ses genoux face à moi, il appuie son gland sur la bite de l’anglais plantée en moi. Je crie « Non, non, pas à deux, pas à deux ! Monsieur l’anglais, passez dans mon cul s’il vous plait !! » Mais je ne suis pas écouté et je sens que je m’ouvre comme jamais tandis que la bite du banquier rejoint celle de l’anglais dans mon vagin. Les minutes qui suivent, je me fais donc baiser en double pénétration vaginale ! Je me sens fendu à chaque coup de piston.
Le banquier m’éjacule sur les seins et l’anglais ne prend pas la peine de se retirer, me garnissant la grotte. Je suis allongée sur le sol, complétement cassée et les sens déroutés.
Le petit jeune se couche alors timidement sur moi. Son père l’encourage « Baise ta négresse mon grand ! » Il me regarde dans les yeux et guide, de sa main, sa queue vers ma chatte. Elle est tellement défoncée et distendue qu’il rentre sans mal. Mais au moment où il prend possession de mon con, nos regards se croisent et je ressens comme une pulsion amoureuse. Je perds pieds et l’embrasse à pleine bouche. Je lui roule des pelles de femme amoureuse tandis qu’il s’active en moi. Nous roulons et je me retrouve sur lui. Ma chatte est trop élargie pour sentir vraiment ce qu’il me fait mais je suis tout à coup folle de lui. Les autres remarquent mon enthousiasme et s’en délectent. « Oh putain, elle est au mâle la maman ! » « Ça y est, le cul lui brûle ! » « Le petit peut lui faire le 3eme gosse s’il veut je pense, elle ne dira pas non ! » etc.
Cyprien suggère à mon amant du moment : « Lèche lui l’oreille, elle adore ça ». Il s’exécute et je jouis une nouvelle fois en me montrant fontaine. J’inonde le ventre de ce pauvre jeune homme dont je suis folle amoureuse à cet instant précis. Lui me renvoie à des sentiments plus bestiaux. Il me serre la gorge en éructant « T’es une salope de concours, toi ! T’es une bonne grosse poufiasse ! » C’est le moment que choisi son père pour me prendre par les hanches. Il se penche sur moi, me mordille une oreille et me préviens. « Après le fils, le père !... Mais moi, les blacks, je les encule ! » Sans aucun ménagement ni aucune douceur, il enfourne sa verge dans mon trou du cul. Je pousse un cri car son fils est encore dans ma chatte. Je suis de nouveau en double pénétration.
Le rejeton se dégage de sous moi. Son père noue ses bras sur mon ventre et roule sur le dos. Je suis de nouveau les jambes en l’air mais la chatte offerte et libre car c’est bien par le cul que je suis en train de me faire défoncer. Mon ancien professeur ne peut résister à la vue de ma grosse vulve rose, gluante et grande ouverte. Il glisse sa queue à l’intérieur. Le petit jeune à envie de se finir, alors il enjambe mon torse et sers mes gros seins sur sa queue. Il s’offre une branlette espagnole avec mes globes tandis que son papa me fait le cul. Il m’éjacule abondement dans le cou.
Le père finit par jouir hors de mon anus et souille mes fesses mais il continue de me tenir les cuisses bien ouvertes pour permettre à mon ancien professeur de prendre son plaisir. Lui aussi se retire juste avant d’exploser et il m’arrose le ventre et mon pubis rasé.
Cyprien m’invite à prendre une douche rapide mais en revenant, je constate que tous les mâles sont de nouveau au garde à vous et les hostilités reprennent de plus belle. Cyprien va m’honorer lui aussi, en double pénétration avec l’anglais. La sensibilité de mes oreilles et de mon nez va être mise à rude épreuve puisque mes anciens camarades de classe se demandant si ces zones ne sont sensibles qu’aux coups de langue vont essayer plusieurs combinaisons. Ainsi, quasiment tous à un moment ou un autre vont essayer de me fourrer par les oreilles ou par les narines. Certains comme l’anglais ou le père du petit jeune vont aller jusqu’à m’éjaculer dans les oreilles et l’ancien banquier de mes parents va me lâcher une purée épaisse dans une narine. Le petit jeune va m’enculer avec rage et je ne sais combien de double pénétration je vais encaisser. Le bouquet final va me voir en triple pénétration avec mon ancien prof sous moi et engager dans mon anus tandis que Cyprien debout au-dessus de moi et l’anglais se tenant entre mes cuisses, se logent à deux dans ma chatte…
Mickaël me ramène chez tante Lucie et commence à lui montrer les vidéos de ma séance tandis que je pars me coucher directement, épuisée.
Cette nuit-là encore, Mickaël va baiser tante Lucie en projetant la vidéo de moi me faisant partouzer par huit hommes…
Je pense à ce qui m’attend et mon RDV chez Cyprien. Incapable de dire pourquoi mais je suis terrorisée par l’idée d’arriver en retard. Je me prépare en me hâtant car le soleil est déjà haut dans le ciel bleu. Mickaël s’en amuse : « T’es vraiment pressée d’aller te faire partouzer ma Mymy… On dirait une collégienne le matin du brevet. Mais t’en fais pas, tu vas l’avoir ton examen ; il suffit juste de donner ton gros cul et pour ça t’es la meilleure ! »Il m’accompagne et nous descendons de voiture à 11h pile. Cyprien nous accueille. Il propose à Mickaël de rester et de participer s’il le souhaite. Il nous précède et nous entrons dans le salon. Sept autres hommes me dévisagent et détaillent mon corps. Il y a là un de mes anciens profs d’histoire géo au lycée. Il doit avoir le même âge que Cyprien mais semble moins en forme. Petit, trapu, bedonnant, le front luisant de sueur. Un homme blanc d’une cinquantaine d’année, un autre à qui je donne juste 20 ans. J’apprendrais bien vite qu’il s’agit du père et du fils. Je reconnais deux charmants antillais avec qui j’ai dû aller en classe au collège. Un autre vieil homme, assis dans un fauteuil me regarde avec envie. Il s’agit de l’ancien banquier de mes parents. Il passait souvent à la maison et appelait souvent pour convoquer ma mère qui collectionnait les prêts conso et les découverts. Enfin, un homme pâle et roux au visage anguleux d’une trentaine d’année. Il s’agit d’un touriste anglais dont je me souviens aussitôt. Sa femme et lui étaient assis à côté de Mickaël et moi hier, sur la plage. Il me connait donc déjà très bien…Mickaël s’assoit discrètement dans un coin de la pièce tandis que Cyprien prend la parole en me poussant au milieu du salon. « Voilà Myriam les copains. Certains la connaissent, d’autres pas encore mais elle est venue pour se faire baiser. Elle est maman donc pas la peine de prendre des gants, elle aime la queue, j’ai pu le vérifier hier soir ! Mymy, je te présente tes étalons. J’espère que t’es en forme parce que certains veulent ton cul depuis des années, n’est-ce pas Marius et Théodore ? » Mes anciens camarades de classe acquiescent.
« Elle était déjà bandante au collège, hein les gars ? Mais vous allez bien rattraper le temps perdu et lui monter dessus comme elle me mérite !
Monsieur Léonard, vous, vous avez surtout utilisé sa maman quand vous teniez la caisse d’épargne de St Anne, c’est bien ça ?... Fallait régler les découverts alors la gentille institutrice donnait son cul facilement, n’est-ce pas ? » Le vieux banquier sourit de façon lubrique… et précise « Parfois, on le lui achetait même pour l’offrir à nos meilleurs conseillers en récompense son joli cul d’institutrice ! » L’éclat de rire est général. Je suis choquée…Cyprien reprend : « Mymy, tu vas faire une bonne œuvre pour le tourisme de l’île. Tu vois ce grand monsieur très blanc. Il s’agit d’un touriste anglais à qui tu as tapé dans l’œil hier et il n’a jamais retourné une négresse… Tout comme nos deux amis qui sont père et fils et qui vont retourner en métropole en disant à leurs amis qu’ils se sont mis une négresse au bout de la queue !... Et enfin, tu te souviens de Monsieur Lavelor que tu avais en histoire et géo au lycée… Figure toi qu’il se souvient très bien de ton petit cul de lycéenne que tu lui avais gentiment montré pour qu’il ne dise pas à ta maman que tu avais triché à un contrôle, je crois ?... Eh bien plus de 20 après, il a envie de rentrer dedans, figure toi !... »« Il a bien fait d’être patient ! » lance l’ancien banquier et l’éclat de rire est à nouveau général.
Cette histoire est vieille mais son souvenir me revient. En classe de terminale, un jour de contrôle surprise, j’avais discrètement sorti mon cours pour tricher et éviter une mauvaise note. Pendant le contrôle, Monsieur Lavelor s’en est aperçu et il est venu se placer juste derrière moi jusqu’à la fin de l’épreuve. Il m’a calmement demandé de rester tandis que les autres élèves quittaient la classe. Il a alors commencé à me réprimander, me menaçant d’informer mes parents via un mot sur mon carnet de correspondance. Je le suppliais de ne pas faire ça et dans un élan de désespoir puisqu’il semblait inflexible, je commençais à relever ma jupe sur mes cuisses jusqu’à dévoiler mon fond de culotte. Il est alors devenu blême me demandant ce que je faisais. «Je sais que vous aimez bien me faire passer au tableau quand je suis en short moulant Monsieur. Je sais que vous me regardez souvent. Je vous laisse me regarder toute nue et vous ne dites rien à mes parents… » Comme il ne parlait plus, j’ai pris cela pour un marché conclut. Alors, je me suis mise nue, dévoilant mes jeunes seins, mon sexe orné d’un triangle de poils crépus et noirs. Il est passé derrière moi, a empoigné mes mamelons, les pressant puis j’ai senti son visage descendre le long de mon dos. En face de mes fesses, il est resté un temps contemplatif puis il a enfoui son visage dans mon cul. Il m’a reniflé bruyamment, j’ai senti sa langue s’engageait entre mes cuisses et râper la sortie de ma fente puis remonter sur mon anus. Pendant quelques minutes, il s’est enivré de mes effluves de jeune fille et repus de mon intimité de pucelle. Puis il s’est relevé, m’a demandé de me rhabiller et nous n’avons plus jamais parlé de rien. Je me souviens juste que j’avais eu la meilleure note de la classe à ce contrôle surprise !
Perdu dans mes pensées, je ne remarque même pas que les mâles désormais m’entourent. Certains ont sorti leurs queues et les attouchements commencent. Je suis happée par des mains, serrée par des bras, gobée par des bouches. Ma jupe est déjà troussée et mon arrière train, tâté, claqué, pincé puis… mordu ! C’est Monsieur Lavelor qui s’est remis dans la même situation qu’il y a plus de 20 ans et qui me renifle, me dévore, me goûte. « Alors, elle sent toujours bon du cul ? » lui demande un autre. Sortant son visage usé de ma raie : « Elle a bien mûrit mais elle pue comme il faut les gars ! Ça sent la moule ! » Et il reprend sa dégustation. Comme mes seins sont déballés de mon top et mes tétons tirés fortement, je me penche en avant et mon lécheur s’en réjoui.
Des bites claquent mon visage, mes cheveux sont tirés et je prends une première tige en bouche. C’est celle de l’anglais. Je pompe mais les autres sont pressants. Alors je commence à passer ma bouche d’une à l’autre. Les queues blanches et d’autres noires se remplacent dans ma bouche. Je suis nue désormais et touché de toutes parts. Le jeune homme blanc a remplacé Monsieur Lavelor et il me lèche la chatte par devant au même moment, je remarque que je suis en train de sucer son père. Les mots crus se font plus de en plus précis. Les doigts me fouillent, on écarte mes fesses, on malaxe mes seins, on claque mes joues à coups de bite ou avec des gifles nerveuses. Je reçois des fessées, on claque aussi mes seins qui ballottent. Je suis toujours penchée en avant et je sens une première queue qui rentre en moi. Incapable de dire qui me prend. Je continue de sucer les sexes que l’on me présente. L’homme en moi commence à me pilonner avec énergie. Je tombe à genoux puis à 4 pattes et un autre vient le remplacer, toujours par derrière. Cette fois, je sens des doigts qui s’invitent dans rectum. Mon ancien prof semble se faire sucer avec délectation en décrivant aux autres la lycéenne que j’étais. Mes anciens camarades de classe abondent en disant que j’étais déjà bandante au collège et ils prennent une initiative. L’un d’eux s’allonge au sol. Je comprends l’invitation. Je me libère poliment de la saillie virile que je suis en train de recevoir. J’en profite pour jeter un œil derrière moi et constate que c’était l’ancien banquier qui me limait.
J’enjambe mon ancien camarade de classe et commence à le chevaucher. Il me saisit par la nuque, me plaque contre lui et me défonce en force. Je gémis. La tempête se calme et j’entends les encouragements des hommes sans comprendre. Mon autre camarade de classe s’est posté derrière moi et appuie son gland sur mon anus. J’essaie de me débattre en protestation. Son pote me tient fort contre lui d’une main et écarte ma fesse droite de l’autre. Assez vite, je sens glisser le chibre du second dans le conduis de mon cul et je prends ma première double pénétration de la journée. Les 2 me besognent en cadence et l’anglais en profite pour se faire sucer à nouveau. Sans doute serré par mon trou du cul, c’est celui de derrière qui jouit en premier, m’inondant le fessier de son foutre. Son copain ne tarde pas. Je le sens dur comme du fer en moi et je suis moi-même proche de l’orgasme. A ce moment, Mickaël ordonne à mon étalon : « Mets lui une bonne gifle maintenant, ça va la faire jouir ! » Je me souviens lui avoir parlé de cette pratique quand nous étions dans l’avion. Mon baiseur s’exécute ; me balance une bonne paire de gifles qui cinglent mes joues en me traitant de « pute » et je pars dans un orgasme bruyant. Il arrache sa queue de ma chatte. Se dégage d’en dessous de moi, se relève et vient éjaculer abondamment sur mon visage ruisselant de sueur et déformé par l’orgasme dont je me remets tout juste. Pas le temps pour la toilette. Je me sens attrapée par la taille et un homme tente de me retourner. Il est couché à côté de moi et me retourne pour me faire m’empaler sur sa verge mais en lui tournant le dos. C’est le british. Sa longue queue fine et pâle rentre sans mal dans ma vulve béante. Je m’allonge à plat dos sur son torse. Il passe ses mains sous mes genoux pour me plier les jambes et les ouvrir. J’ai les jambes en l’air et il me saute en donnant de grands coups de bassin sous moi. C’est alors que le vieux banquier se rappelle d’un détail : « Sa mère adorait cette position aussi mais c’était surtout bien pratique pour faire quelque chose… regardez ! Elle doit être assez large pour ça elle aussi. »Pliant ses genoux face à moi, il appuie son gland sur la bite de l’anglais plantée en moi. Je crie « Non, non, pas à deux, pas à deux ! Monsieur l’anglais, passez dans mon cul s’il vous plait !! » Mais je ne suis pas écouté et je sens que je m’ouvre comme jamais tandis que la bite du banquier rejoint celle de l’anglais dans mon vagin. Les minutes qui suivent, je me fais donc baiser en double pénétration vaginale ! Je me sens fendu à chaque coup de piston.
Le banquier m’éjacule sur les seins et l’anglais ne prend pas la peine de se retirer, me garnissant la grotte. Je suis allongée sur le sol, complétement cassée et les sens déroutés.
Le petit jeune se couche alors timidement sur moi. Son père l’encourage « Baise ta négresse mon grand ! » Il me regarde dans les yeux et guide, de sa main, sa queue vers ma chatte. Elle est tellement défoncée et distendue qu’il rentre sans mal. Mais au moment où il prend possession de mon con, nos regards se croisent et je ressens comme une pulsion amoureuse. Je perds pieds et l’embrasse à pleine bouche. Je lui roule des pelles de femme amoureuse tandis qu’il s’active en moi. Nous roulons et je me retrouve sur lui. Ma chatte est trop élargie pour sentir vraiment ce qu’il me fait mais je suis tout à coup folle de lui. Les autres remarquent mon enthousiasme et s’en délectent. « Oh putain, elle est au mâle la maman ! » « Ça y est, le cul lui brûle ! » « Le petit peut lui faire le 3eme gosse s’il veut je pense, elle ne dira pas non ! » etc.
Cyprien suggère à mon amant du moment : « Lèche lui l’oreille, elle adore ça ». Il s’exécute et je jouis une nouvelle fois en me montrant fontaine. J’inonde le ventre de ce pauvre jeune homme dont je suis folle amoureuse à cet instant précis. Lui me renvoie à des sentiments plus bestiaux. Il me serre la gorge en éructant « T’es une salope de concours, toi ! T’es une bonne grosse poufiasse ! » C’est le moment que choisi son père pour me prendre par les hanches. Il se penche sur moi, me mordille une oreille et me préviens. « Après le fils, le père !... Mais moi, les blacks, je les encule ! » Sans aucun ménagement ni aucune douceur, il enfourne sa verge dans mon trou du cul. Je pousse un cri car son fils est encore dans ma chatte. Je suis de nouveau en double pénétration.
Le rejeton se dégage de sous moi. Son père noue ses bras sur mon ventre et roule sur le dos. Je suis de nouveau les jambes en l’air mais la chatte offerte et libre car c’est bien par le cul que je suis en train de me faire défoncer. Mon ancien professeur ne peut résister à la vue de ma grosse vulve rose, gluante et grande ouverte. Il glisse sa queue à l’intérieur. Le petit jeune à envie de se finir, alors il enjambe mon torse et sers mes gros seins sur sa queue. Il s’offre une branlette espagnole avec mes globes tandis que son papa me fait le cul. Il m’éjacule abondement dans le cou.
Le père finit par jouir hors de mon anus et souille mes fesses mais il continue de me tenir les cuisses bien ouvertes pour permettre à mon ancien professeur de prendre son plaisir. Lui aussi se retire juste avant d’exploser et il m’arrose le ventre et mon pubis rasé.
Cyprien m’invite à prendre une douche rapide mais en revenant, je constate que tous les mâles sont de nouveau au garde à vous et les hostilités reprennent de plus belle. Cyprien va m’honorer lui aussi, en double pénétration avec l’anglais. La sensibilité de mes oreilles et de mon nez va être mise à rude épreuve puisque mes anciens camarades de classe se demandant si ces zones ne sont sensibles qu’aux coups de langue vont essayer plusieurs combinaisons. Ainsi, quasiment tous à un moment ou un autre vont essayer de me fourrer par les oreilles ou par les narines. Certains comme l’anglais ou le père du petit jeune vont aller jusqu’à m’éjaculer dans les oreilles et l’ancien banquier de mes parents va me lâcher une purée épaisse dans une narine. Le petit jeune va m’enculer avec rage et je ne sais combien de double pénétration je vais encaisser. Le bouquet final va me voir en triple pénétration avec mon ancien prof sous moi et engager dans mon anus tandis que Cyprien debout au-dessus de moi et l’anglais se tenant entre mes cuisses, se logent à deux dans ma chatte…
Mickaël me ramène chez tante Lucie et commence à lui montrer les vidéos de ma séance tandis que je pars me coucher directement, épuisée.
Cette nuit-là encore, Mickaël va baiser tante Lucie en projetant la vidéo de moi me faisant partouzer par huit hommes…
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