Sacrée Myriam 4
Récit érotique écrit par Aqw123 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-01-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Sacrée Myriam 4
Je suis réveillée par des bruits de cuillères qui tintent dans des tasses et des conversations paisibles. Je sors de la chambre en shorty et débardeur et je découvre, partageant thé et café, Mickaël, tante Lucie, le vieux Cyprien mais aussi l’anglais d’hier ainsi qu’une femme brune aux fines lunettes dorées et au brushing impeccable. Le british me présente immédiatement son épouse et son aucun embarras : «Lisa, Darling, voici Myriam, la cochonne qui nous a occupé hier tout l’après-midi. » En se tournant, Mickaël me saisit par le bras et m’attire à lui. Je me pose négligemment sur un de ses genoux et je souris à Lisa. Elle doit avoir plus de cinquante ans mais et très bien conservée. Son visage est fin, strié de rides. Sa bouche est bien dessinée. Son débardeur semble cacher deux jolis seins et on voit la naissance de son sillon mammaire. Plus tard, je constaterai un gros cul plantureux qui dénote avec un buste aussi fin et des cuisses imposantes.
Mickaël s’intéresse en me caressant doucement la cuisse : « Tu as bien dormi ma Mymy chérie ? Bien remise de ta séance d’hier ? » L’anglaise se montre admirative : « Mon mari m’a raconté un peu : quelle journée vous avez passé ma chère ! » Puis Cyprien met fin au suspens : « Mymy, ton mari débarque demain et j’ai envie de te voir te faire gouiner avant ça. Comme John m’a prévenu que sa femme est bi, et comme je sais qu’elle aime le cul puisque je lui passe dessus, à la demande de son mari, depuis plusieurs jours, elle est là pour ton cul ma poulette ! » « Mais je n’ai jamais gouiné une femme… » Lisa se lève, se pose derrière moi et descend doucement ses mains de mes épaules vers mes seins. « Ce n’est pas grave du tout ma chérie. Et tu es tellement bonne que je vais me régaler avec toi. Je te guiderai et on va bien s’amuser ! »
Ses mains sont douces et précises. Ses paumes frottent mes gros tétons à travers mon débardeur et je commence à onduler doucement mon bassin. Je sens l’excitation montée et je sens Mickaël qui bande sous mes fesses. Il passe une main dans le dos de Lisa et la descend sur son gros pétard capitonné en demandant : « Il paraît que les anglaises sont de grosses chaudasses ? » Je suis sud-africaine précise Lisa. Descendante d’afrikaners et l’idée de faire crier une négresse me plaît beaucoup. Ces mots me font tressaillir. Je vais donc me mélanger avec une vieille bourgeoise limite raciste et rétrograde. Cyprien vole à mon secours « T’inquiète Mymy, depuis une semaine que je l’encule chaque jour, elle commence à considérer les noirs autrement ! »Lisa est désormais penchée dans mon cou. Elle me parcourt la nuque du bout de sa langue et sa main gauche a quitté ma poitrine pour masser ma moule à travers mon shorty. « Je veux ta grosse huitre ma jolie négresse » murmure-t-elle avant de me mordre violemment. Je crie de douleur et elle se met face à moi. Ses yeux sont désormais colériques. « T’aimes pas te faire mordre salope ? Mais il va falloir t’y faire parce que je vais tout te faire subir grosse putain ! » Elle pince mes seins très fort et je me lève d’un bond. Je suis de la même taille qu’elle et elle me prend la bouche avec furie. Ses mains claquent mon cul, ses ongles griffent mon dos et elle glisse une cuisse entre les miennes. «Il parait que tu mouilles beaucoup grosse poufiasse ?... Viens, on va voir ça ! »
Elle me tire dans la chambre et les autres suivent pour assister à notre accouplement. Je dois reconnaître que son comportement m’excite et que je suis effectivement trempée. Elle baisse mon shorty et se retrouve en face de ma chatte gonflée de désir. Elle glisse son index entre mes grandes lèvres pour les séparer et constater que je suis mouillée à souhait. Elle renifle son doigt et me regarde en faisant un clin d’œil. Elle m’embrasse doucement le sexe, glisse la longueur de sa langue le long de ma fente. J’ouvre doucement les cuisses. Elle engage encore un peu plus sa tête. Ses mains pressent mes fesses pour me faire avancer et je me retrouve bien vite complétement posé au-dessus de son visage, sa tête penchée en arrière complétement entre mes cuisses grandes ouvertes puisque je l’enjambe. Son nez pointu est entouré de mes poils pubiens et elle me mange divinement la minette. Je me sens outrageusement ouverte et chaque coup de langue, chaque succion, chaque respiration de ma bouffeuse me procure un peu plus de plaisir. Je tiens sa tête, je tire ses cheveux et elle m’enfonce soudain un puis deux doigts dans l’anus. J’explose en un orgasme bruyant.
Elle se dégage d’entre mes cuisses le visage ruisselant de ma cyprine et elle m’invite à m’allonger sur le lit… mais sur le ventre. Elle ouvre mes fesses à deux mains et contemple mes orifices puis vient me renifler d’une façon très animale. Elle s’allonge sur mon dos en me félicitant « J’adore l’odeur de ton trou du cul grosse pute ! Tu sens la jument ! Tu sens la chienne en chaleur toujours prête à se faire remplir ! On va passer aux choses sérieuses ma pétasse mais d’abord tu vas me bouffer le cul toi aussi. Elle s’assoit d’un bond sur mon dos, empoigne mes cheveux et me tire la tête en arrière ce qui m’oblige à lever le buste. Aussitôt, sa main libre m’assène une monumentale claque sur chaque sein. Je crie. « Mets-toi sur le dos, la négresse ! » Elle me tient fermement par les cheveux en descend de sur moi. Je ne peux m’exécuter alors saisissant un objet derrière elle « Ah, tu refuses d’obéir, guenon ?... Alors prends ça ! Je vais te dresser moi ! » Elle cingle mon derrière avec une cravache puis recommence et me lâche enfin les cheveux. Je roule sur le dos, le cul meurtri et je regarde effrayée cette vicieuse. Elle pose la cravache un instant, se jette sur mes seins. Elle les mord les suce, les lèche et une vague d’excitation me reprend. Elle s’interrompt alors et interroge son mari en anglais. Il lui passe aussitôt quelque chose et je ne tarde pas à comprendre qu’il s’agit de pinces métalliques pour chacun de mes tétons bien trop bandés pour y échapper. Elle me pose les pinces avec une grande dextérité qui trahit son habitude de ce genre de pratiques. Les pinces sont reliées entre elles par une chainette en argent. La douleur et la gêne que procure ces objets sur mes tétines sont vite remplacés par un plaisir nouveau quand Lisa me lèche doucement la pointe de chaque téton qui dépasse de la pince. Je ne pensais pas que mes tétines étaient si longues et je me délecte de sa caresse. En même temps, elle commence à doigter mon gros abricot redevenu juteux. « John, baise là ordonne-t-elle » Dans la chambre, tout le monde se masturbe autour du lit donc son mari ne se fait pas prier. Il se place entre mes cuisses et enfonce sa queue dans mon fourreau. Lisa enjambe mon visage en faisant face à son mari et vient poser son sexe lisse et baveux sur ma bouche. Elle attrape la chaîne qui relie les pinces qui me tiennent les pointes des nénés et la tire vers le haut. Mes mamelles se tendent vers le plafond et je crie, étouffée dans sa vulve visqueuse. « Lèche morue ! » Ordonne-t-elle. Je m’exécute et quand elle trouve mes caresses pas assez engagées, elle tire sur la chaîne et je comprends alors que ma langue doit la fouiller plus profond, que mes lèvres doivent aspirer son clitoris plus fort… Elle glisse sur mon visage et mon nez frotte désormais son anus rose et puant. Pour une première, je suis fière car elle jouit en m’insultant tandis que son mari me lime de plus en plus fort. Elle s’affale sur moi de tout son long et j’ai son cul grand ouvert qui me passe sur le visage. Elle me mord le mont venus et pince mon clitoris. Son mari m’a levé les jambes pour me fendre encore plus et je joui moi aussi comme une folle. Elle descend de sur moi mais John n’a pas fini de m’honorer. Mon orgasme l’a bien excité et il éjacule au fond de ma chatte.
Ce laps de temps a été mis à profit par Lisa qui a enfilé un gode ceinture et à peine son mari sortit de moi, elle m’ordonne de me mettre à quatre pattes.
Elle me glisse le cylindre entre les cuisses pour le lubrifier puis vient maintenant l’appuyer sur ma rosette brulante. J’ai tellement joui que j’ai de toute façon le cul ouvert. Malgré la dimension abusive de l’objet, avec un peu de concentration et en poussant comme je sais le faire, je l’accueille sans trop de problème dans mon rectum. Lisa en est ravie. Elle se couche sur mon dos en donnant des petits coups de bassin très nerveux histoire de bien me loger le gros pieu dans le fondement. « T’as le trou du cul bien large ma grosse trainée. Tu dois recevoir des kilomètres de queue dans ton trou à merde, non ? » Elle m’empoigne les seins, joue encore avec les pinces et mes pointes de nichons et commence à me sodomiser à grands coups de reins. Elle me démolit l’anus avec férocité. Je tombe à plat ventre sur le lit sous ses coups de boutoirs. Elle est couchée sur moi et se déchaîne dans mon boyau. D’un coup, l’assaut cesse sans que je comprenne quoi que ce soit et tandis que le gode est toujours planté dans mon cul, j’entends ma dompteuse rechigner. Je reconnais dans mon dos la voix de Mickaël « Mais si grosse vache, il faut que tu connaisses ce que tu fais aux autres ! »
Je tourne la tête du mieux possible et je vois Mickaël, qui enjambe le gros pétard de Lisa et je comprends qu’il lui rentre son membre dans le trou qui pue. Il commence à la pistonner et comme son corps suit le mouvement, les va-et-vient reprennent dans mon trou à moi.
Lisa est plus préoccupée par le démontage de son cul que par celui du mien. Cela d’autant plus que Mickaël la sodomise avec hargne en la tenant par les cheveux et commence à lui marquer l’arrière train par d’immenses claques.
Je me dégage de sous mon « enculeuse » et mon cul recrache le long bâton qui pilonnait mes entrailles. Je regarde alors le spectacle de Mickaël me vengeant en démontant littéralement la vieille britannique qui en perd son souffle et crie, râle, jure. Les fessées surpuissantes de mon amant font trembler tout le cul gélatineux de cette salope et son arrière train blanc est désormais rouge vif.
Quand Mickaël se penche sur elle, c’est pour lui empoigner sans ménagement un sein et le maltraiter avec vice.
Je ne comprends pas pourquoi le mari de Lisa n’intervient pas pour demander plus de ménagement envers sa femme mais je le vois dans un coin de la pièce qui tourne le dos à la scène. Ma Marraine est complice et elle suce l’anglais avec appétit, sûrement motivée par l’idée de le faire rebander pour en profiter.
Je sens qu’on retire doucement les pinces de mes seins. C’est Cyprien qui libère mes tétines meurtries. Il en profite pour les toucher et je sens sa verge tendue contre mes fesses. « Je vais te prendre une dernière fois Mymy » me souffle-t-il.
Je m’allonge sur le dos et il me monte dessus avec empressement. Sa queue rentre sans mal dans ma grotte et il commence à me sauter avec ardeur. « Tu es encore meilleure que tes copines Patricia et Audrey ou que ta sœur ainée ma poule » Le souffle court à cause de la baise qu’il m’inflige, je le questionne « Tu les as déjà baisé ? » « Bien sûr : Patricia et Audrey sont venus en vacances une fois avec tes parents, ton mari et toi et on les a baisé toutes les deux plusieurs fois, avec ton mari, quand tu allais avec tes filles à la plage où quand tu accompagnais ta mère en courses. Même ton père les a essayé ces deux coquines… » Le récit des cochonneries de mes deux copines avec mon mari, mon père et celui qui est en train de me besogner me procure colère et jouissance et bientôt, j’explose à nouveau traversée par un énorme orgasme, je suis bruyante et vulgaire à souhait. Je supplie pour qu’on m’encule, je veux qu’on me défonce encore. Cyprien y met tout son cœur finit par éjaculer sur mes seins.
Mickaël vient d’en finir avec Lisa et tante Lucie saute sur les genoux de son époux qui tient la vieille femme par les hanches et semble gouter au confort d’une chatte de retraitée guadeloupéenne.
Quand tout le monde fût parti, Mickaël et moi nous sommes retrouvés dans une chambre. Ma Marraine avait besoin d’une sieste. Nous avons fait l’amour comme des adolescents amoureux et avons échafaudé un plan pour continuer à nous emboîter même en présence de nos conjoints dès le lendemain.
Lucie a été accueillir mon mari, mes filles et ma sœur à l’aéroport de Pointe à Pitre. Avec Mickaël, bien que nous ayons baisé toute la nuit comme des fous, nous remettons cela pour en profiter jusqu’au bout. Il me prend dans la cuisine, par derrière.
Je viens juste de recouvrir mes obus et descendre ma jambe de sur le plan de travail quand mes filles débarquent dans la maison.
Très vite, je vais apprendre des éléments cruciaux expliquant ce qui avait retenu ma jeune sœur au travail quelques jours en dépit de sa grossesse, et pourquoi mon mari semble soudain si épris de moi…
Mickaël s’intéresse en me caressant doucement la cuisse : « Tu as bien dormi ma Mymy chérie ? Bien remise de ta séance d’hier ? » L’anglaise se montre admirative : « Mon mari m’a raconté un peu : quelle journée vous avez passé ma chère ! » Puis Cyprien met fin au suspens : « Mymy, ton mari débarque demain et j’ai envie de te voir te faire gouiner avant ça. Comme John m’a prévenu que sa femme est bi, et comme je sais qu’elle aime le cul puisque je lui passe dessus, à la demande de son mari, depuis plusieurs jours, elle est là pour ton cul ma poulette ! » « Mais je n’ai jamais gouiné une femme… » Lisa se lève, se pose derrière moi et descend doucement ses mains de mes épaules vers mes seins. « Ce n’est pas grave du tout ma chérie. Et tu es tellement bonne que je vais me régaler avec toi. Je te guiderai et on va bien s’amuser ! »
Ses mains sont douces et précises. Ses paumes frottent mes gros tétons à travers mon débardeur et je commence à onduler doucement mon bassin. Je sens l’excitation montée et je sens Mickaël qui bande sous mes fesses. Il passe une main dans le dos de Lisa et la descend sur son gros pétard capitonné en demandant : « Il paraît que les anglaises sont de grosses chaudasses ? » Je suis sud-africaine précise Lisa. Descendante d’afrikaners et l’idée de faire crier une négresse me plaît beaucoup. Ces mots me font tressaillir. Je vais donc me mélanger avec une vieille bourgeoise limite raciste et rétrograde. Cyprien vole à mon secours « T’inquiète Mymy, depuis une semaine que je l’encule chaque jour, elle commence à considérer les noirs autrement ! »Lisa est désormais penchée dans mon cou. Elle me parcourt la nuque du bout de sa langue et sa main gauche a quitté ma poitrine pour masser ma moule à travers mon shorty. « Je veux ta grosse huitre ma jolie négresse » murmure-t-elle avant de me mordre violemment. Je crie de douleur et elle se met face à moi. Ses yeux sont désormais colériques. « T’aimes pas te faire mordre salope ? Mais il va falloir t’y faire parce que je vais tout te faire subir grosse putain ! » Elle pince mes seins très fort et je me lève d’un bond. Je suis de la même taille qu’elle et elle me prend la bouche avec furie. Ses mains claquent mon cul, ses ongles griffent mon dos et elle glisse une cuisse entre les miennes. «Il parait que tu mouilles beaucoup grosse poufiasse ?... Viens, on va voir ça ! »
Elle me tire dans la chambre et les autres suivent pour assister à notre accouplement. Je dois reconnaître que son comportement m’excite et que je suis effectivement trempée. Elle baisse mon shorty et se retrouve en face de ma chatte gonflée de désir. Elle glisse son index entre mes grandes lèvres pour les séparer et constater que je suis mouillée à souhait. Elle renifle son doigt et me regarde en faisant un clin d’œil. Elle m’embrasse doucement le sexe, glisse la longueur de sa langue le long de ma fente. J’ouvre doucement les cuisses. Elle engage encore un peu plus sa tête. Ses mains pressent mes fesses pour me faire avancer et je me retrouve bien vite complétement posé au-dessus de son visage, sa tête penchée en arrière complétement entre mes cuisses grandes ouvertes puisque je l’enjambe. Son nez pointu est entouré de mes poils pubiens et elle me mange divinement la minette. Je me sens outrageusement ouverte et chaque coup de langue, chaque succion, chaque respiration de ma bouffeuse me procure un peu plus de plaisir. Je tiens sa tête, je tire ses cheveux et elle m’enfonce soudain un puis deux doigts dans l’anus. J’explose en un orgasme bruyant.
Elle se dégage d’entre mes cuisses le visage ruisselant de ma cyprine et elle m’invite à m’allonger sur le lit… mais sur le ventre. Elle ouvre mes fesses à deux mains et contemple mes orifices puis vient me renifler d’une façon très animale. Elle s’allonge sur mon dos en me félicitant « J’adore l’odeur de ton trou du cul grosse pute ! Tu sens la jument ! Tu sens la chienne en chaleur toujours prête à se faire remplir ! On va passer aux choses sérieuses ma pétasse mais d’abord tu vas me bouffer le cul toi aussi. Elle s’assoit d’un bond sur mon dos, empoigne mes cheveux et me tire la tête en arrière ce qui m’oblige à lever le buste. Aussitôt, sa main libre m’assène une monumentale claque sur chaque sein. Je crie. « Mets-toi sur le dos, la négresse ! » Elle me tient fermement par les cheveux en descend de sur moi. Je ne peux m’exécuter alors saisissant un objet derrière elle « Ah, tu refuses d’obéir, guenon ?... Alors prends ça ! Je vais te dresser moi ! » Elle cingle mon derrière avec une cravache puis recommence et me lâche enfin les cheveux. Je roule sur le dos, le cul meurtri et je regarde effrayée cette vicieuse. Elle pose la cravache un instant, se jette sur mes seins. Elle les mord les suce, les lèche et une vague d’excitation me reprend. Elle s’interrompt alors et interroge son mari en anglais. Il lui passe aussitôt quelque chose et je ne tarde pas à comprendre qu’il s’agit de pinces métalliques pour chacun de mes tétons bien trop bandés pour y échapper. Elle me pose les pinces avec une grande dextérité qui trahit son habitude de ce genre de pratiques. Les pinces sont reliées entre elles par une chainette en argent. La douleur et la gêne que procure ces objets sur mes tétines sont vite remplacés par un plaisir nouveau quand Lisa me lèche doucement la pointe de chaque téton qui dépasse de la pince. Je ne pensais pas que mes tétines étaient si longues et je me délecte de sa caresse. En même temps, elle commence à doigter mon gros abricot redevenu juteux. « John, baise là ordonne-t-elle » Dans la chambre, tout le monde se masturbe autour du lit donc son mari ne se fait pas prier. Il se place entre mes cuisses et enfonce sa queue dans mon fourreau. Lisa enjambe mon visage en faisant face à son mari et vient poser son sexe lisse et baveux sur ma bouche. Elle attrape la chaîne qui relie les pinces qui me tiennent les pointes des nénés et la tire vers le haut. Mes mamelles se tendent vers le plafond et je crie, étouffée dans sa vulve visqueuse. « Lèche morue ! » Ordonne-t-elle. Je m’exécute et quand elle trouve mes caresses pas assez engagées, elle tire sur la chaîne et je comprends alors que ma langue doit la fouiller plus profond, que mes lèvres doivent aspirer son clitoris plus fort… Elle glisse sur mon visage et mon nez frotte désormais son anus rose et puant. Pour une première, je suis fière car elle jouit en m’insultant tandis que son mari me lime de plus en plus fort. Elle s’affale sur moi de tout son long et j’ai son cul grand ouvert qui me passe sur le visage. Elle me mord le mont venus et pince mon clitoris. Son mari m’a levé les jambes pour me fendre encore plus et je joui moi aussi comme une folle. Elle descend de sur moi mais John n’a pas fini de m’honorer. Mon orgasme l’a bien excité et il éjacule au fond de ma chatte.
Ce laps de temps a été mis à profit par Lisa qui a enfilé un gode ceinture et à peine son mari sortit de moi, elle m’ordonne de me mettre à quatre pattes.
Elle me glisse le cylindre entre les cuisses pour le lubrifier puis vient maintenant l’appuyer sur ma rosette brulante. J’ai tellement joui que j’ai de toute façon le cul ouvert. Malgré la dimension abusive de l’objet, avec un peu de concentration et en poussant comme je sais le faire, je l’accueille sans trop de problème dans mon rectum. Lisa en est ravie. Elle se couche sur mon dos en donnant des petits coups de bassin très nerveux histoire de bien me loger le gros pieu dans le fondement. « T’as le trou du cul bien large ma grosse trainée. Tu dois recevoir des kilomètres de queue dans ton trou à merde, non ? » Elle m’empoigne les seins, joue encore avec les pinces et mes pointes de nichons et commence à me sodomiser à grands coups de reins. Elle me démolit l’anus avec férocité. Je tombe à plat ventre sur le lit sous ses coups de boutoirs. Elle est couchée sur moi et se déchaîne dans mon boyau. D’un coup, l’assaut cesse sans que je comprenne quoi que ce soit et tandis que le gode est toujours planté dans mon cul, j’entends ma dompteuse rechigner. Je reconnais dans mon dos la voix de Mickaël « Mais si grosse vache, il faut que tu connaisses ce que tu fais aux autres ! »
Je tourne la tête du mieux possible et je vois Mickaël, qui enjambe le gros pétard de Lisa et je comprends qu’il lui rentre son membre dans le trou qui pue. Il commence à la pistonner et comme son corps suit le mouvement, les va-et-vient reprennent dans mon trou à moi.
Lisa est plus préoccupée par le démontage de son cul que par celui du mien. Cela d’autant plus que Mickaël la sodomise avec hargne en la tenant par les cheveux et commence à lui marquer l’arrière train par d’immenses claques.
Je me dégage de sous mon « enculeuse » et mon cul recrache le long bâton qui pilonnait mes entrailles. Je regarde alors le spectacle de Mickaël me vengeant en démontant littéralement la vieille britannique qui en perd son souffle et crie, râle, jure. Les fessées surpuissantes de mon amant font trembler tout le cul gélatineux de cette salope et son arrière train blanc est désormais rouge vif.
Quand Mickaël se penche sur elle, c’est pour lui empoigner sans ménagement un sein et le maltraiter avec vice.
Je ne comprends pas pourquoi le mari de Lisa n’intervient pas pour demander plus de ménagement envers sa femme mais je le vois dans un coin de la pièce qui tourne le dos à la scène. Ma Marraine est complice et elle suce l’anglais avec appétit, sûrement motivée par l’idée de le faire rebander pour en profiter.
Je sens qu’on retire doucement les pinces de mes seins. C’est Cyprien qui libère mes tétines meurtries. Il en profite pour les toucher et je sens sa verge tendue contre mes fesses. « Je vais te prendre une dernière fois Mymy » me souffle-t-il.
Je m’allonge sur le dos et il me monte dessus avec empressement. Sa queue rentre sans mal dans ma grotte et il commence à me sauter avec ardeur. « Tu es encore meilleure que tes copines Patricia et Audrey ou que ta sœur ainée ma poule » Le souffle court à cause de la baise qu’il m’inflige, je le questionne « Tu les as déjà baisé ? » « Bien sûr : Patricia et Audrey sont venus en vacances une fois avec tes parents, ton mari et toi et on les a baisé toutes les deux plusieurs fois, avec ton mari, quand tu allais avec tes filles à la plage où quand tu accompagnais ta mère en courses. Même ton père les a essayé ces deux coquines… » Le récit des cochonneries de mes deux copines avec mon mari, mon père et celui qui est en train de me besogner me procure colère et jouissance et bientôt, j’explose à nouveau traversée par un énorme orgasme, je suis bruyante et vulgaire à souhait. Je supplie pour qu’on m’encule, je veux qu’on me défonce encore. Cyprien y met tout son cœur finit par éjaculer sur mes seins.
Mickaël vient d’en finir avec Lisa et tante Lucie saute sur les genoux de son époux qui tient la vieille femme par les hanches et semble gouter au confort d’une chatte de retraitée guadeloupéenne.
Quand tout le monde fût parti, Mickaël et moi nous sommes retrouvés dans une chambre. Ma Marraine avait besoin d’une sieste. Nous avons fait l’amour comme des adolescents amoureux et avons échafaudé un plan pour continuer à nous emboîter même en présence de nos conjoints dès le lendemain.
Lucie a été accueillir mon mari, mes filles et ma sœur à l’aéroport de Pointe à Pitre. Avec Mickaël, bien que nous ayons baisé toute la nuit comme des fous, nous remettons cela pour en profiter jusqu’au bout. Il me prend dans la cuisine, par derrière.
Je viens juste de recouvrir mes obus et descendre ma jambe de sur le plan de travail quand mes filles débarquent dans la maison.
Très vite, je vais apprendre des éléments cruciaux expliquant ce qui avait retenu ma jeune sœur au travail quelques jours en dépit de sa grossesse, et pourquoi mon mari semble soudain si épris de moi…
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