Sandrine, bourgeoise bien éduquée ne voulant pas mourir idiote 3

- Par l'auteur HDS Itacoatiara -
Auteur homme.
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Récit libertin : Sandrine, bourgeoise bien éduquée ne voulant pas mourir idiote 3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-04-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Sandrine, bourgeoise bien éduquée ne voulant pas mourir idiote 3
Après notre dernier rendez-vous, je me disais que je pourrais peut-être aller très loin avec elle.
Mais, toujours ce sentiment de culpabilité ou de retenu chez Sandrine.
Pas de rendez-vous chez elle pendant quelques semaines, les études passaient avant tout, c'était aussi sans doute un prétexte pour se laisser le temps de réfléchir.

Mais en même temps, elle était de plus en plus joueuse et avec des sous entendus lors de nos conversations entre amis. Je crois que ça l'excitait de savoir que les autres ne savaient justement rien...

Un soir, nous montions dans un vieil ascenseur exigu avec 2 autres amis garçons. Il fallait qu'elle nous pousse pour se faire de la place.
Ni une ni deux, elle lança "je vais me mettre devant toi, essais d'être sage, il y a du monde et tu es émotif à ce qu'il parait!"Nos amis amusés, ne s'imaginant pas une quelconque relation se mirent à rire, j'enchainais:"Sandrine, désolé si tu sens un gros truc dur contre tes fesses, c'est effectivement l'émotion"Sur ce, elle colla ses fesses contre mon entrejambe en faisant quelques mouvements provocateurs.
"Désolés, mais je ne sens absolument rien". En réalité, sa petite jupe fine ne pouvait pas masquer mon érection violente.
J'eus droit à un clin d'oeil équivoque me laissant très troublé. Je ne l'imaginais vraiment pas dans ce rôle.

J'appris aussi plus tard cette soirée-là que visiblement, son mec n'était pas des plus fidèles, elle n'avait pas de preuve, il ne me laissait rien transparaitre, mais c'était assez envisageable.
Je pense qu'elle voulait lui faire payer. Et moi, je me demandais pourquoi elle ne me préférait pas tout simplement.

En même temps, je sus par mon ex, qu'elle s'emmerdait un peu au lit, que c'était bien, mais ça manquait de piment.

J'hésitais sur ma conduite à tenir. Oui, elle m'allumait, mais nos derniers échanges remontaient à 3 semaines.
Vu ma position jusqu'à présent, je n'avais qu'une seule possibilité, attendre.

Le 31 décembre arrivait, son mec était parti à l'étranger en stage et n'allait pas revenir pour l'occasion, j'étais censé être le chaperon.

Nous avions prévu de sortir entre amis faire la fête.
Je passais la chercher chez elle, rien ne laissait clairement supposer une suite, elle était divine, une petite jupe noire, des dim up noirs que je devinais et surtout un bandeau de tulle noir un peu transparent qui faisait plusieurs fois le tour de sa poitrine, avec un noeud derrière.
Ma première réaction "tiens, c'est original et bien pensé".

J'allais comprendre plus tard l'intérêt de la chose.

En voiture, rien de suspect, pas de provocation, situation normale, j'étais déçu et n'attendais plus grand-chose, au resto avec nos amis, toujours rien.
Seule chose notable, elle devenait un peu pompette, juste ce qu'il faut pour rire.

À un moment, elle part aux toilettes et reviens.
S'approche de moi, me glisse discrètement dans la main quelque chose.
Surpris, je regarde discrètement ce que c'est.
La demoiselle n'a plus de culotte, je comprends alors que le jeu commence.

Toute discussion est propice à parler de culotte. D'un d'entre nous qui est culotté... Elle semble rougir, peut être l'alcool.

Bref, ça l'excite peut-être, pour moi, c'est certain, il faut avouer, de savoir que personne ne sait...

Elle décide de redescendre fumer dehors, après être passée aux toilettes et me regarde pour me faire comprendre de la suite. Les autres restent définitivement trop froids...

Je ne sais comment m'y prendre, j'ai aussi un doute, c'est quand même une potentielle nouvelle étape.
Ou alors, elle veut juste prendre l'air et je vais avoir l'air d'un con... Quelles sont ses intentions? La dernière fois, on ne se voyait pas, c'était chez elle...
Puis je finis par dire, toujours dans notre jeu "Bon, elle doit m'attendre, j'ai toujours su que ça arriverait un jour". Tout le monde rigole sans me prendre au sérieux, et j'y vais en roulant des mécaniques.

J'arrive au niveau des toilettes qui amènent à la terrasse du resto. Elle m'ouvre la porte des toilettes famille avec table à langer, l'une des lumières est enlevée, laissant une particulière pénombre. À croire que c'était prévu. Elle m'avouera plus tard s'être brulée en dévissant la lumière.
Elle m'attire à l'intérieur, me tire à elle, ce que je fais sans me faire prier.
J'attendais un signe depuis le début de soirée, que dis je, depuis 3 semaines, je bandai en avoir mal.


Elle relève sa jupe, et m'ordonne de fermer les yeux et de la lécher.
J’en profite pour voir une chatte magnifique un peu broussailleuse, mais c'était l'époque qui voulait ça. Je garde autant que possible les yeux ouverts cette fois. Elle semble moins concentrée sur ce point!
Elle s'allonge plus profondément comme elle peut sur la table et se laisse aller.
Elle pose ses jambes écartées sur mes épaules. Je suis à moitié accroupi, pas très confortable.
Elle est maintenant totalement impudique, l'alcool sans doute.
Me prend la tête pour que je sois collé à son clito que j'aspire et lèche avec délectation.

Je la lèche, la doigte et régulièrement m'approche de son anus que je caresse à plusieurs reprises. Elle se laisse faire, semble apprécier.
Je ne pensais pas faire un jour une feuille de rose à mon amie bourgeoise coincée. Enfin, je fais ça discrètement, pas sûr qu'elle se rend vraiment compte.
Au bout de quelques minutes, son rythme s'accélère, elle se contracte, me tire la tête encore plus fort, se tord dans tous les sens et finit par jouir et me repousse presque aussitôt.

Moi... je bande comme un fou, mais, encore une fois, il n'y en a eu que pour madame, même si la situation ne s'y prêtait pas, je suis un peu déçu...

Nous restons quelques instants à nous murmurer des choses, elle me dit "c'était mon fantasme et personne n'aurait oser, sauf peut être toi, j'ai tenté ma chance" (à froid, je ne sais pas si j'aurais osé).
Je lui dis que ce n’est pas fini, que j'ai envie d'elle. "Non, on nous attend et c'est moi qui décide! En plus, tu n'as pas fermé les yeux!!!" Gonflée la nana!

Nous remontons ensemble, nos amis nous questionnent, même si nous avions le pretexte de la sortie sur la terrasse? Un jeu de leur part.
Je répond "Sandrine avait très envie de se faire baiser, fallait que je fasse quelque chose."Elle répond "C'est dommages, je n'ai absolument rien senti!"Tout le monde se marre et reprend sa discussion, visiblement, la meilleure défense est l'attaque, et notre accouplement semble improbable pour notre entourage.

La fin de soirée se termine gentiment, je ramène Sandrine chez elle sans trop d'espoir et me dit que je finirais tout seul dans mon lit avec ma main gauche...

Blasé, je lui demande si elle veut que je monte chez elle. Elle me répond "ce serait pas mal, on pourra discuter...". Dépité, je suis...


Comme d'habitude, rituel, je monte, je m'attends à des préliminaires tout au plus, s’il y en a.

Je m'assieds sur le canapé, elle me regarde droit dans les yeux, et avec une voix faussement assurée: "j'espère que tu n'es pas fatigué".
Moi, joueur et espérant aller plus loin "Euh, jusqu'à présent, ça n'a pas été ce que j'appelle les 12 travaux d'hercule à m'occuper de ton cul".
Elle est piquée au vif, je préfère battre en retraite.

Elle se rapproche toujours en me fixant, et me dit "je ne t'avais pas offert ton cadeau de Noël" et juste après, tire sur le noeud de son voile de tulle, qui laisse apparaitre ses seins magnifiques.
Bon, le tulle n'est pas tombé nickel comme dans les films, mais en l'espèce, même si c'était un peu gauche, ça m'allait très bien et j'étais de toute façon en plein rêve.
Je vis enfin ses magnifiques gros seins laiteux, sur ce corps frêle.

Elle fit ensuite tomber sa jupe, il ne restait plus que ses bas et des escarpins un peu sages.
Bien que la lumière fut tamisée, je la voyais enfin clairement nue devant moi.

Elle me demande alors de mettre mes mains en l'air. Elle s'approche de moi et me dit "Tu l'as bien compris, c'est moi qui choisis, tu es là pour moi et tu ne touches pas!".
De mon côté, heum, bon, OK, mais pas trop non plus, mais je n'allais pas lui dire, l'occasion faisant le larron.

Avec le tulle qui était finalement assez long, elle m'entoure les poignés et les attaches plus ou moins sur le montant du canapé.
Une attache plus symbolique qu'autre chose.

Elle ouvre ensuite mon pantalon et sort mon sexe qu'elle caresse, jusqu'à ce qu'elle obtienne une belle érection. Pas dur en même temps.
Je me dandine sous sa main plus ou moins experte, n'attendant rien de plus, j'espère jouir ainsi sachant que les autres options sont interdites par notre contrat immoral.
Elle me caresse, accélère, puis, quand elle voit que je suis sur le point de jouir, s'arrête en rigolant de me voir dépité.je lui supplie de me laisser jouir avec ses mains ou sa bouche, peu importe, il faut que je jouisse.

Elle s'arrête à nouveau, quitte la pièce en me laissant en plan.
Elle revient deux minutes après avec un paquet de préservatifs. "Tiens, prenons ceux-là, c'est ceux de...". Un choix symbolique de sa part que je comprendrais bien plus tard.

Elle me colle ensuite une capote.Je crois que ce soir-là, je ne remercierais jamais assez qu'elle ait pris une taille standard.
Je ne suis pas exceptionnellement long, mais plutôt assez large, du coup... Ça sert fort, un cockring en somme.
Elle s'accroupit sur moi. Son visage grimace, elle est trempée, mais doit s'habituer à moi. Après quelques va-et-vient laborieux, elle peut enfin me prendre en entier.
De haut, elle me regarde autoritaire, "Manges mes seins!" Je ne me fais pas prier et lèche frénétiquement ceux-ci.
Je voulais les déguster depuis si longtemps. J'aspire et mords ses tétonsJe sens le plaisir monter, je vois son sexe ouvert, ses seins bouger à chaque mouvement de son corps. Elle gémit de plus en plus fortement.
Et là, patatras, son pied engourdi par la position la fait chuter assise. JE suis rentré d'un seul coup tout du long, elle râle, entre plaisir et douleur.
On rigole nerveusement et elle décide qu'assise c'est mieux.
Cela à surtout pour effet de nous rapprocher, ses seins ne sont plus à porté de bouche, je ne peux les saisir, je décide alors d'embrasser son cou, ses oreilles, et fini par tenter un baisé sauvage.
Elle "Non, tu te rappelle notre accord, pas de bisous"!
Je donne alors un violent coup de reins pour la rappeler à l'ordre. Tu m'as déjà donné ta bouche!
La tension devient extrême, elle me tire les cheveux en arrière "Tout doux, c'est moi qui décide!"S'ensuive alors des mouvements désordonnés, je veux la baiser, elle décide du rythme, pas forcément efficaces, mais on a envie l'un de l'autre.
Dans cette position, il faut les mains sur les fesses, sinon, ça ne marche pas.


Elle s'affaisse à la suite de coups de reins courts et se laisse aller, sa tête s'appuie sur mon épaule, son cou à porté.
Je commence à lui embrasser le cou, sans réfléchir, la mord, en même temps, une impression bizarre, un trouble.
Elle me gifle "t'es fou, ça va se voir", au même moment, par réaction à toutes ces frustrations, mon bras attaché n'importe comment se libère et je lui claque la fesse droite.

Elle me regarde troublée, je sens son sexe ruisseler et s'ouvrir un peu plus.

Elle me dit "ne refais jamais ça". Plus ou moins instinctivement, je crois avoir compris un truc.
Mon second bras n'est plus vraiment attaché, je claque sur la fesse gauche cette fois-ci.
"Salopard". Je l'embrasse en lui prenant le visage d'une main, puis accélère les mouvements de rein tout en lui malaxant les fesses sans beaucoup de précautions.
Elle me rend un baiser torride, nous sommes en pleine folie. Je ne comprend pas vraiment, mais j'ai gagné.
Elle gémit maintenant très fort, on se regarde dans les yeux, elle vacille, je n'ai plus ce regard autoritaire, mais un animal blessé, je ralentis le mouvement, trop de désir.

Je la contrôle
Je décide de continuer le jeu:
- "Tu veux une fessée?"
- Elle, un timide regard.

- "Dis-le "
- oui
- "Je n’ai pas entendu"
"- OUI"
"Pardon?"
"- OUI DONNE-MOI UNE FESSÉE"
-La droite ou la gauche?"
"- La, la, la gauche"
Nous continuons notre chevauchée, encore quelques minutes en jouant à ce jeu. J'essaye de ne pas lui faire mal, mais à chaque claque, je l'entends s'approcher d'un orgasme.
Elle m'insulte, venant de sa bouche, c'est juste du caviar.


Trop sûr de moi, j'immisce un doigt près de ses fesses. Non catégorique! la tension redescend. Ce ne sera pas pour cette fois.j'avais peut être un peu trop rêvé.


Pas plus mal en fait, la pression redescend un peu. La capote fut très cool pour le coup, effet retardant garanti.

Je lui dis alors que je vais la prendre en levrette en promettant de laisser ses fesses tranquilles.


Elle se retourne docilement. Chose que je n'espérais pas après ma tentative d'intrusion ratée...

Je la prends alors doucement, visiblement, le rythme romantique n'est pas le bon, elle recule ses fesses brutalement contre moi.

Vexé, je lui dis "Alors comme ça je suis trop doux".

Elle ne répond pas.

- 'Tu veux que j'aille plus fort'?

- 'oui' à nouveau un poil timide
- Pardon?

- 'Oui je veux que tu me baises'.

Ça a le mérite d'être très clair.
Je me mets alors à la pilonner pendant plusieurs minutes. Capote, merci, ce soir là tu as été géniale !


Parfois, elle s'effondre sur le canapé, je lui tire sa longue chevelure en arrière et reprend ses seins dans mes mains. Un rêve.

Elle alterne les cris et les phases d'état second, amorphe, elle est trempée, ça me rassure sur ce qu'il se passe, elle désire cela.

Plein de vice, en mode "domination pour les nuls", je vois le miroir de qui est en biais par rapport au canapé.


- 'Viens, j'ai une idée'(oui je sais, pas très dominant)
- Mets-toi à 4 pattes face au miroir.

- 'Mais, euh..;'
- 'On essaye et on verra'
Je la prends alors face au miroir, au début, petite gêne, et assez rapidement, elle voit qu'elle peut en tirer du plaisir.
Je la pilonne sans discontinuer avec force, ses fesses claquent, elle me regarde dans le miroir.
J'essaie d'avoir une posture de dieux grecs dominants.

- J'ose un 'Qui te baise ?'
- 'C'est toi'
- 'Et tu aimes?'
- 'Oui, vas y, plus fort'.

Nous jouons à ce jeu de rôle encore plusieurs minutes
Hors contexte ces phrases que nous échangions étaient un peu ridicules, mais dans le feu de l'action, géniales.

Je finis par vraiment fatiguer, de son côté, je comprends qu'elle a aimé. Elle me dira plus tard avoir eu plusieurs orgasmes, possibles, en tout cas, ça nous plaisait.

Je lui demande où elle souhaite que je jouisse, ce soir ce sera en elle, enfin dans la capote et surtout pas sur le canapé.
J'accélère le rythme jusqu'à ressembler à un pantin désarticulé et finis par jouir.
De son côté, plus ou moins au même moment, elle crie s'écroule et remue les jambes frénétiquement.

Quelques minutes plus tard, je la pris dans mes bras, l'emmena dans son lit, me rhabillait et compris qu'il fallait partir.
Cela peut sembler un peu goujat, mais c'était notre accord tacite.

Nous parlerons plus tard de ce qui s'était passé, je n'étais pas sur d'avoir bien fait, j'avais été un peu débordé, elle me dira simplement:
"On en avait envie, c'était très bien, et si c'était a refaire, pas tout de suite, ça m'a crevée".

La suite bientôt

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