Sandrine, bourgeoise bien éduquée ne voulant pas mourir idiote
Récit érotique écrit par Itacoatiara [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-02-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Sandrine, bourgeoise bien éduquée ne voulant pas mourir idiote
Bonsoir,L'histoire que je vais vous raconter remonte à un peu plus de 20 ans.
Désolé si c'est un peu long au départ, j'aime pas trop les histoires qui se résument à 3 lignes sans contexte ni présentation.
La suite sera plus condensée, les protagonistes étant connus.
Tout d'abord un peu de contexte.
J'ai fait la connaissance de Philippe et Sandrine dans mon école, Ils étaient en couple depuis plusieurs années, depuis l'âge de 14 ans en fait.
Sandrine n'avait jamais connu d'autres hommes que lui et jusqu'à présent cela semblait lui convenir.
Nous avions tous les 3, 22 ans à l'époque de cette histoire.
Philippe avait eu quelques expériences précédemment qui avaient un peu émoustillé la jalousie et la curiosité de Sandrine.
C'était aussi un sujet de plaisanterie entre nous. Elle n'avait pas de point de comparaison avec un autre.
Toutefois, ça collait très bien avec sa culture bourgeoise.
Ses parents s'étaient connus lors du bal de Vienne, dans sa famille, il était classique de se préserver pour un seul homme.
Petite description, elle faisait 1m70 des cheveux longs noirs, des yeux très bleus, un teint laiteux.
Elle ne reniait pas ses origines germaniques et une copie presque conforme de Jennifer ConnellyElle avait une taille assez fine, des jolies petites fesses et une très jolie paire de seins, assez gros et ronds.
Son homme, un mec, normal, assez sur de lui, trop peut être, physiquement agréable, mais pas forcément très virileJe savais aussi par quelques confidences qu'il n'était pas toujours très fidèle. Elle ne le savait pas, j'étais le "gardien du temple".
Parlons un peu de moi, je viens du nord de l'Europe, donc pour résumer, 1.85, blonds yeux bleus assez costauds.
Tous deux savaient que j'étais très coquin et avec peu de tabous.
Sandrine adorait que je parle avec une imitation de "voix de mâle dominant", et que je parle de manière un peu vulgaire.
C'était une référence à Sabine Azéma et Eddy Mitchell dans Le bonheur est dans le pré. Pratiquement, il m'arrivait de dire devant son mec qui lui aussi trouvait l'imitation assez drôle :"Bon, la pipe, ce soir, je la préfère avant le café, donc soit gentille, attend avant de le servir, je n’aime pas les cafés froids".
Au départ, elle n'osait pas trop répondre, puis, c'est devenu un jeu, parfois, elle me surprenait par son audace.
C'était une plaisanterie entre nous quand d'autres personnes autour de nous entendaient nos conversations.
Notre relation a toujours été ambigüe, au delta des blagues grivoises, il trainait toujours quelque chose dans l'air.
Il m'arrivait souvent de faire des trucs avec elle alors que son mec était parti chasser, on s'occupait ensemble en toute amitié si je puis dire.
Elle aimait aussi me séduire, je pouvais le voir, je ne comptais plus les fois ou j'avais pu voir son décolleté ou sa culotte blanche. Au début, je pensais qu'il s'agissait de hasard, en fait non, elle voulait voir si elle me séduisait. Certains de mes amis me demandaient si un jour j'allais faire un pas vers elle.
Tout a commencé quelques mois après ma rupture avec sa meilleure amie. Sa copine, mon ex était connue pour ne pas avoir froid aux yeux.
Un peu le contraire de Sandrine.
Bref, de chaque week-end nous allions en discothèque ou restos, chaque fois que je ramenais tout le monde sachant que j'étais le seul à avoir une voiture.
Philippe et Sandrine de habitaient pas encore ensemble et donc je ramenais d'abord Philippe, puis Sandrine, à la demande de Sandrine qui trouvait ça plus pratique.
Pratiquement à chaque fois elle me proposait de venir boire un verre de Schaps chez elle et discuter de choses et autres.
Je repartais généralement pas très frais après plusieurs heures de discussion alcoolisées.
Ce soir-là l'ambiance était un peu plus chaude que d'habitude j'avais rencontré une jeune femme et en discutant, j'échafaudais un peu un fantasme. En rigolant et avec ma "voix de mal dominant", je dis que je l'aurais bien prise dans les toilettes du resto"...
Sandrine se moqua de moi en disant que c'était ceux qui en parlaient le plus qui en faisaient le moins.
Sur ce, vaguement vexé, je lui répondis; "Ah oui, et que t'a dit Virginie de ma capacité sexuelle?
Toutes les filles parlent entre elles, je suis sûr que je n'ai pas eu de plainte!"Elle ne sut pas répondre, mais devint toute rouge.
"Tu vois j'ai raison!","Alors qu'a-t-elle dit? "Pas de réponse...
Je lui dis ensuite que puisqu'elle connaissait ma vie intime je devais avoir le droit de connaître aussi la sienne.
Je proposais de jouer action ou vérité, un jeu d'ado bien pratique.
Elle eut quelques difficultés à accepter, mais l'alcool aidant, le fait qu'elle pouvait aussi me poser des questions ou gages, lui fit accepter.
Si l'un de nous refusait une question ou gage, il devait boire un verre de Schnaps.
Les questions au début furent assez anodines, c'était presque moins intéressant que nos discussions normales.
Aucun gage n'avait été demandé.
Puis vient la question qui déclencha tout, je lui demande si le fait d'avoir eu qu'un seul homme dans sa vie et dans son corps n'allait pas la frustrer à long terme.
Elle essayait de répondre, mais nous étions déjà particulièrement saouls.
Elle me répondit qu'effectivement elle n'avait pas de point de comparaison, mais en même temps elle souhaitait rester fidèle à son homme.
Je revins à la charge sur le même sujet. Toujours la même réponse, il fallait être fidèle à son homme... qui ne l'était pas(mais ça, interdiction de lui dire, c'était leurs histoires).
En plaisantant, je lui dis que je pourrais être l'élément de comparaison, étant proche, ce n'était pas pareil finalement.
Ce n'était pas vraiment le tromper. Oui, excuse bidon...
La tension sexuelle était très forte à ce moment-là, je n'osais pas faire un pas vers elle, j'étais aussi un peu gêné vis-à-vis de Philippe, même si je savais que lui, n'était pas un saint.
A ce moment-là me vint une idée, c'était plus une plaisanterie qu'autre chose. Je n'y croyais pas trop
Je lui dis: "Si je ne te vois pas, ce n'est pas comme si tu le trompais, c'est comme si tu avais un objet sexuel, mais vivant."Elle éclatait de rire, puis y réfléchit dans son état alcoolisé, et de manière assez surprenante, négociat les termes.
Elle ferait ce qu'elle voudrait de moi, je n'aurais pas le droit de la toucher avec mes mains et interdictions de la voir.
Le truc me fit rire, mais admettons, j'envisageais maintenant fortement qu'elle se détendrait ensuite.
Elle partit dans sa chambre chercher une grande écharpe et revint dans le salon. Elle avait gardé son cache-coeur blanc qui mettait en valeur sa poitrine est une jupe noire sage, bien que courte.
Elle me mit l'écharpe sur les yeux, vérifia que je ne voyais plus rien.
J’entendis des bruits de vêtements tombants.
Elle me dit "je vois qu'il y a une belle bosse dans ton pantalon!"Je commençais à très sérieusement penser que la prochaine étape allait être ma fête.
Elle m'indiqua alors de me mettre à genoux face au fauteuil dans lequel elle s'assit.
Difficle, j'étais saoul et ... aveugle.
Je mis mes mains en avant et découvrit à tâtons qu'elle avait mis ses jambes sur les accoudoirs. Ce devait être très impudique, enfin, si on pouvait le voir.
Me mains voulurent se balader, rappel à l'ordre "J'ai dit sans les mains! Tu les colles dans ton dos ou on arrête".
Elle prit mon visage avec sa main et me guida vers ses très beaux seins que j'avais de nombreuses fois idéalisés.
Son amie lui avait parlé de mes capacités buccales, c'est ce qu'elle attendait visiblement, enfin c'est ce que je supposais.
Je pris ses seins en bouches pendant de longues minutes, les aspirants, les léchant, les mordillant. J'entendais son souffle se raccourcir, je lui demandais si elle aimait, elle me dit "je ne savais pas qu'un objet parlait"...
Elle me guida ensuite vers son ventre puis son sexe, au toucher, de langue, il était peu broussailleux, très doux, joli parfum et très bon gout.Elle me demanda de la faire jouir.
Je m'évertuais alors à déployer des trésors de volupté pour lui donner du plaisir, un premier orgasme vint rapidement. C'est vrai que la situation était très excitante Je pensais alors que mon tour viendrait, mes mains vinrent vers ses cuisses, j'en profitais pour reprendre un peu l'équilibre.
Aussi sec, "non, sans les mains! Elles retournent dans ton dos!"
Visiblement mon tour allait attendre, elle me demanda alors de reprendre mes jeux de langue, je reprenais doucement mes jeux d'aspiration, de léchage et de mordillage, de pénétration de langue, son corps se démontait au fur et à mesure que le plaisir montait.
Elle eut un second orgasme qui cette fois-là fit oublier toute décence.
Elle cria mon prénom, j'avais l'impression d'avoir réussi mon coup.
Plusieurs minutes passèrent, elle était encore dans un état second.
J'étais toujours très excité, aveugle et ne sachant pas trop ce qu'il allait arriver ensuite. Ce qu'elle attendait de moiJ'avais bien envie de dire, "bon, et moi?" Mais ça aurait sans doute cassé le charme. Je me contentais d'imaginer son corps offert derrière ce foutu textile.
Puis, je l'entendis se relever, remettre ses vêtements elle me dit "écoute, je ne sais pas ce qui nous a pris, je vais prendre une douche, tu fermes la porte derrière toi?"J'en déduis que le retour à la vie réelle l'avait bousculée.
Je ne dis rien et parti discrètement. Assez déçues, en même temps, les règles du jeu étaient définies depuis le départ.
En rentrant, je repensais à tout ça, situation étrange, que devais en déduire pour la suite?
Elle me demandait d'habitude d'être le mec "viril", et là, j'avais été... un objet, amusant, mais pas vraiment ce que j'avais prévu
pendant plusieurs semaines, je ne raccompagnais pas la demoiselle chez elle, elle s'arrangeait pour être l'une des premières déposées. J'avais compris le message...
Puis, pour une raison que j'ignorais, un soir, son attitude distante changea, elle redevint joueuse et un peu allumeuse.
Elle me demanda à nouveau de la ramener chez elle ce soir-là.
La suite bientôt.
Désolé si c'est un peu long au départ, j'aime pas trop les histoires qui se résument à 3 lignes sans contexte ni présentation.
La suite sera plus condensée, les protagonistes étant connus.
Tout d'abord un peu de contexte.
J'ai fait la connaissance de Philippe et Sandrine dans mon école, Ils étaient en couple depuis plusieurs années, depuis l'âge de 14 ans en fait.
Sandrine n'avait jamais connu d'autres hommes que lui et jusqu'à présent cela semblait lui convenir.
Nous avions tous les 3, 22 ans à l'époque de cette histoire.
Philippe avait eu quelques expériences précédemment qui avaient un peu émoustillé la jalousie et la curiosité de Sandrine.
C'était aussi un sujet de plaisanterie entre nous. Elle n'avait pas de point de comparaison avec un autre.
Toutefois, ça collait très bien avec sa culture bourgeoise.
Ses parents s'étaient connus lors du bal de Vienne, dans sa famille, il était classique de se préserver pour un seul homme.
Petite description, elle faisait 1m70 des cheveux longs noirs, des yeux très bleus, un teint laiteux.
Elle ne reniait pas ses origines germaniques et une copie presque conforme de Jennifer ConnellyElle avait une taille assez fine, des jolies petites fesses et une très jolie paire de seins, assez gros et ronds.
Son homme, un mec, normal, assez sur de lui, trop peut être, physiquement agréable, mais pas forcément très virileJe savais aussi par quelques confidences qu'il n'était pas toujours très fidèle. Elle ne le savait pas, j'étais le "gardien du temple".
Parlons un peu de moi, je viens du nord de l'Europe, donc pour résumer, 1.85, blonds yeux bleus assez costauds.
Tous deux savaient que j'étais très coquin et avec peu de tabous.
Sandrine adorait que je parle avec une imitation de "voix de mâle dominant", et que je parle de manière un peu vulgaire.
C'était une référence à Sabine Azéma et Eddy Mitchell dans Le bonheur est dans le pré. Pratiquement, il m'arrivait de dire devant son mec qui lui aussi trouvait l'imitation assez drôle :"Bon, la pipe, ce soir, je la préfère avant le café, donc soit gentille, attend avant de le servir, je n’aime pas les cafés froids".
Au départ, elle n'osait pas trop répondre, puis, c'est devenu un jeu, parfois, elle me surprenait par son audace.
C'était une plaisanterie entre nous quand d'autres personnes autour de nous entendaient nos conversations.
Notre relation a toujours été ambigüe, au delta des blagues grivoises, il trainait toujours quelque chose dans l'air.
Il m'arrivait souvent de faire des trucs avec elle alors que son mec était parti chasser, on s'occupait ensemble en toute amitié si je puis dire.
Elle aimait aussi me séduire, je pouvais le voir, je ne comptais plus les fois ou j'avais pu voir son décolleté ou sa culotte blanche. Au début, je pensais qu'il s'agissait de hasard, en fait non, elle voulait voir si elle me séduisait. Certains de mes amis me demandaient si un jour j'allais faire un pas vers elle.
Tout a commencé quelques mois après ma rupture avec sa meilleure amie. Sa copine, mon ex était connue pour ne pas avoir froid aux yeux.
Un peu le contraire de Sandrine.
Bref, de chaque week-end nous allions en discothèque ou restos, chaque fois que je ramenais tout le monde sachant que j'étais le seul à avoir une voiture.
Philippe et Sandrine de habitaient pas encore ensemble et donc je ramenais d'abord Philippe, puis Sandrine, à la demande de Sandrine qui trouvait ça plus pratique.
Pratiquement à chaque fois elle me proposait de venir boire un verre de Schaps chez elle et discuter de choses et autres.
Je repartais généralement pas très frais après plusieurs heures de discussion alcoolisées.
Ce soir-là l'ambiance était un peu plus chaude que d'habitude j'avais rencontré une jeune femme et en discutant, j'échafaudais un peu un fantasme. En rigolant et avec ma "voix de mal dominant", je dis que je l'aurais bien prise dans les toilettes du resto"...
Sandrine se moqua de moi en disant que c'était ceux qui en parlaient le plus qui en faisaient le moins.
Sur ce, vaguement vexé, je lui répondis; "Ah oui, et que t'a dit Virginie de ma capacité sexuelle?
Toutes les filles parlent entre elles, je suis sûr que je n'ai pas eu de plainte!"Elle ne sut pas répondre, mais devint toute rouge.
"Tu vois j'ai raison!","Alors qu'a-t-elle dit? "Pas de réponse...
Je lui dis ensuite que puisqu'elle connaissait ma vie intime je devais avoir le droit de connaître aussi la sienne.
Je proposais de jouer action ou vérité, un jeu d'ado bien pratique.
Elle eut quelques difficultés à accepter, mais l'alcool aidant, le fait qu'elle pouvait aussi me poser des questions ou gages, lui fit accepter.
Si l'un de nous refusait une question ou gage, il devait boire un verre de Schnaps.
Les questions au début furent assez anodines, c'était presque moins intéressant que nos discussions normales.
Aucun gage n'avait été demandé.
Puis vient la question qui déclencha tout, je lui demande si le fait d'avoir eu qu'un seul homme dans sa vie et dans son corps n'allait pas la frustrer à long terme.
Elle essayait de répondre, mais nous étions déjà particulièrement saouls.
Elle me répondit qu'effectivement elle n'avait pas de point de comparaison, mais en même temps elle souhaitait rester fidèle à son homme.
Je revins à la charge sur le même sujet. Toujours la même réponse, il fallait être fidèle à son homme... qui ne l'était pas(mais ça, interdiction de lui dire, c'était leurs histoires).
En plaisantant, je lui dis que je pourrais être l'élément de comparaison, étant proche, ce n'était pas pareil finalement.
Ce n'était pas vraiment le tromper. Oui, excuse bidon...
La tension sexuelle était très forte à ce moment-là, je n'osais pas faire un pas vers elle, j'étais aussi un peu gêné vis-à-vis de Philippe, même si je savais que lui, n'était pas un saint.
A ce moment-là me vint une idée, c'était plus une plaisanterie qu'autre chose. Je n'y croyais pas trop
Je lui dis: "Si je ne te vois pas, ce n'est pas comme si tu le trompais, c'est comme si tu avais un objet sexuel, mais vivant."Elle éclatait de rire, puis y réfléchit dans son état alcoolisé, et de manière assez surprenante, négociat les termes.
Elle ferait ce qu'elle voudrait de moi, je n'aurais pas le droit de la toucher avec mes mains et interdictions de la voir.
Le truc me fit rire, mais admettons, j'envisageais maintenant fortement qu'elle se détendrait ensuite.
Elle partit dans sa chambre chercher une grande écharpe et revint dans le salon. Elle avait gardé son cache-coeur blanc qui mettait en valeur sa poitrine est une jupe noire sage, bien que courte.
Elle me mit l'écharpe sur les yeux, vérifia que je ne voyais plus rien.
J’entendis des bruits de vêtements tombants.
Elle me dit "je vois qu'il y a une belle bosse dans ton pantalon!"Je commençais à très sérieusement penser que la prochaine étape allait être ma fête.
Elle m'indiqua alors de me mettre à genoux face au fauteuil dans lequel elle s'assit.
Difficle, j'étais saoul et ... aveugle.
Je mis mes mains en avant et découvrit à tâtons qu'elle avait mis ses jambes sur les accoudoirs. Ce devait être très impudique, enfin, si on pouvait le voir.
Me mains voulurent se balader, rappel à l'ordre "J'ai dit sans les mains! Tu les colles dans ton dos ou on arrête".
Elle prit mon visage avec sa main et me guida vers ses très beaux seins que j'avais de nombreuses fois idéalisés.
Son amie lui avait parlé de mes capacités buccales, c'est ce qu'elle attendait visiblement, enfin c'est ce que je supposais.
Je pris ses seins en bouches pendant de longues minutes, les aspirants, les léchant, les mordillant. J'entendais son souffle se raccourcir, je lui demandais si elle aimait, elle me dit "je ne savais pas qu'un objet parlait"...
Elle me guida ensuite vers son ventre puis son sexe, au toucher, de langue, il était peu broussailleux, très doux, joli parfum et très bon gout.Elle me demanda de la faire jouir.
Je m'évertuais alors à déployer des trésors de volupté pour lui donner du plaisir, un premier orgasme vint rapidement. C'est vrai que la situation était très excitante Je pensais alors que mon tour viendrait, mes mains vinrent vers ses cuisses, j'en profitais pour reprendre un peu l'équilibre.
Aussi sec, "non, sans les mains! Elles retournent dans ton dos!"
Visiblement mon tour allait attendre, elle me demanda alors de reprendre mes jeux de langue, je reprenais doucement mes jeux d'aspiration, de léchage et de mordillage, de pénétration de langue, son corps se démontait au fur et à mesure que le plaisir montait.
Elle eut un second orgasme qui cette fois-là fit oublier toute décence.
Elle cria mon prénom, j'avais l'impression d'avoir réussi mon coup.
Plusieurs minutes passèrent, elle était encore dans un état second.
J'étais toujours très excité, aveugle et ne sachant pas trop ce qu'il allait arriver ensuite. Ce qu'elle attendait de moiJ'avais bien envie de dire, "bon, et moi?" Mais ça aurait sans doute cassé le charme. Je me contentais d'imaginer son corps offert derrière ce foutu textile.
Puis, je l'entendis se relever, remettre ses vêtements elle me dit "écoute, je ne sais pas ce qui nous a pris, je vais prendre une douche, tu fermes la porte derrière toi?"J'en déduis que le retour à la vie réelle l'avait bousculée.
Je ne dis rien et parti discrètement. Assez déçues, en même temps, les règles du jeu étaient définies depuis le départ.
En rentrant, je repensais à tout ça, situation étrange, que devais en déduire pour la suite?
Elle me demandait d'habitude d'être le mec "viril", et là, j'avais été... un objet, amusant, mais pas vraiment ce que j'avais prévu
pendant plusieurs semaines, je ne raccompagnais pas la demoiselle chez elle, elle s'arrangeait pour être l'une des premières déposées. J'avais compris le message...
Puis, pour une raison que j'ignorais, un soir, son attitude distante changea, elle redevint joueuse et un peu allumeuse.
Elle me demanda à nouveau de la ramener chez elle ce soir-là.
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