Sandrine, bourgeoise bien éduquée ne voulant pas mourir idiote 4
Récit érotique écrit par Itacoatiara [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-05-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Sandrine, bourgeoise bien éduquée ne voulant pas mourir idiote 4
Quelques jours après notre dernière rencontre, nous avons eu envie d'en parler.
De mon côté, j'avais aimé la dominer, mais c'était une première, pas sûre de savoir le gérer
De son côté, je ne savais pas comment elle l'avait vécu, s'était-elle sentie humiliée? Et puis, c'était plus les mêmes règles du jeu . Où nous allions, je n'en savais rien
Il fut convenu d'aller dans un lieu neutre, où rien ne pouvait déraper, un café parisien.
15h, j'entre dans le café désert, elle est au fond de la salle, dans un endroit au calme.
Elle me sourit, visiblement, ça va plutôt bien, elle me demande de se mettre à côté de moi, face à la salle.
Je percute pas, pour moi, c'est un moyen de parler discrètementJe prends un café et le serveur comprend assez vite qu'on veut discuter tranquilles.
Elle porte un joli cache-coeur gris qui met son décolleté en valeur, et une jupe un peu ample, toujours aussi jolie.
En lui parlant, je passe de sa bouche à ses seins, elle me fait vraiment triper. Je repense à ce que nous avons fait, un rêve.
Elle me rappelle à l'ordre: "tu as vu", "là, ta morsure", "faut plus que tu le fasses, je ne savais pas quoi dire, et le maquillage, ça marche moyen".
Moi: "euh" OK.
Ma phase dominante n'avait visiblement été qu'un épisode...
Je lui en parle, de ce qu'elle veut, que je sois à ses ordres, qu'elle soit aux miens. Réponse, "les deux, j'aime les deux, on fera selon l'humeur."
Je note au passage qu'on continue. Très bien!
On se remémore chaque moment, elle me demande d'arrêter de regarder ses seins.
Je lui fais remarquer que là ou nous sommes, peu de risques que ça dérape...
Elle me dit "Ah bon, ce n’était pas avec toi le cuni dans les toilettes", elle rigole et me dit, "je t'en dois une!"Ces derniers jours l'ont métamorphosé!
Sur ce, n'ayant pas de voisins en vue, elle pose sa main sur ma braguette, sort mon sexe et commence à le caresser. Décidément, elle n'a plus trop froid aux yeux!
Je flippe, mais j'aime ça, elle me regarde dans les yeux, ces yeux bleus perçants .
Elle accélère un peu le rythme, me voit me trémousser, et là, stop, elle m'enserre fortement. Je reste interloqué. "Euh, tu t'arrêtes?"
Dans un rire, "Oui, j'ai envie, ça m'amuse! » Moi: "Euh, c'est bizarre, je crois que j'ai déjà vécu ça".
Elle, en me regardant fixement "Est-ce que cela t'a déplu?" tout en reprenant le rythme.
elle reprendra ce petit jeu pendant plusieurs minutes jusqu'à ce que je lui supplie de me laisser jouirElle me pose alors une question pratique "mais si je te laisse jouir, tu vas en mettre par tout? "
Moi - entre mes spasmes avec une voix chevrotante "Tu peux toujours avaler?"
Elle - "Non, pas encore convaincu de l'intérêt!"
Je tests alors cette proposition on appuyant sur sa nuque, elle résiste et me dit "je viens de te dire que pour l'instant, c'est non!".
On entend le serveur parler à son collègue, il va venir chercher l'addition, d'ici peu, il finit son service.
Elle accélère alors le rythme, plante ses yeux dans les miens et dit fermement "Maintenant".
J'explose comme rarement, aspergeant le dessous de la table, elle ricane, le serveur se rapproche dangereusement. Je suis totalement à l'ouest.
Le serveur me regarde "Ah on veut pas de drogués ici, tu payes et tu pars."
On paye et... on part. Je me remercie d'avoir pensé à prendre une chemise qui tombait sur mon jeans, ça masquait très bien la tache de sperme....
En sortant, je lui dis que ce n’est pas cool, elle me répond "ça ne t’a pas fait plaisir?" SI, mais bon, pas comme ça...
Elle me propose alors de l'accompagner au château de chasse de sa famille pour le week-end. Elle y sera seule avec ses parents et se dit qu'on pourrait profiter du week-end ensemble. Je ne vois pas trop comment, mais bon, ses parents m'aiment bien, et on sera tous les deux, son mec étant toujours par monts et par vaux. Enfin, sans doute dans les bras de quelqu'un d'autre aussi. Je trouve quand même l'idée dangereuse.
Finalement, rendez-vous est pris, sa famille passe me prendre le vendredi soir pour une balade "à la campagne".
À un moment, son père me demande si j'ai suffisamment de place à l'arrière, je suis assez grand. Moi, "oui, oui".
Ce qu'il ne sait pas, c'est que tout le long, Sandrine s'amuse à m'exciter ou me pousse à la caresser, on n'arrive pas à terme, mais tout le voyage n'est que torture.
Arrivée au Chateau de chasse, elle prétexte de me faire visiter pour nous donner un peu d'intimités. Chaque chambre à un style et une couleur dominante différente.
J'aurais droit à la chambre au paysage bucolique et à la moquette en gazon synthétique.
Elle en profite pour me raconter la raison de ces chambres aux couleurs et styles si différents.
Le château appartenait avant à un réalisateur de film de charme des années 70, avec l'arrivée du porno, ses films n'avaient plus aucune valeur, faute de pénétration en gros plan. Il décida alors de rajouter les scènes de gros plan manquantes avec des doublures pénétration. La mienne était donc celle des gros plans scène d'extérieur.
Sa mère ne trouvait pas cela très correcte, son père adorait et me raconta l'histoire une seconde fois, décision avait été prise de ne rien changer, faute d'argent.
Je lui demandais si elle aimerait faire l'amour sur l'herbe... En plastique de la chambre. Réponse "a choisir, je préfère dans le jardin". Pas pour cette fois...
Nous avions prévu quelques moments intimes, mais ses parents auraient fait de bons chiens de garde. Impossible. Pourtant, j'avais l'ambition de tester le billard et la grande table du salon, mais, trop de passage.
Le dimanche matin, ses parents partirent à la messe, à nouveau, moments seuls dans une des chambres, celle de son oncle.
Le lit est en coeur et la chambre toute rouge, on dirait un bordel. Très surprenant vu le style des parents...
Elle me raconte alors qu'un de ses oncles avait fait des photos d'elle, pas dénudé, plutôt du maillot de bain sexy quand elle avait 17 ans.Elle avait arrêté parce qu'il voulait aller plus loin, hors de question! il gardait pratiquement tout dans le château ou il avait une salle de développement.
Je demande à voir, nous partons alors pour sa chambre, elle me fait son CV en même temps. Homme marié, très coquin, sa femme, considérée comme une vraie salope par toute la famille depuis qu'ils s'étaient fait surprendre en fâcheuse situation totalement assumée par le couple...
Bref, on entre, et fouille, on tombe sur les photos, oui, c'est sexy, mais sage, égales à ce qu'elle est...
Pendant que je regarde ses photos et celles d'autres femmes, elle continue, ses fouilles.
Elle me montre alors un truc, "tiens, ils sont marrants les bigoudis d'Anne Charlotte "la salope".
Je ne percute pas et continu à mater les photos, dont celles de la fameuse Anne Charlotte...
Elle - "Bizarre, je n’arrive pas à les accrocher, tu peux m'aider, je me demande comment ça marche".
Je relève la tête et la vois avec un long fil noir, au bout, un anneau, et tout le long, des boules de tailles de plus en plus grandes.
J'éclate de rire
Elle - "Mais quoi?"
Je lui explique alors la destination, un chapelet anal.
Je lui propose de l'essayer.
Elle: "non, pas envie d'essayer." Dommage, ma manoeuvre pour enfin m'occuper de ses fesses avait échouée.
Elle continu ses fouilles en ouvrant des boites et tombe sur divers objets, godes en tout genre.
Quand l'objet est de forme bizarre, elle me demande à quoi sa sert. J'ai l'impression de faire son initiation. Elle me dit qu'il faudra en essayer quelques-uns, visiblement ça ne la laisse pas de marbre.
Viennent alors les boules de Geisha, à nouveau, j'explique l'utilité de la chose. Moi " tu devrais les porter maintenant, tu verras bien ce que ça fait".
Elle, sans trop de conviction, mais sans doute pour me faire plaisir "OK, allons y, tourne-toi!
Je l'entends baisser sa culotte, et petit à petit les introduire, le tout avec quelques commentaires dubitatifs.
Moi - alors? c'est comment?
"Bof, je sais pas trop, je ne vais peut-être pas les garder..."...
Moi - " si vas-y, ce sera marrant, excitant même de te savoir avec".
Elle:"Ok, pour te faire plaisir, je suis pas fan pour l'instant"
Moi: "faut bouger, sinon, ça n'a pas d'intérêt"...
Arrivent alors les parents de la demoiselle, on redescend après avoir rapidement rangé le coffre aux trésors.
" Les Bouchots nous invitent dans leur propriété, on va se régaler...."
Le père me demande "tu préfères la route ou les chemins?"
Moi: "Bah, faudrait rentabiliser le 4x4? Non" EN disant ça, je regarde Sandrine droit dans les yeux,je n'en suis pas certain, mais je me dis que ça devrait bouger pas mal et peut-être l'émoustiller... on verra si les boules, ça marche ou si c'est du flan...
On monte dans le 4x4, et j'encourage le père à nous montrer ce qu'est capable son véhicule.
Premières bosses, Sandrine me regarde, pleine de surprise, au fur et à mesure du trajet, je reconnais ce visage, entre retenue et plaisir intense, chaque bosse, chaque mouvement se répercutent sur les boules. Vient ensuite un chemin plus plat, mais avec de petites secousses, j'imagine, les boules vibrer au même rythmeElle prend ma main, me sert de plus en plus fort, elle prend méchamment son pied.
J'encourage encore plus son père, je suis fier de mon jeu cruel.
Son regard se perd.
Sa mère lui demande "'Sandrine, ça va?"
"Oui, oui, le petit dej qui n'est pas passé".
"Bernard, ralenti, ta fille ne se sent pas bien".
Moi: " De toutes façons, les bosses sont là, donc le seul moyen, c'est de se dépêcher."
Le père évite les bosses, mais la vitesse accélère les vibrations.
Vu l'état de Sandrine, je sais qu'elle apprécie. Est-ce psychologique ou physiologique? Peu importe, ça lui plait
On arrive chez les amis, je propose d'accompagner Sandrine aux toilettes pour qu'elle reprenne ses esprits.
On décide d'aller dans ceux du pool house un peu à l'écart, Sandrine indique que si elle devait vomir, ce serait mieux pour l'odeur...
On rentre dans le pool house, elle ferme la porte et m'attrape violemment.
"Espece de salop, ça t'amuse ce petit jeu?" Moi "Eux oui, très excitant, c'était bien?"
"Démentielle, j'en veux encore, baise-moi fort". Elle joint le geste à la parole et baisse mon pantalon.
Je bande déjà, pas de préliminaire, elle se retourne contre un mur, attrape le fil des boules et les retire d'un coup sec.
"Vas-y fort"
Capoté,je la prends d'un seul coup," à peine un cri, elle est trempée, je la pistonne alors, quand je ralentis, elle pousse ses fesses vers moi et m'ordonne de la baiser à fond.
Je ne reconnais plus la Sandrine sage et responsable que j'ai toujours connue.
Instinctivement, je lui claque les fesses; "Plus fort",encore plus fort"!!!!
Je continus mes assauts sans me poser de question.
Elle jouit, encore et encore, le lui mets une main sur la bouche pour ne pas nous faire prendre.
Me vient l'envie de m'occuper de ses fesses, je mouille un doigt et l'insinue près de ses fesses, pas de réaction, je commence à la pénétrer, toujours pas de réaction, je mets alors mon pouce presque entièrement.
"Oui, vas-y, c'est bon, continu".
Je synchronise alors mon doigt et mon sexe, elle crie de plus en plus fort, son vocabulaire n'est plus du tout sage.
Je suis en sueur, elle aussi, je finis par jouir en elle.
Nous sommes épuisés, en sueur, absents depuis un peu trop longtemps.
Nous décidons alors de nous baigner nus dans la piscine, ce sera notre excuse pour notre absence et le fait que nous sommes totalement en sueur ébouriffée
Les parents viennent quelques minutes après s'étonnant de notre absence.
Sa mère nous réprimande en disant que se baigner nue devant un garçon n'est pas correct.
S'ils savaient....
De mon côté, j'avais aimé la dominer, mais c'était une première, pas sûre de savoir le gérer
De son côté, je ne savais pas comment elle l'avait vécu, s'était-elle sentie humiliée? Et puis, c'était plus les mêmes règles du jeu . Où nous allions, je n'en savais rien
Il fut convenu d'aller dans un lieu neutre, où rien ne pouvait déraper, un café parisien.
15h, j'entre dans le café désert, elle est au fond de la salle, dans un endroit au calme.
Elle me sourit, visiblement, ça va plutôt bien, elle me demande de se mettre à côté de moi, face à la salle.
Je percute pas, pour moi, c'est un moyen de parler discrètementJe prends un café et le serveur comprend assez vite qu'on veut discuter tranquilles.
Elle porte un joli cache-coeur gris qui met son décolleté en valeur, et une jupe un peu ample, toujours aussi jolie.
En lui parlant, je passe de sa bouche à ses seins, elle me fait vraiment triper. Je repense à ce que nous avons fait, un rêve.
Elle me rappelle à l'ordre: "tu as vu", "là, ta morsure", "faut plus que tu le fasses, je ne savais pas quoi dire, et le maquillage, ça marche moyen".
Moi: "euh" OK.
Ma phase dominante n'avait visiblement été qu'un épisode...
Je lui en parle, de ce qu'elle veut, que je sois à ses ordres, qu'elle soit aux miens. Réponse, "les deux, j'aime les deux, on fera selon l'humeur."
Je note au passage qu'on continue. Très bien!
On se remémore chaque moment, elle me demande d'arrêter de regarder ses seins.
Je lui fais remarquer que là ou nous sommes, peu de risques que ça dérape...
Elle me dit "Ah bon, ce n’était pas avec toi le cuni dans les toilettes", elle rigole et me dit, "je t'en dois une!"Ces derniers jours l'ont métamorphosé!
Sur ce, n'ayant pas de voisins en vue, elle pose sa main sur ma braguette, sort mon sexe et commence à le caresser. Décidément, elle n'a plus trop froid aux yeux!
Je flippe, mais j'aime ça, elle me regarde dans les yeux, ces yeux bleus perçants .
Elle accélère un peu le rythme, me voit me trémousser, et là, stop, elle m'enserre fortement. Je reste interloqué. "Euh, tu t'arrêtes?"
Dans un rire, "Oui, j'ai envie, ça m'amuse! » Moi: "Euh, c'est bizarre, je crois que j'ai déjà vécu ça".
Elle, en me regardant fixement "Est-ce que cela t'a déplu?" tout en reprenant le rythme.
elle reprendra ce petit jeu pendant plusieurs minutes jusqu'à ce que je lui supplie de me laisser jouirElle me pose alors une question pratique "mais si je te laisse jouir, tu vas en mettre par tout? "
Moi - entre mes spasmes avec une voix chevrotante "Tu peux toujours avaler?"
Elle - "Non, pas encore convaincu de l'intérêt!"
Je tests alors cette proposition on appuyant sur sa nuque, elle résiste et me dit "je viens de te dire que pour l'instant, c'est non!".
On entend le serveur parler à son collègue, il va venir chercher l'addition, d'ici peu, il finit son service.
Elle accélère alors le rythme, plante ses yeux dans les miens et dit fermement "Maintenant".
J'explose comme rarement, aspergeant le dessous de la table, elle ricane, le serveur se rapproche dangereusement. Je suis totalement à l'ouest.
Le serveur me regarde "Ah on veut pas de drogués ici, tu payes et tu pars."
On paye et... on part. Je me remercie d'avoir pensé à prendre une chemise qui tombait sur mon jeans, ça masquait très bien la tache de sperme....
En sortant, je lui dis que ce n’est pas cool, elle me répond "ça ne t’a pas fait plaisir?" SI, mais bon, pas comme ça...
Elle me propose alors de l'accompagner au château de chasse de sa famille pour le week-end. Elle y sera seule avec ses parents et se dit qu'on pourrait profiter du week-end ensemble. Je ne vois pas trop comment, mais bon, ses parents m'aiment bien, et on sera tous les deux, son mec étant toujours par monts et par vaux. Enfin, sans doute dans les bras de quelqu'un d'autre aussi. Je trouve quand même l'idée dangereuse.
Finalement, rendez-vous est pris, sa famille passe me prendre le vendredi soir pour une balade "à la campagne".
À un moment, son père me demande si j'ai suffisamment de place à l'arrière, je suis assez grand. Moi, "oui, oui".
Ce qu'il ne sait pas, c'est que tout le long, Sandrine s'amuse à m'exciter ou me pousse à la caresser, on n'arrive pas à terme, mais tout le voyage n'est que torture.
Arrivée au Chateau de chasse, elle prétexte de me faire visiter pour nous donner un peu d'intimités. Chaque chambre à un style et une couleur dominante différente.
J'aurais droit à la chambre au paysage bucolique et à la moquette en gazon synthétique.
Elle en profite pour me raconter la raison de ces chambres aux couleurs et styles si différents.
Le château appartenait avant à un réalisateur de film de charme des années 70, avec l'arrivée du porno, ses films n'avaient plus aucune valeur, faute de pénétration en gros plan. Il décida alors de rajouter les scènes de gros plan manquantes avec des doublures pénétration. La mienne était donc celle des gros plans scène d'extérieur.
Sa mère ne trouvait pas cela très correcte, son père adorait et me raconta l'histoire une seconde fois, décision avait été prise de ne rien changer, faute d'argent.
Je lui demandais si elle aimerait faire l'amour sur l'herbe... En plastique de la chambre. Réponse "a choisir, je préfère dans le jardin". Pas pour cette fois...
Nous avions prévu quelques moments intimes, mais ses parents auraient fait de bons chiens de garde. Impossible. Pourtant, j'avais l'ambition de tester le billard et la grande table du salon, mais, trop de passage.
Le dimanche matin, ses parents partirent à la messe, à nouveau, moments seuls dans une des chambres, celle de son oncle.
Le lit est en coeur et la chambre toute rouge, on dirait un bordel. Très surprenant vu le style des parents...
Elle me raconte alors qu'un de ses oncles avait fait des photos d'elle, pas dénudé, plutôt du maillot de bain sexy quand elle avait 17 ans.Elle avait arrêté parce qu'il voulait aller plus loin, hors de question! il gardait pratiquement tout dans le château ou il avait une salle de développement.
Je demande à voir, nous partons alors pour sa chambre, elle me fait son CV en même temps. Homme marié, très coquin, sa femme, considérée comme une vraie salope par toute la famille depuis qu'ils s'étaient fait surprendre en fâcheuse situation totalement assumée par le couple...
Bref, on entre, et fouille, on tombe sur les photos, oui, c'est sexy, mais sage, égales à ce qu'elle est...
Pendant que je regarde ses photos et celles d'autres femmes, elle continue, ses fouilles.
Elle me montre alors un truc, "tiens, ils sont marrants les bigoudis d'Anne Charlotte "la salope".
Je ne percute pas et continu à mater les photos, dont celles de la fameuse Anne Charlotte...
Elle - "Bizarre, je n’arrive pas à les accrocher, tu peux m'aider, je me demande comment ça marche".
Je relève la tête et la vois avec un long fil noir, au bout, un anneau, et tout le long, des boules de tailles de plus en plus grandes.
J'éclate de rire
Elle - "Mais quoi?"
Je lui explique alors la destination, un chapelet anal.
Je lui propose de l'essayer.
Elle: "non, pas envie d'essayer." Dommage, ma manoeuvre pour enfin m'occuper de ses fesses avait échouée.
Elle continu ses fouilles en ouvrant des boites et tombe sur divers objets, godes en tout genre.
Quand l'objet est de forme bizarre, elle me demande à quoi sa sert. J'ai l'impression de faire son initiation. Elle me dit qu'il faudra en essayer quelques-uns, visiblement ça ne la laisse pas de marbre.
Viennent alors les boules de Geisha, à nouveau, j'explique l'utilité de la chose. Moi " tu devrais les porter maintenant, tu verras bien ce que ça fait".
Elle, sans trop de conviction, mais sans doute pour me faire plaisir "OK, allons y, tourne-toi!
Je l'entends baisser sa culotte, et petit à petit les introduire, le tout avec quelques commentaires dubitatifs.
Moi - alors? c'est comment?
"Bof, je sais pas trop, je ne vais peut-être pas les garder..."...
Moi - " si vas-y, ce sera marrant, excitant même de te savoir avec".
Elle:"Ok, pour te faire plaisir, je suis pas fan pour l'instant"
Moi: "faut bouger, sinon, ça n'a pas d'intérêt"...
Arrivent alors les parents de la demoiselle, on redescend après avoir rapidement rangé le coffre aux trésors.
" Les Bouchots nous invitent dans leur propriété, on va se régaler...."
Le père me demande "tu préfères la route ou les chemins?"
Moi: "Bah, faudrait rentabiliser le 4x4? Non" EN disant ça, je regarde Sandrine droit dans les yeux,je n'en suis pas certain, mais je me dis que ça devrait bouger pas mal et peut-être l'émoustiller... on verra si les boules, ça marche ou si c'est du flan...
On monte dans le 4x4, et j'encourage le père à nous montrer ce qu'est capable son véhicule.
Premières bosses, Sandrine me regarde, pleine de surprise, au fur et à mesure du trajet, je reconnais ce visage, entre retenue et plaisir intense, chaque bosse, chaque mouvement se répercutent sur les boules. Vient ensuite un chemin plus plat, mais avec de petites secousses, j'imagine, les boules vibrer au même rythmeElle prend ma main, me sert de plus en plus fort, elle prend méchamment son pied.
J'encourage encore plus son père, je suis fier de mon jeu cruel.
Son regard se perd.
Sa mère lui demande "'Sandrine, ça va?"
"Oui, oui, le petit dej qui n'est pas passé".
"Bernard, ralenti, ta fille ne se sent pas bien".
Moi: " De toutes façons, les bosses sont là, donc le seul moyen, c'est de se dépêcher."
Le père évite les bosses, mais la vitesse accélère les vibrations.
Vu l'état de Sandrine, je sais qu'elle apprécie. Est-ce psychologique ou physiologique? Peu importe, ça lui plait
On arrive chez les amis, je propose d'accompagner Sandrine aux toilettes pour qu'elle reprenne ses esprits.
On décide d'aller dans ceux du pool house un peu à l'écart, Sandrine indique que si elle devait vomir, ce serait mieux pour l'odeur...
On rentre dans le pool house, elle ferme la porte et m'attrape violemment.
"Espece de salop, ça t'amuse ce petit jeu?" Moi "Eux oui, très excitant, c'était bien?"
"Démentielle, j'en veux encore, baise-moi fort". Elle joint le geste à la parole et baisse mon pantalon.
Je bande déjà, pas de préliminaire, elle se retourne contre un mur, attrape le fil des boules et les retire d'un coup sec.
"Vas-y fort"
Capoté,je la prends d'un seul coup," à peine un cri, elle est trempée, je la pistonne alors, quand je ralentis, elle pousse ses fesses vers moi et m'ordonne de la baiser à fond.
Je ne reconnais plus la Sandrine sage et responsable que j'ai toujours connue.
Instinctivement, je lui claque les fesses; "Plus fort",encore plus fort"!!!!
Je continus mes assauts sans me poser de question.
Elle jouit, encore et encore, le lui mets une main sur la bouche pour ne pas nous faire prendre.
Me vient l'envie de m'occuper de ses fesses, je mouille un doigt et l'insinue près de ses fesses, pas de réaction, je commence à la pénétrer, toujours pas de réaction, je mets alors mon pouce presque entièrement.
"Oui, vas-y, c'est bon, continu".
Je synchronise alors mon doigt et mon sexe, elle crie de plus en plus fort, son vocabulaire n'est plus du tout sage.
Je suis en sueur, elle aussi, je finis par jouir en elle.
Nous sommes épuisés, en sueur, absents depuis un peu trop longtemps.
Nous décidons alors de nous baigner nus dans la piscine, ce sera notre excuse pour notre absence et le fait que nous sommes totalement en sueur ébouriffée
Les parents viennent quelques minutes après s'étonnant de notre absence.
Sa mère nous réprimande en disant que se baigner nue devant un garçon n'est pas correct.
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