Seul avec trois filles (fin)
Récit érotique écrit par ERIC64 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-01-2010 dans la catégorie Plus on est
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Seul avec trois filles (fin)
On est à nouveau dans la chambre.
On est tous les trois à poil et Joëlle propose que l’on reprenne où on en était chez Patricia. Je suis debout, Marie à genoux qui m’embouche sans perdre une seconde. Elle me pompe goulûment, m’introduit jusqu’à la racine, fourre mon gland dans sa gorge, me turlutte à ravir. J’ai faim de son huître et lui propose un 69 sur le lit, qu’elle accepte volontiers.
Depuis le début notre hôtesse nous regarde assise dans un fauteuil. Ses jambes écartées reposent sur les accoudoirs et elle se masturbe avec un superbe gode en verre, ayant un énorme gland et des boursouflures tout le long de la tige. Elle jouit à répétition et lèche son jouet après chaque orgasme.
Notre 69 s’emballe, on se bouffe éperdument, et elle ne peut plus rester seule dans ton coin.
Elle s’impose pour un 69 à trois et prend sa place entre moi et Marie. Elle me suce, je la lèche, elle la lèche. On change les places plusieurs fois, et je sens enfin que je vais jouir.
Je suis debout, Marie à genoux devant moi, bouche ouverte. Je me masturbe, et Joëlle est témoin de la première giclée de sperme qu’elle reçoit sur sa langue. Elle ne verra pas les suivantes, sa bouche s’étant refermé sur mon gland. Elle avale tout avec application et me suce bien au-delà de mes derniers soubresauts. Joëlle a repris ton gode et se défonce la chatte.
Il est tard et elle nous propose de passer la nuit chez elle. On s’endort à trois dans son lit extra large, Marie au milieu.
Je m’endors comme une masse, épuisé de ma journée, et je suppose qu’elles en font autant, lessivées elles aussi. Tôt le matin, vers 5h, je me réveille. Je glisse ma main entre mes cuisses, je ne rêve pas, je bande comme un cheval. Je me tourne vers Marie, cherche son corps à tâtons et pose ma main fébrile sur sa hanche. Elle me tourne le dos, se recule, sent ma trique sur le bas de ses reins et s’y frotte telle une chatte câline On se chuchote quelques mots :
- Tu ne dors pas ?
- Je suis éveillée depuis un petit moment, et je n’arrive pas à me rendormir.
- C’est comme moi. Je pense à vous trois et je bande à mort.
- Pas la peine de le dire, je la sens bien votre grosse queue, plus dure que les godes.
- J’ai envie de baiser. Tu veux bien m’offrir ta petite chatte, je te jure de ne pas jouir.
Comme si elle n’attendait que çà, elle s’empare de mon manche et le glisse entre ses cuisses. Sa main se déplace sur son bas ventre, ses doigts sur mon gland, et elle introduit mon sexe dans son paradis. Elle est chaude, mouillée, et à la fois ouverte et étroite. Je coulisse lentement et tendrement dans sa chatounette inexplorée par les hommes, un vrai délice. Elle gémit, miaule, jouit, et finit par réveiller sa copine.
Celle-ci se doute que je la prends et glisse sa main entre ses cuisses pour s’en assurer :
- Je pensais que tu n’offrais que ta bouche, mais je vois que tu en veux plus.
- Je ne savais pas ce que c’était une vraie queue, bien en chair. C’est trop bon. Elle est chaude, douce, c’est génial
- Attend qu’il te la mette dans le cul, et ce sera encore meilleur.
- J’aimerais bien, mais elle est très grosse.
- Si tu savais les calibres que certaines prennent ma chérie, ils sont autrement plus larges, et je te jure qu’ils passent en entier. Mais si tu veux je peux t’aider, préparer ton petit trou. Je suis sûre que tu vas aimer. Tu me ressembles, tu ne veux pas vivre avec un mec, mais t’en servir juste pour la baise. Ils ne sont bons qu’à ça, enfin, certains. Ne bouge pas et laisse moi faire.
Elle allume la lumière, se lève et va chercher deux godes. Un gode ceinture, 15x3, dont elle s’équipe, et un autre gode plus imposant, de la taille de mon sexe au mieux de sa forme. Elle nous dirige et on se soumet à ses consignes. Je suis sur le dos, la chatte de Marie absorbe mon pilon, et elle se couche sur moi, reins cambrés, cul offert. Joëlle écarte ses adorables fesses, lèche sa raie parfaite et bouffe son délicat petit œillet. Elle alterne doigts et langue dans son petit trou qui se dilate rapidement. Elle saisit son gode ceinture à pleine main et l’enfile. Ma partenaire pousse un oui jouissif et l’encourage à l’enculer tandis que mon sceptre la fouille profondément. Joëlle suce le deuxième gode pour le lubrifier, se retire, crache dans sa rondelle ouverte, et enfonce le gland. Elle arrête devant ses cris, et elle l’invite à continuer. Elle pousse cette bite caoutchouc, la fait aller et venir, de plus en plus loin. Elle prend le bout qui dépasse entre ses dents, et la plante jusqu’à ce que son museau disparaisse dans son sillon. Elle la sodomise de sa bouche prolongée en sexe mâle. Je suis tout en elle, ne bouge plus, et sens les aller retour de ton sexe sur le mien, au travers de ses fines parois. Elle jouit comme une possédée, ce qu’elle est d’ailleurs. Joëlle se retire, sors ma queue du vagin de Marie pour l’enfourner dans son anus affamé.
Elle se redresse pour mieux s’asseoir sur mon manche, et monte et descend avec frénésie.
Elle n’en finit plus de crier de plaisir et ma petite pute n’en peut plus, veut ta part.
Marie se retire docilement, et l’autre me suce, me baise et lui offre son cul pour subir le même traitement que le sien. Elle s’éternise à lui bouffer et elle doit l’interrompre pour avoir les godes dans le fion. Son cul est trop beau, trop bon et elle aurait voulu lui brouter pendant des heures. Elle lui promet d’autres occasions. Tout comme elle auparavant elle la défonce du gode ceinture dont elle se sert à la perfection, puis de l’autre gode. J’ai ma bite son ton cul qui me la branle sans ménagement. Elle se retire, se met à quatre pattes au bord du lit, Marie contre elle dans la même position. Je suis debout et les matraque par les deux orifices à tour de rôle.
Elles en veulent toujours plus mais je ne peux plus fournir. Je m’allonge essoufflé, la queue dressée à l’équerre, comme si j’avais une crampe. Elles me sucent toutes les deux, l’une la queue l’autre les couilles, et leurs langues se rejoignent lors des changements. Je ne jouis toujours pas et ma salope me masturbe presque douloureusement :
- Je te jure que tu vas cracher mon salaud, tu nous as réveillées, ce n’est pas pour rien. Je suis sûre que notre petite salope a encore soif de ton jus, tu ne vas pas la décevoir.
Elle me branle, Marie prend le relais, excitée par l’éjaculation espérée. Enfin je viens. Les premières giclées se répandent sur mon ventre et mon torse, puis mon sperme continue à s’écouler sous les caresses de Marie qui me comprime la hampe. J’ai du foutre partout de mon gland jusqu’à sur ses doigts. Elle approche sa bouche et dévore tout jusqu’à la moindre trace.
Il reste mes premières décharges sur le corps, et elles se les partagent en se roulant des pelles au goût de semence.
On se recouche.
On est lundi matin. C’est le jour de fermeture de la boutique de lingerie, les cours de Joëlle sont annulés pour cause de grève, et j’ai pris une journée de congés. On fait la grasse matinée, sans s’aimer, car Patricia nous attend pour un deuxième après midi que l’on suppose, et surtout espère, très chaud. Il est 14h et nous voilà chez elle.
On baise comme la veille, mais sans se séparer par couple. On se fait une partie à quatre, ou on s’accouple à deux devant les deux autres. Elles me font jouir trois fois, et chacune prend mes décharges dans sa bouche et savoure mon offrande.
Patricia est enchantée de ces deux journées, ravie que Marie aime aussi les hommes, et imagine une partouze. Les godes c’est bien gentil, mais elle veut des queues, bien en chair et juteuses.
Joëlle est bien sûr partante, et on pense de suite aux deux mecs de l’autoroute. Trois mecs, trois filles, ça semble bien. Ma petite pute pense alors au vieux du sex-shop, à son magnifique sceptre, et le veut aussi. Il nous manque une fille, mais elles n’en connaissent pas à qui proposer un tel plan. Joëlle, toujours elle, pense alors à l’homo soumis du cinéma.
On est d’accord sur le choix des quatre participants, il reste à tout organiser :
- fixer les règles et les limites du jeu, qu’il n’y ait pas de dérapage.
- convaincre ces quatre mecs d’accepter
- trouver l’endroit pour forniquer.
Je vais m’en occuper.
A suivre…………………..
On est tous les trois à poil et Joëlle propose que l’on reprenne où on en était chez Patricia. Je suis debout, Marie à genoux qui m’embouche sans perdre une seconde. Elle me pompe goulûment, m’introduit jusqu’à la racine, fourre mon gland dans sa gorge, me turlutte à ravir. J’ai faim de son huître et lui propose un 69 sur le lit, qu’elle accepte volontiers.
Depuis le début notre hôtesse nous regarde assise dans un fauteuil. Ses jambes écartées reposent sur les accoudoirs et elle se masturbe avec un superbe gode en verre, ayant un énorme gland et des boursouflures tout le long de la tige. Elle jouit à répétition et lèche son jouet après chaque orgasme.
Notre 69 s’emballe, on se bouffe éperdument, et elle ne peut plus rester seule dans ton coin.
Elle s’impose pour un 69 à trois et prend sa place entre moi et Marie. Elle me suce, je la lèche, elle la lèche. On change les places plusieurs fois, et je sens enfin que je vais jouir.
Je suis debout, Marie à genoux devant moi, bouche ouverte. Je me masturbe, et Joëlle est témoin de la première giclée de sperme qu’elle reçoit sur sa langue. Elle ne verra pas les suivantes, sa bouche s’étant refermé sur mon gland. Elle avale tout avec application et me suce bien au-delà de mes derniers soubresauts. Joëlle a repris ton gode et se défonce la chatte.
Il est tard et elle nous propose de passer la nuit chez elle. On s’endort à trois dans son lit extra large, Marie au milieu.
Je m’endors comme une masse, épuisé de ma journée, et je suppose qu’elles en font autant, lessivées elles aussi. Tôt le matin, vers 5h, je me réveille. Je glisse ma main entre mes cuisses, je ne rêve pas, je bande comme un cheval. Je me tourne vers Marie, cherche son corps à tâtons et pose ma main fébrile sur sa hanche. Elle me tourne le dos, se recule, sent ma trique sur le bas de ses reins et s’y frotte telle une chatte câline On se chuchote quelques mots :
- Tu ne dors pas ?
- Je suis éveillée depuis un petit moment, et je n’arrive pas à me rendormir.
- C’est comme moi. Je pense à vous trois et je bande à mort.
- Pas la peine de le dire, je la sens bien votre grosse queue, plus dure que les godes.
- J’ai envie de baiser. Tu veux bien m’offrir ta petite chatte, je te jure de ne pas jouir.
Comme si elle n’attendait que çà, elle s’empare de mon manche et le glisse entre ses cuisses. Sa main se déplace sur son bas ventre, ses doigts sur mon gland, et elle introduit mon sexe dans son paradis. Elle est chaude, mouillée, et à la fois ouverte et étroite. Je coulisse lentement et tendrement dans sa chatounette inexplorée par les hommes, un vrai délice. Elle gémit, miaule, jouit, et finit par réveiller sa copine.
Celle-ci se doute que je la prends et glisse sa main entre ses cuisses pour s’en assurer :
- Je pensais que tu n’offrais que ta bouche, mais je vois que tu en veux plus.
- Je ne savais pas ce que c’était une vraie queue, bien en chair. C’est trop bon. Elle est chaude, douce, c’est génial
- Attend qu’il te la mette dans le cul, et ce sera encore meilleur.
- J’aimerais bien, mais elle est très grosse.
- Si tu savais les calibres que certaines prennent ma chérie, ils sont autrement plus larges, et je te jure qu’ils passent en entier. Mais si tu veux je peux t’aider, préparer ton petit trou. Je suis sûre que tu vas aimer. Tu me ressembles, tu ne veux pas vivre avec un mec, mais t’en servir juste pour la baise. Ils ne sont bons qu’à ça, enfin, certains. Ne bouge pas et laisse moi faire.
Elle allume la lumière, se lève et va chercher deux godes. Un gode ceinture, 15x3, dont elle s’équipe, et un autre gode plus imposant, de la taille de mon sexe au mieux de sa forme. Elle nous dirige et on se soumet à ses consignes. Je suis sur le dos, la chatte de Marie absorbe mon pilon, et elle se couche sur moi, reins cambrés, cul offert. Joëlle écarte ses adorables fesses, lèche sa raie parfaite et bouffe son délicat petit œillet. Elle alterne doigts et langue dans son petit trou qui se dilate rapidement. Elle saisit son gode ceinture à pleine main et l’enfile. Ma partenaire pousse un oui jouissif et l’encourage à l’enculer tandis que mon sceptre la fouille profondément. Joëlle suce le deuxième gode pour le lubrifier, se retire, crache dans sa rondelle ouverte, et enfonce le gland. Elle arrête devant ses cris, et elle l’invite à continuer. Elle pousse cette bite caoutchouc, la fait aller et venir, de plus en plus loin. Elle prend le bout qui dépasse entre ses dents, et la plante jusqu’à ce que son museau disparaisse dans son sillon. Elle la sodomise de sa bouche prolongée en sexe mâle. Je suis tout en elle, ne bouge plus, et sens les aller retour de ton sexe sur le mien, au travers de ses fines parois. Elle jouit comme une possédée, ce qu’elle est d’ailleurs. Joëlle se retire, sors ma queue du vagin de Marie pour l’enfourner dans son anus affamé.
Elle se redresse pour mieux s’asseoir sur mon manche, et monte et descend avec frénésie.
Elle n’en finit plus de crier de plaisir et ma petite pute n’en peut plus, veut ta part.
Marie se retire docilement, et l’autre me suce, me baise et lui offre son cul pour subir le même traitement que le sien. Elle s’éternise à lui bouffer et elle doit l’interrompre pour avoir les godes dans le fion. Son cul est trop beau, trop bon et elle aurait voulu lui brouter pendant des heures. Elle lui promet d’autres occasions. Tout comme elle auparavant elle la défonce du gode ceinture dont elle se sert à la perfection, puis de l’autre gode. J’ai ma bite son ton cul qui me la branle sans ménagement. Elle se retire, se met à quatre pattes au bord du lit, Marie contre elle dans la même position. Je suis debout et les matraque par les deux orifices à tour de rôle.
Elles en veulent toujours plus mais je ne peux plus fournir. Je m’allonge essoufflé, la queue dressée à l’équerre, comme si j’avais une crampe. Elles me sucent toutes les deux, l’une la queue l’autre les couilles, et leurs langues se rejoignent lors des changements. Je ne jouis toujours pas et ma salope me masturbe presque douloureusement :
- Je te jure que tu vas cracher mon salaud, tu nous as réveillées, ce n’est pas pour rien. Je suis sûre que notre petite salope a encore soif de ton jus, tu ne vas pas la décevoir.
Elle me branle, Marie prend le relais, excitée par l’éjaculation espérée. Enfin je viens. Les premières giclées se répandent sur mon ventre et mon torse, puis mon sperme continue à s’écouler sous les caresses de Marie qui me comprime la hampe. J’ai du foutre partout de mon gland jusqu’à sur ses doigts. Elle approche sa bouche et dévore tout jusqu’à la moindre trace.
Il reste mes premières décharges sur le corps, et elles se les partagent en se roulant des pelles au goût de semence.
On se recouche.
On est lundi matin. C’est le jour de fermeture de la boutique de lingerie, les cours de Joëlle sont annulés pour cause de grève, et j’ai pris une journée de congés. On fait la grasse matinée, sans s’aimer, car Patricia nous attend pour un deuxième après midi que l’on suppose, et surtout espère, très chaud. Il est 14h et nous voilà chez elle.
On baise comme la veille, mais sans se séparer par couple. On se fait une partie à quatre, ou on s’accouple à deux devant les deux autres. Elles me font jouir trois fois, et chacune prend mes décharges dans sa bouche et savoure mon offrande.
Patricia est enchantée de ces deux journées, ravie que Marie aime aussi les hommes, et imagine une partouze. Les godes c’est bien gentil, mais elle veut des queues, bien en chair et juteuses.
Joëlle est bien sûr partante, et on pense de suite aux deux mecs de l’autoroute. Trois mecs, trois filles, ça semble bien. Ma petite pute pense alors au vieux du sex-shop, à son magnifique sceptre, et le veut aussi. Il nous manque une fille, mais elles n’en connaissent pas à qui proposer un tel plan. Joëlle, toujours elle, pense alors à l’homo soumis du cinéma.
On est d’accord sur le choix des quatre participants, il reste à tout organiser :
- fixer les règles et les limites du jeu, qu’il n’y ait pas de dérapage.
- convaincre ces quatre mecs d’accepter
- trouver l’endroit pour forniquer.
Je vais m’en occuper.
A suivre…………………..
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