Seul avec trois filles.
Récit érotique écrit par ERIC64 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-01-2010 dans la catégorie Plus on est
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Couleur du fond :
Seul avec trois filles.
Joëlle s’allonge sur le lit, se colle à elle en se penchant dessus, et lui donne un tendre bisou.
Patricia m’entraîne en dehors de la pièce :
- Viens, elles n’ont pas besoin de nous. Moi par contre j’ai envie de toi.
Elle m’emmène dans une deuxième chambre où un lit ouvert nous attend. Elle me demande de m’allonger et sans perdre une seconde elle s’installe entre mes jambes ouvertes pour me sucer. Je suis hyper excité de me retrouver avec trois jolies filles, de les savoir toutes les deux à côté, et de voir sa putain de copine me tailler une pipe comme si elle n’avait rien bouffer de huit jours. Je retire mon sexe de sa bouche :
- Doucement, tu vas me faire jouir.
- J’espère bien, je ne pense qu’à ça depuis l’autre jour, à boire ton sperme.
- D’accord, mais j’aimerais profiter bien de toi avant.
- Tu en profiteras après. Tu ne vas pas me faire l’insulte de débander au bout de cinq minutes.
- Comme tu veux mais je ne te promets rien pour la suite.
- T’inquiète, je saurais m’occuper de toi.
J’abandonne ma queue qu’elle reprend jusque dans sa gorge. Elle me bouffe voracement jusqu’aux couilles, m’inonde de salive pour mieux faire coulisser mon manche et sa grosse tête. Elle me regarde dans les yeux, et retire ma queue quelques instants :
- insulte moi, dis moi des obscénités, j’aime qu’on me traite comme une salope.
Mon pieu disparaît à nouveau dans sa bouche. Elle me pompe à grande vitesse avec l’intention d’aller au bout. Je fais de grands efforts pour me retenir :
- Salope, pute, tu vas l’avoir mon foutre. Je vais jouir dans ton vide couilles. Je viens salope, prend tout, bouffe, avale, tu n’es qu’une chienne.
Je décharge sans retenue et elle engloutît tout. Elle se lèche les babines et s’allonge près de moi :
- C’était pas mal, mais avec des couilles pareilles je pensais à plus de sauce.
Elle me caresse doucement pour ne pas que je débande, sans un mot, et on entend des gémissements venant de votre chambre :
- Elles n’ont pas l’air de s’ennuyer à côté !
- Je sais qu’elles ont envie l’une de l’autre. Samedi dernier à peine on a eu fini dans la cabine, que j’ai eu l’idée pour aujourd’hui. Elles ont accepté sans hésiter, et moi je t’ai à nouveau. Ca arrange tout le monde.
- Tu me plais beaucoup, mais je repars ce soir et j’aimerais bien goûter à la petite Marie.
- C’est prévu, mais d’abord tu dois me satisfaire par tous les trous, et m’offrir encore ta semence.
- Mais je vais être incapable de l’aimer après tout çà.
- C’est peut-être mieux, mais je t’expliquerais.
Viens on va les regarder, ça va t’aider à mieux bander.
Marie n’a pas avouer à sa patronne sa nuit avec Joëlle, et se sachant observée elle joue la sainte nitouche.
Lorsqu’on les a abandonnées Joëlle embrassait gentiment Marie. Elle enroule ses bras autour de son cou, n’ayant plus besoin de cacher sa chatte, cherche ta bouche, soude ses lèvres aux tiennes et lui donne un long baiser fougueux.
Elle défait son étreinte et ma salope se redresse légèrement pour mater son corps qu’elle entreprend de caresser. Elle est magnifique. Un peu plus jeune que ma blonde, un visage mignon à croquer, un corps hyper désirable. Elle a de superbes seins, qui sans être gros sont plus volumineux et plus lourds, de très beaux seins. Ses cuisses serrées ne permettent pas encore de mater sa chatte sinon une petite toise rasée courte en ticket de métro.
Joëlle pose une main sur un de ses globes, le caresse, le tâte, le masse délicatement, agace son téton qui se dresse. Sa main descend sur son flan, son ventre, sa hanche, son ventre, effleure sa toison et remonte sur sa jeune mamelle. Elle voudrait lui fouiller la chatte mais ne veux pas la brusquer. Elle se décide enfin, ses doigts passent sur son bouton, continuent sur sa fente. Elle ouvre les cuisses, et ils s’y enfoncent tout seuls tellement sa vulve est une patinoire, non pas de glace froide, mais de chaude mouille. Elle revient sur son clito qui sort de sa cachette tout bandé pour mieux s’offrir. Elle le masturbe, revient dans nid douillet puis sur son sein qu’elle nappe de sa crème avant de le lécher :
- Elle est bonne ta mouille, tu veux bien que je te lèche ?
- J’ai envie moi aussi de ta chatte, tu ne préfères pas un 69 ?
- Ne vas trop vite, laisse nous le temps de nous découvrir. Tu m’offres ton minou, et je t’offrirais le mien. On verra ensuite.
Elle reprend son mamelon entre tes lèvres, puis descend sur son corps fiévreux d’impatience. Elle est sur son petit gland qu’elle embrasse, gobe, aspire jusqu’à obtenir un premier orgasme. Elle continue sur ses lèvres, grandes, petites, puis fourre ta langue dans la source de son plaisir.
Elle l’aime comme dans ses rêves les plus chauds, et obtient un deuxième orgasme dont elle se délecte. Elle remonte le long de son corps et lui roule une pelle :
- J’espère que ça t’a plu ? Pour moi c’était génial. Tu as une petite chatte adorable.
- C’était trop bon. On ne m’a jamais léchée aussi bien, et j’aimerais être aussi douée à mon tour.
- Ne t’inquiètes pas, vu comme tu embrasses je suis sure que ta langue va me ravir. Mais avant j’aimerais que tu me caresses à ton tour.
Elle s’allonge sur le dos, abandonnée, et Marie se penche sur elle. Tandis que sa main parcours son corps réceptif à ses attouchements, Joëlle lui pose des questions sur sa vie sexuelle, auxquelles elle répond sans pudeur, d’autant qu’elle entrecoupes les questions et réponses en lui confiant sa propre expérience beaucoup plus coquine. Ce n’est pas de la curiosité mal placée, mais elle s’intéresse à elle et veut déjà savoir les possibilités de se revoir seule. Décidément elle bouffe à tous les râteliers.
Elles savent bientôt tout l’une de l’autre :
Patricia a ouvert sa boutique il y a près de quatre ans, et l’a embauchée comme apprentie alors qu’elle n’avait que 19 ans. Elle s’est montrée très gentille, lui faisait la bise matin et soir, lui a de suite demandée de la tutoyer, et avait toujours un sourire ou un petit mot à son attention. Pour ses 20 ans elle lui a proposé un week-end à la mer (dimanche et lundi, jour de fermeture). Cela n’a pu se faire car ses parents avaient prévu de fêter ça en famille, et elles ont repoussé de huit jours. Elles partent directement de la boutique, en voiture, et sont sur la côte avant 21h. Elles se font un petit restaurant et gagne l’appartement loué. Il n’y a qu’un grand lit qu’elle partage en toute innocence. Sans perdre de temps Patricia la caresse, l’embrasse. Elle a un peu bu et se laisse faire, d’autant que c’est très agréable.
Elle confie à sa patronne qu’elle n’a jamais fait l’amour, ni avec un homme, ni avec une fille.
Patricia semble ravie de cette nouvelle. Elle ne veut pas abuser d’elle, et attend le lendemain, qu’elle ait les idées claires, pour lui proposer de la dépuceler avec des godes qu’elle a amenés.
Elle n’est pas prête, refuse, mais accepte une deuxième nuit très chaude d’échanges réciproques : baisers, caresses, et broutages de minous.
Elles reviennent à la mer le week-end suivant, et elle accepte de se faire déflorer avec un toy.
Elles y reviennent tout l’été, profite des journées pour se baigner et se promener, et des nuits pour s’aimer durant des heures. Elle accepte les godes dans sa chatte, son cul et sa bouche. Elle a un tempérament de soumise, mais n’hésite pas à s’armer d’un gode lorsque Patricia veut être prise à son tour par tous les orifices.
Cela fait trois ans que leur histoire dure, et elles espèrent connaître encore de très nombreuses années. Elles se retrouvent tous les week-end pour s’aimer, et passent les vacances d’été ensemble.
Patricia est toujours très gentille avec elle, mais s’en sert parfois comme d’une pute. Elle ne lui en veut pas, et trouve ça normal. Cela a commencé par une très bonne cliente qui disait ouvertement à Patricia qu’elle avait envie d’elle, Marie. Pat a eu alors l’idée d’aménager la cabine d’essayage. Une fois par mois elle accompagne la cliente pour des soit disant essayages.
Elle a la cinquantaine, et c’est à chaque fois pareil. Elle sont nues toutes les deux, et elle doit subir les assauts de cette salope armée d’un gode. Elle la baise, se fait sucer, la sodomise, se fait sucer, enlève son gode et se fait bouffer sa grosse chatte toute poilue. C’est une femme fontaine et elle l’inonde de ses incroyables éjaculations. C’est très hard, mais elle s’y est fait et apprécie cette rencontre mensuelle.
Depuis quelques temps il y a une deuxième cliente. Elle a la quarantaine et veut être dominée. Elle équipe Marie d’un gode, se fait prendre en levrette, nettoie le gode de sa bouche, l’enlève, lui bouffe le cul jusqu’à la faire jouir, puis la chatte jusqu’à un deuxième orgasme. Elle avale tout et la nettoie.
Elles sont toutes les deux aisées, achètent à chaque fois, et donnent un ou des billets en prime et que Patricia lui laisse.
Elle continue ses caresses et sa bouche descend rapidement sur son entre cuisses grand ouvert pour la recevoir.
Patricia me ramène dans l’autre pièce.
Elle me branle pour me maintenir bien raide. Sa chatte a faim de ma queue. Elle vient sur moi, à califourchon, s’empale sur mon pieu, et me chevauche dans un galop de longue haleine. Elle monte et descend sur ma hampe, écrase ses lèvres sur moi, et remonte avec un bruit de ventouse qui se décolle. Elle est brûlante, liquéfiée, et me monte jusqu’à épuisement en proférant des obscénités :
- Oh putain que c’est bon de se faire un mec bien emmanché. Elle est bonne ta queue dans mon huître, je la sens bien me défoncer. Continue à bander salaud, c’est trop bon.
Elle est en sueur, épuisée, et s’effondre sur moi, mon sexe toujours dans le sien :
- Baise moi, baise moi, j’ai le ventre en feu, baise moi.
Je me mets en mouvement, et la lime copieusement J’ai mes mains sur ses fesses que j’écarte, et je doigte sa rondelle. Un doigt, deux, trois, je retire ma trique de sa chatte et plaque mon gland sur sa rondelle :
- Attend, je veux que tu me prennes à quatre pattes.
Elle s’installe sur le lit, le cul au bord. Je suis debout, un pied au sol, l’autre sur le lit, et je plante ma bite dans son petit trou impatient. Elle pousse un cri et m’encourage de mots grossiers. Je la ramone bien profond, m’accroche à ses épaules, pose mon deuxième pied sur le lit, et la monte comme un chien monte une chienne. Elle jouit sans retenue, je me retire, on est épuisé tous les deux. Elle s’effondre sur le dos, les jambes pendantes. Je m’agenouille, plonge ma gueule entre elles, et me désaltère de sa mouille qui dégouline jusqu’à mi cuisses.
Je me vautre dans sa chatte rasée et luisante, et elle m’offre un dernier et merveilleux orgasme. Je me relève :
- A genoux salope. Tu voulais que je jouisse encore, donne moi ta bouche, tu vas être servie.
Je lui maintient la tête, et la baise jusque dans la gorge. Elle salive en abondance et ma queue est aussi bien qu’elle l’était dans sa chatte inondée. Je vais et viens, finis par jouir. On a tellement bien baisé que mes couilles se sont rechargées, et que je l’arrose copieusement. Elle avale tout, me nettoie, et on s’allonge sur le lit, côte à côte, exténués.
Marie a sa bouche au ras de l’abricot de sa partenaire qui sent son souffle chaud.
A suivre………………………..
Patricia m’entraîne en dehors de la pièce :
- Viens, elles n’ont pas besoin de nous. Moi par contre j’ai envie de toi.
Elle m’emmène dans une deuxième chambre où un lit ouvert nous attend. Elle me demande de m’allonger et sans perdre une seconde elle s’installe entre mes jambes ouvertes pour me sucer. Je suis hyper excité de me retrouver avec trois jolies filles, de les savoir toutes les deux à côté, et de voir sa putain de copine me tailler une pipe comme si elle n’avait rien bouffer de huit jours. Je retire mon sexe de sa bouche :
- Doucement, tu vas me faire jouir.
- J’espère bien, je ne pense qu’à ça depuis l’autre jour, à boire ton sperme.
- D’accord, mais j’aimerais profiter bien de toi avant.
- Tu en profiteras après. Tu ne vas pas me faire l’insulte de débander au bout de cinq minutes.
- Comme tu veux mais je ne te promets rien pour la suite.
- T’inquiète, je saurais m’occuper de toi.
J’abandonne ma queue qu’elle reprend jusque dans sa gorge. Elle me bouffe voracement jusqu’aux couilles, m’inonde de salive pour mieux faire coulisser mon manche et sa grosse tête. Elle me regarde dans les yeux, et retire ma queue quelques instants :
- insulte moi, dis moi des obscénités, j’aime qu’on me traite comme une salope.
Mon pieu disparaît à nouveau dans sa bouche. Elle me pompe à grande vitesse avec l’intention d’aller au bout. Je fais de grands efforts pour me retenir :
- Salope, pute, tu vas l’avoir mon foutre. Je vais jouir dans ton vide couilles. Je viens salope, prend tout, bouffe, avale, tu n’es qu’une chienne.
Je décharge sans retenue et elle engloutît tout. Elle se lèche les babines et s’allonge près de moi :
- C’était pas mal, mais avec des couilles pareilles je pensais à plus de sauce.
Elle me caresse doucement pour ne pas que je débande, sans un mot, et on entend des gémissements venant de votre chambre :
- Elles n’ont pas l’air de s’ennuyer à côté !
- Je sais qu’elles ont envie l’une de l’autre. Samedi dernier à peine on a eu fini dans la cabine, que j’ai eu l’idée pour aujourd’hui. Elles ont accepté sans hésiter, et moi je t’ai à nouveau. Ca arrange tout le monde.
- Tu me plais beaucoup, mais je repars ce soir et j’aimerais bien goûter à la petite Marie.
- C’est prévu, mais d’abord tu dois me satisfaire par tous les trous, et m’offrir encore ta semence.
- Mais je vais être incapable de l’aimer après tout çà.
- C’est peut-être mieux, mais je t’expliquerais.
Viens on va les regarder, ça va t’aider à mieux bander.
Marie n’a pas avouer à sa patronne sa nuit avec Joëlle, et se sachant observée elle joue la sainte nitouche.
Lorsqu’on les a abandonnées Joëlle embrassait gentiment Marie. Elle enroule ses bras autour de son cou, n’ayant plus besoin de cacher sa chatte, cherche ta bouche, soude ses lèvres aux tiennes et lui donne un long baiser fougueux.
Elle défait son étreinte et ma salope se redresse légèrement pour mater son corps qu’elle entreprend de caresser. Elle est magnifique. Un peu plus jeune que ma blonde, un visage mignon à croquer, un corps hyper désirable. Elle a de superbes seins, qui sans être gros sont plus volumineux et plus lourds, de très beaux seins. Ses cuisses serrées ne permettent pas encore de mater sa chatte sinon une petite toise rasée courte en ticket de métro.
Joëlle pose une main sur un de ses globes, le caresse, le tâte, le masse délicatement, agace son téton qui se dresse. Sa main descend sur son flan, son ventre, sa hanche, son ventre, effleure sa toison et remonte sur sa jeune mamelle. Elle voudrait lui fouiller la chatte mais ne veux pas la brusquer. Elle se décide enfin, ses doigts passent sur son bouton, continuent sur sa fente. Elle ouvre les cuisses, et ils s’y enfoncent tout seuls tellement sa vulve est une patinoire, non pas de glace froide, mais de chaude mouille. Elle revient sur son clito qui sort de sa cachette tout bandé pour mieux s’offrir. Elle le masturbe, revient dans nid douillet puis sur son sein qu’elle nappe de sa crème avant de le lécher :
- Elle est bonne ta mouille, tu veux bien que je te lèche ?
- J’ai envie moi aussi de ta chatte, tu ne préfères pas un 69 ?
- Ne vas trop vite, laisse nous le temps de nous découvrir. Tu m’offres ton minou, et je t’offrirais le mien. On verra ensuite.
Elle reprend son mamelon entre tes lèvres, puis descend sur son corps fiévreux d’impatience. Elle est sur son petit gland qu’elle embrasse, gobe, aspire jusqu’à obtenir un premier orgasme. Elle continue sur ses lèvres, grandes, petites, puis fourre ta langue dans la source de son plaisir.
Elle l’aime comme dans ses rêves les plus chauds, et obtient un deuxième orgasme dont elle se délecte. Elle remonte le long de son corps et lui roule une pelle :
- J’espère que ça t’a plu ? Pour moi c’était génial. Tu as une petite chatte adorable.
- C’était trop bon. On ne m’a jamais léchée aussi bien, et j’aimerais être aussi douée à mon tour.
- Ne t’inquiètes pas, vu comme tu embrasses je suis sure que ta langue va me ravir. Mais avant j’aimerais que tu me caresses à ton tour.
Elle s’allonge sur le dos, abandonnée, et Marie se penche sur elle. Tandis que sa main parcours son corps réceptif à ses attouchements, Joëlle lui pose des questions sur sa vie sexuelle, auxquelles elle répond sans pudeur, d’autant qu’elle entrecoupes les questions et réponses en lui confiant sa propre expérience beaucoup plus coquine. Ce n’est pas de la curiosité mal placée, mais elle s’intéresse à elle et veut déjà savoir les possibilités de se revoir seule. Décidément elle bouffe à tous les râteliers.
Elles savent bientôt tout l’une de l’autre :
Patricia a ouvert sa boutique il y a près de quatre ans, et l’a embauchée comme apprentie alors qu’elle n’avait que 19 ans. Elle s’est montrée très gentille, lui faisait la bise matin et soir, lui a de suite demandée de la tutoyer, et avait toujours un sourire ou un petit mot à son attention. Pour ses 20 ans elle lui a proposé un week-end à la mer (dimanche et lundi, jour de fermeture). Cela n’a pu se faire car ses parents avaient prévu de fêter ça en famille, et elles ont repoussé de huit jours. Elles partent directement de la boutique, en voiture, et sont sur la côte avant 21h. Elles se font un petit restaurant et gagne l’appartement loué. Il n’y a qu’un grand lit qu’elle partage en toute innocence. Sans perdre de temps Patricia la caresse, l’embrasse. Elle a un peu bu et se laisse faire, d’autant que c’est très agréable.
Elle confie à sa patronne qu’elle n’a jamais fait l’amour, ni avec un homme, ni avec une fille.
Patricia semble ravie de cette nouvelle. Elle ne veut pas abuser d’elle, et attend le lendemain, qu’elle ait les idées claires, pour lui proposer de la dépuceler avec des godes qu’elle a amenés.
Elle n’est pas prête, refuse, mais accepte une deuxième nuit très chaude d’échanges réciproques : baisers, caresses, et broutages de minous.
Elles reviennent à la mer le week-end suivant, et elle accepte de se faire déflorer avec un toy.
Elles y reviennent tout l’été, profite des journées pour se baigner et se promener, et des nuits pour s’aimer durant des heures. Elle accepte les godes dans sa chatte, son cul et sa bouche. Elle a un tempérament de soumise, mais n’hésite pas à s’armer d’un gode lorsque Patricia veut être prise à son tour par tous les orifices.
Cela fait trois ans que leur histoire dure, et elles espèrent connaître encore de très nombreuses années. Elles se retrouvent tous les week-end pour s’aimer, et passent les vacances d’été ensemble.
Patricia est toujours très gentille avec elle, mais s’en sert parfois comme d’une pute. Elle ne lui en veut pas, et trouve ça normal. Cela a commencé par une très bonne cliente qui disait ouvertement à Patricia qu’elle avait envie d’elle, Marie. Pat a eu alors l’idée d’aménager la cabine d’essayage. Une fois par mois elle accompagne la cliente pour des soit disant essayages.
Elle a la cinquantaine, et c’est à chaque fois pareil. Elle sont nues toutes les deux, et elle doit subir les assauts de cette salope armée d’un gode. Elle la baise, se fait sucer, la sodomise, se fait sucer, enlève son gode et se fait bouffer sa grosse chatte toute poilue. C’est une femme fontaine et elle l’inonde de ses incroyables éjaculations. C’est très hard, mais elle s’y est fait et apprécie cette rencontre mensuelle.
Depuis quelques temps il y a une deuxième cliente. Elle a la quarantaine et veut être dominée. Elle équipe Marie d’un gode, se fait prendre en levrette, nettoie le gode de sa bouche, l’enlève, lui bouffe le cul jusqu’à la faire jouir, puis la chatte jusqu’à un deuxième orgasme. Elle avale tout et la nettoie.
Elles sont toutes les deux aisées, achètent à chaque fois, et donnent un ou des billets en prime et que Patricia lui laisse.
Elle continue ses caresses et sa bouche descend rapidement sur son entre cuisses grand ouvert pour la recevoir.
Patricia me ramène dans l’autre pièce.
Elle me branle pour me maintenir bien raide. Sa chatte a faim de ma queue. Elle vient sur moi, à califourchon, s’empale sur mon pieu, et me chevauche dans un galop de longue haleine. Elle monte et descend sur ma hampe, écrase ses lèvres sur moi, et remonte avec un bruit de ventouse qui se décolle. Elle est brûlante, liquéfiée, et me monte jusqu’à épuisement en proférant des obscénités :
- Oh putain que c’est bon de se faire un mec bien emmanché. Elle est bonne ta queue dans mon huître, je la sens bien me défoncer. Continue à bander salaud, c’est trop bon.
Elle est en sueur, épuisée, et s’effondre sur moi, mon sexe toujours dans le sien :
- Baise moi, baise moi, j’ai le ventre en feu, baise moi.
Je me mets en mouvement, et la lime copieusement J’ai mes mains sur ses fesses que j’écarte, et je doigte sa rondelle. Un doigt, deux, trois, je retire ma trique de sa chatte et plaque mon gland sur sa rondelle :
- Attend, je veux que tu me prennes à quatre pattes.
Elle s’installe sur le lit, le cul au bord. Je suis debout, un pied au sol, l’autre sur le lit, et je plante ma bite dans son petit trou impatient. Elle pousse un cri et m’encourage de mots grossiers. Je la ramone bien profond, m’accroche à ses épaules, pose mon deuxième pied sur le lit, et la monte comme un chien monte une chienne. Elle jouit sans retenue, je me retire, on est épuisé tous les deux. Elle s’effondre sur le dos, les jambes pendantes. Je m’agenouille, plonge ma gueule entre elles, et me désaltère de sa mouille qui dégouline jusqu’à mi cuisses.
Je me vautre dans sa chatte rasée et luisante, et elle m’offre un dernier et merveilleux orgasme. Je me relève :
- A genoux salope. Tu voulais que je jouisse encore, donne moi ta bouche, tu vas être servie.
Je lui maintient la tête, et la baise jusque dans la gorge. Elle salive en abondance et ma queue est aussi bien qu’elle l’était dans sa chatte inondée. Je vais et viens, finis par jouir. On a tellement bien baisé que mes couilles se sont rechargées, et que je l’arrose copieusement. Elle avale tout, me nettoie, et on s’allonge sur le lit, côte à côte, exténués.
Marie a sa bouche au ras de l’abricot de sa partenaire qui sent son souffle chaud.
A suivre………………………..
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