Séverine
Récit érotique écrit par Lancer [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-09-2009 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Séverine
L'histoire se passe dans le sud de la France, dans les environs de Nice.
Séverine est une superbe blonde aux mensurations de rêve. Un mètre soixante quinze, cinquante six kilos. Une bombe. Elle ne compte plus les concours de beauté qu'elle a gagné.
Elle vient d'avoir dix huit ans.
Sa mère, Marine, est époustouflante de beauté. Elle aussi éclaboussait les podiums quand elle avait son âge. Jusqu'au jour ou, en vacances, elle s'est faite piégée par un très beau jeune homme qui l'a mise enceinte. Ses parents, propriétaire d'une grand chaine de prêt à porter, on tenus a ce qu'elle garde l'enfant. elle ne s'est jamais mariée, préférant se consacrer
à l'éducation de sa fille.
Marine et Séverine habitent ensemble. Ont dirait des jumelles tant elles se ressemblent. Elles sont très complice, ont les mêmes gouts. Dernières tenues sexy, soirées festives. Elles adorent le sexe. S'offrir une nuit entière a un homme ou une femme ne leur font pas peur. Elles se racontent leurs aventures amoureuses sans complexes. Le lendemain, dans la vaste salle de bains, il n'est pas rare que les deux femmes se retrouvent entièrement nues. Un vrai tableau de maitre. Mais jamais une manière, un geste déplacé. Oh, une petite claque amicale sur une fesse peut être.
-Que tu es belle ma fille, dit Marine. Quel corps magnifique tu as.
-Mais c'est toi maman chérie, qui m'a faite comme çà. Mes conquêtes s'en plaignent pas
tu sais. Et toi en ce moment. Je t'ai entendu crier cette nuit. Un amant de passage ou
c'est sérieux.
-C'est pas à l'ordre du jour actuellement, j'ai trop de travail. Et toi ma chérie, u copain, une
copine?
-Comme toi maman, je prend la vie comme elle vient. En ce moment, j'ai une relation avec
Anaïs.
-Allez ma chérie, j'y vais. L'employée a du ouvrir. Tu fais quoi aujourd'hui. On mange
ensemble.
-Je sais pas maman, j'ai prévu d'aller à la plage.
Il est neuf heure trente quand Séverine foule le sable sous les regards soutenus des vacanciers. Elle fait passer sa mini robe par dessus sa tête, et apparait seins nus. Elle déplie sa serviette, s'allonge, sa superbe poitrine dressée au ciel. Elle s'assoupit. Elle est tirée de son sommeil par de petits picotements sur ses seins. Elle se retourne, et aperçoit un très beau jeune homme, vingt cinq anas environ, appareil photos en bandoulière, qui lui met des coquilles sur le bout ses seins.
-Ben, ne vous gênez pas, gronde-t-elle. De quoi je me mêle. Pour qui vous vous prenez?
-Excusez moi Mademoiselle, vous risquez de les abimer au soleil. Ce serait dommage.
J'ai perdu un être cher à cause de çà. Mais pardonnez moi encore, je ne voulais pas vous
importuner.
-Non, non, mais attendez. Je suis juste un peu surprise. On peut discuter. Vous êtes
photographes?
-Oui, saisonnier, répond-il. Je m'appelle Thomas. On vous a dit que vous étiez très belle.
Je peux?
Séverine prend la pose, jouant sur ses atouts. Elle est provocante en diable. Puis la discussion s'oriente sur leur occupations. Séverine se sent en sécurité avec ce jeune homme. En plus, il l'a fait rire.
-Je peux vous offrir un verre "aux rives bleus", dit-il. c'est l'hôtel là, juste au bord de la plage.
Acceptez, s'il vous plait. Surtout que je pars demain.
-Midi, répond-elle, çà vous va. J'aimerai me baigner un peu maintenant.
Midi pétante, elle arrive au bar. Il l'attend Elle se hisse avec grâce sur le tabouret. Ses jambes sont interminables . Thomas est vêtu d'un bermuda, et d'une chemise ouverte.
-J'aimerai bien connaitre l'heureux élu de vôtre coeur, dit-il. Pour lui dire qu'il a de la chance.
-Baratineur va, vous me draguez là. Vous attendez que je vous dise que je suis seule.
-Et çà me rapporterai quoi, répond-il. Un après midi câlin? je n'ai jamais forcé personne
vous savez.
le corps de Séverine ressent une agréable sensation pour ce jeune garçon qui l'attire physiquement.
-Vous êtes direct , répond-elle. Vous allez me demander de visiter vôtre chambre, c'est çà?
Ils se défient du regard, il lui prend la main, et l'invite à le suivre. Ils se dirigent vers l'ascenseur. Elle le suit sans réticence, sure d'elle. Elle pense aux erreurs de sa mère. Arrivé dans la chambre, il l'a prend par la taille, et l'embrasse tendrement dans le cou. Elle s'abandonne totalement.
-Prend moi, murmure-t-elle, j'ai envie de toi.
Ils se déshabillent et se jettent sur le lit. Thomas n'en revient pas de tenir une si belle fille dans ses bras. Il en est maladroit. C'est Séverine qui prend les initiatives.
-N'est pas peur, dit-elle. Détend toi, çà va bien se passer.
Elle lui prend le sexe, commence à le branler. Il atteint vite une taille honorable. Elle joue avec le prépuce.
-Tu sens comme je t'ai bien décalotté, c'est bon hein? Décalotte mon clitoris toi aussi.
Viens sur moi qu'on se suce. Je vais te régaler. Quand on sera bien chaud, tu pourras
me niquer tant que tu veux.
-Mais bien sur que je veux. gémit-il. Regarde comme je bande. Je suis prêt déjà. Laisse
moi te prendre la chatte.
Ils vont faire l'amour pendant deux heures. Ils vont jouir trois ou quatre fois. Les cris de plaisir de Séverine traversent la chambre l'hôtel. Lui aussi hurle comme une bête. Epuisés, ils s'écroulent un à côté de l'autre.
-Oh putain, souffle-t-elle. Tu as été long à démarrer, mais quel amant tu es. Dommage que
tu partes demain.
-Comment faire devant un tel tempérament. Tu es bonne tu sais. Viens, embrassons nous.
Séverine est une superbe blonde aux mensurations de rêve. Un mètre soixante quinze, cinquante six kilos. Une bombe. Elle ne compte plus les concours de beauté qu'elle a gagné.
Elle vient d'avoir dix huit ans.
Sa mère, Marine, est époustouflante de beauté. Elle aussi éclaboussait les podiums quand elle avait son âge. Jusqu'au jour ou, en vacances, elle s'est faite piégée par un très beau jeune homme qui l'a mise enceinte. Ses parents, propriétaire d'une grand chaine de prêt à porter, on tenus a ce qu'elle garde l'enfant. elle ne s'est jamais mariée, préférant se consacrer
à l'éducation de sa fille.
Marine et Séverine habitent ensemble. Ont dirait des jumelles tant elles se ressemblent. Elles sont très complice, ont les mêmes gouts. Dernières tenues sexy, soirées festives. Elles adorent le sexe. S'offrir une nuit entière a un homme ou une femme ne leur font pas peur. Elles se racontent leurs aventures amoureuses sans complexes. Le lendemain, dans la vaste salle de bains, il n'est pas rare que les deux femmes se retrouvent entièrement nues. Un vrai tableau de maitre. Mais jamais une manière, un geste déplacé. Oh, une petite claque amicale sur une fesse peut être.
-Que tu es belle ma fille, dit Marine. Quel corps magnifique tu as.
-Mais c'est toi maman chérie, qui m'a faite comme çà. Mes conquêtes s'en plaignent pas
tu sais. Et toi en ce moment. Je t'ai entendu crier cette nuit. Un amant de passage ou
c'est sérieux.
-C'est pas à l'ordre du jour actuellement, j'ai trop de travail. Et toi ma chérie, u copain, une
copine?
-Comme toi maman, je prend la vie comme elle vient. En ce moment, j'ai une relation avec
Anaïs.
-Allez ma chérie, j'y vais. L'employée a du ouvrir. Tu fais quoi aujourd'hui. On mange
ensemble.
-Je sais pas maman, j'ai prévu d'aller à la plage.
Il est neuf heure trente quand Séverine foule le sable sous les regards soutenus des vacanciers. Elle fait passer sa mini robe par dessus sa tête, et apparait seins nus. Elle déplie sa serviette, s'allonge, sa superbe poitrine dressée au ciel. Elle s'assoupit. Elle est tirée de son sommeil par de petits picotements sur ses seins. Elle se retourne, et aperçoit un très beau jeune homme, vingt cinq anas environ, appareil photos en bandoulière, qui lui met des coquilles sur le bout ses seins.
-Ben, ne vous gênez pas, gronde-t-elle. De quoi je me mêle. Pour qui vous vous prenez?
-Excusez moi Mademoiselle, vous risquez de les abimer au soleil. Ce serait dommage.
J'ai perdu un être cher à cause de çà. Mais pardonnez moi encore, je ne voulais pas vous
importuner.
-Non, non, mais attendez. Je suis juste un peu surprise. On peut discuter. Vous êtes
photographes?
-Oui, saisonnier, répond-il. Je m'appelle Thomas. On vous a dit que vous étiez très belle.
Je peux?
Séverine prend la pose, jouant sur ses atouts. Elle est provocante en diable. Puis la discussion s'oriente sur leur occupations. Séverine se sent en sécurité avec ce jeune homme. En plus, il l'a fait rire.
-Je peux vous offrir un verre "aux rives bleus", dit-il. c'est l'hôtel là, juste au bord de la plage.
Acceptez, s'il vous plait. Surtout que je pars demain.
-Midi, répond-elle, çà vous va. J'aimerai me baigner un peu maintenant.
Midi pétante, elle arrive au bar. Il l'attend Elle se hisse avec grâce sur le tabouret. Ses jambes sont interminables . Thomas est vêtu d'un bermuda, et d'une chemise ouverte.
-J'aimerai bien connaitre l'heureux élu de vôtre coeur, dit-il. Pour lui dire qu'il a de la chance.
-Baratineur va, vous me draguez là. Vous attendez que je vous dise que je suis seule.
-Et çà me rapporterai quoi, répond-il. Un après midi câlin? je n'ai jamais forcé personne
vous savez.
le corps de Séverine ressent une agréable sensation pour ce jeune garçon qui l'attire physiquement.
-Vous êtes direct , répond-elle. Vous allez me demander de visiter vôtre chambre, c'est çà?
Ils se défient du regard, il lui prend la main, et l'invite à le suivre. Ils se dirigent vers l'ascenseur. Elle le suit sans réticence, sure d'elle. Elle pense aux erreurs de sa mère. Arrivé dans la chambre, il l'a prend par la taille, et l'embrasse tendrement dans le cou. Elle s'abandonne totalement.
-Prend moi, murmure-t-elle, j'ai envie de toi.
Ils se déshabillent et se jettent sur le lit. Thomas n'en revient pas de tenir une si belle fille dans ses bras. Il en est maladroit. C'est Séverine qui prend les initiatives.
-N'est pas peur, dit-elle. Détend toi, çà va bien se passer.
Elle lui prend le sexe, commence à le branler. Il atteint vite une taille honorable. Elle joue avec le prépuce.
-Tu sens comme je t'ai bien décalotté, c'est bon hein? Décalotte mon clitoris toi aussi.
Viens sur moi qu'on se suce. Je vais te régaler. Quand on sera bien chaud, tu pourras
me niquer tant que tu veux.
-Mais bien sur que je veux. gémit-il. Regarde comme je bande. Je suis prêt déjà. Laisse
moi te prendre la chatte.
Ils vont faire l'amour pendant deux heures. Ils vont jouir trois ou quatre fois. Les cris de plaisir de Séverine traversent la chambre l'hôtel. Lui aussi hurle comme une bête. Epuisés, ils s'écroulent un à côté de l'autre.
-Oh putain, souffle-t-elle. Tu as été long à démarrer, mais quel amant tu es. Dommage que
tu partes demain.
-Comment faire devant un tel tempérament. Tu es bonne tu sais. Viens, embrassons nous.
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