Vivement lundi : Pas au soleil, mais dans la lune.

- Par l'auteur HDS ERIC64 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Vivement lundi : Pas au soleil, mais dans la lune. Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-03-2012 dans la catégorie Plus on est
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Vivement lundi : Pas au soleil, mais dans la lune.
Un des patrons lui montre, à sa grande stupéfaction, le beau joujou qu'elle s'est pris dans le cul. Il nous propose, à elle et à moi, de repartir avec plusieurs toys, au moins aussi gros, des godes ceintures aussi, et de les essayer chez nous. On gardera ceux qui nous conviennent, contre paiement bien sûr, et on ramènera les autres.
On accepte sans hésiter, sachant déjà que ce sera l'occasion d'une nouvelle séance.
Je la ramène chez elle, et durant le trajet on se remémore notre séance sex-shop, on s'excite, on se donne envie de baiser encore. On arrive chez elle, on s'installe au salon, à poil, et on teste les joujoux. Elle se gode comme une chienne en chaleur, et je m'enfile un beau manche qui me fait bien bander.
Ma bite dressée la tente, et elle vient à genoux entre mes cuisses. Elle prend ma queue dans sa bouche et se saisit de mon gode. Elle me matraque le cul, tout en me suçant, et je l'encourage à me défoncer plus fort. Oooohhhh, putain que c'est bon. Plus elle me gode et plus je bande. Elle a vite compris cette salope, et elle me défonce le fion pour mieux profiter de ma queue.
Le gode coulisse aisément, et elle le remplace par d'autres, de plus en plus gros. Elle m'a fourré le plus large, et je jouis, décharge dans sa bouche qui m'espérait avec impatience. Elle engloutit mes éjacs, et m'aspire jusqu'à la dernière goutte.
Je la saisis par les cheveux, la relève, et lui roule une pelle vorace, parfumée de mon foutre.
Je l'allonge sur le canapé, et je vais la goder à son tour, bouffer sa chatte et son cul.
Elle est hyper chaude, et je la lèche, la doigte, lui fourre tous les godes, et finis par la fister, la chatte et le cul, les deux en même temps.
On se rend compte alors que l'on n'a pas osé, mais qu'il nous faut des joujoux plus imposants.
On décide de repartir au sex-shop, pour choisir d'autres toys plus adaptés à nos trous voraces. J'appelle, tombe sur un des patrons. Je lui dis qu'on désire revenir, mais lui indique surtout que je prends goût aux godes dans mon cul, et que je veux bien leur offrir ma rondelle, à lui, à son ami, à Phil. Ils aiment se faire sodomiser eux aussi, mais ne s'offrent que si on s'offre à eux Du coup il me promet son petit trou et celui de son pote.
Eva travaille tard le soir, et on prend rendez-vous pour un dimanche. La boutique ouvre à 14h, et ils nous proposent de venir vers 10h, on sera tous les cinq seuls dans le ciné.
On passe des heures torrides, Eva, les deux patrons, l'employé et moi.
On est dans la salle ciné, largement éclairée, et on se met tous à poil. Ma copine s'équipe d'un gode ceinture, et on est tous prêts à enculer et se faire enculer. C'est mon dépucelage, et on ne pense qu'à la sodomie. On s'enfile tous, les uns les autres, et je prends leur quatre bites avec un bonheur immense. Eva est comme un cinquième mec, que l'on encule copieusement, et qui accepte de nous enculer. On délaisse sa chatte, mais pour la remercier on va s'occuper de sa bouche. On jouis deux fois chacun, et on lui réserve toutes nos éjacs, qu'elle avale avec gourmandise.
On n'a pas vu le temps passer, et on doit se quitter en se promettant de remettre ça. Je suis enchanté de leurs bites dans mon fion, et ils ont apprécié mes coups de queues.
On se quitte, je ramène Eva chez elle. On se rafraichit, puis je l'emmène au resto.
On revient chez elle, et on s'offre une baise tendresse où je m'occupe bien de sa chatte en chaleur.
Elle voudrait me garder le soir, baiser encore, mais je m'invente un mensonge, lui dit que je suis en déplacement le lendemain et que je dois me lever de bonne heure.
En fait, mais je n'ose pas lui dire, je ne pense qu'à une chose, me faire défoncer par de nombreuses queues. Ma première expérience m'a révélé des plaisirs à venir, des plaisirs auxquels que je n'avais osé accédé, et je veux rattraper le temps perdu.
Je veux repartir au sex-shop dès le lendemain, dans la salle, et m'offrir à tous les clients du ciné, comme la dernière des salopes. Alors, autant que je sois en forme.

A suivre.................

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