Titre de l'histoire érotique : Ma femme, le puceau... et moi

- Par l'auteur HDS Alainylon -
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : Ma femme, le puceau... et moi Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-04-2012 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : Ma femme, le puceau... et moi
Au bureau, le lundi suivant, à l’heure de la pause du déjeuner, le minet avait souhaité de nouvelle exigence de la part de Claire. Cette dernière avait était stupéfaite par la désinvolture de son jeune collègue, lequel une semaine plutôt, était encore un timide puceau qui avait du mal à tenir une conversation avec elle sans s’empêcher de bafouiller.
Ma quarantenaire, prenait plaisir à plaire tout de même, à un jeune minet. Et je le sentais, quand le soir venue, elle me contait fièrement son aventure du jour. Les yeux fermaient, j’avais l’impression d’entendre Philippe jouir dans les entrailles mouillés de ma belle. Plus Claire se vautrait dans la débauche, plus je l’appréciais. C’est con non ? Mais c’est comme ça.
J’étais devenu son maquereau.
Ce vendredi, j’avais prévu de fêter tout ça, en tête à tête, elle et moi. Pour cette occasion, j’avais acheté quelques bouteilles de champagne et quelques fruits dont elle en était friand.
Quand Claire rentrant de sa journée de boulot, fit son apparition dans le salon, j’étais assis sur le divan, devant le sceau où la bouteille baignait dans la glace. En retirant sa veste, elle ne manqua comme par défit ou pour me rendre jaloux, de me dire que Philippe l’avait baisé sur son bureau tout juste avant de partir.
Après m’avoir embrasser, Claire voulut prendre une douche réparatrice, avant même de poser son cul pour prendre une coupe de champagne, mais je la dissuadais. Je l’invitais alors de ce retourner, et sans rien lui dire, elle m’offrit ses fesses nues, sous sa jupe, dans une position la plus femelle qui puisse exister. Je restais interdit. C’était la première fois que je voyais sa croupe ainsi ouverte. Le salaud l‘avait bien travaillé. Je m’étais guidé une main dans son intimité. Elle avait eu un gémissement.
Je m’agenouillais face à elle, et humais son odeur fauve qui montait d’entre ses cuisses, avant de la retourner pour reniflais entre ses fesses. Une fois sevré de tant de senteur, je fis sauter le bouchon de la bouteille, et emplis les verres sur la table basse.
Buvant le liquide à fine bulles, bien frappé, Claire me raconta fièrement pas à pas les deux baises qu’elle avait subi de la part de son charmant collègue, comme pour me donner l‘eau à la bouche, comme si j‘en avais besoin.
Ma libido à son apogée, j’ai exigé qu’elle s’allonge sur la table basse. Je troussais sa jupe jusqu’à sa taille et après m’être saisi d’une banane, que je pelais, je l’aventurais dans la tendre ouverture de sa féminité. J’emprisonnais la banane, comme pour que celle-ci, y soit assaisonné par ses émanations les plus intimes.
Je lui relevais très haut les cuisses, jusqu’à ce que ses genoux reposent presque sur ses seins. De ma main libre, je fouillais ses entrailles avec l’aide de la banane, ouvrant ses lèvres, jouant même avec, pour son plus grand plaisir.
Jugeant le fruit assez macéré, je me le guidais en bouche, pour la sucer comme je l’aurais fait avec ma queue. Elle était merveilleuse dans cette position. Offerte de partout, depuis son sexe écarquillé jusqu’au puits de ses reins qui palpitait comme une bouche au milieu d’un fin réseau de poils sombres et bouclés.
Le fruit ingurgité, je pris la bouteille de champagne posait sur la table et versais une rasade de ce liquide pétillant dans ses entrailles. Elle feula comme une jeune pucelle, ça lui piqué, ce plaignait-elle. À l’aide de deux doigts je me mis à touiller pour bien mélanger le champagne avec ses sécrétions et le sperme de son jeune amant.
L’opération effectué, j’ai calé ma bouche grande ouverte à l’ouverture de son sexe. Sans que j’ai eu la peine de lui dire que ce soit, ma belle a effectuée une pirouette savante afin de me verser le contenu de son sexe dans la bouche. Claire a ouvert sa chatte à deux doigts en fourchette, pour lâcher avec plaisir le mare du cocktail, qui s’écoula lentement dans ma bouche. Le breuvage était de bon cru. Je l’ai bu jusqu’à la dernière goutte, ceci faisant, je l’ai gratifié d’un léchage en règle qui la mena jusqu’à l’orgasme.
J’ai eu à peine le temps de me redresser, qu’elle se jeta déjà en arrière sur le divan.
- Baise-moi maintenant, énonça-t-elle, si tu veux que je t‘apprenne quelque chose qui ne te laissera pas indifférent. Elle eut un petit rire nerveux.
Elle posa la main sur mon pantalon enveloppant ma protubérance qui ne demandait qu’à cracher son venin.
- J’ai horriblement envie que tu me défonces, roucoula-t-elle.
Cela était dit. Je me défaisais et m’agenouillais derrière elle tandis que Claire se plaçait à quatre pattes.
- Tu en veux, hein salope ? Lui disais-je. Elle approuva de la tête.
Je rabattais sa jupe sur ses reins.
- Tu as vraiment un cul d’enfer, appréciais-je. D’une main passée entre ses cuisses, elle m’aida à me placer au bon endroit, juste contre l’orifice palpitant de son anus. Je passais mes mains sous le pull, cherchant l’agrafe du soutien-gorge que je relevais par en-dessous pour libérer ses seins. Je m’introduisais lentement, à petit coups de reins savants, tout en tortillant les pointes de ses seins. Claire s’était cambrée sur ses coudes pour mieux m’aider.
- Ouvre-moi, criait-elle. Ouvre-moi toute grande.
Dès que je fus au fond d’elle, je me couchais sur elle. Ses muscles intimes se refermaient sur moi comme l’aurait sa main. Je me mis à aller et venir avec des coups de reins de plus en plus forts. Claire se mit à crier par saccades. Tout les ingrédients étaient présent pour que je jouisse, et cela ce fit, l’arrosant de mon sperme.
- Tu m’as tuée, murmura-t-elle en se massant le cul d’où mon jus couler. J’espère que tu as gardé quelques réserves pour remettre ça.
- Tu vas pas me dire que tu en veux encore ? Tu es insatiable toi.
- C’est seulement que j’ai invité Philippe à passer prendre un café ce soir.
Elle me coula un regard en dessous.
- Histoire qu’il sympathise avec toi. Qu’en penses-tu ? C’est pas une bonne idée. Elle me regarda, attendant ma réponse, mais comme cette dernière ne venait pas, elle poursuivit.
- Réunir dans la même pièce, l’amant et son mari, ce n’est pas donné à tout le monde. Et sur ses paroles, elle alla prendre sa douche.
Effectivement, deux heures pus tard en sonna à la porte. C’était le puceau. Un garçon de vingt-deux ans, au teint mat et aux cheveux noirs frisés. Pas très grand, mais l’allure d’un poids léger très costaud.
Pour l’occasion, Claire s’était surpassé pour la tenue vestimentaire. Ce voulant sexy, à fondre.
Elle s’était passé une robe, qui s’arrêtait à mi-cuisse en voile en maille satinée, maintenue par bretelle. Une tenue follement indécente ma foie, pour recevoir un invité.
Les présentations faites, nous prîmes place au salon.
Quand Claire fit son apparition avec son plateau, moi et Philippe étions assis sur le divan. Elle assura le service, emplissant les coupes de champagne.
Elle s’était assis sur le bord du fauteuil devant nous. La robe s’était naturellement ouverte sur le devant, révélant ses cuisses gainées de bas de soie noirs qui se terminaient, en dessous des aines. Plus haut, elle avait un string bijou qui ne masquait rien de sa luxuriante toison de brune. Elle buvait carrément des yeux son collègue.
Nous trinquâmes. Je mis tout de suite Philippe dans de bonne condition, lui que je sentais tendu. Ma compagne veillait à ce que sa coupe ne soit jamais vide.
L’alcool aidant, la conversation se faisait moins sérieuse, et les blagues polissonnes fusaient.
Afin de nous servir un café cognac, Claire se pencha, nous exhibant ses seins nus. La salope sortait le grand jeu. Le service terminait, elle reprit sa place initiale, croisant haut la jambe, l’exhibant. L’alcool, puis ce geste me donnait chaud. Puis la discussion reprit son droit. De sa place, la coquine prenait bien soin d’écarter au maximum sa fourche. Je pus comme notre hôte percevoir les grandes lèvres baillaient.
S’en était trop, je ne tenais plus, il fallait que j‘ose. Et j’ai osé.
- Claire, peux-tu me servir une tasse de café s’il te plait ! Et alors qu’elle s’approchait de moi, je l’ai saisis, la prenant par la taille et la guida jusqu’à moi.
Je me sentais devenir amoureux d‘un coup, à la voir s’exhiber de la sorte. Je me mis à la caresser. Elle feintait de me repousser mollement.
- Non… non pas devant Philippe… voyant chéri...
Mais j’insistais, prenant même l’initiative de déloger un sein de son nid. Je collais ma bouche contre la sienne, et mis à l’air son deuxième nichon sous les yeux passionnaient de son collègue.
- Philippe… tu veux que te montre le cadeau de la St Valentin que j’ai offert à ma petite femme ?
Sans attendre sa réponse, je remontais le voile de sa robe. Prenant un pied pas possible à exhiber les charmes de ma protégée. Plus rien ne pouvait m’arrêter. Cette situation me comblait.
- Mais… Alain… tu ne penses pas que Philippe s’en fout de ton cadeau.
- Mais, tout au contraire… Philippe dit-lui à Claire… que tu n’ose pas le dire, mais que tu apprécies le spectacle… allez dit-lui merde.
Alors que je gardais le rideau bien haut perché sur le spectacle de son intimité, Claire laissa échapper un soupir de contentement.
Je sentant Philippe au plus mal, une bosse tendait son pantalon. J’avais jamais vu Claire dans une telle liesse, prenant son rôle au sérieux, une bonne comédienne qui se frottait tout de même à moi, comme une chatte en chaleur. Mon sexe était à l’étroit dans mon slip. Plus rien ne pouvais nous stopper.
Je demandais à ma belle ne reprendre sa place sur son fauteuil et de s’exhiber, de nous faire saliver, moi et Philippe.
Elle s’exécuta, disposa même chacune de ses cuisses sur les accoudoirs.
Mon hôte fixait l’entrejambe, dont les grandes pétales, s’étaient ouvert, libérant les petites lèvres fripées, luisantes de rosées.
- Aller chérie, offre toi, donne toi du plaisir.
Dégageant son manteau de poils crépus luisants, elle fit jaillir de son capuchon sa myrtille rose du clitoris avant de faire disparaitre son doigt dans son intimité. Soutenant notre regard, elle le fit voyager. Prenant à un temps record du plaisir, poussant son ventre vers l’avant de sa caresse en gémissant. Elle eut un orgasme en un temps records. J’en étais même jaloux.
La jouissance consommait, elle prit ses genoux dans chacune de ses mains, écartant un peu plus sa fourche. Proposant à qui voulait le voir une pose terriblement obscène, affolante. Son trou déserté par son doigt criait famine. Il pleurait même, des perles ruisselaient allèrent se trépasser, succombant sur les tries de son trou de balle.
- Alors, Philippe qu’en penses-tu ? Ça te plait ?
-…
- A en juger par son silence, Philippe n’apprécie guère ta dépravation, chérie… je le comprends un peu. Une chatte si poilu n’attire pas son convoitise… aller ma cochonne, tu peux tout remballer.
- Non mon chérie… cela me plait… prolongeant si tu veux bien… et tu sais si cela ne lui plait pas, il n’a qu’à partir.
Puis la coquine se mit à couiner, en se touchant. Elle n’en pouvait plus, la connaissant, elle désirait que l’on s’occupe de sa personne. De la guider jusqu’au 7émne ciel. Il était temps pour moi de défier le jeune homme, puisque qu‘il n‘était pas parti.
- Alors qu’est-ce que tu attends… baise là…
Le regard hagard, Philippe, n’osait pas faire le premier pas. Et je le comprenais, prendre une femme devant son mari n’était pas une chose courante.
- Alors, lance toi… elle ne te plait pas ?
- Je la trouve très désirable, mais… mais je ne peux pas.
- Ah bon, et pourquoi ?
Comme il restait silencieux, j’apostrophais Claire.
- Dit ma poupée, si tu désire te faire baiser, remue-le, veux-tu.
Elle ne se fit pas prier, relançant son jeune amant.
- Aller, viens Philippe, ne craint rien. Alain est au courant pour nous deux.
Cela le réconforta et enfin, le garçon daigna se lever et se positionner à genoux devant le fauteuil où ma femme l’attendait impatiemment les cuisses grandes ouvertes. À l’aide de ses mains, elle attira la tête du rejeton le menant jusqu’à sa foufoune. Comme un vieux brisquard, il plongea sa langue dans les muqueuses, pompant la liqueur abondante de ma cochonne. Je me régalais d‘un tel spectacle. C’était extraordinairement excitant.
Ma femme était elle, aussi aux anges. La tête en arrière, en appuie sur le fauteuil. Je me suis rapprocher, pour savourer de plus près le léchage. Ma femme me voyant tout proche du débat, ce mit en devoir de me commenter ce que je ne pouvais discerner.
- Il me mange… il m’avale ma chatte… me pompe le jus… oh, c’est bon chérie ! Merci, merci… mon amour.
Je collais ma bouche sur la sienne pour un baiser prolongeait. Mais soudain Claire, se raidit, replia ses jambes sur les épaules du jeune homme, emprisonnant sa tête entre ses cuisses. Elle allait jouir d’un moment à l’autre.
- Oh, ouuuuuiiiiiii ! Oui encore, que c’est bon, n‘arrête pas continu… oui, oui… oui. Se mit-elle à crier.
Fier de l’avoir mener au plaisir, le jeune homme se releva, il avait la bouche souillé de la jouissance de ma belle. Mon excitation était au summum, et je n‘étais pas le seul.
- Regarde ma cochonne… par ta faute Philippe bande comme un âne. Il faut a tout pris que tu le soulage avant qu’il explose dans son slip.
Le saisissant par sa belle érection, elle l’attira de nouveau vers elle. Comme l’aurait fait une infirmière, elle le désapa. La bite comprimé se détendit comme un ressort. Une belle queue, ma-foie. Ma femme le bécota, avant de l’enfourner dans sa bouche. Je suivais avec intéressement le va-et-vient.
Le jeune homme feulait de bien être sous la caresse buccale de ma bien aimée. Quand je le vis saisir la tête de ma femme, je devinais clairement ce qui aller suivre. Et je me trompais pas. Il poussa un râle qui eut pour but de déformer son visage en une affreuse grimace.
Alors, que Philippe allait cuvé son plaisir en s’allongeant sur le divan. Claire qu’en à elle, vint à ma rencontre, pressa sa bouche contre la mienne, me faisant partager la séve du jeune homme dans un long baiser.
Un arrière goût de sperme dans la bouche, je demandais à ma belle.
- Retourne le pomper. Je veux que tu le reface bander. Il est jeune, il récupére très vite… vide le…
Elle me sourit, sachant ce que j’avais en tête. À mainte fois au cour de nos débats, nous avions imaginé ce qui allait suivre. Ma cochonne reprit le garçon en bouche, et s’activa à lui donner la forme. Le trouvant à son goût, Claire le chevaucha, et s’accroupissait au-dessus de lui, plaçant sa chatte sur sa queue. Elle descendit dessus, s’empalant lentement sur la hampe bien dressée. Elle ronronnait déjà, nuque pendante. Dès qu’elle le reçue au fond d’elle-même, elle se coucha sur son partenaire, me donnant accès à son anus.
- Je vais te préparer, lui soufflais-je.
J’ai enduis ma queue de gel avant de lubrifier son petit orifice, alors que Claire déchainée comme jamais, allait et venait avec des coups de bassins de plus en plus forts sur le pénis du jeune homme.
Ne tenant plus, j’ajustais mon gland à la rondelle bien dilatait. Elle a râlé puis m’a aspiré comme l’aurait fait sa bouche. J’ai ressenti alors un plaisir que je n’avais connu. Je sentais contre la fine paroi de sépartion la jeune queue dure de Philippe. Une sensation extraordinaire. Sans attendre je me mis à voyager dans son trou à merde. J’étais aux anges. J’aurais payé chère pour avoir une photo pour immortalisé le moment, là souder l‘un à l‘autre, nous donnons mutuellement du plaisir. Je pense qu’à ce moment plus rien pouvait nous arrêter, pas même l‘écroulement de la maison. Je pense sans me tromper, que chacun de son côté apprécié l‘instant. Sans aménagement, nous l’avons pilonné, chacun de son côté.
Claire allait de jouissance en jouissance. Un violent orgasme m’a secoué à mon tour. J’ai badigeonné longuement les paroi de mon jus. Claire avait son trou de balle béant, capable d‘accueillir deux queues sans problème. Il était souple et distendu. J’ai attendu que Philippe jouisse à son tour pour me retirer du boisseau, dans un bruit de succion.
Nous avions bu une autre bouteille de champagne en parlant de choses et d’autres, comme si rien de s‘était passé auparavant. Philippe était plus à son aise, vous pouvez me croire.

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