LES PETITS PATINEURS

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : LES PETITS PATINEURS Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-04-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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LES PETITS PATINEURS
J’avais huit ans lorsque ma maman fane de Candeloro m’a inscrite à la patinoire de notre ville pour que je fasse du patin à glace.
Très rapidement, les professeurs voyants que ma motivation ne ferait jamais de moi un champion m’ont mis dans les pattes une petite grosse qui dès qu’elle se mettait sur les lames se ramassait lamentablement.
Ils avaient décidé de faire de nous des champions de danse sur glace.
Pendant deux ans, j’ai appris les fondamentaux avec Valériane ne m’approchant d’elle que pour la relever quand elle décidait d’aller faire un tour sur ses fesses.
Aux environs de nos onze douze ans, nous avons commencé à pouvoir nous toucher mais simplement pour des mouvements simples.
C’est à ce moment-là que ses parents ont eu l’idée de l’affubler d’un appareil dentaire qui l’enlaidissait encore plus que sa beauté naturelle qui n’était pas mon type.
J’étais depuis le début amoureux de Sylviane, la jeune fille à qui l’on prédisait de très beaux jours dans le monde de la glace féminine. Elle devait devenir minimum championne de France voire d’Europe.
Nous ne nous changions pas dans les mêmes vestiaires. J’avais vu un jour un homme passé une fraction de seconde par la fenêtre de notre vestiaire par un morceau déchiré d’une feuille qui avait été mise pour obstruer la vue.
J’ai trouvé que cet homme était passé par une porte de sécurité donnant à l’arrière de la patinoire, un montant de bois de forme convexe permettait d’atteindre une plate-forme technique qui donnait sur les fenêtres des vestiaires hommes et femmes. Une plaque de plastique me protégeait de la vision des filles et avec mon couteau suisse, j’ai ouvert un petit carré qui me protégeait de leur vue.
Des feuilles autocollantes blanches ont été posées mais des grands morceaux ont été déchirés et surtout une bonne partie de celle des filles donnant sur la sortie des douches me permettant de voir sans être vue.
C’est comme cela que j’ai fait mon éducation sexuelle en remarquant l’évolution des chattes et des seins de ces demoiselles et surtout celle de Sylviane assez en avance et dont les seins n’ont pas mis longtemps à prendre du volume.
Valériane avait son vestiaire personnel comme chacun où chacune d’entre nous et était placée le premier à la sortie des douches.
Sylviane avait le vestiaire contigu à mon petit boudin. Plusieurs fois, j’ai pu voir sa chatte ouverte lorsqu’elle remettait ses socquettes.
J’ai pu approcher jusqu’à la toucher en la regardant avec de petites jumelles achetées avec mes économies.
À quelques mois près il n’y avait pas photo entre les deux filles, Sylviane devenait bandante par rapport à mon horrible petit canard.
Elles avaient quatorze ans lorsque les deux filles ont commencé à se rapprocher l’une de l’autre physiquement.
Mon petit canard comme dans le récit devenait un joli signe.
En patinant, j’arrivais au moment où il fallait faire glisser ma partenaire pour avoir des mouvements harmonieux commençant à ressembler à une danse.
Il fallait faire attention qu’un geste ne soit pas considéré comme équivoque par nos professeurs.
Un autre couple avait été séparé car le garçon avait des mains baladeuses.
Si je pouvais voir les filles à la sortie de la douche, c’est grace à deux choses. Mes parents travaillent et rentrent très tard à la maison. Les filles après le travail commun me permettant d’aller aux douches avant elles avaient des cours spécifiques par un professeur qui ne pouvait les prendre qu’à cette heure-là.
Plus nous devenions grands et plus nous nous retrouvions seuls sur la glace pour ses cours qui devenaient individuels.
Cette année-là, ce professeur a été remplacé par un homme d’une trentaine d’années que les filles appelaient Apollon.
À cet âge, Valériane n’avait rien à envier à Sylviane même si un amour de jeunesse ne se remplace pas et que je bandais de plus en plus pour Sylviane qui ne me le rendait pas car un jour à la sortie de la salle, un mec l’attendait C’est après mes seize ans, que, lorsque j’ai laissé Valériane avec lui que j’ai attendu à mon poste d’observation.
À la fin de la séance, la lumière de la salle s’est éteinte et elle est venue enlever son juste au corps pour aller sous la douche.
Avant que je comprenne ce qui se passait Apollon était dans le vestiaire et dès que ma partenaire n’ait pas le temps de comprendre sortant de la douche en se séchant, il l’a prise dans ses bras et l’a embrassé.
Valériane n’était pas farouche et je l’ai vu se pendre à son cou pour lui rendre ses baisés.
Il a sorti son sexe qui bandait autant que je bandais. Une ou deux caresses sur sa chatte couverte par une toison depuis deux ans. Je la vois poser sa jambe sur le banc devant le casier, ce qui permet à Apollon d’un coup sec de lui investir la vulve.
Elle ne met pas longtemps à faire coulisser le mandrin en elle me montant qu’elle pratiquait l’acte sexuel depuis plusieurs jours ou mois et avait déjà perdu son hymen.
Au moment où elle a joui à travers les jumelles, je l’ai vue mordre l’épaule du garçon qui, lorsqu’elle s’est retiré, avait les dents marquées au sang.
Plusieurs fois je l’ai vu venir la saillir après l’entraînement. Chaque fois je l’ai vu marquer l’homme physiquement au moment où elle semblait jouir.
Une fois, elle a placé ses mains dans le dos de l’homme, elle a passé ses ongles du haut en bas avec les traces marqué elle aussi jusqu’au sang.
En début d’année, nous nous sommes retrouvé en sport étude avec passage du bac programmé en trois ans au lieu de deux et entraînement tous les après-midi.
C’est le moment que la danse est devenue plus langoureuse pour suivre le tempo de la musique car nous préparions les championnats de France juniors.
C’est aussi le moment où nous avons appris à nous regarder avec des mimiques plus amoureuses. Il fallait que les juges pensent que nous nous aimons.
Certains jours, nous restions seuls pour parfaire certains mouvements et Valériane était dans ces jours-là, Valériane était de plus en plus provocante et lors d’une grande arabesque, j’ai entendu un craquement et son sexe m’est apparu dans toute sa splendeur.
J’ai tellement été surpris que je l’ai lâché et elle est parti sur le dos en traversant la patinoire dans un grand mouvement très long et lent.
J’ai patiné derrière elle et au moment où sa courbe s’est arrêté, j’étais juste dans l’axe de son vagin.
J’ai freiné fortement et je suis tombé en avant ma figure étant arrêté par son corps.
On peut croire que je l’ai fait exprès mais ma bouche a tout de suite trouvé son clitoris.
J’avais vu chez un copain un porno et je connaissais tous du clito d’une fille en passant par les prises par l’anus et autres positions plus salaces les unes que les autres.
Je n’ai pas eu de mal à trouver son clitoris qui a répondu à mes sollicitations.
Fidèle à elle-même, elle a cherché à me faire mal et ce sont mes oreilles qui ont ramassé son courroux. J’ai cru au moment où je lui déclenchais un orgasme qu’elle allait me les arracher.
J’étais puceau et je trouvais là l’occasion de le perdre.
J’avais une barrière infranchissable un juste au corps d’un seul tenant.
J’ai essayé de faire comme elle et le faire craquer mais il était assez solide pour ne pas y arriver.
Elle m’a aidé tirant d’un côté pendant que je tirais de l’autre.
Il a cédé et j’ai enfin pu la prendre le dos posé sur la glace. Elle a dû ressentir le froid car elle est venue sur moi en me faisant basculer et souder par nos sexes, elle se labourait littéralement dessus.
Une vraie furie. J’avais entendu parler de nymphomane, je crois bien que j’en aie récupéré une.
Pourtant dans ce que j’avais entendu, une nympho ne jouissait pas alors là quelqu’un avait tous faut car un orgasme succédait à un autre orgasme.
J’avais le dos gelé mais pour rien au monde je n’aurai fait quoi que ce soit pour arrêter ma situation qui enfin se présentait à moi de perforer cette chatte que j’avais si souvent regardée avec mes jumelles.
Au moment où un nouvel orgasme partait du bas de son corps pour venir éclore sur sa bouche, une très grande force lui permet de déchirer le devant de ce qui reste de ma tenue de danse.
J’ai juste le temps de lui bloquer les deux mains pour éviter d’avoir le torse labouré par ces ongles. Elle les laissait pousser sous couvert qu’ils soient assez longs si un réalisateur télévision au championnat avait l’idée de faire un gros plan.
J’ai évité qu’elle ne ravage le torse, ce qui a semblé la contrarier.
Le froid devenait insupportable et j’ai craint de débander.
Je me suis dégagé, je l’ai placé en levrette et je l’ai pris sans attendre.
Je suis sûr que ces cris devaient s’entendre jusque dans la loge du gardien.
Pour accentuer ma pression au fond de son vagin, je lui ai saisi les bras que j’ai tirés très fortement pour chaque fois m’enfoncé plus loin en elle.
Cette fois, elle se faisait prendre en subissant le mal qu’un autre lui imposait.
Plus je tirais et que je la sexais et plus elle gueulait son plaisir au point que, lorsque je lui ai empli les entrailles, dans un dernier sursaut, elle a une dernière fois eu un orgasme.
Lorsque je me relève pour sortir de la patinoire, elle est étalée les seins sur la glace posée comme une poupée désarticulée.
J’ai pris ma douche et sans plus faire attention à elle, je suis sortie pour entrer au dortoir des garçons du lycée.
Le lendemain alors que nous étions prêts à entrer pour notre échauffement, elle m’a remercié et a souhaité que l’on entre ensemble après notre entraînement.
Nos nouveaux justes au corps n’ont eu aucun problème, alors qu’elle avait cours avec Apollon, je l’ai attendu devant les vestiaires.
Les dortoirs étaient séparés et nous avions des chambres seules. Tous les soirs il n’y avait pas un jour où nous n’entendions pas les orgasmes que ces jeunes filles atteignaient l’une après l’autre.
Jusqu’au championnat de France, tous les soirs où la nature le permettait Valériane, participait au concert d’orgasme, un copain m’a même dit qu’elle était à l’unanimité championne de France de l’orgasme après le vote de tous les mâles présents.
Nous avions atteint un tel niveau dans nos rapports physiques que cela c’est ressenti sur notre patinage et nos entraîneurs ont décidé de nous présenter au championnat de France des seniors que nous avons emporté haut la main.
Au moment où les dernières mesures se terminaient, je la demandais en mariage et sur la dernière note, elle a dit oui.
C’est sur la glace que monsieur le maire de notre ville nous a mariée.
La fédération au couple champion d’Europe a mis un appartement à notre disposition. Les galas que nous avons signés nous ont rapporté de quoi vivre heureux.

Un jour où j’étais allé voir ma mère, elle était absente.
Je suis retourné chez nous et je suis entré sans faire de bruit sans le faire exprès.
Du bruit, il y en avait dans notre chambre. Lorsque j’ai ouvert, j’ai vu Viviane assise sur notre lit Apollon enfoncé dans sa chatte et le dos labouré de haut en bas.

J’ai divorcé après les championnats du monde où nous avons fini vingtième.

Depuis, j’ai failli raccrocher les patins jusqu’au moment où fortuitement j’ai rencontré Sylviane qui voyant mon abattement en mère poule m’a proposé de patiner pour me remettre en selle avec elle.
La remise en selle a été tellement efficace que nous venons d’être les nouveaux champions de France, non d’Europe, je n’ai pas encore l’habitude du monde.
Après six ans de domination sur la danse sur glace dans le monde.
Sylviane a arrêté sa contraception et j’ai assailli cette jolie chatte que je voyais ouverte depuis mon poste de voyeur. Un jour j’ai coupé le cordon de notre fille, suivis douze mois plus tard du cordon de notre fils.
Après son retour de couches, nous avons repris notre spectacle sur glace qui fait fureur dans le monde entier.
Lors d’une audition que nous faisions passer à des postulants, nous avons vu se présenter une jeune femme prénommée Valériane que nous avons refusée car elle n’était pas au niveau de notre spectacle surtout avec ses vingt kilos d’embonpoint..

Il ne se passe pas un moment où je dis à ma femme qu’elle est belle, que je l’aime et c’est tous les soirs sur la glace que les projecteurs s’allument que notre amour apparaît au grand jour.
Notre fille qui à trois ans patine déjà comme une vraie poupée et notre fils est encore trop jeune pour qu’il débute.

Qui a dit que la vie n’était pas belle ?

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Texte coquin : LES PETITS PATINEURS
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