LE CHANTIER (45)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : LE CHANTIER (45) Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-06-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LE CHANTIER (45)
Après un voyage en avion qui a permis à Nadia d’aller piloter les queues du commandant de bord et du co-pilote, nous atterrissons.
À la douane nous avons quelques soucis avec notre Mathusalem.
Hilda nous retrouve et c’est vers une destination qu’elle semble vouloir nous cacher que nous arrivons et après nous être rajusté, le chauffeur nous ouvre la porte de la limousine.
Nous descendons devant un établissement brillant de mille feux, où sur le fronton est annoncé « le paradis ».

• Mes amies, je vous présente ma nouvelle acquisition, j’ai simplement racheté le bordel ou j’ai travaillé plusieurs années et ou j’ai fait fortune.
J’ai commencé à Liège ou j’ai appris le français comme je vous l’ai dit avant de venir ici car grâce au port il y avait plus de fric à ramasser et ou j’ai pu économiser pour me lancer dans le retraitement.
Je vais vous faire connaître toutes les filles que j’héberge légalement, car comme vous le savez chez nous la prostitution libre est autorisé.

Une nouvelle fois, capable à son âge de pouvoir gérer des usines de retraitements de déchets verts et un bordel, Hilda doit être la seule au monde à faire ce grand écart.
Je comprends miens quand elle a parlé que notre bouteille sera placée sur le bar.
Le bar est plein d’hommes qui consomment des coupes avec des filles.
Une, puis deux d’entre elles semblent avoir réussi à harponner son client car elles partent vers l’étage.
Les filles ont les mêmes tenues seules les couleurs changent.
Short à paillette bleu tee-shirt blanc ou rouge aussi brillant que le bleu et dessus dégageant largement les seins de couleur violette, le tout sur des talons hauts de même couleur que le short.

• Venez à l’étage, j’ai un appartement personnel où vous pourrez prendre un bain et après je vous donnerais une tenue comme mes filles car chez moi toutes les femmes portent ce même ensemble.
Je vais passer le mien aussi.

Nadia apprécie le bain et me frotte le dos, comme à son habitude elle me savonne la fente stimulant mon clitoris.

• Arrête cochonne sinon je te trouve un client.
• Chiche.

En prononçant ces mots j’étais loin de penser ce qu’Hilda nous a concocté.

• Bien, dans cette armoire vous avez toutes les couleurs classées par tailles.
Nadia 36 pour ton petit cul et 38 vut tes seins pour le haut.
Valérie petit 40 pour le cul et 40 pour le haut, vous verrez je suis sur des tailles que je vous ai dit, en bas vous trouver des chaussures dans vos pointures.

L’habit fait le moine et dès que j’ai choisi un short vert foncé avec un haut vert clair je dois constater qu’Hilda à l’œil car les tailles concordent.
Nadia a choisi un short beige avec haut rouge du meilleur effet, elle va se faire remarquer à l’intérieur de la boîte par les clients, salope comme elle l’est elle est capable de s’en faire un ou deux.
Hilda quant à elle a une tenue entièrement blanche, de haut en bas ainsi que les chaussures qui semblent lui être réservées car aucune tenue blanche n’est présente dans le placard.

• Venez, vous voyez tout le long de ce couloir les lampes allumées permettant à mes filles de savoir quelle alcôve est libre.
Voyez, ici un coin hygiène, le lit recouvert de cuir pour faciliter l’entretien et le distributeur de capote vous savez hélas pourquoi.
J’ai dix chambres qui tournent à un rythme soutenu et quelques fois les filles doivent attendre que l’une d’elles se libère pour monter leur client.
Depuis que cela nous est arrivé j’ai fait installer une série de lampes, au-dessus du bar qui permettent de voir le remplissage et en attendant que l’une se libère ce faire payer un verre.
Grave à ce système mon chiffre d’affaires a augmenté de manière significative.
Chaque fille sur chaque passe me rétrocède 10 % et sans me servir de mon cul je gagne des milliers d’euros par jour.
Bien sûr il en va de même sur les consommations surtout si c’est du champagne où elles ont une petite gratification.

Nous nous apprêtons à descendre quand une porte s’ouvre et l’une des filles en sort avec un beau noir me faisant penser à l’homme de ma vie.
Arrivée au bar notre bouteille a été sortie de sa caisse en bois et trône aux yeux de tous.

• C’est calme ce soir Hilda, il y a peu de clients.
• Ils sont encore chez leur femme pour le dîner, il y a un gros coup de feu vers 17 heures à la sortie des bureaux, ils viennent souvent se payer une fille avant de retrouver leur berger.
• Non Hilda bergère, le berger est le mari de la bergère.
• A oui, excuse mon Français, ceux-là vont dans les boîtes pour homos se satisfaire vers le berger ici ils retournent chez leur bergère.
D’ailleurs pourquoi bergère pour une légitime en France ?

La colle, à part une étrangère qui peut se préoccuper des hommes qui retournent vers leur femme et pourquoi pas leur meuf.

• Puis-je vous offrir un verre ?

Je suis surprise que l’on m’interpelle.
Je me retourne et l’homme vient d’arrivée car quand nous sommes descendus j’aurais repéré ce petit gros et chauve.
J’ai un moment d’hésitation et sans à aucun moment pensé que je suis dans un bordel j’accepte.

• Vous êtes nouvelle ici.
• Oui j’arrive de France chez mon amie Hilda.
• Vous travaillez déjà en France avant de venir ici.
• Oui dans ma commune.
• Vous étiez pute dans votre village.

Je vois le quiproquo qui se dessine avec cet homme, il me prend pour une des filles qui travaillent chez Hilda et qui montent les clients.
Je comprends le piège ou notre amie nous a fait tomber en nous habillant comme ses filles.
Deux solutions pour moi, soit expliquer au monsieur que je suis chez mon amie et que dans ma commune je suis le maire et c’est mon seul travail et qu’à aucun moment je fais la pute bien que nos moments fous dans ma maison des plaisirs pourraient faire penser à de non initié que nous en sommes.
La deuxième c’est de piéger Hilda et de suivre cet homme à l’étage pour voir que se ressent une femme quand un homme lui donne des billets pour payer sa prestation.
Intérieurement j’ai un dilemme car j’ai peur de sortir de cette expérience avilie alors que depuis que j’ai ouvert mon corps aux plaisirs charnels je me suis donné avec fougue à toutes les bites et les chattes que l’on m’a proposées surtout sur mon lit des plaisirs.
C’est au moment où je pense reculé que je vois Nadia suivre un homme bien plus grand qu’elle à l’étage.
Je prends comme prétexte d’être près d’elle si les choses tournent mal pour répondre à l’homme que j’ai beaucoup de clients qui viennent ma voir à la nuit tombée.

• Combien pour un moment avec vous, je dois dire que vous me faites bander, voir une femme de votre classe vendre son corps est peu banale.
• Et oui mon pauvre monsieur les vicissitudes de la vie, il faut bien que je nourrisse mes enfants depuis que leur père les a lâchement abandonnés.

S’il savait l’âge de mes filles et les libertines qu’elles sont devenues il comprendrait que je me fiche de lui.

• Mon bon monsieur, pour le tarif c’est l’habituel dans cette maison.

J’allais dire cette maison de passe, même si c’est le cas ce mot a du mal à sortir de ma bouche.

• Bien montons j’ai hâte de découvrir votre corps de déesse.

Je suis poursuivi, même ici Aphrodite arrive à me rattraper.
Je vois Hilda qui veut s’avancer vers nous aussi je la prends de court en me levant d’un pas assuré nous prenons le chemin de l’escalier.
Tous au long des marches le regard du client sur mon postérieur me donne l’impression d’être une génisse jaugée par un maquignon.

• Vous acceptez la sodomie.
• Oui au tarif habituel.

En lui disant cela je m’enfonce un peu plus dans une situation que j’ai du mal à maîtriser et quand nous arrivons sur le palier devant les portes j’espère secrètement que toutes les lampes seront allumées et que nous retournerons au bar pour que j’aie le temps de reprendre mes esprits.
Quand je pense qu’en ce moment Nadia derrière l’une d’elles doit écarter ses cuisses pour qu’un inconnu vienne y tremper sa queue j’en suis glacée, C’est vrai que du temps du chantier et de la cabane, les ouvriers qui apprenaient le français étaient de vrai inconnu que je recevais en moi sans trop me poser de question.
La trahison de mon mari avec son Anglaise et sa double vie a fait de moi ce que je suis devenu bien aidé en cela par mon deuxième mari maire de notre commune qui est mort en m’honorant alors pourquoi hésiter à devenir une péripatéticienne.

• Entré mettez-vous à l’aise, je reviens tout de suite.

Je quitte la chambre et le plus rapidement possible je descends au bar demander à Hilda ce que je dois faire mais elle brille par son absence.
Je remontre précipitamment afin d’essayer d’être à la hauteur de cette situation nouvelle.

• Alors à quoi tu joues, regarde dans quel état je suis à t’attendre.

Il est vrai qu’il peut se permettre de me tutoyer après le temps que je mets à venir honorer cette bite qui sans être petite est loin d’être celle d’un étalon.


• Suce-moi, j’adore cela.

Il me tend un paquet de billets que je mets dans ma poche de short qui semble avoir été prévu à cet effet.
C’est sans mal que je lui place la capote et que sans réfléchir de peur de reculer je l’avale en moi.
J’aurais pu jouir s’il m’avait labouré quelques minutes mais les jets de sperme qui remplit sa capote me font penser que j’ai réussi ma première passe avec un client.
Je remets mon short et le client rhabillé nous retournons au bar.
Il m’offre une coupe et c’est à ce moment que Nadia mais surtout Hilda réapparaisse venant de l’étage chacune avec un client.
Je comprends son absence et quand nos regards se croisent, elle est hilare du bon tour qu’elle nous a joué…

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