COLLECTION BLACK. Je craque. (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION BLACK. Je craque. (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-06-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION BLACK. Je craque. (1/1)
Je suis marié avec Adrien depuis vingt ans et je suis resté fidèle jusqu’à ce soir de décembre où cette aventure insolite m’a rattrapé.
À trente-huit ans je suis resté une jolie femme faisant attention à ma ligne.
Tous les matins je fais mon jogging dans les allées du parc de notre ville avant de rentrer, prendre une douche et aller à mon travail.
Mon chef de service est un très beau black à qui j’aurais bien cédé s’il me l’avait demandé mais il est fidèle à sa femme et j’en suis pour mes frais.
Un jour que j’attaquais le deuxième tour du parc, un homme de même couleur est arrivé à ma hauteur et mon regard s’est immédiatement posé sur son collant.
Son sexe devait être de ceux que je voyais sur le net seul endroit où mon voyeurisme me permet d’assouvir mon envie de regarder leurs engins gigantesques.

• Allée fillette, fais-moi voir ce que tu as dans le ventre, suis-moi.

Voulant lui faire voir que mon ventre était à la hauteur du sien je l’ai suivi perdant quelques mètres avant d’arrivée à ma voiture.

• Bravo fillette, tu sais courir comme moi je sais baiser.
J’ai vu que tu portais ton regard sur la bosse de mon collant, tu flashes sur les grosses bites noires.

Je suis monté en voiture sans répondre, car que dire.

« Oui je rêve de ta bite qui doit avoir la grosseur de celle que j’admire depuis des semaines ».

Le lendemain dans ma boîte aux lettres une petite carte avec le nom d’un bar dans la partie plus que louche de ma ville.
Le nom était assez explicite « black bar ».

Pendant un mois je résiste jusqu’au jour où Adrien part pour un séminaire me laissant seule, mon fils et ma fille étant partis pour quinze jours chez mes parents en Gironde.
Vers dix heures la carte est dans mes mains et je la retourne dans tous les sens, un dernier regard au site porno que je sollicite chaque fois que je veux voir une belle queue longue et massive noir ce qui me convint de me rendre dans ce bar où j’espère retrouver mon joggeur.
J’arrête ma voiture à quelques centaines de mètres du bar ayant un mouvement de légère peur car le quartier est très glauque.
Pourquoi être venu jusqu’ici pour reculer, je descends m’apercevant que j’ai peut-être une tenue un peu osée pour le quartier ?
Il est trop tard pour reculer et je me rapproche de l’enseigne que je vois briller dans la nuit.
En chemin je croise plusieurs groupes de blacks qui tous me sollicitent pour venir tâter de leur queue.
Je mouille de peur mais aussi d’excitation, comment moi la femme sans histoire depuis mon mariage j’ai pu décider de faire basculer ma vie à cause de ces queues qui hantent mes nuits.
Le fait qu’Adrien est moins demandeur depuis quelques mois me donne envie mais la présence de mes enfants a permis que je sois raisonnable.
L’absence des trois a dû déclencher dans mon cerveau un besoin d’interdit aussi j’arrive au bar ou je pousse la porte contente d’arrivée sans avoir été violée.

Le bar a une lumière tamisée et quand j’entre malgré la nuit mes yeux mettent quelques secondes à s’habituer.
Ils sont là, ces beaux mâles qui jouent dans mes films du moins cinq ou six qui boivent un verre.
Derrière le comptoir je vois celui que j’espérais rencontrer.

• Ludo tu tiens le bar, madame est venue pour moi.
• Comme d’habitude, tu as le chic pour lever ces salopes, amuse-toi bien et si tu as du rab pense à nous.

À ces mots j’aurais dû partir en courant et rejoindre ma voiture mais le bras que me prends celui qui m’a montré sa queue sous son collant m’incite à le suivre.
Il me fait prendre un escalier sa main venant se poser sur mes fesses me donnant une sensation de brûlure.
Il me conduit dans une pièce meublée d’un lit avec un simple matelas.

• C’est cela que tu es venue voir, regarde comme elle est belle.

Au oui elle est belle, grosse et noueuse comme je l’espérais et je m’agenouille pour la prendre en bouche.
Celle d’Adrien sent le propre celle de ce beau black sent la savane, le sable chaud du désert et j’ai du mal à la mettre en bouche.

• Tu es doué, tu vas aimer que je te la mette dans ta chatte.

En disant cela il m’amène près du nirvana que je souhaitais atteindre en flachant sur ces hommes surtout quand sans ménagement il attrape le revert du corsage de ma robe et quand il tire je me retrouve les seins et le cul à l’air.
Seul mon string reste sur mes fesses mais je sais que c’est pour une courte durée car la rudesse que semble vouloir employer mon black est exactement ce que j’espérais.

Tu as un joli cul, on va bien-t’en donné tu pourras retourner dans ton quartier de bourge avec des images plein la tête.
« On va bien t’en donner, » là encore j’aurais dû fuir mais le bâton que ma main masturbe m’oblige à attendre la suite.
D’une main, je me trouve levé à un mètre du sol et sans aucun ménagement il me propulse sur le matelas dont l’odeur âcre me monte immédiatement aux narines.
En même temps qu’il me tenait d’un bras il a saisi mon string et quand il me propulse j’entends le craquement de l’élastique.
Je suis aux anges, en quelques minutes j’ai trouvé tout ce que je cherchais un homme un véritable homme avec tout ce qu’il faut quand il me prend par les cuisses qu’ils écartent et qu’il me plante sans aucun égard.
J’ai l’impression d’un nouveau dépucelage mais quand il commence à me labourer même si je veux me taire je hurle la jouissance qui monte immédiatement en moi.
J’ai souvent joui mais j’ai rarement eu des orgasmes aussi fort, celui qui monte rapidement en moi va être de ceux qui sont dévastateurs comme une tornade balayant tous sur son passage.
Je suis incapable de me raisonner mais en ai-je vraiment l’envi.
C’est à ce moment que j’ai une idée folle, pourquoi ai-je oublié de dire aux autres blacks du bar de monter, mais quand je hurle de plaisir je me sens retourné comme je le fais avec les crêpes que je cuis à mes enfants et sans plus de ménagement que pour mon vagin un fer rouge entre dans mon anus.
Je suis vierge du cul refusant toujours la sodomie mais le plaisir qui irradie toutes mes petites terminaisons a le temps de me faire penser que j’ai eu bien tort avant que je hurle mon plaisir d’être prise comme la femelle que je suis devenue.
Mon joggeur semble c’être assez amusé et il sort de mon cul me retourne de nouveau et m’envoie son sperme en pleine figure quelques gouttes me fermant un œil.
D’instinct j’ouvre ma bouche et j’ai la chance qu’il est tellement performant en quantité que deux jets atteignent ma glotte et que je les avale avec envie.

J’étais prête à me lever pour partir quand deux des hommes qui étaient en bas quand je suis montée dans ce baisodrome entre nus la queue en main, l’un est aussi gros que celui qui vient de me prendre par tous mes trous et l’autre est éléphantesque.
Instinctivement de mon œil ouvert je sais que je vais ramasser mais je prends cette verge plus grosse que celle que j’ai vue dans ma main et je l’approche de ma bouche.

• Putain la salope, elle a faim de baise celle-là, on va en faire notre putain, tu es d’accord je pense.

Mon cerveau dit non mais ma tête qui va de haut en bas leur dit oui, je suis devenue leur objet et contente de l’être, alors pourquoi leur refuserais-je d’être leur pute, leur roulure du moment que j’atteins autant de plaisir qu’avec la première bite qui vient de me pourfendre.
Pour être pourfendue je suis pourfendue quand le plus petit des sexes se couche sur le dos que l’autre me reprenant d’une main comme son copain me place de dos face à cette verge qui me rentre dans le cul.
Maman ou es-tu, Adrien pourquoi es-tu parti, mais que c’est bon surtout quand le bâton noir entre dans ma chatte et que je suis prise en double pénétration.
J’ai crié, hurlé mais prise par ces deux verges dont une qui distant mon sexe autant qu’il y a quelques mois quand j’ai accouché de ma fille je veux trouver un mot sur le plaisir qui me dévore mais aucun n’arrive à mon esprit.
Je suis le plaisir, je deviens le plaisir à l’état brut, je suis bien devenue leur pute et quand le black qui m’a mis la carte de ce bar, en ma boîte aux lettres m’ayant suivi après mon jogging vient se replacer dans ma bouche je suis contente car mes cris deviennent intérieurs.

Je sens qu’il redurcit très vite et je suis étonné de la manœuvre qu’il effectue, son copain se place sur le côté sans sortir de ma chatte et je sens que cette verge vient se glisser à côté de la trompe d’éléphant.
Ils sont fous, ils vont m’éclater, me déchirer, me transpercer mais le cri encore plus fort que les autres qui sort de ma bouche me font voir que j’ai tort et que je suis prise par ces trois verges pour mon seul plaisir.

• Bravo les gars, elle avait très très envie, c’est la première qu’une de ces salopes en prend trois d’un coup surtout avec celle de Bamboula.

Bamboula certainement un surnom pour éviter que je ne sache qui ils sont mais l’orgasme qui m’assaille et le hurlement que j’émets doit parvenir jusqu’à l’immeuble où nous habitons avec mon mari.
Ces trois verges sont encore à me labourer quand je vois de mon œil ouvert l’autre étant maintenant collé par le sperme de mon premier baiseur qu’une nouvelle verge aussi grosse m’arrive.
Je regrettais que ceux du bas soient restés au bar mais mes cris de plaisir doivent les attirer car je la prends en bouche et j’en sens une autre venir dans ma main.
Les deux verges qui s’occupaient de mon vagin sortent remplacées par deux autres, j’ai entendu parler de gang bang et j’en ai vu qui le faisait sur des vidéos mais à ce moment je suis au centre de ce gang bang et mon corps semble être inexistant au milieu de ces sexes qui entrent et sortent en moi.
Ma voix est cassée à avoir trop crié comme la seule fois où Adrien a réussi à m’entraîner au stade de France pour voir Paris Saint-Germain Gueugnon en coupe de la ligue et ou Gueugnon, ville de ma région a gagné.
Tous ces sexes à ma disposition vont au-delà de mon envie, s’ils le désirent je veux bien rester à leur disposition et tenir le comptoir gratuitement pourvu que mon corps garde leurs corps sur le mien et qu’ils continuent à m’écraser pour prendre leur plaisir comme je le prends depuis que je suis entrée, montée et balancée sur ce matelas pourri.
Je suis sûr en sortant de ce bordel que je serai toujours disposé à revenir chaque fois qu’ils me siffleront ayant atteint la plénitude maximum de ce que le mot plaisir veut dire.
Mais que dire quand tous viennent au-dessus de moi et que se masturbant il me recouvre de sperme là encore réussissant à en avaler quelques bribes.
Que se passe-t-il à ce moment là, j’ai tellement joui et eu d’orgasme que quand ils me balancent sur le trottoir mes clefs de voiture atterrissant à quelques centimètres d’une bouche d’égout.
Je suis sans aucune réaction pendant quelques minutes.

• Encore une pute qui en a pris pour son envie, les potes l’ont bien rassasiée, viens vieille salope je vais encore t’en donner.

C’est entièrement nu, même mes chaussures que je cours jusqu’à ma voiture où je m’engouffre avant de démarrer en trombe afin de retrouver un monde plus civilisé.

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