BEAU PAPA. (1/2) - histoire érotique

Quand mon fils Lilian à rencontré Véronique il est puceau et elle est une oie blanche.
Je sais qu’il est puceau suite à une conversation père-fils quelques jours plus tôt où le peu qu’il a dit m’ont fait comprendre que c’était encore son état.
Véronique petite blonde de 18 ans est au chômage et mon fils travaille en CDD trouvé après un stage de mise à niveau dans une entreprise de B.T.P. qui a des chantiers à l’international,
Ce seul revenu les empêche de s’installer alors je les accueille sans aucun problème.
Je suis dessinateur de bandes dessinées et c’est dans ma maison dans le sud de la France que nous habitons.

Mes dessins se vendent très bien, aussi c’est sans aucun problème que je les fais vivre.
Je suis divorcé depuis dix ans, j’ai des aventures sans lendemain dans un club échangiste où je me rends presque chaque mois.
À l’accueil la patronne me connaît et chaque fois me permet d’entrer même si le cota d’homme seul est atteint.
J’ai le plaisir de baiser des jolies filles venues de la région en mal de sensation et étant choisi d’éviter les inconvénients que j’ai eus avec ma femme qui était une gueularde de première même si elle aimait faire l’amour partout et dans toutes les positions.
Les derniers temps les engueulades perpétuelles nous ont amenés à cette rupture.

Ce que j’aime chez Véronique c’est son naturel, toujours avenant bien poli et prêt à rendre service.
Depuis quinze jours nous sommes ensemble et c’est là que Lilian nous annonce qu’il part sur un chantier pour une semaine sur un chantier en Espagne me laissant seul avec sa copine.
La veille de son départ j’entends le couple se disputer étant proche de la fenêtre de leur chambre, j’ai compris qu’il voulait lui faire l’amour et qu’elle refusait avant leur mariage.
Incroyable, moi qui pensais que mon fils baisait à couille rabattue se retrouvait avec une compagne qui couchait dans son lit mais qui refusait tout contact physique avec lui avant d’avoir convolé.
Celui-ci étant prévu en septembre il lui restait presque deux mois à faire ceinture.

Comme je l’ai dit, j’ai de gros moyens et cette année pour la première fois dans ces premiers beaux jours de juin j’inaugure la piscine qu’une société m’a construite devant la maison ce printemps.
Dès que la chaleur monte je quitte mes planches à dessin et je vais faire trempette avant de me faire bronzer sur un des transats que j’ai installé.

• Je peux.
• Oui bien sur Véronique tu dois t’ennuyer seule depuis que mon fils est parti.
• Oui mais je me réfugie dans mes pensé faisant passer le temps plus vite.
J’aime rêver.
• Hormis notre différence d’âge, il me serait impossible de vivre avec une fille comme toi refusant l’amour physique.
• Comment savez-vous cela vous nous observez ?

Je suis pris à mon propre piège ayant trop parlé.

• Non mais malencontreusement votre fenêtre de chambre était ouverte alors que je cueillais des roses dans le massif placé dessous, j’ai entendu que tu te refusais à lui quelques heures avant son départ.
• Et vous trouvez cela mal d’avoir des croyances et de les mettre en pratique.
• Oui, tu as un corps de rêve qui demande à s’épanouir et crois en ma vieille expérience, tu es à un âge ou il faut t’en servir le plus tôt et le plus souvent possible sinon tu vas devenir une jeune femme aigrie et rabougrie alors que tes formes sont généreuses.
Quand tu auras franchi le pas tu te diras que tu as été bête d’attendre du moins si mon fils sait s’occuper de toi.
• Vous dite différence d’âge, pourtant vous êtes très séduisant.
• Trente ans c’est énorme Véronique, si je te faisais des avances tu te laisserais faire ou tu prendrais conscience de cette différence.
• Comment le savoir, seriez-vous prêt à me faire l’amour ?
• Comme tu y vas, tu es la copine de mon fils et vous allez vous marier.

Sans attendre elle se met nue et plonge gracieusement dans la piscine.
Elle fait plusieurs longueurs dont certaines sur le dos me montrant ses grandes lèvres ornées d’une très belle toison brune.
Contrairement aux filles que je baise dans mon club elle a gardé sa pilosité alors que toutes sont rasées et épilées.
À la regarder au bout de quelques longueurs je bande.

• Dite, vous êtes bien monté, même si je suis vierge j’en ai vu quelqu’une et j’avoue en avoir déjà sucé.

C’est de l’eau que Véronique me montre qu’elle voit mon état, je vais pour chercher une serviette mais je suis sorti de ma chambre par la porte-fenêtre sans me souvenir que j’avais une invitée.
C’est à ce moment que je prends conscience que la conversation précédente avec elle avant qu’elle plonge c’est déroulé alors que j’étais nu et que j’ai montré ma queue à une jeune fille bien que majeure sans aucune pudeur.
C’est vrai que dans mon club libertin les jeunes filles bien faites, comme la copine de mon fils, ont perdu leurs pucelages plus jeunes qu’elles et il est fréquent que j’en baise sans me poser de question sur notre différence d’âge à partir du moment où l’accueil les a laissés entrer le contrôle à vérifier leur majorité.
Je me souviens d’une jolie petite blonde qui était en couple avec un vieux qui la regardait se faire prendre en double pénétration par deux hommes blacks montés comme des taureaux sans jamais participer.
Au début j’ai cru que c’était sa fille mais quand elle la rejoint après s’être fait envoyer en l’air, sa bouche qu’elle lui a donné avant qu’il parte était loin d’être celui d’une fille envers son papa.
J’en ai parlé avec d’autres participants ayant peur que ce ne soit des personnes déviantes et ils m’ont confirmé qu’il lui avait passé la bague au doigt et qu’ils étaient en dehors des rapports sexuels follement amoureux.
J’ai eu personnellement confirmation de c’est dire alors que je pensais que les deux blacks étant relativement de son âge, j’avais pensé que seule des jeunes pouvaient la satisfaire.
Le mois qui a suivi, ils étaient là, j’ai eu l’autorisation sur un geste de la tête du mari, les deux portant une alliance, à sa chatte puis à sa rosette quand je l’ai enculé.
Là encore après avoir pris mon plaisir après le sien, ils sont partis s’embrassant amoureusement.

Avant que j’aie le temps de réagir Véronique sort de l’eau en un seul mouvement très sportif et vient s’agenouiller à la hauteur de ma virilité.
Elle me prend dans sa main et joue à faire entrer mon gland dans le repli de ma peau.

• Vous savez j’ai peur qu’un engin comme le vôtre n’entre dans ma petite chatte, j’y mets le doigt de temps en temps et j’ai du mal à le faire pénétrer.
• C’est parce que tu es encore vierge, la première fois que le sexe de Lilian entrera en toi tu pourras y mettre plusieurs doigts.
• Pourquoi pas la main entière ?
• Cela se fait, cela s’appelle se faire fister mais les femmes qui le font son rare, dans ma vie une seule m’a permis de le faire.
• Tu pourrais me le faire.

Je constate qu’elle vient d’employer le tu as la place du vous, nos relations semblent se réchauffer.

• Véronique arrête de me masturber, il faut rester correct et je risque d’éjaculer.
• Je voudrais voir un homme cracher son sperme grâce à ma main.
• Tu le feras avec mon fils dès son retour.

Comme une petite fille trop gâtée elle me fait une petite moue qui m’attendrit.

• Non, maintenant je sens que je suis prête à franchir cette étape.

Maman au secours, pas la copine de mon fils, sa main est si douce que je la laisse faire et dans un grand cri de plaisir mon foutre vient inonder sa main.

• C’est beau un homme qui jouit.

Elle met sa main à sa bouche et lécher mon sperme.

• C’est un peu fade mais c’est onctueux.

Je suis honteux alors je me relève sans un regard pour celle qui m’a troublé, je pars en courant vers ma chambre et surtout la salle de bain ou je fais couler de l’eau pendant de longues minutes comme si je voulais me purifier de ce que je viens de me laisser faire par ma bru.
Le week-end arrive qui voit le retour de mon fils et où chaque fois ou je vais à ma piscine je porte mon maillot.
Lilian semble aux anges ce matin, a-t-elle suivi mon conseil et ce sont-ils dépucelés mutuellement.
Bizarrement le dimanche soir son chantier étant plus long que prévu, je suis heureux de le voir partir espérant bien savoir si le couple était devenu un couple.

Je suis près de la piscine ayant travaillé sur mes planches de bonne heure profitant de la fraîcheur du matin étant mieux inspiré quand elle arrive entièrement nue.

• Méchant, tu me la cache, enlève ce maillot.

Je suis circonspect mais la bosse qui commence à gonfler mon slip de bain témoigne de l’envie qu’elle suscite en moi.
Assise au pied de mon transat elle avance sa main contourne l’élastique et prend ma hampe comme la première fois.
Je fais l’erreur d’enlever mon slip lui montrant visuellement l’envie qu’elle m’inspire.
Je cherche à faire diversion pour éviter une éjaculation.

• Tu peux me dire ce que tu as fait à Lilian, hier matin au petit déjeuner il était radieux, il t’a dépucelé.
• Au non, je l’ai juste masturbé, j’ignorais ce que je devais faire après et comme il a semblé se contenter de ses mouvements avec ma main je l’ai fait cracher son sperme plusieurs fois.
• Tu l’as avalé.
• Non, juste léché comme avec toi ce qui était tombé sur ma main.
• Il faut le sucer et avaler son sperme avec ta bouche cela s’appelle une fellation.
• Quel mot étrange, fellation mais il est beau, je vais te faire une fellation.

Joignant le geste à la parole elle se penche et met mon gland dans sa bouche.
C’est étrange je me fais sucer par la copine de mon fils et étrangement sa candeur devant les choses du sexe au lieu de me rendre mal à l’aise me galvanise.
Je lui prends la tête à hauteur de ses oreilles que je saisis et sans aucun scrupule je me masturbe dans sa bouche.
Un vrai feu d’artifice quand je m’abandonne dans sa jolie bouche, je la vois déglutir et apprenant rapidement elle me lèche la verge pour bien la nettoyer.
Je souhaite éviter de la brusquer et pendant les jours qui suivent jusqu’au retour de Lilian elle me pompe plusieurs fois et ce chaque jour semblant être rassasiée par le sperme que j’envoie dans son estomac car pendant toute la semaine elle mange comme un moineau.
Le retour de mon fils se passe comme la semaine précédente à la seule différence que le dimanche matin elle vient de bonne heure à ma table de dessin et prend le risque une nouvelle fois de me baisser le slip et de m’avaler…