COLLECTION DOMINANT DOMINE. Orages d’été. (1/14)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION DOMINANT DOMINE. Orages d’été. (1/14) Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-12-2016 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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COLLECTION DOMINANT DOMINE. Orages d’été. (1/14)
Quand je sors du centre commercial de Pontault-Combault où j’ai été acheter une jolie paire de chaussures dans la galerie marchande l’orage menace.

Depuis trois jours il fait une chaleur étouffante et je sens qu’il monte à la teinte que prennent les nuages.
Il me faut bien rentrer à Lésigny où avec Claude, mon mari, nous possédons une jolie petite propriété mitoyenne avec le parcours de golf très connu dans la région.
Nous l’avons acquise, il y a deux ans alors que nous sommes mariés depuis dix-huit ans l’âge de mes deux aînés.
Au début de notre union nous avons vécu dans la petite maison mitoyenne à celle de mes beaux-parents.
Ils ont vendu pour partir prendre leur retraite au soleil à Montpellier nous obligeant à prendre des décisions.
Je dis bien mes deux aînés, car j’avais dix-sept ans à mon entrée à la fac de Dijon après mon bac quand j’ai rencontré celui qui allait devenir mon mari.
Ce fut immédiatement le coup de foudre et maman qui hélas a disparu depuis d’une maladie foudroyante, voyant que je m’intéressais à ce garçon était certaine de me protéger en me faisant prendre la pilule, mais il paraît que j’ai fait partie des cas où elle est inefficace.
Sauf mon mari et mes trois enfants, je suis seul au monde depuis, car mon père l’avait abandonné et j’ignore où il vit.

L’orage me stress, ce qui rend mes pensées confuses.
Je me suis marié avec Claude qui se prénomme ainsi car ma belle-mère était fan du chanteur disparu, j’ai trois enfants dont les deux garçons jumeaux.
Claude étant fan du général, nous les avons appelés Charles-Antoine et Charles-Édouard.
Un an après c’est par envie que nous avons vue venir dans notre foyer ma fille Emmanuelle prénom que j’ai choisi non pas à cause du film en vogue lors de sa naissance, mais car ce prénom fait partie des plus beaux souvenirs de ma vie quand j’ai emménagé dans une chambre d’étudiante à Dijon avec Emmanuelle qui m’a ouvert aux plaisirs des corps féminins.
Claude avec l’aide financière de son père directeur de banque dans le XIIe arrondissement a créé une entreprise en pleine expansion travaillant dans le monde entier et surtout aux USA où il est parti jusqu’à samedi après-midi depuis hier me laissant seule à Lésigny.
Je suis seule, mes deux garçons étant toute l’année chez leurs grands-parents à Montpellier pour faire leurs études avant de venir aider leur père et prendre la suite dans plusieurs années, Charles-Antoine ayant un petit problème de santé nécessitant beaucoup de soleil alors qu’Emmanuelle est au Bénin avec notre autorisation pour une mission humanitaire pour deux ans avec l’association qu’elle a intégrée en début d’année.

Quand j’ai parlé d’Emmanuelle m’ayant aidé à m’ouvrir aux plaisirs lesbiens, j’étais en vacances en randonnée en Corse avec elle quand nous avons fait la connaissance dans un camping de deux garçons Claude et Adrien.
Avant de nous retrouver ensemble en fac, elle habitait près d’Auxerre et moi près de Macon.
C’est le deuxième soir que lors d’un orage comme celui qui se prépare que j’ai atterri par peur dans son lit et dans ses bras.
Ma chatte jusqu’à ce moment m’avait bien fait comprendre qu’elle était là, mais c’est sans commune mesure avec les orgasmes que sa main et sa bouche m’ont procurés.
Je me croyais lesbienne à vie, mais quand j’ai dansé ce soir-là avec Claude, mon cœur a battu comme jamais et le soir même, je me suis retrouvé dans sa toile de tente avec les cuisses bien écartées pour que dès que j’ai senti mon hymen éclater, il aille le plus profondément en moi.
Mes jambes entouraient sa taille pour que jusqu’à la fin de notre vie, nos corps restent soudés.
Il avait déjà eu des maîtresses qui lui avaient appris son métier d’homme et dès ce moment-là, il a été celui qui m’a appris tout ce que je sais à ce jour des amours entre un homme et une femme.
J’adore qu’il me prenne en levrette et nous avons après notre mariage acheté le Kama sûtra et nous adorons essayer les positions suggérées.
Au fil du temps nous avons gardé les positions les plus faciles à pratiquer sans risquer de nous retrouver à l’hôpital après un blocage ou une fracture.
Je suis contente de mon homme tout au long des jours reste mon amant plus que mon mari.
Une fois pris d’un délire il m’a caressé la rosette mais c’est la seule fois car ma réprobation a été tel qu’il a renoncé définitivement.
Mais cette première fois suivie de quelques autres malgré les précautions prises par ma maman, j’ai accouché de mes fils ayant quitté Emmanuelle et Dijon pour la capitale et mes beaux-parents pas très contents de me voir débarqué dans leur vie.
J’ai mené de front mes études et ma grossesse jusqu’à intégrer la fac de Vincennes comme professeur de Français.

En ce moment je sors du super marché peu enclin à rejoindre ma voiture et rassurée par le bâtiment quand des éclairs et des coups de tonnerre montrent que l’orage est sur nous.
À mon côté une jeune fille noire d’une vingtaine d’années regarde, elle aussi l’orage, mais semble plutôt contente de voir les éclairs sans comme moi être stressée.
J’ai même l’impression que si elle avait eu les mains-libres au lieu de porter deux bouteilles d’eau, elle aurait applaudi chaque fois que cela claque.
Un quart d’heure et la pluie ralentie, je pars à droite retrouver ma voiture, la jeune femme me croise pour partir à gauche, il tombe encore des gouttes et nous manquons de nous percuter, un sourire et nous reprenons notre route.
Dès que je démarre, le parc de stationnement est si vaste que je me trompe et je me retrouve au coin opposé de la sortie où personne ne se gare..
Alors que je vais pour repartir, je vois la jeune femme croisée en sortant du super marché sous le hayon de sa voiture.
Je remarque le premier geste qu’elle fait quand elle verse de l’eau sur un gant de toilette et qu’elle se le passe sur la figure.
Je reste ou je suis et je l’observe ayant conscience de jouer les voyeurs.
Elle remet de l’eau de la bouteille achetée et en regardant que personne la regarde, elle le passe dans la ceinture de son pantalon et semble se laver la chatte.
J’en ai confirmation quand elle rince le gant et qu’elle recommence l’opération.
Elle sort du coffre un vêtement à manches longues et enlève rapidement son débardeur me montrant ses jolis seins même s’ils sont éloignés et met un vêtement à manches longues.
J’avais entendu dire que des personnes et même des femmes vivaient dans leur voiture, j’en ai confirmation en ayant une devant les yeux.
Je redémarre et je m’avance jusqu’à elle.

• Bonjour mademoiselle, vous m’excusez d’avoir joué les voyeurs, mais vos gestes m’ont intrigué.
Je pense que vous êtes dans une situation difficile, puis-je vous proposez de venir prendre une douche chez moi, mon mari est absent et vous pourrez prendre tout votre temps, j’habite à cinq minutes en voiture.
• Je vous remercie, mais je vais me débrouiller seule, j’ai pris l’habitude depuis ces derniers mois que je suis en galère.
Même ma voiture me lâche, elle refuse de m’emmener plus loin, alors vous pensez jusque chez vous.

J’ouvre la portière à mon côté.

• Venez, nous ferons le nécessaire depuis chez moi, j’habite à Lésigny.
• Je vous suis, mais vous savez, je sens le fennec et je vais empester votre voiture.
• Allez, on évite les chichis, nous sommes entre femme et je vous promets d’éviter de vous violer.

Elle ferme son coffre et monte dans ma voiture.
Arrivé, je déclenche l’ouverture de la porte automatique.

• Vous avez une belle maison, je rêve d’avoir la même, mais cela restera un rêve.
Vous devez avoir une bonne situation.
• Je suis professeur de Français à la faculté de Vincennes et mon mari est un industriel, il est parti huit jours aux USA pour signer un gros contrat qui va nous mettre à l’abri des soucis jusqu’à la fin de notre vie.
• Veux pieu, moi aussi il y a quelques mois, j’étais sûr d’être à l’abri, mais quand ma patronne m’a licencié pour faute grave après une cabale qu’elle m’a montée, je le suis retrouvée chômeuse sans indemnité.
Cette salope a présenté un témoin qui a certifié m’avoir vu la frapper alors que j’étais en colère.
• C’est dégueulasse, il faut lui couper les couilles, mon mari sait se tenir avec son personnel lui.

Bien sûr, c’est une patronne, c’est plus difficile.
Une fois garé je l’entraîne vers la maison.

• On se tutoie, ce sera moins solennel.
Tu veux un café avant d’aller à la salle de bain.
• Si cela est possible plus vite, je sentirais de l’eau sur tout mon corps et mieux je serais.
• Alors suis-moi à l’étage, tu vas prendre un bon bain, je vais te le préparer avec des sels qui embaumeront ta peau.
• Pas de chichi, c’est déjà gentille que tu m’aies fait cette proposition.
• Alors, je monte tout préparer, suis-moi.

Je remplis la baignoire et je prépare un peignoir d’ami pour qu’elle l’enfile.
Je l’ai fait monter et je sors pudiquement de la salle pendant qu’elle se déshabille.
Je veux éviter qu’elle pense que je suis une maniaque des culs féminins prêts à tous pour lui gober le vagin comme j’aimais le faire à Emmanuelle, il y a quelques années.
Dès que j’entends, quelle barbotte je frappe et entre prendre ses affaires qu’en bonne ménagère, j’amène dans ma salle de linge où je les place dans la machine à laver que je démarre.
J’ai un léger trouble à manipuler sa petite culotte qui doit attendre son tour, car les textiles sont incompatibles.
Les premiers coups de tonnerre d’un deuxième orage encore éloigné se font entendre.
J’ai peur, mais la présence de mon invité dont le prénom m’est inconnu me calme un peu.
Je remonte et je passe la tête, elle est debout et se rince me permettant de voir sa plastique parfaite.

• Je m’appelle Juliette et toi s’il te plait.
• Nous sommes bêtes, je te fais voir mon cul, mais j’oublie de te dire que je m’appelle Angélique.
• Je descends, rejoins-moi dans la salle, je vais apporter le café.

Un éclair vite suivi dix secondes après par un coup de tonnerre illumine la pièce.
Je suis effrayé, mais j’arrive à préparer le café que je pose avec le sucre et du lait sur la table du salon.
C’est quand je pose l’ensemble qu’Angélique arrive les pans du peignoir assez entrebâiller pour que je puisse admirer la ligne de ses seins.
Elle arrive à mon côté alors que j’allais m’asseoir pour remplir les tasses quand un éclair, un halo vert et le tonnerre entremêlé frappe à la hauteur de la maison.
Un grand craquement se fait entendre alors qu’en moins de temps qu’il n’en faut, je me suis réfugié dans les bras de mon invitée.
Elle me reçoit avec plaisir, semble-t-il alors qu’elle pourrait me relâcher, c’est fermement qu’elle me tient m’empêchant de m’échapper.
Je connais le goût des lèvres d’une fille sur les miens et c’est avec plaisir que je les reçois surtout qu’elles sont suaves et que j’aime.
Le coup de tonnerre qui suit, moins fort me fait l’entraîner sur le sofa qui apprécie de nous recevoir et c’est sans problème qu’elle quitte mes lèvres pour m’ouvrir le chemisier et après l’avoir sortie lèche et mordille le premier de mes seins qui est à sa portée.
Est-ce la peur ou l’envie qui font que le reste de mes vêtements s’envole sans que je m’en aperçoive et que nue, sa bouche descende jusqu’à ma fourche qui s’écarte pour la recevoir.
Dans le kama sutra mon clito est souvent sollicité, mais le plaisir qu’Angélique me procure me transforme en chienne lubrique qui en veut toujours plus.
Ses doigts sa bouche vont de ma chatte à mon anus sans s’arrêter.
L’orgasme qui me dévaste a d’égal à tout ce que j’ai connu avant ce jour qu’il coïncide avec une troisième vague d’orage qui succède à la précédente et qui frappe très prêt me tétanisant par le plaisir qui m’est apporté…

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