COLLECTION VOYEUR. Fenêtre borgne. (4/5) - histoire érotique

J’ai franchi le pas, je viens de passer la soirée chez Boris et Vénus à faire l’amour avec différentes femmes qu’ils ont réunies avec leurs maris.
Boris a reconduit, les invités et Vénus m’a entraîné dans leur chambre, un souffle sur mon bas-ventre m’aide à émerger, quand j’ouvre les yeux, c’est la main accompagnée de la bouche de notre hôtesse qui me masturbe et qui me suce.

Depuis un mois que je me réveille seul, j’ai perdu l’habitude de telles sensations, pire même, je cherche dans ma mémoire depuis combien de temps Tamira à prise le temps de me sucer au réveil prétextant que le matin le sexe très peu pour elle.
Nous avons des rapports avec ma moitié, mais, comme pourrais-je dire, depuis quelque temps plutôt hygiénique alors que je voudrais qu'ils soient enflammés comme par le passé.
Mon licenciement de l’écurie de formule 1 a entraîné un changement de vie de région et de travail alors quand hier, j’ai baisé avec Isabelle, au fond de moi un changement de vie sexuelle m’est aussi apparu nécessaire.
Le seul point noir au moment où je caresse Vénus sentant la main de son mari venir me rejoindre, c’est, comment amener notre couple à être comme nos voisins des libertins, mieux carrément des échangistes, car ils ne baisent jamais l’un sans l’autre.

Quand nous nous sommes couché la chaleur commençant à devenir supportable, c’est les volets roulants et les fenêtres ouvertes que nous nous sommes endormies.
Je tourne la tête et le trou dans la fenêtre borgne me donne une partie de la solution.
L’heure étant à l’action, je remets à plus tard ce que je vais demander à Vénus, car je bande et elle me fait coucher sur le dos pour amener sa chatte à ce niveau et me prendre plus que je ne la prends.
Sentir son sexe malaxer mon sexe quand elle fait travailler ses muscles vaginaux ce qu’avec Tamira, j’attends toujours de connaître, car son plaisir est clitoridien et c’est ma verge qui en le frottant la fait jouir me laissant sur ma faim.
Ses seins sur ma poitrine stimulent pour la première fois la pointe de mes propres pectoraux et je dois faire un énorme effort pour rester le maître de mon éjaculation, j’essaye de trouver à me raccrocher aux branches pour refouler la poussée d’adrénaline qui me submerge.
Cette fenêtre et ce trou sur l’un des carreaux de verre, sont mon point de repère et quand je pense à ce qu’elle m’a permis de voir et comment les choses évoluent, ma tension retombe et je peux continuer à honorer Vénus.

C’est le moment que choisit Boris pour lui faire ce que je savais exister, mais jamais pratiqué, je sens sa queue chercher son chemin et venir sodomiser la belle.

• Oui, chéri, prends-moi en double péné, vos deux queues me prennent divinement et vous allez m’amener au sommet de mon plaisir.
• Tu aimes, ça salope, dit à notre ami Jacky qu’avant que nous ouvrions notre porte à notre sexualité, tu cherchais ton plaisir et que tu étais frigide sans que je le sache.

Quelle confession, comment croire que cette jolie femme était frigide, quand je vois la femme épanouie que j’ai sur moi et qui hurle littéralement son plaisir.
Sodomiser Tamira et en faire une belle pute, il faut que nous y arrivions.

• Vénus, je peux te sodomiser à mon tour.
• Boris enlève-toi, je veux sentir la bite de notre ami comme il le souhaite, il va me remplir l’anus et je sens que je vais encore jouir, tuée moi mes hommes.

Nous changeons de place et je peux l’enculer, son anus resserré fait de nouveau beaucoup d’effet à ma verge, j’arrive à tenir jusqu’au moment où elle a un bel orgasme et que je peux lui remplir le fondement s’entend de son côté Boris faire de même dans son vagin avant de m’écrouler et de repartir pour un petit moment réparateur.

Après avoir, déjeuner avec mes compagnons de luxure, je retourne chez moi leur ayant brossé le tableau de ce que j’attends d’eux quand Tamira arrivera parmi nous.
Je reprends mon travail le cœur léger satisfait de ce que j’ai fait et surtout de ce que j’ai décidé pour faire évoluer notre vie de couple risquant de tomber dans la routine.

Il est 17 heures le mardi soir quand vers l’entrée une voix m’appelle que je suis bien obligé de reconnaître, Tamira vient d’arriver.
Nous tombons dans les bras l’un de l’autre, car même si j’ai du vague à l’âme, j’ai encore beaucoup de sentiments pour celle qui a su me donner un fils.

• Chéri, j’ai pu venir plus tôt, car j’avais oublié que ma patronne me devait des heures supplémentaires.
J’avais envie de rester près de notre fils, mais ce sont tes parents qui m’ont incité à venir plus rapidement surtout que lundi les déménageurs vont apporter nos meubles et je veux être là pour tout mettre en place.

J’aurais espéré qu’en arrivant Tamira me saute au paf et que nous nous prenions sauvagement le long du mur de l’entrée, mais c’est son déménagement qui prime sur notre couple, ce qui me fait penser que j’ai bien fait de la tromper et de mettre en pratique les jeux sexuels auxquels, j’aspire avec la belle Isabelle, Mireille ou Vénus.
Elle m’embrasse tout de même et pendant que je la tiens dans mes bras, une idée me vient.
Elle commence à faire le tour de la maison, s’émerveillant de ce qu'elle envisage de faire pour la décoration sans qu’à aucun moment, elle mette en avant mon travail.

• Mon cœur, pendant que tu fais ton tour du propriétaire, je file rapidement chez Boris et Vénus nos voisins avec lesquels, j’ai sympathisé, il m’a demandé de lui apporter mon rabot électrique et je vais le faire et en revenant, je te veux entièrement nue sur le lit.
• Va, mais tu sais que j’aime être au calme de nos soirées pour me donner à toi, les joutes bestiales, j’ai passé d’âge.
• Je reviens.

Je récupère le rabot que j’ai ramené dimanche après-midi et je pars à côté où je sonne.

• Que fais-tu avec ton rabot, ma porte s’ouvre sans problème pour un ami ?
• Vénus est là.
• Oui, je parie que tu es venu nous dire que ta femme t’a fait la surprise de venir plus tôt, j’ai vu sa voiture arriver et ouvrir votre porte avec une clef, si tu viens pour ce que je t’ai promis, je te confirme, reste à trouver le moment.
• Demain midi, vous nous invitez et avec Boris nous vous quitterons ayant rendez-vous pour une formation à Casto sur la pose d’une fenêtre où nous sommes inscrits et qu’il nous est difficile de déroger.
Cette formation devant durer 2 heures.
• Bonne idée, venez manger à midi, dit à Tamira que je veux qu’elle soit en tenue décontractée, car nous mangerons au bord de la piscine.

Comme elle me l’a dit, elle est toujours vêtue en Levi’s et débardeur quand je reviens, elle est contente de l’invitation de nos voisins, en mon for intérieur, je sais que le tournant de ma vie sera demain où elle risque de rejoindre mon fils, même si je ne le vois qu’aux vacances.
Une femme comme Isabelle, m’a fait voir que je suis encore capable de séduire de belles femmes comme elle.

Le soir, elle écarte simplement les cuisses, après, certes, une fellation pour me faire bander, car j’ai du mal à démarrer, moi qui bandais comme un taureau quand j’ai approché mes belles salopes samedi soir.
Le lendemain, nous allons acheter un gros bouquet pour notre voisine et une bouteille de whisky pour lui, j’ai vu que ses invités ne rechignaient pas à vider ses bouteilles.
Tamira souhaitant que nous soyons en bons termes avec nos nouveaux amis, je suis heureux, c’est un point facilement marqué pour moi.

Le moment de rejoindre nos voisins est arrivé, au moment de partir, je la vois se préparer en mettant un string sous une robe légère, je me garde bien de parler de la piscine qu’elle a bien le temps de découvrir et qui entre dans mes plans avec Vénus.

• Bonjour, Tamira, heureuse de te connaître, salut Jacky, merci pour ce joli bouquet vous auriez pu éviter, nous vous recevons à La Bonne Franquette, je viens de sortir de l’eau qui est divine par cette chaleur.
• Je dois te faire le même reproche vieux complice, mais un doux breuvage ne se refuse pas, même si ici au soleil, je suis plutôt pastis.

Vénus nous fait contourner la maison et nous amène vers la piscine.

• Vous avez une piscine, c’est mon rêve, c’est pour cela que nous avons acheté la maison, sur l’arrière le jardin est assez grand pour en mettre une, mon chéri, tu m’en feras construire une rapidement.
• En attendant, tu seras la bienvenue chez nous, vous pourrez en profiter.
• Si je te disais non, je te mentirais, surtout pendant que Jacky finit les travaux, en venant dans le Sud, j’espérais bien profiter du soleil. Alors soleil plus piscine, j'arrive de l’autre bout de la France cela faisait partie de mes rêves.

Une bonne chose les deux femmes se sont tutoyées directement, sans que je n’aie besoin d’intervenir, mon plan est en bonne voie.

• Bonjour, je m’excuse, mais j’ai une femme qui m’exploite et c’est moi qui fais à manger, j’espère que vous aimerez ma spécialité.
• Je pense que j’ai affaire à Boris, Jacky m’a dit du bien de vous et votre spécialité, quelle est-elle ?
• Choucroute.
• Par cette chaleur.
• Boris arrête de plaisanter, Tamira, ce sont des tomates et oignons frais, si tu aimes, je les achète à un petit maraîcher au marché où je t’emmènerais, il a des produits frais succulent et avec du goût.
Il a même des melons en cette saison et cerise sur le gâteau, il livre.

Impeccable, alors que notre ôte, verse pastis et jus de fruit pour ces dames, Vénus se concentre sur ma femme pour que le climat entre elles évolue au moment où ayant fini le dessert, je rappelle à notre hôte que nous avons une démonstration de pose de fenêtre.

• Mesdames ont vous laissent, vous avez deux heures pour papoter.
• Nos hommes sont fous, allez s’enfermer dans une grande surface au lieu de profiter du soleil, partez, Tamira est entre de bonnes-mains.

Nous embrassons et quittons nos dames, rapidement nous rejoignons notre lieu d’observation que je connais bien, car c’est là que j’ai découvert les penchants de mes voisins pour le libertinage.
Ce matin, à la fraîche, je suis monté et j’ai fait sauter le carreau de verre cassé ainsi que son voisin, cela nous permet de voir plus facilement nos femmes.

• Super, c’est la première fois que je vois la piscine vue de haut, tu as dû passer de bons moments, regarde ma femme enlève son haut de maillot.
• On va mettre le son, tu apprécieras mieux.

Je branche le micro qui fait un coup de larsen, je regarde les femmes, elles sont stoïques.

• Pas de maillot.

C’est la fin de la phrase de Tamira qui a dû dire qu’elle était sans maillot que nous entendons.

• On est entre femmes, regarde, j’ai enlevé le haut, j’ai horreur des traces disgracieuses.

Aussitôt dit aussitôt fait elle enlève le bas et saute dans la piscine.

• Viens.
• Et s’ils reviennent.
• Deux heures, éclate-toi, viens me rejoindre, ce sont nos maris, que veux-tu qui les choques, depuis que nous avons notre piscine cachée au regard de tous, avec des amis, les bains de minuit sont fréquents.
• Tu verras quand tu auras la tienne, rapidement, tu en feras de même, alors pourquoi hésiter.

Je vois que ma femme hésite tout de même, l’appelle de l’eau est la plus forte et elle défait sa robe qu’elle prend le temps de ranger proprement sur une chaise avant de rejoindre Vénus en gardant son string.

• Elle est bonne, tu as raison, c’est bien, elle est assez profonde pour nager.
• Qui m’aime me suit.

Vénus démarre dans un crawl assez puissant et commence à faire des aller et retour sur la longueur.
À un moment, elle passe à côté de Tamira et malencontreusement nous la voyions avoir une crampe, Boris et moi, nous savons quels jeux la maîtresse de maison joue et c’est le moment crucial qui va décider de notre avenir sexuel…