COLLECTION ZONE ROUGE. Le squat, la suite (5/7)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. Le squat, la suite (5/7) Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-01-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Le squat, la suite (5/7)
La fin de ce chapitre IV me montre dans la situation que j’espérais revivre, retrouver mon SDF.
Mais les barrières qui m’en empêchaient ne pouvaient se lever que sur un coup de chance.
C’est le cas, aujourd’hui, après avoir été rechercher des sensations que j’espérais fortes avec des ouvriers travaillant sur l’autoroute, sans les atteindre.
Je passe ma séquence avec Geneviève lorsque nous nous gouinions.
J’ai aimé mais pas autant que maintenant, quand je perds le contrôle de mon être, ayant retrouvé la bite de mon amant exceptionnel.

C’est dans son squat du casino désaffecté que je me retrouve.
Merde, mon fils, il faut que je téléphone, je me lève, les bougies sont presque éteintes, je récupère mon sac posé au pied de notre lit.
Encore merde.
Lors de la bagarre dans la chambre d’Olga, il a dû tomber et Muller a dû marcher dessus, mon portable est hors service.

- Marie qu’est-ce que tu fous, vient te recoucher.

Je devrais me sauver, quitter et rentrer à pied, la nuit étant certainement venue.
Cette pièce borgne m’empêche de voir, à quel moment du jour ou de la nuit nous sommes.
Montre oubliée, portable fichu, je suis dans la panade, sans compter les photos de la tromperie de Sylvain certainement perdues, m’empêchant d’engager un procès pour adultère et qu’il soit en ma faveur.

- Marie viens j’ai besoin de toi, regarde je bande.

À part qu’il m’appelle Marie au lieu de Mira, cet homme est incroyable.
Quand il me rejoint, il a repoussé la couverture que j’avais mise sur moi, me montrant ce sexe que j’aime tant et qui me fait faire des folies.
À sa vue, finie ma résolution de rejoindre Romain, surtout à pied.
Combien y a-t-il de kilomètres, j’ai déjà eu du mal à suivre Muller jusqu’à notre nouveau squat.
Je m’agenouille, heureusement que la lumière des dernières mèches de bougies me cache la misère du sol.
Depuis combien de temps le ménage n’a pas été fait ?
Combien de clodos, de SDF comme Muller sont venus dormir ici ?

Je le prends en bouche avec autant de mal, mais intérieurement j’espère qu’il me garde.
Sylvain, mon mari a dû s’occuper de notre fils Romain.
La maîtresse a dû me téléphoner mais l’état de mon portable a dû l’obliger à faire le deuxième numéro, celui de mon homme.
Il y a moi, Sylvain puis en dernière limite Geneviève ayant acceptée que je la mette sur la liste que j’ai fournie en début d’année scolaire.
J’ai du mal comme d’habitude avec cette queue si disproportionnée, mais je manque de rire risquant de traumatiser mon amant quand je manque d’éclater de rire.
Le mot « maîtresse » à qui j’ai fourni cette liste, c’est à cause de lui que je ris.
Le jour où je l’ai remise à cette femme de 30 ans, mariée sans enfants, aurais-je pu penser que si je l’avais séduite, elle serait devenue ma propre maîtresse ?
Est-ce le regard qu’elle avait porté subrepticement sur ma poitrine quand je me suis penchée pour biser Romain qui vient de se réveiller ?
Olga, la pute de mon mari peut-elle être considérée comme sa maîtresse, même s’il dilapide l’argent de notre famille qui au fil de l’année aurait pu me permettre de rester une semaine de plus en vacances ?

Je l’ai assez sucé, je le veux en moi, je m’allonge et il me bascule, me plantant divinement.
Adieu remord, adieu horloge, adieu numéro de portable, seule sa bite compte de nouveau pour moi, je jouis, je hurle de plaisir une nouvelle fois, j’irais au bout du monde pour rester avec lui.

- Muller, t’as trouvé une sacrée salope, j’arrive pas à dormir avec le boucan qu’elle fait chaque fois que tu la tringles.
Pourtant j’ai presque fini la deuxième bouteille que j’ai pu nous payer hier en faisant la manche au centre de cette putain de ville.
Tiens bois un coup.

Muller se relève, m’obligeant à en faire autant, me montrant nue devant cet homme encore plus délabré que mon amant.
Il est venu, tenant une bougie qui remet de la clarté dans la pièce, et un litron certainement de vin rouge à moitié entamé.
Il pose la bougie et vient s’asseoir à mes côtés, m’empêchant de récupérer la couverture pour me couvrir.

- Bois un coup tu diras pas que Lucien, il est pas partageur.
Muller, dit lui, que Lucien il a la main sur le cœur.

Sur le cœur non, sur ma cuisse oui, je le repousse.

- Marie ne refuse pas un gorgeon à Lucien, tu le vexerais.

Il me tend la bouteille, je la prends en main et pour la première fois de ma vie, je bois une gorgée d’alcool.
J’avale, c’est fort et dégueulasse, heureusement que Muller me la prend des mains et la siffle d’un seul trait.

- Ce n’est pas tout ça, Lucien, arrête de la plotter, elle a du boulot à faire pour moi.
- Que veux-tu que je fasse, dis-moi, je le ferais ?
- Muller, dit lui de me sucer la queue, puisqu'elle semble accro et est prête à tout pour toi, toi, c’est un peu moi.
- Arrête tes conneries, je dois récupérer Brutus, ils l’ont encore mis à la SPA.
Vu sa gueule, il est inadoptable, ce soir c’est le jour où ils vont les piquer.
Si j’y vais, ils ne m’ouvriront pas.
La dernière fois où ils me l’ont gardé, j’ai un peu bousculé le responsable qui me disait incapable d’entretenir une telle bête.
Marie remet ta robe.
À une bourgeoise, ils ne pourront pas te refuser, tu connais Brutus, il te faisait la fête chaque fois que tu venais me voir.
As-tu ta carte d’identité ?
- Oui.
- Et ta carte bleue ou du liquide ?
- Oui.
- Tu devras t’acquitter de 250 €, tu signeras une feuille te rappelant tes devoirs envers ce chien et tu me le ramèneras.
Si tu n’y arrives pas, j’irai lui sonner les cloches.

Je me lève, mon corps semble de plus en plus intéresser Lucien.
Je récupère ma robe, impossible de la refermer.
Comment redevenir une bourgeoise, venant acheter un chien pour garder sa maison à la suite d’un cambriolage ?

- J’ai bien une autre robe, je venais de l’acheter, mais elle est restée dans la chambre de la putte d’Olga.

J’aurais pu avoir de la compassion pour Olga, mais la manière dont elle m’a tenu les mains pendant que son julot essayait de me violer, l’a ramenée à son niveau de pute, salope, pouffiasse.

- Attendez-moi là, je vais aller la récupérer et tu iras chercher Brutus.
- Si elle reste là, je peux la taquiner un peu ?
- Lucien, Madame fait ce qu’elle veut, tu sais que je ne suis pas jaloux.
Demande gentiment, j’en ai pour une heure et nous irons chercher Brutus.

Entre son chien et moi, lequel des deux préfère-t-il ?
Il vaut mieux que j’évite de me poser des questions, ne m’a-t-il pas pris comme une reine ce soir !
Je me revois encore après avoir joui et l’intrusion de Lucien dans la pièce quand ma main lui caressait sa poitrine et sa toison si drue et pourtant si douce.
C’est normal c’est un homme virile pas comme Sylvain qui a deux poils qui se battent en duel.
Il ne me repoussait pas, mieux même sa bouche se rapprochait de la mienne.
Ça c’est le signe que cet homme m’aime.
Quand je compare avec Sylvain, la dernière fois qu’il m’a fait l’amour, pardon qu’il m’a baisée, car c’était sans romantisme, il a déchargé et m’a montré son cul.
Je pense comme une charretière, mais quand je vois dans ma tête mon fumier de mari entrer vers la chambre d’Olga, comment penser avec des mots de ceux que j’employais dans mon ancienne vie.

- T’as entendu, ton mec Muller, je le connais depuis qu’il est tombé dans la cloche.
Il est puissant mais a le cœur sur la main, viens avec moi.

Ma vie ne m’appartient plus, j’ai été baisée comme une reine cette nuit, mais ma nouvelle nature a besoin de dépassement de moi.
Je le suis.
Quand je disais au début de cette saison que j’allais devenir une femme abjecte.

Il a trouvé domicile dans une pièce qui devait être une salle où les directeurs surveillaient informatiquement les salles de jeux.
Plus d’écran mais des fils partout.
Un tas de fils dénudés sont roulés dans un coin.

- Le cuivre de ces fils que je dénude, je le vends à un récupérateur de métaux qui se trouve près de la fourrière.
Je vais les livrer rapidement.

Son lit, plutôt sa paillasse, est plus près de celle sur laquelle je me suis fait sauter par Muller dans notre premier squat que de son lit en fer dans la pièce d’à coté.
Quand je disais que j’allais tomber dans l’ignoble, il s’assoit en ouvrant son pantalon, je me baisse et je le prends en main.
Le cul, le cul, mon cerveau veut du cul, surtout depuis que j’ai vu mon mari me tromper.
Quand j’approche ma bouche, je suis au comble de l’ignominie.
L’hygiène de cet homme d’une cinquantaine d’années est loin d’être irréprochable.
Depuis combien de temps son sexe n'a-t-il pas vu la moindre goutte d’eau, qui plus est le jet d’une douche !
Pourtant en plus de la toucher, je la prends dans ma bouche, elle se développe, c’est la même que celle de Sylvain.
Heureusement car je n’aurais pas supporté qu’il ressemble à Muller.
Là j’aurais eu l’impression de le tromper même si j’ai son accord avant son départ pour aller me chercher mon autre robe.

Par chance, Lucien n’a certainement pas été sucé depuis des lustres car il part en longs jets que j’avale sans me poser plus de questions.
Je me redresse, je crache au sol tout ce que je peux expulser de ma bouche.
Même si c’est illusoire, je sens bien cette substance épaisse couler dans ma gorge.

- C’est parfait poulette, j’espère que nous recommencerons, je connais Muller, il se dit partageur.
Mais ne t’y trompe pas, jamais je ne te mettrai ma queue, j’aurais trop peur pour qu’il me l’arrache, méfie-toi fillette, il est imprévisible.
Pour te remercier, je vais ouvrir une de mes petites réserves, tu vas m’en dire des nouvelles.

Il sort de sous sa paillasse, une bouteille un peu entamée, il fait sauter le bouchon et en bois une gorgée.

- Tient fillette rince ta bouche.
C’est un 1er cru 2009, une super année alors que mon sperme c’est un cru 1968, t’aurais pas dû cracher.

Je prends la bouteille et moi qui ne bois jamais, j’avale une gorgée.
C’est à ce moment que j’entends la porte du casino s’ouvrir et que je vois Muller nous rejoindre.
Étrange, il a remplacé son ciré jaune par une polaire grise.
Pourquoi ?
Je l’ai toujours connu avec l’autre vêtement…


Corrigé par Anne, merci.

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