COLLECTION LESBIENNES. Femme pour femme (1/8)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION LESBIENNES. Femme pour femme (1/8) Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-01-2019 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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COLLECTION LESBIENNES. Femme pour femme (1/8)
Je suis en vacances au camping de Salins-les-Bains, mon père étant pêcheur de truites à la mouche, depuis quinze ans nous venons chaque année dans ce gros bourg du Jura.
Papa est veuf, maman nous a quittés quand j’avais cinq ans à la suite d’une longue maladie.
À huit ans, j’ai demandé à voir sa tombe, il m’a dit que c’était impossible, car elle avait été incinérée et qu’il avait dispersé ses cendres dans la rivière où ils venaient pêcher.
Je suis venue au volant de sa voiture, j’ai mon permis depuis trois mois passé en conduite accompagnée mais je ne pourrais conduire seule que le jour de mes 18 ans.

À Salins immuablement le dimanche matin, nous allons à la messe, le deuxième dimanche, il faisait dire une messe à l’anniversaire de sa disparition.
Vers dix-sept heures nous prenons place au café près du casino, la ville étant thermale, où nous dégustons une glace en rafraîchissement.
Dans ce bar, je me retrouve en bout de la table, de l'autre côté de l'allée légèrement décalée par rapport à moi une dame de 55 à 60 ans boit une coupe de champagne.
Cette dame a sur ses genoux un chien de poche de race yorkshire.
Il pose les pattes avant sur la table et celles arrières sur les cuisses de sa maîtresse.
Mon intérêt se porte vers elle, car le chien de temps en temps lape un peu de champagne.
Cette dame malgré l'âge est fort appétissante, je m’aperçois que pour maintenir son chien, elle a tendance à écarter légèrement ses cuisses.
Après quelques secondes, ayant l’impression d’être voyeuse, je regarde en faisant un balayage de la tête, je vois l’entrecuisse de cette femmeElle a un panty blanc, ouvert certainement par commodité, me faisant voir qu’elle est une vraie femme.

Elle paye et au moment où elle se lève pour partir, je fixe quelques secondes l’endroit qu’elle semble vouloir me montrer,La dame ayant une robe assez serrée, du moins, c’est ce que je croyais, a pris son chien dans le bras pour se lever.
Elle a ouvert ses cuisses en laissant une jambe en point fixe et l’autre, la plaçant à 120 degrés.
Pas les jambes serrées comme le voudrait la décence, mais à un angle supérieur à 100, la dame me fait voir son panty en voile blanc et de nouveau sa féminité.
Voile, car avant que sa robe ne retombe, j’ai le temps de voir la légèreté du vêtement.
Elle part me laissant pantoise.
Pourquoi cette femme m’a fait voir autant de son entrejambe volontairement ?
Je suis à la veille de mes dix-huit ans et pour faire comprendre à mon père que mon émancipation est proche, sans rien dire, je me lève et je sors.
Au coin de la rue, à trois mètres de moi, la dame pose son chien et le place dans le caniveau pour qu’il fasse ses besoins.
Lorsqu’elle me voit, elle se désintéresse de son chien pour bien me fixer. Insidieusement je m’approche, cherchant comment engager la conversation.

- Il faut bien que ces petites bêtes fassent leurs besoins, il adore le champagne, ça le fait pisser.
Je lui ai appris le caniveau.
Il y a trop de propriétaires de chiens qui les laissent faire ce qu’ils veulent sur les trottoirs.

En fait, c’est elle qui a trouvé le moyen d’engager la conversation, je me baisse pour caresser la tête du chien.

- Je vois que tu essayes encore de regarder sous ma robe, cela t’a plu tout à l’heure ?
- Vous vous méprenez, j’ai vu sans chercher à voir.
- Tu viens jusque chez moi, j’ai une bouteille de champagne au frais et j’aimerais la partager avec toi.

Elle se tourne et traverse la rue, le toutou suit par obligation, retenu par sa laisse, moi aussi, je la suis comme un gentil toutou.
À quelques mètres, de là nous franchissons un porche.
Je me retrouve dans un jardin d’intérieur très beau et qu’il est impossible de voir de l’extérieur.

- Je suis propriétaire de tout l’immeuble, mais j’habite les cinq pièces du rez-de-chaussée.
Les pièces supérieures sont ouvertes par mon service de nettoyage une fois par an, car vingt-cinq pièces à gérer seraient trop difficile pour moi. Entre. Je m’appelle Marguerite comtesse de la Tour, veuve du comte du même nom.
Et toi comment t’appelles-tu ?
- Viviane de la région parisienne et j’aurai dix-huit ans dans trois jours.

Le vestibule où nous sommes entrées ressemble à une bonbonnière avec des teintes roses.

- Viens, on va coucher Joujou.

Nous franchissons une porte et nous sommes dans une salle à manger.
Une porte à gauche où elle me fait entrer après Joujou.
La pièce est assez grande et le chien a tout ce qu’il faut pour être bien chez lui.
Une chambre pour chien, aménagée comme une chambre pour enfant, le tout dans des tons bleus.

- Il est chez lui, viens boire cette coupe que je t’ai promise.

Elle me prend la main et m’entraîne dans le salon attenant à la salle.
La première chose que je remarque, c’est le piano à queue qui prend une grande partie de la pièce, un canapé vieux style avec deux fauteuils autour d’une petite table sur laquelle sont posés des livres la complète.

- Ici, c’est le coin où je me repose, assieds-toi dans ce fauteuil, je vais chercher la bouteille et les verres.
Je reviens.

Elle quitte la pièce et pendant un quart d’heure, j’attends son retour.
Je suis sur le point de partir, me demandant ce que je fais là, lorsqu’elle est de retour.
Elle s’est déshabillée et est recouverte d’un peignoir fort bien coupé.

- Excuse-moi, j’ai pris un léger bain, prends les verres dans tes jolies mains pendant que j’ouvre le champagne.

Elle fait sauter le bouchon et une grande quantité de champagne gicle sur le tapis, certainement persan.

- Cela porte-bonheur, nous allons bien nous entendre.

Elle me domine et le mouvement qu’elle fait lorsque le champagne jaillit échancre son vêtement.
Dans l’entrebâillement un de ses seins m’apparaît.
Petit et rond avec une pointe comme une fraise, avec l’envie de le croquer malgré notre différence d’âge.
Elle ne fait rien pour se rajuster, me regarde avec des yeux pleins d’envie.
Depuis que j’ai rencontré Marguerite, je suis soumise, non, je devrais dire passive.
Je lui tends un verre, pendant qu’elle le remplit de l’autre, son sein me faisant envie, je l’empoigne et le caresse.

- L’aimes-tu, te plait-il ?
Veux-tu le prendre dans ta bouche ?

Avant même que j’ai répondu, elle avance son buste étant juste à ma hauteur, ma bouche trouvant sa fraise.

- Oui, suce et lèche-le bien, tu me fais mouiller petite salope.
Dès que je t’ai vu, j’étais sûre que tu aimais les femmes.
Ton regard sous ma robe tout à l’heure t’a trahi, même si tu as tout fait pour me faire croire que tu étais désintéressée.
Prend l’autre, il est jaloux.

Elle tire sur la ceinture de son peignoir qui s’ouvre libérant son jumeau et surtout sa chatte bien brune avec une toison luxuriante, mais bien taillée.
Je suis déçue, le panty a disparu et avec lui la vision de tout à l’heure au bar.

- À la tienne, bois un peu de champagne, cela rend gai.
- À la vôtre, vous êtes vraiment très belle.
- Plus à mon âge, regarde, les blessures du temps commencent à faire leurs effets.

En me disant cela, elle se tourne me montrant le côté pile de son anatomie que de nombreuses femmes aimeraient avoir au même âge.
Je descends ma main et en même temps je prends une gorgée de champagne que je bois pour la première fois de ma vie, je lui flatte la croupe, la sentant très ferme sous ma paume.

- Tu aimes me caresser, lève-toi que je vois ton corps.
Tu es, toi aussi magnifiquement belle, j’ai bien de la chance de t’avoir rencontré.

La gorgée ingurgitée me rend rapidement euphorique, je me laisse déshabiller sans me poser la moindre question.

- Viens, suis-moi !

Tirée par la main, après qu’elle eut reposé les verres, elle m’entraîne vers le couloir pour entrer dans la pièce attenante à celle où dort Joujou.
C’est dans sa chambre que nous entrons et sur un lit à baldaquin qu’elle se fait chuter.

- Mange-moi, je suis sûre que tu en as envie.

Je m’agenouille et ma bouche se pose sur son entrejambe.
Pour la première fois de ma vie, je suce avec envie.
Je connais, par Internet, le sexe des femmes ayant souvent été discrètement regarder des films osés pour éviter de dire porno, mais toujours des femmes avec des femmes.
Ce devait être un signe que la Comtesse a su déceler.
Je me rends compte que si j’ai suivi Marguerite, c’est parce que seules les femmes m’intéressent.
Ma bouche attrape son clito et dès que je l’ai capturé, le corps de ma belle, laisse échapper des petites quantités de liquide que je trouve plaisantes à laper.
Dans un de mes films, deux femmes fontaines se léchaient et s’aspergeaient par ces sécrétions sorties de leur intimité.
Le titre était, « femmes fontaines » c’est comme cela que je connais l’existence de ce phénomène.
En même temps qu’elle expulse ses petits jets, son orgasme traverse ma bouche et vient finir au fond de ma gorge.
Pour la première fois, je fais jouir une autre personne que moi, surtout une femme.
Je le fais souvent sur moi, dans mon lit à Paris ou sous ma toile de tente, me pinçant le clito afin de faire partir du centre de mon corps une petite décharge venant caresser mes lombaires.

- À moi.

Elle se redresse, me place dans la même position et là encore pour la première fois une boule différente, plus forte et plus profonde, traverse l’intérieur de mon corps au moment où sa bouche attrape mon clitoris.
Elle lève la tête une fraction de seconde.

- Il est beau, on dirait une petite bite, je vais te faire jouir.

Pour jouir, je jouis !...




Corrigé par Anne ma muse.

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