COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Satan existe (1/3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Satan existe (1/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-04-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Satan existe (1/3)
Mon histoire va vous paraître étrange, pourtant elle est bien réelle.

Au moment où j’écris ces lignes, j’ignore à quel moment les choses ont dérapé et pourquoi.

• Lise, veux-tu prendre Charles-Henri pour époux ?

Le chérir et tout le tralala.
J’avais vingt ans il y a six mois quand j’ai prononcé ces mots chers à mon cœur.
Six mois d’un bonheur sans le moindre nuage.
À un détail près, notre nuit de noces, très sympathique au demeurant dans la tradition des nuits de noces.
Entrée dans notre chambre, dans les bras de celui à qui je venais de dire oui en fin d’après-midi.
Baiser fougueux malgré ma petite appréhension.
Je sais que les garçons ont une verge qu’ils doivent faire entrer dans notre petit réceptacle.
Verge qui va m’enlever mon hymen.
Je savais tout ça, mais maman a souhaité me donner les derniers conseils hier au soir.
Ça s’est fait à un détail près, j’ignorais que j’aurais mal, pourtant Charles-Henri a été très doux, et depuis nous faisons l’amour dans les règles de ma famille depuis plusieurs générations.
Ma chambre était à côté de celle de mes parents et au plus loin de ma mémoire, jamais le moindre bruit a pu me faire penser que maman faisait l’amour.

Dans les jours qui ont suivi, chaque fois que mon mari voulait que je fasse mon devoir conjugal, je me prêtais à la chose, cette grande douleur ayant disparu.
Six mois sans que mon sang s’arrête de couler.
Là encore je savais que lorsqu’elle disparaîtrait, huit mois plus tard je donnerais à mon mari le fils que toute sa famille espère que je lui donnerai pour perpétrer la lignée de banquiers nous permettant de vivre sans souci du lendemain.

Six mois plus tard, hélas, je vais devoir consulter, rien n’arrive.
J’ai mis ma plus belle robe pour venir au mariage de Chloé la sœur de Charles-Henri vingt-cinq ans avec un officier de gendarmerie dans sa plus belle tenue.

Je suis au côté de ma belle-mère au premier rang, normale famille oblige.

• Chloé, veux-tu prendre Édouard pour époux ?
Ça me ramène six mois en arrière, la messe continue quand je me fais mal au doigt après un clou dépassant du prie-dieu sur lequel je suis à genoux.

Ça passe jusqu’au moment où Germaine la maman de Charles-Henri et de la mariée me fait remarquer que je saigne.

• Regarder Lise vous avez mis du sang sur votre robe de tailleur blanc.
• J’irai me nettoyer après la messe.

La cérémonie se termine et je frissonne un coup, ma belle-mère le voit.

• Êtes-vous sûr d’être à jour de vos vaccins, faite attention avec ces vieux clous, le tétanos s’attrape facilement et malgré ce que l’on en dit, on en meurt encore ?

Aucun problème de ce côté, maman a toujours veillé à ce que mes vaccins soient à jour.
Après la cérémonie, j’arrive à estomper la tache grâce à l’une des lingettes que j’ai toujours dans mon sac.

Nous allons au pied du château ou nous allons faire le repas là ou nous avons fait le nôtre.
Je suis sur la photo de groupe, tout est normal alors qu’au fond de moi, je bous.
Il fait très beau comparé à notre mariage, pour le nôtre quelques gouttes de pluie ont permis de dire à nos familles, mariage pluvieux, mariage heureux.

Nous passons aux photos des différends invités avec les mariés.
Je suis à la droite des mariés juste à côté d’Édouard.
Sans que je puisse refréner mon geste, personne derrière nous, je lui mets la main aux fesses.
Fesses de sportif, mais geste complètement dépassé surtout que lorsque nous changeons d’invité je vois une petite tache de sang sur sa fesse gauche.

Quelle mouche m’a piqué, moi pourtant réservé, je viens de me comporter comme une vulgaire salope.

Je pense en rester là, mais dans la soirée, le marié fait danser les femmes proches de lui.
Quand il vient m’inviter une valse se termine, l’orchestre, le même que le nôtre, entame un slow.
Sans me poser de question, mon bas-ventre veut savoir si ma belle-sœur sera une femme comblée ce soir.
La verge qui se plaque sur mon pubis m’échauffe le sang, j’ai étrangement envie de baiser là au milieu de tous ces bourgeois.

• Va vers les toilettes, je te rejoins.

Le slow terminé, je réponds à l’injonction de mon beau-frère.
Nous sommes presque 200 à la noce, un peu moins qu’à la nôtre, mais les toilettes sont libres, personnes, à croire que quelqu’un veut faciliter ce qui va m’arriver.
Du moins je l’espère et il est là, il me pousse dans un WC et me plaque contre la paroi.
Je suis coincé, mais c’est bon de sentir le poids de ce corps écraser le mien et se frayer un chemin en moi en me soulevant simplement la jupe de mon tailleur.

• Je vois que mon beau-frère a une jolie petite pute dans son lit.
On te donnerait le bon dieu sans confession, mais tu es une salope, à la limite d’être une chienne.
Mettre la main au cul du marié le jour de ses noces, j’en ai sauté des folles de leur cul mais des comme toi jamais.

C’est comme ça que je trompe Charles-Henri sans comprendre ce qui m’arrive, surtout quand je parle d’une voix roque à celui qui me baise.

• Plus fort, va plus fort, je te dis d’aller plus fort, voilà ça vient, oui, oui, oui.

Et j’ai un orgasme comme jamais je n’en ai eu.
J’ignorais que l’on pouvait autant jouir plusieurs fois de suite avant que mon amant ne se retire.
Comment ai-je pu me faire sauter dans ce lieu infâme même s’il est très propre et surtout par le marié me laissant pantelante de longues minutes ayant refermé la porte derrière lui.
Je suis assise au sol, ma culotte déchirée dans ma main, quand me l’a-t-il enlevé, je l’ignore mais après avoir réussi à fermer la porte à clef, je la porte à mon nez, elle put d’une odeur jamais sentie.

J’arrive à reprendre pied, je ressors et le reste de la soirée j’évite de me trouver dans son secteur, bien que quelques fois nos regards se croisent et qu’un petit sourire ironique apparaisse sur ses lèvres.

Une fois, je danse un slow avec Charles-Henri, lui avec Chloé, nous passons l’un près de l’autre, je sens sa main sur mon cul.
Je m’adresse à mon mari avec la même voix un peu roque que dans les toilettes.

• Chéri, j’ai hâte que nous soyons chez nous pour que tu me baises.

Charles-Henri me parle à l’oreille, moi seule l’entend.

• Comment parles-tu ma douce, tu sembles étrange, c’est ton doigt qui te tracasse, demain va voir Agnès notre médecin, ces clous rouillés ça peut être dangereux ?

La soirée se termine, de retour chez nous aux aurores, je retrouve et ma douche et mon lit avec délice.
Charles-Henri oublie de me baiser me frustrant mais je m’endors après m’être violemment masturbé à ses côtés.

• Chéri, Père m’attend à la banque, il m’a demandé de passer hier pendant la noce de ma sœur, il a une affaire urgente à me confier.
Je viens d’appeler Agnès, le docteur, elle t’attend à 14 heures, son cabinet est fermé le dimanche, mais elle est prête à te recevoir.

C’est avec ma voix normale que je le remercie et que je m’y rendrais avant de me retourner.

Quand je me réveille, je m’étonne de la voix que je prends depuis hier à certains moments.
J’ai dû prendre un peu froid, je vais dans l’armoire à pharmacie où je trouve du sirop et des cachets de paracétamols.
Je vois le médecin tout à l’heure, je lui en parlerais.
Je profite de l’endroit pour me faire couler un bain chaud, je me prélasse, j’ai le temps, Charles-Henri m’a prévenue qu’il mangerait avec son père.
Pour la première fois, une petite voix au fond de moi me parle ou du moins je feins de l’entendre.
Une nouvelle fois, je me caresse surtout ma petite excroissance en haut de mon sexe.

« Voilà tu as trouvé, voilà ou tu dois frotter pour que je prenne mon plaisir, t’as vu j’ai fait de toi une salope, tu m’appartiens et ces loin d’être fini. »

Je dois être devenue folle, par chance je vois le docteur deux heures plus tard, quand j’arrive je constate qu’elle est enceinte.

• Votre mari m’a appelé car vous vous êtes piqué le doigt avec un clou rouillé.

Voix rauque, je rétorque !

• Et toi, le clou qui t’a engrossé il était rouillé !
Tu veux me bouffer la chatte.

Sans plus, je soulève mon tailleur comme l’a fait Édouard dans les chiottes, je monte sur la table d’auscultation, je mets les pieds dans les étriers.
Agnès semble subjuguée et je vois sa tête venir à moi hagarde.
Je la prends par les cheveux et je la plaque sur mon sexe.
Je dois être devenue folle, pourquoi ce comportement qui semble plaire à cette femme enceinte, une force maléfique semblant l’attirer quand sa langue se pose sur mon clitoris.

• Suce, suce, lèche sale truie.

Toujours de cette même voix rauque…

Les avis des lecteurs

interessante histoire... très bien postée-



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