Titre de l'histoire érotique : Double pénétration
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-01-2009 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : Double pénétration
Erika, jeune femme de 29 ans n'est plus vierge depuis ses 16 ans. Elle s'est donnée à un jeune de son âge, simplement pour savoir ce que ça faisait de baiser. Elle connaissait déjà l'orgasme qu'elle ressentait en se masturban, et celà depuis longtemps. Il lui semblait normal d'être prise directement dans le con par une bite. Elle en retirait un plaisir différent mais qui l'avait fait jouir. Un peu plus tard, toujours à la recherche de plaisir maximum, elle a fait l'amour avec une autre fille de son âge. Elle a fort bien jouit surtout en faisant des 69: c'est la position la plus érotique et la plus pratique, pour elle de jouir avec une fille. Jusqu'à ses 19 ans elle continuait ses baises avec l'un ou l'autre sexe, mais jamais les deux à la fois. Pourtant un jour un de ses amant lui a proposé de l'accompagner chez un ami où elle pourrait se faire baiser par deux hommes à la fois.
Erika acceptait la proposition et s'habillait en conséquence: une simple robe genre blouse, s'ouvrant par devant par de simples pressions. Son ami la voyant ainsi "vêtue" la faisait monter en voiture et lui demandait d'ouvrir cette robe pour paraître pendant tout le trajet comme elle allait être dans la soirée: pratiquement nue. Sans aucune pudeur Erika acceptait d'exhiber son corps splendide à la vue de tous les passants. Cette exposition de son corps devant tout le monde l'excitait au plus haut point et elle demandait à son amant la permission de se masturber à l'instant en roulant. Mais sans attendre la réponse sa main posée sur son con largement ouvert et très humide commençait la sarabande. Elle avait pis la tête en arrière pour prendre son pied et jouissait fortement plusieurs fois consécutives. Son amant bandait de plus en plus fort et il commençais à sa masser la bite à travers son pantalon.
Heureusement pour lui, ils arrivaient chez l'ami chez qui devait avoir lieu la partouze. Ils furent bien reçus: l'ami était en tenue, c'est à dire nu et bandant, dans l'appartement il y avait une dizaine de personnes nues également et même certains en train de baiser. Des couples étaient formés: entre autre deux hommes qui s'embrassaient sur la bouche et se branlaient mutuellement. Un couple de lesbiennes était à l'oeuvre.
Erika déjà passablement excitée par ce qu'elle venait de se faire n'hésitait pas et ans demander la permission de quiconque était nue. Son amant toujours en érection se mettait nu lui aussi. Il attirait vers lui Erika et lui mettait la main au cul. Cette caresse excitait au maximum Erika. Elle ouvrait les fesses pour permettre que des doigts viennent en elle et lui branle le cul. Son amant connaissait cette faiblesse: il en profitait et se postait devant elle il lui mit la bite au con. Etre prise debout et devant les autre ajoutait du piment à son orgasme. Elle jouissait.
Mais ce là ne suffisait pas à la calmer: elle attendait que deux hommes la prennent en sandwicht Elle avait une petite idée sur celui qui l'enculerait et comptait sur l'ami de l'amant pour la baiser. Elle avait tout faux: deux hommes l'approchaient deux inconnus, bien montés qui sans lui demander quoique ce soit, la menait vers un divan. Elle se trouver corps à corps avec l'un deux. Qui l'embrassait et la pelotait. Mais derrière elle l'autre oui caressait les fesses et lui branlait gentiment le cul. Elle mouillait pensant au plaisir qu'allaient lui offrir ces inconnus. D'elle même elle se rentrait une pine dans le con et acceptait avec reconnaissance une autre dans le cul. C'est elle qui assurait les mouvements de vas-et-vient. Elle offrait à ses partenaires du moment un orgasme inoubliable. Mais elle avait jouit trois fois pendant qu'eux ne jouissaient qu'une seule.
Plus tard en rentrant elle refaisait l'amour avec son amant et jouissait encore.
Un jour elle trouvait Charles et Charles devenait son grand amour, capable de la baiser sans débander plusieurs fois de suite et surtout capable de lui fournir souvent et sans jalousie un amant du "cul". C'est ainsi qu'ils baptisaient celui qui venait avec eux pour baiser en double pénétration. Elle y avait pris tellement gout que Charles ne pouvait que lui offrir une fois par semaine celui qui lui bourrerait le cul pendant qu'il la baisait. Il aimait sentir à travers la mince cloison du con d'Erika la bite de l'autre. Il aimait surtout la sentir jouir pendant ces doubles pénétrations. Il aimait tout simpmlement la sentir jouir, chose qu'elle faisait toujours souvent.
Erika acceptait la proposition et s'habillait en conséquence: une simple robe genre blouse, s'ouvrant par devant par de simples pressions. Son ami la voyant ainsi "vêtue" la faisait monter en voiture et lui demandait d'ouvrir cette robe pour paraître pendant tout le trajet comme elle allait être dans la soirée: pratiquement nue. Sans aucune pudeur Erika acceptait d'exhiber son corps splendide à la vue de tous les passants. Cette exposition de son corps devant tout le monde l'excitait au plus haut point et elle demandait à son amant la permission de se masturber à l'instant en roulant. Mais sans attendre la réponse sa main posée sur son con largement ouvert et très humide commençait la sarabande. Elle avait pis la tête en arrière pour prendre son pied et jouissait fortement plusieurs fois consécutives. Son amant bandait de plus en plus fort et il commençais à sa masser la bite à travers son pantalon.
Heureusement pour lui, ils arrivaient chez l'ami chez qui devait avoir lieu la partouze. Ils furent bien reçus: l'ami était en tenue, c'est à dire nu et bandant, dans l'appartement il y avait une dizaine de personnes nues également et même certains en train de baiser. Des couples étaient formés: entre autre deux hommes qui s'embrassaient sur la bouche et se branlaient mutuellement. Un couple de lesbiennes était à l'oeuvre.
Erika déjà passablement excitée par ce qu'elle venait de se faire n'hésitait pas et ans demander la permission de quiconque était nue. Son amant toujours en érection se mettait nu lui aussi. Il attirait vers lui Erika et lui mettait la main au cul. Cette caresse excitait au maximum Erika. Elle ouvrait les fesses pour permettre que des doigts viennent en elle et lui branle le cul. Son amant connaissait cette faiblesse: il en profitait et se postait devant elle il lui mit la bite au con. Etre prise debout et devant les autre ajoutait du piment à son orgasme. Elle jouissait.
Mais ce là ne suffisait pas à la calmer: elle attendait que deux hommes la prennent en sandwicht Elle avait une petite idée sur celui qui l'enculerait et comptait sur l'ami de l'amant pour la baiser. Elle avait tout faux: deux hommes l'approchaient deux inconnus, bien montés qui sans lui demander quoique ce soit, la menait vers un divan. Elle se trouver corps à corps avec l'un deux. Qui l'embrassait et la pelotait. Mais derrière elle l'autre oui caressait les fesses et lui branlait gentiment le cul. Elle mouillait pensant au plaisir qu'allaient lui offrir ces inconnus. D'elle même elle se rentrait une pine dans le con et acceptait avec reconnaissance une autre dans le cul. C'est elle qui assurait les mouvements de vas-et-vient. Elle offrait à ses partenaires du moment un orgasme inoubliable. Mais elle avait jouit trois fois pendant qu'eux ne jouissaient qu'une seule.
Plus tard en rentrant elle refaisait l'amour avec son amant et jouissait encore.
Un jour elle trouvait Charles et Charles devenait son grand amour, capable de la baiser sans débander plusieurs fois de suite et surtout capable de lui fournir souvent et sans jalousie un amant du "cul". C'est ainsi qu'ils baptisaient celui qui venait avec eux pour baiser en double pénétration. Elle y avait pris tellement gout que Charles ne pouvait que lui offrir une fois par semaine celui qui lui bourrerait le cul pendant qu'il la baisait. Il aimait sentir à travers la mince cloison du con d'Erika la bite de l'autre. Il aimait surtout la sentir jouir pendant ces doubles pénétrations. Il aimait tout simpmlement la sentir jouir, chose qu'elle faisait toujours souvent.
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