Séréna et Gladys

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
Auteur homme.
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Récit libertin : Séréna et Gladys Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-11-2015 dans la catégorie Plus on est
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(7.0 / 10)

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Séréna et Gladys
J'ai hérité d'une très grande maison entourée d'immenses pelouses, jardins et piscine. Pour l'été c'est idéal. J'invite mes amies : nous sommes tous nus pour nous aérer.
Ainsi aujourd'hui il y a deux filles pour moi seul. Soucieuses de leur teint elles sont au soleil pour bronzer. Je reste à l'ombre en les détaillants. Elles sont toutes deux mes maîtresses. Je les trouve aussi désirable l'une que l'autre. Je ne pourrai pas dire laquelle des deux je préfère elles sont aussi vicieuses l'une que l'autre, aussi sexy et accro au sexe. A force de les regarder j'ai une légère raideur: mon sexe se lève un peu.
Par contre un moment plus tard je bande carrément: Si la blonde est couchée sur le dos, la brune s'est tournée vers elle et a posé sa bouche sur la sienne. Je ne savais pas que Gladys avait de désirs particuliers pour les femmes. Je ne savais pas non plus que Séréna en ait aussi. Je remarque leur chevelure mélangée: brune et blonde finalement vont bien ensemble. La tête de Gladys se dirige vers la poitrine de mon autre compagne. Les bras de Séréna entourent le dos de Gladys. Je ne vois pas exactement ce qu'elle fait, je pense qu'elle doit lui embrasser les seins. Pourtant au bout d'un moment je vois que l'épaule droite de Gladys a des mouvements réguliers. Séréna ferme les yeux. Ni l'une ni l'autre ne me voit. Je me lève, nu, la bite bandée pour voir ce qu'elles font exactement.
Elles font ce que fonts des milliers d'autres filles de nos jours: elles jouent à se donner du plaisir. Elles commencent à bien le faire: Gladys à une main sur le clitoris de Séréna qui, je le sais, adore ce genre de caresses en début de l'amour physique. La connaissant bien, je connais sa demande suivante: un cunnilingus. Je ne sais si Gladys acceptera de le lui faire. Je commence à me méfier de mes deux amies. Elles sont capables de tout pour un orgasme.
Je sais fort bien qu'elles se masturbent souvent et seules. Gladys ne s'en cache pas non plus. Je sais qu'elle a un godemiché, par contre je ne sais pas si Séréna en possède.
Gladys descend sa tête. Je sais qu'elle va chercher le clitoris de Séréna. Cette fille écarte les cuisses, accueille la langue. Séréna en récompense, peut-être, lui passe une main entre les fesses. Si elle va plus loin, elle va caresser la roudelle de Gladys qui adore. Bien sur qu'elle lui a posé un doigt au moins sur l'anus. A vois bouger Gladys: je sais que Séréna fait plus que lui caresser l'anus; elle a du y mettre un doigt au moins en entier.
C'est la première fois que je vous deux nanas de faire l'amour: elle me font un effet extraordinaire; j'ai la bite dans une érection que je ne connaissais pas: j'ai envie des deux filles à la fois.
Elles m'ont oublié: elle se lèvent piquer une tête dans la piscine, Séréna reste dans l'eau, Gladys s'est assise sur la margelle, les jambes bien ouvertes, la tête de Séréna sur son sexe. Je peux voir la fente de Gladys, juste avant qu'elle soit cachée par la tête de mon autre maîtresse. Séréna serre les cuisses de Gladys pour rester sans peine à la surface. Gladys elle, est penchée la tête en arrière dans l'attente de la langue de l'autre fille. Je m'approche d'elles. Seule Séréna peut me voir à condition qu'elle soit les yeux ouverts. Ils sont fermés: elle se branle. Je viens derrière Gladys, lui prend les seins dans mes deux mains, les palpes un peu. Gladys me regarde, me sourit et dit- Tu sais c'est bon ce que me fait ton autre amie.
- Depuis quand tu aime les filles.
- Laisse moi profiter du moment.
Autrement dit: fiche moi la paix, laisse moi jouir avec ton autre copine. Il n'empêche que je continue à lui caresser les seins. Je l'embrasse aussi: elle ne refuse pas le baiser et mes caresses, au contraire ça l'excite encore plus.
Je la sens se raidir: je sais ce que ça signifie: elle jouit. Séréna n'arrête pas pour autant. Gladys sent enfin ma queue contre son visage. Elle ouvre sa bouche et m'enfourne: sa fellation est moins bonne que d'habitude: elle n'a pas la tête dans le bon sens.
Enfin nous sommes trois à prendre du plaisir. Gladys n'a pas le temps de me faire jouir: elle a un nouvel orgasme. Cette fois Séréna veut à son tour la langue de notre amie. Elle vient s'asseoir sur le bord, pendant que Gladys va rafraîchir son cul dans l'eau. Elle vient lentement vers les jambes écartées de Séréna. Je n'ai pas quitté ma place: je caresses la poitrine de Séréna. Je peux voir la langue venir sur le clitoris de Séréna. Soin clitoris a une particularité: il est très long, même sans qu'elle soit excitée: il lui est souvent arrivée de me dire qu'elle le sentais quand elle porte un culotte. Elle n'en porte plus jamais à cause de ça.
Je regarde Gladys qui se branle dans l'eau. Séréna pend ma bite dans la bouche: elle fait mieux que notre amie: elle me fait jouir. Elle garde dans sa bouche le précieux liquide. Je sais ce qu'elle veut en faire: elle va le garder ainsi jusqu'à ce qu'elle puisse le partager avec Gladys. Elle reste ainsi, la bouche close. Gladys revient sur terre quand elle sent la jouissance de sa rivale. Séréna approche ses lèvres de celle de ladys pour enfin lui donner sa part de ma semence.
Nous nous replions sous l'arbre, à l'ombre. Nous restons bien couchés: je suis entre les deux filles qui me parlent.
- Tu sais, me dit Séréna, nous savons que tu avais une autre fille quand par hasard nous nous sommes rencontrées chez des amis commune- C'est vrai, approuve Gladys, nous parlions de notre amant. Par déduction nous avons compris que nous avions le même.
- Aussi nous nous sentions proche, ajoute Séréna, tellement proche que nus sommes partie ensemble pour finir dans mon lit.
- Et c'est ainsi que vous êtes deveniez amantes sans même m'en parler.
Elles ajoutent d'une même voix:- Oui, on ne le regrette pas du tout.
Les garces elles m'ont joué. Je me retrouve comme un mari trompé qui s'aperçoit que sa femme couche avec son meilleur ami.
Avec un ensemble parfait, les deux filles m'embrassent sur les joues. Une bouche dérive pour venir sur la mienne. Une langue vient à la rencontre de la mienne. Une main vient chercher ma queue, la caresse très lentement la prend en entier et me masturbe un instant. Je ferme les yeux pour profiter de la chance que j'ai d'avoir deux petites amies qui baisent ensemble.
La masturbation s'arrête. Les bouches se livrent à un encerclement en règle: je sens les deux fille me caresser partout. Leurs bouches se posent également sur moi. Je sens que les deux bouches s'occupent de mes pointes de seins, que deux mains s'approchent de mon bas ventre. Elles me prennes toutes les deux ma bite. Me voilà branlé par deux filles à la fois; L'effet est immédiat: je bande encore plus. Je sens une main sur mon gland, une autre sur le reste de ma pine. Celle qui est autour de mon gourdin me masturbe doucement. Celle qui est sur le gland me le caresse à peine mouillé par de la salive. Il me semble que cette seule caresse inédite va me faie jouirElles s'entendent fort bien mes deux amantes: elles arrêtent de me tripoter pour recommencer une autre partie entre elles: cette fois c'est du sérieux: elles sont tête bêche, la tête enfouit entre les jambes de l'autre. Elles ne sont pas totalement en position de 69. Posées sur le coté, elles lèvent une jambe pour faciliter les caresses linguales. Les revoir se faire l'amour m'excite encore plus: je commence à me branler. C'est je crois bien Séréna qui demande à Gladys de me faire une petite place: elle a le cul bien placé. Séréna prend la queue pour la mettre bien sur l'anus recherché. Elle prend de sa propre cyprine, en tapisse l'anus, qu'elle caresse par la même occasion: me voilà prêt à sodomiser Gladys qui au fond attendait ce moment. J'entre comme souvent en elle, sans trop de précaution: son cul est habitué à ma pine. Je passe sans dommage le sphincter, la lui mets à fond comme elle aime. Je vais et viens dans ce cul généreux. Je sens l'anus se fermer et s'ouvrir à chaque orgasme. Une main de Séréna me caresse les couilles, pendant que l'autre me met un doigt dans le postérieur je suis assez long à jouir. Les deux filles se séparent. Séréba me demande de lui mettre ma queue dans son cul. Me voilà parti pour une autre sodomie. J'avoue aimer les culs de jolies filles et là, j'ai mon compte. J'encule Séréna. Je sens sur mes couilles la main de Gladys qui vient branler encore une fois Séréna.
Pour éviter tout autre tromperie, je les invite à partager avec moi ma nouvelle demeure. Elles n'acceptent qu'à une seule condition: vivre nu le plus possible, nu, baiser avec n'importe lequel d'entre nous, sans interdit aucun.
Je sens arriver une période d'intenses baises de différentes façons.
C'est vrai que la nudité à la maison et même dans le jardin est agréable. C'est vrai qu'en déjeunant nus nous permets d'avoir dès le matin des rapports plus sérieux entre nous. Ils nous arrivent souvent de déjeuner du liquide sexuel de l'un ou l'une. Que dire de la dégustation d'un sexe rempli de confiture ou du léchage d'un corps enduite de miel. Et qui dire surtout des douches partagées à trois. Que dire du plaisir que j'ai de les voir s'aimer sous un jet d'eau chaude et que dire quand le jet et sur ma queue, jet manié par l'une ou l'autre;Nous devenons totalement vicieux. Nous tournons maintenant des DVD de nos baises. Nous les regardons souvent le soir juste avant de nous baiser. Nous aimons particulièrement les scènes où nous sommes trois, une fille sur ma bite l'autre sur on visage. Ou voir en détails la masturbation de Séréna particulièrement douées pour cet art. Nous avons aménagé une chambre pour un très grand lit. C'est là que les ébats principaux se déroulent. Nous avons fait l'essai, pas très concluant de les baiser à la fois toute les deux. J'ai bien jouit, elles pas: elle se sont baisées ensuite.
Nous faisons aussi des essais de partouze. La derniere était particulièrement bien: nous avions invité huit personnes. Avec nous cela faisait un compte impair, puisque c'est la meilleure façon de baiser. La réception était assurée par Gladys, nue bien sur. Au fur et à mesure des arrivées nous embrassions tous les invités sur la bouche. Moi même j'embrassais les hommes sur la bouche. Les premiers contacts ont lieu aussitôt l'arrivée du premier: c'est Séréna qui s'ai payé un garçon beau comme un dieu grec, bien développé du cote bas ventre: elle voulait savoir ce que ça faisait d'être sodomiser par un tel morceau. C'était très bon me dit-elle.
Nous nous sommes mis à trois pour prendre nos plaisir avec d'autres sans jalousie aucune: nous baisions tout simplement. Ni Gladys, ni Zéréna ne se sont payées une autre fille. Je ne me suis pas gêné pour baiser avec un autre homme une nana qui voulait une double pénétration: c'était sa première fois. Elle ne savait pas trop comment faire. Je me suis couché sur le dos, lui ai demandé de se la mettre elle-même par devant. L'autre homme, plus membré que moi venait par derrière lui cracher sur l'anus. Elle en frissonnait d'avance. Elle serrait les dents quand il la lui mettait. Elle se détendait heureusement rapidement. Elle poussait des "hans" sans arrêt. Ses jouissances étaient encore plus bruyantes.
J'appréciais particulièrement la rencontre à travers ses parois de la bite de l'autre. Nous nous sommes séparés sur un poignée de main, sauf que nous embrassions la fille sur la bouche, moi en lui mettant en cote un doigt au cul. Elle était radieuse: son rêve était devenu réalité.
J'ai pu me farcir une drôle de fille, presque sans sein, Elle voulait que je la baise en levrette. Je le faisait et elle se branlait plusieurs fois. Vers 2 heures du matin, tout le monde parti, nous nous sommes enfin retrouvées seuls. Façon de parler: nous étions tous trois encore en mesure de nous aimer: elle se faisait un 60 et j'enculais Gladys le meilleur cul de toutes mes connaissances.

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Texte coquin : Séréna et Gladys
Histoire sexe : Une rose rouge
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