Son Fantasme Black 2
Récit érotique écrit par Mickey57 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-10-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Son Fantasme Black 2
Son Fantasme black 2
Le soir elle est rentrée du bureau épuisée non pas de son après midi mais des conséquences de sa nuit et de la matinée.
Toutefois, je souhaitais partager les moments qu'elle avait vécu avec Valéry.
Une fois le petit couché, nous nous sommes installés au salon, sur le canapé où hier soir elle s'est donné devant moi à cet homme sans aucune retenues.
Ce qui s'y était passé ne m'intéressait pas, ce que je voulais savoir c'était la nuit de folie qu'elle avait vécu en m'ayant contraint de la passer dans le lit de notre fils absent pour partager le nôtre avec Valéry ce qui n'était pas initialement convenu !
A peine ils furent couchés qu'ils se collèrent l'un à l'autre après s'être totalement déshabillé, Valéry ne fut pas long à reprendre de la consistance et tout naturellement son membre se dressa contre le ventre de mon épouse qui ravie de pouvoir profiter à nouveau de l'ardeur de son black ondula du bassin afin de faire comprendre à son amant l'excitation et le désir qui enflammait son corps.
Rapidement et encore sous les effets de leur première union elle se trouva sur le dos, Valéry couché sur elle, son sexe glissa entre ses cuisses qu'elle avait grandement ouvertes, elle sentait cette virilité pressée contre sa chatte qui suintait de son humidité mêlé à celle du sperme dont Valéry l' avait généreusement gratifié.
Elle glissa sa main entre leur deux corps et saisissant le sexe de son amant, elle l'avait positionné à l'entrée de sa grotte, il n'eu plus qu' a pousser son membre qui investit le nid douillet qui s'offrait à lui. Dominant de par sa position il fit glisser celui ci dans l'antre chaud de cette femelle prête à subir et profiter de ce cadeau fait par moi même.
La joute dura de longues minutes où tour à tour elle se retrouva dans des positions divers, dessous, dessus puis prise en levrette, sentant le sexe puissant de son amant l'amener à plusieurs reprises à des sommets de jouissance accentués par le côté interdit de cette union.
Il ne se priva pas de jouir au fond de son utérus sans savoir si elle prenait un contraceptif où pas. D'ailleurs, ce qui plait le plus à mon épouse est de sentir le sexe de l' homme grossir dans son nid d'amour avant que ce dernier expulse sa semence au plus profond de son corps ce qui déclenche généralement le petit plus de sa jouissance. Après elle aime lorsque son amant s'immobilise en elle et cela jusqu'a ce que la queue qui lui a donné autant de plaisir s'extirpe de son écrin tout en laissant le surplus de sperme coulait entre ses fesses.
Ils s'allongèrent pour trouver un peu de sommeil, elle se colla de dos contre le corps de Valéry.
Quelques heures puisque vers cinq heures trente ( source radio réveil ) elle sentit à nouveau le désir de son amant contre ses fesses. Manifestement il avait du mal à trouver le sommeil dans un lit qui n'était pas le sien, par contre cette femme offerte contre lui ne le laissait pas inerte.
Elle sentit d'abord ses mains empoignaient ses seins, les caressant avec beaucoup de douceur durant quelques minutes, elle attendait la suite en faisant semblant d'être assoupie.
Une de celle ci finit par glisser sur son ventre avant de descendre vers son sexe. Elle se mit sur le dos et s'ouvrit à l'audacieux qui rapidement introduit un puis deux doigts dans ce puits toujours aussi humide. Il n'en fallait pas plus pour que sa queue qui révélait une belle érection dont elle appréciait la dureté lui quémandait une nouvelle faveur. Elle commença par le masturber au même rythme que lui le faisait, insistant sur son clitoris dressé comme un petit sexe, irrité comme il ne l'avait encore jamais été cause au traitement qu'il subissait depuis quelques heures. C'est elle qui vint se positionner au dessus de ce glaive et Valéry positionna son vit à l'entrée de sa chatte, mon épouse s'empala jusqu' a ressentir les bourses de son amant contre ses fesses. Elle resta un moment clouée sur ce pal qui avait fait sa place dans ce conduit doux, chaud et humide. C'est avec une douceur particulière que les deux amants ondulèrent afin de mieux ressentir le plaisir qu'ils se donnaient, ses seins plaquaient sur son torse, leurs lèvres soudées, la langue de l'homme investissant la bouche de la femme répondant au désir ardent de son homme. Ce ballet dura un moment où elle perçu cela comme une douceur qu'aucun de ses précédents amants ne lui avaient procuré....ni même moi !
Pour me dédouaner je lui ai dit : les deux premiers rapports sont conformes à ce que tu connais habituellement ?
Ce moment si spécial pour elle s'accentua lorsque l'orgasme des deux protagonistes fut atteint et qu'une fois de plus il s'épancha dans son ventre non sans avoir essayé de tenter de l'obtenir par une voie plus étroite....
Elle se repositionna sur le dos et lui glissa à l'oreille : tout à l'heure si tu veux, je te donnerai ce que tu souhaites, puis les deux s'endormirent.
Au réveil,
Ce matin, tu as pu voir que je le suçais, j'ai continué avec application comme tu sais toi même l'apprécier, à sa demande j'ai également léché ses couilles qui comme tu as pu déjà le voir sous la douche au foot sont totalement épilées puis il m'a demandé une chose que je n'ai encore jamais faite....il a voulu que je pousse mon exploration plus bas entre ses fesses. J'ai d'abord tenté de l'en dissuader mais il voulait absolument que je me plis à sa demande en me disant : une femme qui se donne totalement ne le fait que si elle accepte d'une part de se faire sodomiser mais aussi de glisser sa langue dans l'intimité profonde de son amant. Ne voulant pas être en reste et malgré le dégoût que cela m'inspirait, je me suis pliée à sa demande.
Pour ce faire, il m'a fait me retourner en prenant la pose du soixante neuf, inutile que je te fasse un dessin.
J'ai repris ma fellation puis descendu sur ses couilles et enfin par petit mouvements j'ai fait glisser ma langue plus loin jusqu'au moment où les premières effluves anales montèrent à mes narines. Bien que propre j'ai fait un peu le ménage et finalement j'ai pris goût à mon action et je me suis surprise à léchouiller son œillet et ma langue humidifia son cratère puis avec un peu de mal j'ai réussi à pénétrer un peu son conduit anal. Il était aux anges, n'étant pas en reste il me procurait le même traitement, sa langue glissait de ma chatte à mon cul et tentait également de perforer mon muscle anal. Dans ma tête je me demandais jusqu'où irait ce délire, mais plus je m'appliquais, plus j'avais envie de pousser plus loin ma langue dans son fondement, je sentais mon sexe mouiller encore plus que d'habitude et ce n'était pas du fait de ses caresses linguales. J'étais une salope et j'assumais mon rôle !
Nous avons finalement cessé notre jeu, je me suis positionné à genoux sur le coté et j'ai repris ma fellation tout en glissant un doigt dans son cul, rapidement j'ai ressenti les premières palpitations de sa queue, j'ai accéléré le mouvement et il s'épancha au fond de ma gorge en grognant, j'ai tout avalé et aspiré jusqu'a la dernière goutte.
Ensuite nous sommes descendus déjeuner, puis nous sommes remontés dans la chambre. Je lui avais promis de me donner sans interdits et il ne s'en priva pas. Il me fit mettre à genoux sur le lit, la tête posé sur l'oreiller, les fesses offertes, il caressa mon orifice anal, enduit les contours avec la crème hydratante, s'en mit sur son gland avant de le positionner sur ma fleur qui céda sous la pression et petit à petit investit mon intimité la plus chaste. Il m'imposa ce rapport qui me fit d'abord un peu mal, vite supplanté par un bonheur dévastateur qui m'emporta dans une jouissance infinie. Il a joui au plus profond de mes reins une première fois puis après quelques moments de récupérations nous avons recommencé un rapport complet vaginal et anal et c'est cette deuxième fois qu'il réinvestit mes reins pour s'épancher à nouveau en moi.
Voilà tu sais tout. Il a pris une douche et après un dernier baiser, il est partis.
As tu réfléchis pour Samedi soir ? tu m'autorises où pas, je ferai comme tu le décides......
Et toi, en as tu envie ?
Te dire que j'en ai pas envie serait un mensonge, mais je ne veux pas que tu le fasses à contre cœur.
Cela ne pourra pas être moins hot que cette nuit tu te doutes !
Et puis, je souhaite qu'il me désire plus que Sylvie, je suis persuadée que cette Oie blanche ne lui donnera jamais tout ce que j'ai accepté dans ses bras.....
C'est presque certain, quand à moi le fait de savoir qu'elle cocufie Jean Claude va me permettre de tenter de profiter d'elle la prochaine fois où nous sortons.
Le soir elle est rentrée du bureau épuisée non pas de son après midi mais des conséquences de sa nuit et de la matinée.
Toutefois, je souhaitais partager les moments qu'elle avait vécu avec Valéry.
Une fois le petit couché, nous nous sommes installés au salon, sur le canapé où hier soir elle s'est donné devant moi à cet homme sans aucune retenues.
Ce qui s'y était passé ne m'intéressait pas, ce que je voulais savoir c'était la nuit de folie qu'elle avait vécu en m'ayant contraint de la passer dans le lit de notre fils absent pour partager le nôtre avec Valéry ce qui n'était pas initialement convenu !
A peine ils furent couchés qu'ils se collèrent l'un à l'autre après s'être totalement déshabillé, Valéry ne fut pas long à reprendre de la consistance et tout naturellement son membre se dressa contre le ventre de mon épouse qui ravie de pouvoir profiter à nouveau de l'ardeur de son black ondula du bassin afin de faire comprendre à son amant l'excitation et le désir qui enflammait son corps.
Rapidement et encore sous les effets de leur première union elle se trouva sur le dos, Valéry couché sur elle, son sexe glissa entre ses cuisses qu'elle avait grandement ouvertes, elle sentait cette virilité pressée contre sa chatte qui suintait de son humidité mêlé à celle du sperme dont Valéry l' avait généreusement gratifié.
Elle glissa sa main entre leur deux corps et saisissant le sexe de son amant, elle l'avait positionné à l'entrée de sa grotte, il n'eu plus qu' a pousser son membre qui investit le nid douillet qui s'offrait à lui. Dominant de par sa position il fit glisser celui ci dans l'antre chaud de cette femelle prête à subir et profiter de ce cadeau fait par moi même.
La joute dura de longues minutes où tour à tour elle se retrouva dans des positions divers, dessous, dessus puis prise en levrette, sentant le sexe puissant de son amant l'amener à plusieurs reprises à des sommets de jouissance accentués par le côté interdit de cette union.
Il ne se priva pas de jouir au fond de son utérus sans savoir si elle prenait un contraceptif où pas. D'ailleurs, ce qui plait le plus à mon épouse est de sentir le sexe de l' homme grossir dans son nid d'amour avant que ce dernier expulse sa semence au plus profond de son corps ce qui déclenche généralement le petit plus de sa jouissance. Après elle aime lorsque son amant s'immobilise en elle et cela jusqu'a ce que la queue qui lui a donné autant de plaisir s'extirpe de son écrin tout en laissant le surplus de sperme coulait entre ses fesses.
Ils s'allongèrent pour trouver un peu de sommeil, elle se colla de dos contre le corps de Valéry.
Quelques heures puisque vers cinq heures trente ( source radio réveil ) elle sentit à nouveau le désir de son amant contre ses fesses. Manifestement il avait du mal à trouver le sommeil dans un lit qui n'était pas le sien, par contre cette femme offerte contre lui ne le laissait pas inerte.
Elle sentit d'abord ses mains empoignaient ses seins, les caressant avec beaucoup de douceur durant quelques minutes, elle attendait la suite en faisant semblant d'être assoupie.
Une de celle ci finit par glisser sur son ventre avant de descendre vers son sexe. Elle se mit sur le dos et s'ouvrit à l'audacieux qui rapidement introduit un puis deux doigts dans ce puits toujours aussi humide. Il n'en fallait pas plus pour que sa queue qui révélait une belle érection dont elle appréciait la dureté lui quémandait une nouvelle faveur. Elle commença par le masturber au même rythme que lui le faisait, insistant sur son clitoris dressé comme un petit sexe, irrité comme il ne l'avait encore jamais été cause au traitement qu'il subissait depuis quelques heures. C'est elle qui vint se positionner au dessus de ce glaive et Valéry positionna son vit à l'entrée de sa chatte, mon épouse s'empala jusqu' a ressentir les bourses de son amant contre ses fesses. Elle resta un moment clouée sur ce pal qui avait fait sa place dans ce conduit doux, chaud et humide. C'est avec une douceur particulière que les deux amants ondulèrent afin de mieux ressentir le plaisir qu'ils se donnaient, ses seins plaquaient sur son torse, leurs lèvres soudées, la langue de l'homme investissant la bouche de la femme répondant au désir ardent de son homme. Ce ballet dura un moment où elle perçu cela comme une douceur qu'aucun de ses précédents amants ne lui avaient procuré....ni même moi !
Pour me dédouaner je lui ai dit : les deux premiers rapports sont conformes à ce que tu connais habituellement ?
Ce moment si spécial pour elle s'accentua lorsque l'orgasme des deux protagonistes fut atteint et qu'une fois de plus il s'épancha dans son ventre non sans avoir essayé de tenter de l'obtenir par une voie plus étroite....
Elle se repositionna sur le dos et lui glissa à l'oreille : tout à l'heure si tu veux, je te donnerai ce que tu souhaites, puis les deux s'endormirent.
Au réveil,
Ce matin, tu as pu voir que je le suçais, j'ai continué avec application comme tu sais toi même l'apprécier, à sa demande j'ai également léché ses couilles qui comme tu as pu déjà le voir sous la douche au foot sont totalement épilées puis il m'a demandé une chose que je n'ai encore jamais faite....il a voulu que je pousse mon exploration plus bas entre ses fesses. J'ai d'abord tenté de l'en dissuader mais il voulait absolument que je me plis à sa demande en me disant : une femme qui se donne totalement ne le fait que si elle accepte d'une part de se faire sodomiser mais aussi de glisser sa langue dans l'intimité profonde de son amant. Ne voulant pas être en reste et malgré le dégoût que cela m'inspirait, je me suis pliée à sa demande.
Pour ce faire, il m'a fait me retourner en prenant la pose du soixante neuf, inutile que je te fasse un dessin.
J'ai repris ma fellation puis descendu sur ses couilles et enfin par petit mouvements j'ai fait glisser ma langue plus loin jusqu'au moment où les premières effluves anales montèrent à mes narines. Bien que propre j'ai fait un peu le ménage et finalement j'ai pris goût à mon action et je me suis surprise à léchouiller son œillet et ma langue humidifia son cratère puis avec un peu de mal j'ai réussi à pénétrer un peu son conduit anal. Il était aux anges, n'étant pas en reste il me procurait le même traitement, sa langue glissait de ma chatte à mon cul et tentait également de perforer mon muscle anal. Dans ma tête je me demandais jusqu'où irait ce délire, mais plus je m'appliquais, plus j'avais envie de pousser plus loin ma langue dans son fondement, je sentais mon sexe mouiller encore plus que d'habitude et ce n'était pas du fait de ses caresses linguales. J'étais une salope et j'assumais mon rôle !
Nous avons finalement cessé notre jeu, je me suis positionné à genoux sur le coté et j'ai repris ma fellation tout en glissant un doigt dans son cul, rapidement j'ai ressenti les premières palpitations de sa queue, j'ai accéléré le mouvement et il s'épancha au fond de ma gorge en grognant, j'ai tout avalé et aspiré jusqu'a la dernière goutte.
Ensuite nous sommes descendus déjeuner, puis nous sommes remontés dans la chambre. Je lui avais promis de me donner sans interdits et il ne s'en priva pas. Il me fit mettre à genoux sur le lit, la tête posé sur l'oreiller, les fesses offertes, il caressa mon orifice anal, enduit les contours avec la crème hydratante, s'en mit sur son gland avant de le positionner sur ma fleur qui céda sous la pression et petit à petit investit mon intimité la plus chaste. Il m'imposa ce rapport qui me fit d'abord un peu mal, vite supplanté par un bonheur dévastateur qui m'emporta dans une jouissance infinie. Il a joui au plus profond de mes reins une première fois puis après quelques moments de récupérations nous avons recommencé un rapport complet vaginal et anal et c'est cette deuxième fois qu'il réinvestit mes reins pour s'épancher à nouveau en moi.
Voilà tu sais tout. Il a pris une douche et après un dernier baiser, il est partis.
As tu réfléchis pour Samedi soir ? tu m'autorises où pas, je ferai comme tu le décides......
Et toi, en as tu envie ?
Te dire que j'en ai pas envie serait un mensonge, mais je ne veux pas que tu le fasses à contre cœur.
Cela ne pourra pas être moins hot que cette nuit tu te doutes !
Et puis, je souhaite qu'il me désire plus que Sylvie, je suis persuadée que cette Oie blanche ne lui donnera jamais tout ce que j'ai accepté dans ses bras.....
C'est presque certain, quand à moi le fait de savoir qu'elle cocufie Jean Claude va me permettre de tenter de profiter d'elle la prochaine fois où nous sortons.
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