Un après midi de débauche ! - histoire érotique

Mais qu'est ce qui m'a pris ?

C'est par cette phrase que ma compagne viens de me relater son après-midi, vue l'heure à laquelle elle rentre, les traits tirés et ce sentiment de culpabilité qui se voit sur son visage.

Au départ, elle se rend à la Sécu suite à des soucis avec sa mutuelle santé,Il faut savoir qu'a Roubaix elle se situe dans un quartier à dominance magrébines...
C'est à contre cœur qu'elle s'y rend, de plus il fait beau en ce milieu du mois de Mars et elle aurait préféré rester à la maison.
Elle s'était habillée d'une robe, elle portait également des sous vêtements blanc avec un collant couleur chair (qu'elle n'a plus), elle avait chaussé toutefois des bottes et enfilé une veste gilet en laine.
Elle se gare un peu loin cause aux différents sens de circulation de ce quartier qu'elle connait peu et veux aussi profiter du soleil, elle rejoint la CPAM, attends son tour au milieu de cette population qu'elle n'aime pas spécialement et plus encore depuis les attentats.
Lorsqu'elle en ressort le soleil est toujours brillant, elle mets ses lunettes de soleil et reprends sa route à pieds pour récupérer son véhicule. Ainsi vêtue il est difficile de lui donner sa petite cinquantaine, sa veste en laine un peu plus courte que sa robe lui donne un côté sexy très agréable à regarder.
C'est dans le dédale d'une de ces rues austères qu'elle est interpellée par un homme typé du quartier, un peu dégarnie, légèrement bedonnant, vêtu d'un pantalon de jogging et d'un teeshirt pas très propre, mais sur le coup elle ne s'en aperçoit pas, au contraire c'est tout l'inverse, il lui semble poli et souriant quand il l'interpelle et lui dit : tu rentres un instant boire un thé ?
Que se passe t il dans sa tête pour qu'elle accepte l'invitation ? Il s'écarte et elle rentre, il la suit dans ce couloir étroit, elle rentre dans cette pièce unique comme beaucoup de maisons du Nord alignées en rang d'oignon, un salon séjour donnant sur la rue, la cuisine à l'opposé, ce salon est meublé de deux canapés un peu défraichis, de quelques poufs et de nombreux tapis au sol, le tout autour d'une table basse. Il l'invite à s'assoir sur un des deux canapés, celui-ci s'affaisse un peu lorsqu'elle prend place, il la regarde avec un sourire plein d'envie. Sur le coup elle fait comme si de rien mais dans le mouvement sa robe a glissé découvrant un peu ses cuisses. Il détourne les talons et va à la cuisine chercher la théière et deux verres qu' il dispose sur la table, elle a droit au rituel de ce breuvage mais qui va se révéler malsain. Ils boivent d'un trait ce premier verre, la menthe est très odorante, il lui en sert un second qui est bu dans la foulée et il engage la discussion toujours debout face à elle. Que fait elle dans le quartier ? elle est si différente des gens qui y habitent et elle explique la raison de sa venue. Il la toise et son regard se perd sur les cuisses partiellement dénudées, elle l'a remarqué mais fait comme si elle ne s'en apercevait pas. Il lui ressert un troisième verre, elle boit une nouvelle gorgée, il en profite pour venir s'assoir à ses côtés, elle comprend sa méprise mais il est déjà trop tard, un bras est posé sur ses épaules, il pose l'autre de ses mains sur un de ses genoux, elle tente de retirer celle ci mais en même temps ses forces lui manquent. Cette main inquisicieuse glisse sur la soie du collant, elle voudrait serrer ses cuisses mais n'y parvient pas, la main progresse jusqu'a l'entrejambe, elle sent les doigts de l'intrus glisser le long de sa fente que le collant et sa culotte ne protège guère. N'essaie pas de lutter lui dit il. Tu ne vas pas regretter ton après midi, tu es venue chercher de la bite tu vas en redemander. C'est ainsi que démarre sa descente aux enfers mais dont elle va participer bien plus qu'elle ne l'aurait voulu !
La main quitte l'entrejambe et vient se poser au travers de la robe sur le 95 D de la poitrine de ma belle. Dans le mouvement il pose ses lèvres sur les siennes, de sa langue il tente d'investir l'intérieur humide, elle résiste un peu, mais les forces encore lui manquent, le muscle buccal pénètre l'espace. Les barrières s'ouvrent et elle commence à subir le traitement de cet homme, elle a un dégoût mais ressent dans son corps un bien être qu'elle n'a jamais connu, sans doute les effets du breuvage, elle est vaincue et va se donner et accepter tout de lui.
Ils s'embrassent de longues minutes, les mains de l' homme palpent tous les attributs de cette femme, vont de la poitrine à son entrejambe, elle s'ouvre de plus en plus à chaque fois que ses doigts glissent sur sa fente, elle a les cuisses grandes ouvertes, la robe retroussée bien au dessus de sa culotte, il continu à l'insulter et cela l'excite énormément, c'est ce qu'elle me confessera : plus il me traiter de "chienne" et plus je me sentais mouiller ! j'acquiesçais par des Oui à toutes ses injures à mon égard. Gêné par le collant il va lui déchirer afin d'avoir un accès direct à sa chatte. La sachant entièrement soumise à son bon vouloir il lui prit la main et la posa sur son sexe en érection sous le jogging : branle moi lui intima t il ! Elle allait et venait sur cette tige qui lui semblait démesuré sous l'étoffe, il durcissait de plus en plus et s'étirer au point à un moment de sortir par le haut de l'élastique du pantalon. Il lui demanda de se relever et de retire sa robe, ce qu'elle fit comme une automate, elle se présentait à lui debout en sous vêtements, collant déchiré et ses bottes. Il se redressa également, lui fit face, ses mains dégrafèrent le soutien gorge, ses seins s'affaissèrent un peu, les tétons érigés le défiait, il les fit rouler sous ses doigts puis il les pinça fortement la faisant crier. Tu n'as pas fini de crier, je vais te baiser comme jamais tu t'ai faites baiser.
D'un geste vif il lui fit comprendre qu'elle devait s'agenouiller, sa queue déformait son jogging, elle se saisit de l'élastique du pantalon et lui baissa jusqu'aux chevilles, le monstre se redressa d'un bond à hauteur de ses lèvres. Du bout de sa langue elle commença à titiller le gland violet puis l'emboucha, il gémissait sous le bienfait que lui prodiguait cet antre chaud et humide. Elle s'activait sur ce pieu tout en lui caressant les bourses gonflées. Alors qu'il était très poilu, elle fut étonné de voir son sexe entièrement imberbe, elle pensa un instant aux sexes de ses petits fils. Il poussait son membre au plus profond de sa gorge, lui donnant des haut le cœur, presque à vomir. Ne tâche pas mes tapis sinon tu vas devoir tout nettoyer !
Elle suffoquait sous les assauts de sa bite. Après de longues minutes où elle faillit gerber tout son repas, il s'asseya au bord du canapé en écartant largement ses cuisses. Tu vas me lécher le cul lui ordonna t il. Elle aurait voulu refuser mais craignait qu'il ne devienne méchant. Elle reprit un temps sa fellation puis sa langue descendit sur les bourses, il appuya plus fortement sur sa tête et sa bouche vint au contact de son œillet plissé, heureusement il semblait propre, elle gobait entièrement cette corole et sa langue tenta de pénétrer le tunnel sombre. Il l'insultait de plus belle et elle s'activait à le sodomiser ainsi parvenant à peine à investir ce trou. cela le contentait, il se branlait la tige pendant qu'elle s'époumonait à lui donner un maximum de plaisir.
Branle ta chatte !
Elle glissa sa main libre entre ses cuisses, elle mouillait, au travers de son slip imbibé de son jus de femelle en rut.
Dis moi que t'aime ma bite ! et elle répondait par un léger mouvement de tête tout en fouillant plus profondément son fondement.
Finalement c'est elle qui se détacha de l'entre cuisse de son amant pensant qu'il allait s'épancher et lui demanda de la baiser.
Prends moi lui implora t elle !
Il la coucha sur le dos à même les tapis, se positionna entre ses cuisses écartelées et il lui fit glisser sa culotte afin de bien dégager l'entrée de sa chatte. Tu vas déguster lui dit il en faisant glisser son chibre le long de sa fentine ruisselant de désir, ses lèvres vaginales coiffaient le gland violacé de celui qui allait l' engrosser du moins si elle avait été encore en mesure d'enfanter.
D'un geste brusque il s'enfonça dans le nid douillet de ma compagne, elle poussa un cri de douleur et de plaisir mêlé, puis l'enserra de ses jambes. Ne bouge pas ! lui demanda t elle, elle voulait sans doute immortalisé ce moment, celui de cette bite démesurée dans sa chatte totalement investit. Voulant lui donner un maximum de plaisir, il accepta la demande tout en oscillant légèrement dans ce puits chaud et baveux, puis il la pistonna longuement, elle feulait comme une chatte en chaleur à chaque coup de bite qui lui assainait. Parfois il se retirait et attendait qu'elle se projette sur son membre.
Le thé aphrodisiaque qu'elle venait de boire expliquait il à lui seul la femme surexcitée qui se déchainait sur ce pieu étranger ?
La baise dura de longues minutes, elle jouissait chaque fois qu'il percutait son utérus, il lui sembla que jamais un autre homme l'avait possédé de la sorte.
Tu peux crier autant que tu le veux, personne ne t'entendra tout en la traitant de " p... de française ".
En même temps qu'il glissait dans cette chatte accueillante il commençait par lui titiller son anus, l'humectant avec la cyprine qui s'écoulait de ce puits baveux sur son sexe. Son index massait l'orifice plissé qui s'ouvrait à ce doigt, il put ainsi le faire pénétrer, ma compagne gémissait encore plus, elle comprenait qu'il allait la prendre par le cul et son état d'excitation était telle, qu'elle en acceptait par avance l'intrusion. Mais il ne put résister au massage du couloir vaginal sur sa queue et tout en vociférant en Arabe, il s'épancha dans le ventre de ma compagne à grande giclée de foutre, elle jouit une énième fois tout en l'enserrant pour éviter qu'il ne se retire, manifestement elle avait décidé d'être pleine de cet homme. Ils s'écroulèrent l'un sur l'autre, sa queue toujours fiché au plus profond de son être. Elle se souvient lui avoir demandé d'attendre qu'il débande, qu'il ne se retire pas, qu'elle aimait le sentir en elle.
Quand il sentit que sa queue avait quitté ce nid douillet, il se glissa sur le coté et se redressa pour regarder le trop plein de foutre qui s'écoulait entre les fesses de cette femme écartelée sur le tapis qui venait de se donner finalement sans trop d'opposition, il imaginait peut être à quoi ses prochains jours seraient occupés.
Il lui proposa une nouvelle boisson qu'elle accepta.
Ils s'installèrent sur un des canapés, elle retira son collant disloqué ne gardant que sa culotte pour éviter de tâcher le siège et il en fit autant.
Il te reste du temps ? Oui un peu répondit elle,Suce moi pour me faire durcir.
Elle se courba et prie en bouche ce membre qui l'avait fait jouir, il ne fut pas long à reprendre des proportions plus que satisfaisante.
Il se leva et l'entraina près d'un pouf, il la fit se mettre à genou le ventre en contact avec le cuir du coussin, les fesses relevées puis lui retira sa culotte.
Il enduit son œillet d'un gel qui se trouvait dans le tiroir de la table, introduisant son index dans le conduit anal qu'il allait investir pour parfaitement l'assouplir.
Tu en as envie ?
Oui, lui répondit elle, comme plus tôt elle était prête pour la saillie, elle n'avait plus aucune retenue.
Je vais te déchirer le cul !
Vas y doucement, tu es tellement gros,Il planta sa mentule sur le cœur de sa cible et délicatement poussa pour perforer ce cul.
Une fois le gland passé, il continua jusqu'a ce que ses couilles viennent au contact de ses fesses, elle était entièrement remplie, il attendit un court instant qu'elle s'habitue à l'intrus planté au fond de ses reins puis commença à coulisser dans le boyau anal.
Elle m'a dit que très rapidement la douleur avait fait place à une sensation plus agréable et que malgré le diamètre de son amant elle prie un pieds d'enfer, qu'il la fit avoir orgasme sur orgasme et ce jusqu'au moment où elle sentit le sexe grossir encore plus avant d'éjecter un flot de sperme dans ses entrailles.
Nous avions dans le passé fait quelques tentatives sodomiques qui s'était toujours soldées par des échecs, aussi c'est avec une pointe de jalousie que j'imaginais ce qu'elle avait enduré mais que à priori il avait su l'emmener là où moi je n'avais pas réussi.
Après avoir mutuellement récupéré de leurs ébats, elle se revêtit et le quitta.
Maintenant qu'allait il se passer prochainement, comme elle ne m'en parlait pas je lui posais la question ,Ne crains rien, je suis atrocement gênée de mon comportement et heureuse de t'avouer ma débauche, ne crois pas que je retournerai le voir même si il me l'a demandé et que pour ne pas le vexer je lui ai dit Oui !
Je suis certaine que sans son breuvage tout cela n'aurait pas eu lieu, mais je dois également reconnaitre que je n'ai jamais autant joui et que j'ai pris beaucoup de plaisir quand il m'a sodomisé.

Si j'étais rentré plus tard m'en aurait elle fait la confession ?