Son fantasme black 3
Récit érotique écrit par Mickey57 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 13 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.8 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Mickey57 ont reçu un total de 180 433 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-11-2016 dans la catégorie Plus on est
Cette histoire de sexe a été affichée 7 847 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Son fantasme black 3
La soirée Antillaise
Samedi 13 heures, je pars avec mon fils pour son foot, mon épouse va profiter de notre absence pour se préparer à passer la soirée avec Valéry, que dis je... la soirée et la nuit avec mon accord !
Nous sommes de retour il est passé 17 heures, Chantal est encore en peignoir, dans la maison flotte une brume de n° 5, son parfum, je m'étonne qu'elle ne soit pas encore habillée...
J'allais le faire, je ne voulais pas froisser ma robe avant la soirée.
Notre fils est parti rejoindre sa copine Nat, qui habite en face.
Quand elle est redescendue, elle portait une robe rouge mi-cuisse, les jambes gainées avec des bas blanc, seul dans le salon je lui ai demandé de me montrer ses dessous. Elle s'est retroussée pour me faire voir les jarretières qui soutenaient ses bas maintenus par un bustier de dentelle blanche que je ne lui connaissais pas, sa chatte à peine voilée par un slip blanc minuscule assortie au bustier laissant deviner la fine toison brune ornant son nid d'amour.
Waouh..............en regardant avec des yeux prêts à sortir de leurs orbites, quelle tenue !
Un petit caprice dont tu pourras profiter prochainement me dit elle !
Elle a enfilé des haut talons assortis à sa robe puis une veste noire, je l'ai embrassé en lui souhaitant une bonne soirée.
Même remarque du voisin d'en face quand il l'a vu monter dans sa voiture.
Elle est de sortie me dit il ? avec un regard vicieux sur ses jambes,
Une soirée à son travail que je lui ai répondu.
Elle est rentrée le lendemain comme entendu vers 10 heures 30, le visage marqué par sa soirée et sa nuit.
Elle est montée vite fait prendre une douche et se changer car comme tous les dimanches où presque nous déjeunons chez ses parents à une trentaine de kilomètres. J'ai profité qu'elle soit dans la chambre pour fouiller le bac à linge. En évidence au dessus du monticule de linge, le minuscule slip que j'ai porté à mes narines après avoir palper l'entre cuisse poisseux et gluant du sperme de son amant.
Dans la voiture nous n'avons pas pu beaucoup débattre de sa soirée cause à notre fils à l'arrière, elle m'a quand même à mots couverts fait un récit de son aventure, inutile de vous dire qu'en descendant de celui ci je bandais un maximum.
A notre retour, nous avons rapidement soupé puis nous avons couché notre fils, enfin j'allais pouvoir recueillir la confession de mon épouse.
A peine arrivée chez Valéry, celui ci fut comme moi agréablement surpris du soin vestimentaire pour lequel elle avait opté, ils s'embrassèrent avant qu'il ne l'invite à s'assoir près de lui.
Il n' était pas encore habillé et ne portait qu'un caleçon.
De suite il lui propose un punch copieusement alcoolisé lui disant : autant commencé de suite il n'y aura que cela à boire ce soir.
En s'asseyant, sa robe déjà courte dévoila grandement ses cuisses jusqu' la lisière des bas, il posa sa main sur la cuisse ainsi dénudée, elle n'opposa aucune résistance quand celle-ci disparut sous le tissus et remonta jusqu'a son entrejambe.
La suite......
Il la doigte délicatement et elle sent sa chatte se liquéfier. S'en rendant compte Valéry lui propose de retirer sa robe ce qu'elle fait de suite et se présente en guêpière soutenant ses bas, chaussée de ses haut talons et de sa minuscule culotte.
Retire là, ce soir je veux que tu sois nue sous ta robe, ton sexe et tes fesses se doivent de m' être accessible à tout moment.
Elle s'en débarrasse immédiatement et la jette sur la table du salon, elle y restera jusqu'au lendemain.
Je te plais ainsi lui demande t elle ?
Parfait, tu vas en faire bander plus d'un ce soir.
Elle s'agenouille devant lui, glisse sa main dans l'ouverture du caleçon et enserre la queue en érection,
quel hommage à ma personne lui dit elle, puis commence par branler son amant qui ferme les yeux pour mieux apprécier la caresse. Elle s'active sur le membre un long moment avant de l'extraire de son cocon et de l'emboucher, salivant sur cette queue qui va l'honorer durant plusieurs heures. Il la complimente pour son savoir faire en la matière tout en appréciant la douceur de sa bouche. Il se retient, il n'a pas envie de jouir de suite, il en veut d'avantage, quelques minutes plus tard et alors qu'il aurait pu se vider à plusieurs reprises il quitte cet antre humide.
Il l'emmène dans sa chambre, un placard, un lit, une table de nuit, rien d'assortie, des photos des iles dont il est originaire.
Il se positionne à genoux, la tête plaqué au matelas qui a du en voir des femmes nues se donner sans retenues, consommant leurs liaisons adultères avec le beau Valéry.
Il ouvre le tiroir de la table de nuit et en ressorts un flacon d'huile essentielle.
Mets en sur tes mains et masse moi le sexe avec lui commande t il !
Elle se plie à sa demande, pour ce faire elle s'agenouille sa chatte se plaquant sur sa nuque, ses seins écrasant le dos nu de son amant, son visage reposant sur les fesses de Valéry. Sous ses yeux, le cratère anal, elle sait ce qu'il va demander, elle entoure ses bras autour des hanches et ses mains se posent sur le sexe tendu, elles coulissent sur toute la longueur, l'huile facilite le massage de cette queue qui lui parait démesurée, cela va durer un long moment où instinctivement avec sa langue elle va finir par effleurer et caresser la fleur anale de l'homme noir. C'est avec ce traitement qu'il va venir tâcher les draps douteux de son lit, en poussant un râle de satisfaction. Partiellement vidé, il se mets sur le dos, elle va se jeter sur cette queue pour recueillir les dernières gouttes qui perlent sur le gland.
Il est en forme, car pour autant il ne débande pas et se mettant à cheval sur lui, elle empoigne son dard et s'empale dessus, elle le fait avec douceur pour pleinement apprécier le volume de cette queue.
Lui ne bouge pas, c'est elle qui s'active sur lui pour parvenir finalement à être emportée par un orgasme fulgurant.
Vers 21 heures ils sont toujours dans le lit, elle s'est lovée contre lui et resterait bien ainsi, mais il est grand temps pour les deux amants de filer à la soirée.
Valéry s'habille sommairement, elle a rajusté sa tenue, enfilé sa robe en prenant soin de ne pas remettre sa culotte comme il lui a demandé, s'est remaquillée un peu, elle a épongé l'excédent de foutre qui coule de sa chatte, mais néanmoins un liquide gras qu'elle connait bien vient s'étendre sur la peau nue de ses cuisses.
Elle se sent bien et surtout " Salope " !
Durant la soirée, elle sait ce que doivent penser bien des gens présents qui connaissent le gaillard surtout qu'elle n'a pas retiré son alliance et qu'avec sa robe rouge elle fait sensation. Certes ce n'est pas la seule blanche mais elle attire le regard envieux de bien des hommes.
Les danses l'emportent sur la piste pratiquement sans cesse, elle a plusieurs cavaliers qui se pressent pour la solliciter, mais qui se pressent également contre son ventre, elle peut jauger une multitudes de membres durs, fièrement dressés contre son ventre et qui aimeraient plonger au plus profond de son nid d'amour pour en expulser leurs venins.
Au cours de la soirée, debout au coté de Valéry, elle sent la main de son amant remonter le long de ses cuisses, délicatement elle desserre l'étau de ses jambes, il apprécie l'audace, puis avec son doigt il commence par fouiller dans le nid humide de sa femelle avant de le retirer et venir humecter la rose anale, il recommence plusieurs fois le mouvement avant de titiller le muscle qui finalement va s'ouvrir à l'intrus et va le plonger profondément dans ses reins. Elle regarde autour d'elle, des gens pourraient apercevoir ce qu'elle subit mais la pénombre de la salle ne permets pas à ceux ci de le remarquer. Par contre, cette situation ne la laisse pas de marbre, son sexe ruisselle, elle a envie qu'il l'emmène dans un endroit isolé, elle lui chuchote son désir à l'oreille. Son doigt continue d' assouplir sa rosette, elle souhaite être baisée, maintenant.
Il va accepter sa requête et se dirige ensemble aux toilettes.
Ils s'enferment dans celui réservé aux handicapés, rapidement il la fait se pencher en appui sur la chasse d'eau, retrousse sa robe, elle écarte ses jambes, il extrait son membre de son pantalon et le plonge sans douceur dans les reins de ma femme. Elle aurait préféré qu'il la prenne vaginalement mais peu importe elle le sent en elle, il l'a pilonne ainsi de longues minutes, elle se mord les lèvres pour ne pas ameuter tout le monde, même si pour certains qui les ont vu partir, savent ce qu'ils sont partis y faire. Dans son élan il va l'insulter, la traitant de tous les mots, ce qui va décupler son plaisir au moment où tous deux vont prendre leurs pieds crachant son foutre profondément en elle.
Sans culotte, il la laisse seule dans les toilettes afin qu'elle puisse essuyer le liquide séminal qui s'extrait de ses intestins et qui pourrait tâcher la robe.
Le restant de la soirée, elle va danser avec Valéry et d'autres hommes, plusieurs fois elle va devoir retirer des mains trop audacieuses qui se posent tantôts sur ses fesses, ses seins lorsque le peu de lumière de la salle le permets et même une fois lorsque l'une d'elle se glisse sous sa robe et vient palper son entrecuisse quelques instants.
Ils sont de retour vers cinq heures, son appétit n'a pas faibli, elle sait qu'après ce sera terminé pour quelques semaines, il n'est pas question qu'elle s'affranchisse régulièrement avec Valéry, c'est notre contrat.
Ils prennent un verre de punch sur le canapé, il lui propose une cigarette qu'il a lui même roulé, la première bouffée la fait toussoter, ils en rigolent, elle se sent bien, trop manifestement, un deuxième punch et une autre bouffée, son cerveau se coupe du monde, elle ne s'aperçoit pas qu'un autre homme est assis à ses cotés. C 'est le tonton comme l'appelle Valéry.
Il doit avoir près de soixante dix ans mais en parait quinze de moins, c'est lui tout à l'heure qui lui a flatté la croupe mais sur le moment elle ne s'en souvient plus.
Assise au milieu des deux hommes, une cuisse sur chacune de ses tourmenteurs, elle sent à peine les mains qui fouillent son intimité. Elle se laisse embrasser sans réagir, Valéry, le Tonton, elle n'en sait rien, une douce chaleur irradie ses reins, elle n'est plus qu'une poupée de chair qui va contenter les deux hommes. Plus tard dans le lit où ils l'ont déposé elle apprécie les caresses divers qui lui sont prodiguées, sans savoir lequel lui bouffe la chatte, lequel s'active dans sa bouche. Tour à tour, ils vont l'amener vers la jouissance, cessant leurs attouchements avant qu'elle ne prenne complètement son pied.
C'est presque un supplice pour elle lorsqu'il la délaisse alors que son corps réclame la caresse ultime.
Ils se jouent de son plaisir tout en affinant le leurs.
Lequel va la pénétrer le premier, elle ne s'en souvient pas trop, peut-être le tonton car il lui semble que le sexe qui la pourfends n'est pas celui de Valéry. Elle est sur le dos, sa tête dans le vide, les cuisses bien relevées, sa chatte béante, le membre qui glisse le long de ses lèvres intimes, ce sexe qui va la posséder, ce sexe qui glisse dans sa grotte, distendant ses chairs humides, qui vient percuter son utérus, puis se retire et reprends possession de son ventre.
Il va accroitre la cadence, elle souffle, pousse de petits cris de contentements, l'homme va l'emmener à son plaisir tout en prenant le sien et c'est de concert que les deux amants jouissent bruyamment, tout en lui déversant son foutre au plus profond de son intimité.
L'autre, sans doute Valéry remplace rapidement le " tonton " dans l'antre humide de sa femelle, puisque c'est ainsi qu' il la considère, elle n'est pas la première et sans doute pas le dernière à avoir du plaisir dans ce lit. Il s'active également dans la chatte de mon épouse qui continue à être dévastée par les ondes de plaisir qui la submergent. Elle a le sentiment d'avoir orgasme sur orgasme, quelque chose de nouveau pour elle, habituée à avoir une,
exceptionnellement deux jouissance de temps à autre en fonction de ses émotions. Peut être les conséquences de cette cigarette consommée avec les deux hommes.
Les ébats prendront fin, les plongeants tout trois dans un sommeil récupérateur.
Peu après 9 heures, elle se réveille et sent la présence des deux hommes nus comme elle qui l'entoure dans cette chambre, elle les regarde un instant, ses yeux s'arrêtant sur leurs sexes ramollis.
Elle se lève et va se soulager aux toilettes, quand elle en ressort elle tombe nez à nez sur le tonton qui a du l'entendre quitter la couche. Son regard se pose sur le sexe de l'homme qui est dressé, elle n'a pas le temps de réagir que déjà il la plie sur le dossier du canapé, lui soulève une jambe qu'il mets en appui également sur le dossier et rapidement il la pénètre profondément. Quelques va et viens dans son nid d'amour et elle sent la queue du tonton grossir dans ses chairs et un nouveau flot de foutre jaillit en elle, il n'en faut pas plus pour que ses sens encore en éveil la transporte à nouveau dans une jouissance contenue. Il se retire et se dirige à son tour aux toilettes, elle retourne dans le lit où l'attends Valéry qui sait ce qui vient de se passer au salon. Son sexe est tout aussi droit que celui du tonton et il invite Chantal à s'empaler dessus, ce qu'elle fait en s'asseyant sur le pieu fièrement dressé.
Si cette nuit elle n'a pas reconnu qui la prenait, ce matin elle retrouve la sensation d'être totalement investit par l'appendice de son amant black tout comme ce fut le cas mercredi dans la nuit et jeudi matin.
Ses seins viennent écrasés le torse musclé, sa bouche se pose sur les lèvres de l'homme, c'est elle qui donne le rythme du coït. Le ballet va durer quelques minutes, les deux amants vont comme tout à l'heure jouir de concert. Valéry va honorer de sa semence le nid d'amour de mon épouse. A peine a t il finit de s'épancher en elle, qu'elle se détache de son amant pour à genoux venir recueillir les dernières gouttes de sperme qui suintent sur le gland d'ébène.
Un jeu de mains se poursuivit encore une petite demi-heure, puis elle prit congés.
Elle refusera le café qui lui fut proposé par les deux hommes, enfila sa robe à même sa peau nue, sans remettre ni culotte ,ni guêpière et elle rentra ainsi satisfaite de sa soirée et nuit.
Quelques jours plus tard, le jeudi soir pour être précis, elle rentra de son travail contrarié.
Lorsque nous fûmes couchés un peu plus tardivement, elle me confessa que dans la matinée elle avait reçu au travail un appel de " tonton " qui lui proposé de la rencontrer entre midi.
Ne sachant ce qu'il voulait, elle le rejoignit dans sa voiture sur le parking du supermarché qui jouxte son lieu de travail, il démarra et la conduisit pas très loin, près d'une base nautique où il nous arrive de faire un peu de planche à voile. A l'abri des regards il lui fit comprendre qu'il souhaitait un câlin, elle chercha à l'en dissuader mais le septuagénaire ne l'entendait pas ainsi.
Après une discussion tendue, elle tenta de négocier et lui proposa une fellation pour calmer ses ardeurs, ce qu'il accepta à condition tout de fois qu'elle retire jupe et chemisier. Ne pouvant refuser, elle se dévêtit et c'est en sous vêtements qu'elle s'exécuta. Lui retira prestement son pantalon et son slip exhibant fièrement son vit à mon épouse qui commença par le masturber puis se contorsionna dans le véhicule afin d'avoir une position plus confortable pour le satisfaire. Il soupira d'aise lorsqu'avec sa langue elle humecta sa queue ébène, il en profita par glisser une de ses mains entre ses cuisses et flatter la croupe ainsi offerte. Le contact de cette main sur son intimité suivit d'un doigt qui glissa sous l'élastique de sa culotte et vint titiller son clitoris lui retira tout bon sens et elle s'affaira encore plus sur le membre qui violait sa bouche. Ses sens étaient bouleversés, à présent elle oubliait sa morale, l'épouse et la mère qu'elle était. Seul la queue de tonton guidait son envie et sans même qu'il n'en fasse la demande, elle se positionna au dessus de ce pal, écarta l'étoffe de sa culotte et s'empala dessus. Tout heureux du cheminement que prenait cette partie de jambe en l'air, il lui dégrafa son soutien gorge afin de voir ses seins balançaient au rythme du coït. Cherchant à faire durer la joute sexuelle, les deux protagonistes se concentrèrent sur leur propre plaisir. Ils atteignirent le point de non retour ensemble, le gonflement de la queue dans sa chatte stimula sa propre jouissance et quand elle sentit le foutre chaud projeté dans ses entrailles, elle s'abandonna totalement à son plaisir. Ils restèrent un long moment ainsi soudé, puis le membre s'extirpa du conduit chaud et humide, un surplus de sperme s'écoula de sa chatte, un kleenex habillement donné lui permit d'essuyer les traces de leurs ébats. Il la raccompagna sur son lieu de travail, un collègue qu'elle aurait souhaité éviter, les vit s'embrasser avant qu'elle ne descende du véhicule, contrarié d'avoir été vue avec un black !
Samedi 13 heures, je pars avec mon fils pour son foot, mon épouse va profiter de notre absence pour se préparer à passer la soirée avec Valéry, que dis je... la soirée et la nuit avec mon accord !
Nous sommes de retour il est passé 17 heures, Chantal est encore en peignoir, dans la maison flotte une brume de n° 5, son parfum, je m'étonne qu'elle ne soit pas encore habillée...
J'allais le faire, je ne voulais pas froisser ma robe avant la soirée.
Notre fils est parti rejoindre sa copine Nat, qui habite en face.
Quand elle est redescendue, elle portait une robe rouge mi-cuisse, les jambes gainées avec des bas blanc, seul dans le salon je lui ai demandé de me montrer ses dessous. Elle s'est retroussée pour me faire voir les jarretières qui soutenaient ses bas maintenus par un bustier de dentelle blanche que je ne lui connaissais pas, sa chatte à peine voilée par un slip blanc minuscule assortie au bustier laissant deviner la fine toison brune ornant son nid d'amour.
Waouh..............en regardant avec des yeux prêts à sortir de leurs orbites, quelle tenue !
Un petit caprice dont tu pourras profiter prochainement me dit elle !
Elle a enfilé des haut talons assortis à sa robe puis une veste noire, je l'ai embrassé en lui souhaitant une bonne soirée.
Même remarque du voisin d'en face quand il l'a vu monter dans sa voiture.
Elle est de sortie me dit il ? avec un regard vicieux sur ses jambes,
Une soirée à son travail que je lui ai répondu.
Elle est rentrée le lendemain comme entendu vers 10 heures 30, le visage marqué par sa soirée et sa nuit.
Elle est montée vite fait prendre une douche et se changer car comme tous les dimanches où presque nous déjeunons chez ses parents à une trentaine de kilomètres. J'ai profité qu'elle soit dans la chambre pour fouiller le bac à linge. En évidence au dessus du monticule de linge, le minuscule slip que j'ai porté à mes narines après avoir palper l'entre cuisse poisseux et gluant du sperme de son amant.
Dans la voiture nous n'avons pas pu beaucoup débattre de sa soirée cause à notre fils à l'arrière, elle m'a quand même à mots couverts fait un récit de son aventure, inutile de vous dire qu'en descendant de celui ci je bandais un maximum.
A notre retour, nous avons rapidement soupé puis nous avons couché notre fils, enfin j'allais pouvoir recueillir la confession de mon épouse.
A peine arrivée chez Valéry, celui ci fut comme moi agréablement surpris du soin vestimentaire pour lequel elle avait opté, ils s'embrassèrent avant qu'il ne l'invite à s'assoir près de lui.
Il n' était pas encore habillé et ne portait qu'un caleçon.
De suite il lui propose un punch copieusement alcoolisé lui disant : autant commencé de suite il n'y aura que cela à boire ce soir.
En s'asseyant, sa robe déjà courte dévoila grandement ses cuisses jusqu' la lisière des bas, il posa sa main sur la cuisse ainsi dénudée, elle n'opposa aucune résistance quand celle-ci disparut sous le tissus et remonta jusqu'a son entrejambe.
La suite......
Il la doigte délicatement et elle sent sa chatte se liquéfier. S'en rendant compte Valéry lui propose de retirer sa robe ce qu'elle fait de suite et se présente en guêpière soutenant ses bas, chaussée de ses haut talons et de sa minuscule culotte.
Retire là, ce soir je veux que tu sois nue sous ta robe, ton sexe et tes fesses se doivent de m' être accessible à tout moment.
Elle s'en débarrasse immédiatement et la jette sur la table du salon, elle y restera jusqu'au lendemain.
Je te plais ainsi lui demande t elle ?
Parfait, tu vas en faire bander plus d'un ce soir.
Elle s'agenouille devant lui, glisse sa main dans l'ouverture du caleçon et enserre la queue en érection,
quel hommage à ma personne lui dit elle, puis commence par branler son amant qui ferme les yeux pour mieux apprécier la caresse. Elle s'active sur le membre un long moment avant de l'extraire de son cocon et de l'emboucher, salivant sur cette queue qui va l'honorer durant plusieurs heures. Il la complimente pour son savoir faire en la matière tout en appréciant la douceur de sa bouche. Il se retient, il n'a pas envie de jouir de suite, il en veut d'avantage, quelques minutes plus tard et alors qu'il aurait pu se vider à plusieurs reprises il quitte cet antre humide.
Il l'emmène dans sa chambre, un placard, un lit, une table de nuit, rien d'assortie, des photos des iles dont il est originaire.
Il se positionne à genoux, la tête plaqué au matelas qui a du en voir des femmes nues se donner sans retenues, consommant leurs liaisons adultères avec le beau Valéry.
Il ouvre le tiroir de la table de nuit et en ressorts un flacon d'huile essentielle.
Mets en sur tes mains et masse moi le sexe avec lui commande t il !
Elle se plie à sa demande, pour ce faire elle s'agenouille sa chatte se plaquant sur sa nuque, ses seins écrasant le dos nu de son amant, son visage reposant sur les fesses de Valéry. Sous ses yeux, le cratère anal, elle sait ce qu'il va demander, elle entoure ses bras autour des hanches et ses mains se posent sur le sexe tendu, elles coulissent sur toute la longueur, l'huile facilite le massage de cette queue qui lui parait démesurée, cela va durer un long moment où instinctivement avec sa langue elle va finir par effleurer et caresser la fleur anale de l'homme noir. C'est avec ce traitement qu'il va venir tâcher les draps douteux de son lit, en poussant un râle de satisfaction. Partiellement vidé, il se mets sur le dos, elle va se jeter sur cette queue pour recueillir les dernières gouttes qui perlent sur le gland.
Il est en forme, car pour autant il ne débande pas et se mettant à cheval sur lui, elle empoigne son dard et s'empale dessus, elle le fait avec douceur pour pleinement apprécier le volume de cette queue.
Lui ne bouge pas, c'est elle qui s'active sur lui pour parvenir finalement à être emportée par un orgasme fulgurant.
Vers 21 heures ils sont toujours dans le lit, elle s'est lovée contre lui et resterait bien ainsi, mais il est grand temps pour les deux amants de filer à la soirée.
Valéry s'habille sommairement, elle a rajusté sa tenue, enfilé sa robe en prenant soin de ne pas remettre sa culotte comme il lui a demandé, s'est remaquillée un peu, elle a épongé l'excédent de foutre qui coule de sa chatte, mais néanmoins un liquide gras qu'elle connait bien vient s'étendre sur la peau nue de ses cuisses.
Elle se sent bien et surtout " Salope " !
Durant la soirée, elle sait ce que doivent penser bien des gens présents qui connaissent le gaillard surtout qu'elle n'a pas retiré son alliance et qu'avec sa robe rouge elle fait sensation. Certes ce n'est pas la seule blanche mais elle attire le regard envieux de bien des hommes.
Les danses l'emportent sur la piste pratiquement sans cesse, elle a plusieurs cavaliers qui se pressent pour la solliciter, mais qui se pressent également contre son ventre, elle peut jauger une multitudes de membres durs, fièrement dressés contre son ventre et qui aimeraient plonger au plus profond de son nid d'amour pour en expulser leurs venins.
Au cours de la soirée, debout au coté de Valéry, elle sent la main de son amant remonter le long de ses cuisses, délicatement elle desserre l'étau de ses jambes, il apprécie l'audace, puis avec son doigt il commence par fouiller dans le nid humide de sa femelle avant de le retirer et venir humecter la rose anale, il recommence plusieurs fois le mouvement avant de titiller le muscle qui finalement va s'ouvrir à l'intrus et va le plonger profondément dans ses reins. Elle regarde autour d'elle, des gens pourraient apercevoir ce qu'elle subit mais la pénombre de la salle ne permets pas à ceux ci de le remarquer. Par contre, cette situation ne la laisse pas de marbre, son sexe ruisselle, elle a envie qu'il l'emmène dans un endroit isolé, elle lui chuchote son désir à l'oreille. Son doigt continue d' assouplir sa rosette, elle souhaite être baisée, maintenant.
Il va accepter sa requête et se dirige ensemble aux toilettes.
Ils s'enferment dans celui réservé aux handicapés, rapidement il la fait se pencher en appui sur la chasse d'eau, retrousse sa robe, elle écarte ses jambes, il extrait son membre de son pantalon et le plonge sans douceur dans les reins de ma femme. Elle aurait préféré qu'il la prenne vaginalement mais peu importe elle le sent en elle, il l'a pilonne ainsi de longues minutes, elle se mord les lèvres pour ne pas ameuter tout le monde, même si pour certains qui les ont vu partir, savent ce qu'ils sont partis y faire. Dans son élan il va l'insulter, la traitant de tous les mots, ce qui va décupler son plaisir au moment où tous deux vont prendre leurs pieds crachant son foutre profondément en elle.
Sans culotte, il la laisse seule dans les toilettes afin qu'elle puisse essuyer le liquide séminal qui s'extrait de ses intestins et qui pourrait tâcher la robe.
Le restant de la soirée, elle va danser avec Valéry et d'autres hommes, plusieurs fois elle va devoir retirer des mains trop audacieuses qui se posent tantôts sur ses fesses, ses seins lorsque le peu de lumière de la salle le permets et même une fois lorsque l'une d'elle se glisse sous sa robe et vient palper son entrecuisse quelques instants.
Ils sont de retour vers cinq heures, son appétit n'a pas faibli, elle sait qu'après ce sera terminé pour quelques semaines, il n'est pas question qu'elle s'affranchisse régulièrement avec Valéry, c'est notre contrat.
Ils prennent un verre de punch sur le canapé, il lui propose une cigarette qu'il a lui même roulé, la première bouffée la fait toussoter, ils en rigolent, elle se sent bien, trop manifestement, un deuxième punch et une autre bouffée, son cerveau se coupe du monde, elle ne s'aperçoit pas qu'un autre homme est assis à ses cotés. C 'est le tonton comme l'appelle Valéry.
Il doit avoir près de soixante dix ans mais en parait quinze de moins, c'est lui tout à l'heure qui lui a flatté la croupe mais sur le moment elle ne s'en souvient plus.
Assise au milieu des deux hommes, une cuisse sur chacune de ses tourmenteurs, elle sent à peine les mains qui fouillent son intimité. Elle se laisse embrasser sans réagir, Valéry, le Tonton, elle n'en sait rien, une douce chaleur irradie ses reins, elle n'est plus qu'une poupée de chair qui va contenter les deux hommes. Plus tard dans le lit où ils l'ont déposé elle apprécie les caresses divers qui lui sont prodiguées, sans savoir lequel lui bouffe la chatte, lequel s'active dans sa bouche. Tour à tour, ils vont l'amener vers la jouissance, cessant leurs attouchements avant qu'elle ne prenne complètement son pied.
C'est presque un supplice pour elle lorsqu'il la délaisse alors que son corps réclame la caresse ultime.
Ils se jouent de son plaisir tout en affinant le leurs.
Lequel va la pénétrer le premier, elle ne s'en souvient pas trop, peut-être le tonton car il lui semble que le sexe qui la pourfends n'est pas celui de Valéry. Elle est sur le dos, sa tête dans le vide, les cuisses bien relevées, sa chatte béante, le membre qui glisse le long de ses lèvres intimes, ce sexe qui va la posséder, ce sexe qui glisse dans sa grotte, distendant ses chairs humides, qui vient percuter son utérus, puis se retire et reprends possession de son ventre.
Il va accroitre la cadence, elle souffle, pousse de petits cris de contentements, l'homme va l'emmener à son plaisir tout en prenant le sien et c'est de concert que les deux amants jouissent bruyamment, tout en lui déversant son foutre au plus profond de son intimité.
L'autre, sans doute Valéry remplace rapidement le " tonton " dans l'antre humide de sa femelle, puisque c'est ainsi qu' il la considère, elle n'est pas la première et sans doute pas le dernière à avoir du plaisir dans ce lit. Il s'active également dans la chatte de mon épouse qui continue à être dévastée par les ondes de plaisir qui la submergent. Elle a le sentiment d'avoir orgasme sur orgasme, quelque chose de nouveau pour elle, habituée à avoir une,
exceptionnellement deux jouissance de temps à autre en fonction de ses émotions. Peut être les conséquences de cette cigarette consommée avec les deux hommes.
Les ébats prendront fin, les plongeants tout trois dans un sommeil récupérateur.
Peu après 9 heures, elle se réveille et sent la présence des deux hommes nus comme elle qui l'entoure dans cette chambre, elle les regarde un instant, ses yeux s'arrêtant sur leurs sexes ramollis.
Elle se lève et va se soulager aux toilettes, quand elle en ressort elle tombe nez à nez sur le tonton qui a du l'entendre quitter la couche. Son regard se pose sur le sexe de l'homme qui est dressé, elle n'a pas le temps de réagir que déjà il la plie sur le dossier du canapé, lui soulève une jambe qu'il mets en appui également sur le dossier et rapidement il la pénètre profondément. Quelques va et viens dans son nid d'amour et elle sent la queue du tonton grossir dans ses chairs et un nouveau flot de foutre jaillit en elle, il n'en faut pas plus pour que ses sens encore en éveil la transporte à nouveau dans une jouissance contenue. Il se retire et se dirige à son tour aux toilettes, elle retourne dans le lit où l'attends Valéry qui sait ce qui vient de se passer au salon. Son sexe est tout aussi droit que celui du tonton et il invite Chantal à s'empaler dessus, ce qu'elle fait en s'asseyant sur le pieu fièrement dressé.
Si cette nuit elle n'a pas reconnu qui la prenait, ce matin elle retrouve la sensation d'être totalement investit par l'appendice de son amant black tout comme ce fut le cas mercredi dans la nuit et jeudi matin.
Ses seins viennent écrasés le torse musclé, sa bouche se pose sur les lèvres de l'homme, c'est elle qui donne le rythme du coït. Le ballet va durer quelques minutes, les deux amants vont comme tout à l'heure jouir de concert. Valéry va honorer de sa semence le nid d'amour de mon épouse. A peine a t il finit de s'épancher en elle, qu'elle se détache de son amant pour à genoux venir recueillir les dernières gouttes de sperme qui suintent sur le gland d'ébène.
Un jeu de mains se poursuivit encore une petite demi-heure, puis elle prit congés.
Elle refusera le café qui lui fut proposé par les deux hommes, enfila sa robe à même sa peau nue, sans remettre ni culotte ,ni guêpière et elle rentra ainsi satisfaite de sa soirée et nuit.
Quelques jours plus tard, le jeudi soir pour être précis, elle rentra de son travail contrarié.
Lorsque nous fûmes couchés un peu plus tardivement, elle me confessa que dans la matinée elle avait reçu au travail un appel de " tonton " qui lui proposé de la rencontrer entre midi.
Ne sachant ce qu'il voulait, elle le rejoignit dans sa voiture sur le parking du supermarché qui jouxte son lieu de travail, il démarra et la conduisit pas très loin, près d'une base nautique où il nous arrive de faire un peu de planche à voile. A l'abri des regards il lui fit comprendre qu'il souhaitait un câlin, elle chercha à l'en dissuader mais le septuagénaire ne l'entendait pas ainsi.
Après une discussion tendue, elle tenta de négocier et lui proposa une fellation pour calmer ses ardeurs, ce qu'il accepta à condition tout de fois qu'elle retire jupe et chemisier. Ne pouvant refuser, elle se dévêtit et c'est en sous vêtements qu'elle s'exécuta. Lui retira prestement son pantalon et son slip exhibant fièrement son vit à mon épouse qui commença par le masturber puis se contorsionna dans le véhicule afin d'avoir une position plus confortable pour le satisfaire. Il soupira d'aise lorsqu'avec sa langue elle humecta sa queue ébène, il en profita par glisser une de ses mains entre ses cuisses et flatter la croupe ainsi offerte. Le contact de cette main sur son intimité suivit d'un doigt qui glissa sous l'élastique de sa culotte et vint titiller son clitoris lui retira tout bon sens et elle s'affaira encore plus sur le membre qui violait sa bouche. Ses sens étaient bouleversés, à présent elle oubliait sa morale, l'épouse et la mère qu'elle était. Seul la queue de tonton guidait son envie et sans même qu'il n'en fasse la demande, elle se positionna au dessus de ce pal, écarta l'étoffe de sa culotte et s'empala dessus. Tout heureux du cheminement que prenait cette partie de jambe en l'air, il lui dégrafa son soutien gorge afin de voir ses seins balançaient au rythme du coït. Cherchant à faire durer la joute sexuelle, les deux protagonistes se concentrèrent sur leur propre plaisir. Ils atteignirent le point de non retour ensemble, le gonflement de la queue dans sa chatte stimula sa propre jouissance et quand elle sentit le foutre chaud projeté dans ses entrailles, elle s'abandonna totalement à son plaisir. Ils restèrent un long moment ainsi soudé, puis le membre s'extirpa du conduit chaud et humide, un surplus de sperme s'écoula de sa chatte, un kleenex habillement donné lui permit d'essuyer les traces de leurs ébats. Il la raccompagna sur son lieu de travail, un collègue qu'elle aurait souhaité éviter, les vit s'embrasser avant qu'elle ne descende du véhicule, contrarié d'avoir été vue avec un black !
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Mickey57
3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Moi, j'adore. La suite risque d'être difficile pour le mari, un black ne laisse jamais partir sa proie.
Un pavé difficile à lire... pour un hsitoire bien chaude ! Dommage !
Encore une situation qui va déraper. Quelques jours après, déjà elle ne reste plus le contrat passé avec son époux...