Son prénom est plaisir...
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-06-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Son prénom est plaisir...
Je peux affirmer que je me suis masturbé pour la première fois à 13 ans. Depuis, j’ai toujours eu un goût immodéré pour ce plaisir que l’on dit solitaire. Même marié et satisfait dans le domaine des rapports sexuels, je n’en ai pas moins continué à me branler. Depuis peu, je vis seul et cela ne fait qu’accentuer mon vice.
À ce penchant s’en ajoute un second, voyeur. Oui, j’aime apercevoir, entrevoir, non pas en regardant des exhibitionnistes, mais en comptant sur la chance et le hasard pour pouvoir satisfaire mon goût pour les petites culottes entrevues. Je dois dire qu’en ce domaine je suis plutôt chanceux, et je ne puis résister à l’envie de vous raconter mon dernier « coup de chance », qui fut particulièrement bandant et qui m’a procuré un plaisir extrême.
Lors de ma première rencontre avec mon avocat pour mon affaire de divorce, j’arrive dans le cabinet avec quelques minutes de retard. Je donne mon nom à la réceptionniste à l’accueil. Elle eut un large sourire avant de roucouler.
- Oui, vous allez prendre l’ascenseur face à vous et monter au deuxième étage. À votre arrivée, une secrétaire vous accueillera et vous accompagnera jusqu’au bureau de maître X.
Une femme, dont la grosse bouche semble faire la moue mais aux yeux d’un très beau bleu, m’accueille à ma sortie, et demande dans un souffle :-Monsieur X ?
-Oui, c’est bien moi, répondis-je-Maître X vous prie de l’excuser, il est retenu par un rendez-vous à l’extérieur. Il vous demande de bien vouloir l’attendre. Si vous voulez bien me suivre.
Elle virevolte, et je découvre une chute de reins incroyablement cambrée, soulignée par la jupe tendue à craquer. Le léger balancement achève de me donner le vertige. Elle ne peut pas ignorer l’effet qu’elle me fait. Arrivée dans un bureau, elle prend place sur une chaise, se tortillant pour croiser des jambes charnues, tant sa jupe est serrée. J’en ai la bouche sèche.
Elle m’invite alors à m’asseoir sur une chaise face à son bureau. N’ayant rien d’autre à faire, je la regarde s’affairer sur son ordinateur, découvrant soudain l’absence d’un panneau devant. Lentement, je sens mon bas-ventre se réchauffer. Mon regard dérape peu à peu sur le bas de la secrétaire. Ses longues jambes douces et effilées se perdent sous la table.
J’ai la curieuse sensation qu’elle se doute que je la regarde. Mon regard ne quitte plus le galbe de ses jambes. Je n’ai qu’une envie, glisser ma main entre ses cuisses. Sous ce bureau, l’univers a changé. Je n’ai plus en face de moi, une secrétaire mais un sexe, un minou que je meurs d’envie d’explorer.
Je m’attarde. Je profite du loisir de scruter ses jambes. Elle se met tout à coup à les croiser. La lumière du jour fait apparaître un léger tissu blanc. Un string en fine dentelle qui surmonte des bas de couleur chair et sensuels. Je me mords les lèvres pour ne pas lâcher un cri de surprise et d’envie. Elle me regarde. A-t-elle deviné l’effet qu’elle me fait ? Sait-elle que l’espace d’une seconde, j’ai dévoré des yeux sa petite dentelle sous sa petite jupe ? Je reste interdit. Ses moindres gestes sont rivés à mes yeux. Mon rêve prend le dessus sur la réalité.
Je la vois, elle esquisse un sourire. Soudain, ses mains descendent jusqu’à sa jupe et, d’un mouvement vif, se glissent dessous pour ressortir aussitôt, entraînant le mince bout de tissu ce qui aussitôt captive mon regard. Lentement, elle le glisse jusqu’à ses genoux et le laisse continuer sa course le long de ses fins mollets avant de s’arrêter sur ses petites chevilles qui surmontent de jolis escarpins noirs.
D’un geste preste elle dégage un pied, et de l’autre fait tournoyer cette fine dentelle. Un coup ! Et le mince voile de tissu blanc file à travers la pièce pour atterrir à deux mètres à droite de ma place. J’ai chaud. Sans un mot, elle écarte ses cuisses pour que je profite du spectacle que ses doigts m’offrent. Une vue imprenable sur son con, complètement offert !
Face à un tel spectacle, je ne peux résister. Son regard pénétrant, son sourire à la fois innocent et satisfait. Elle sait ! Et elle se régale la salope. L’air est électrique et empreint de sensualité !
Je me concentre sur le sujet qui fait que je suis là aujourd’hui, assis sur cette chaise, déviant par la même occasion mon regard, mais rien n’y fait, je sens le sien. Insistant et tentant. J’ai beau insister, le seul spectacle qui s’inscrit dans mon esprit est le sexe de la femme face à moi, trempé et largement ouvert. À nouveau, je jette un œil, incapable de résister. Le tableau qui s’offre à moi est impensable. Une secrétaire modèle absorbée sur son ordinateur, mais en dessous, les cuisses largement écartées, le bassin ondulant en arrière. C’est une vraie débauche sexuelle que je découvre et qui enflamme mon bas-ventre.
La garce enfile à présent son doigt dans son minou. Ressort et replonge à nouveau, laissant apparaître à chaque pénétration un mince filet de mouille qui s’écoule de son antre. Je relève la tête et croise son regard. Il est couronné d’un sourire espiègle et d’un regard soutenu semblant me dire : « La balle et dans ton camp mon chéri ».
Soudain, une sonnerie se fait entendre dans mon cerveau arrêtant court ma rêverie. Je m’aperçois brusquement que tout cela n’est qu’illusion, que la secrétaire est sagement derrière son bureau. Pour attester s’il s’en faut les quelques doutes qui persistent encore, mes yeux se portent à l’endroit où doit se trouver normalement la petite culotte, mais il n’y a rien. « Mon pauvre Alain »À la deuxième sonnerie, la secrétaire se met aussitôt à gigoter. Elle décroche le combiné de téléphone et je l’entends dire.
-Oui !
La conversation fut brève et la femme repose l’appareil sur son socle. Un homme de taille moyenne pénètre quelques instants plus tard dans le bureau, et me serre chaleureusement la main.
-Je suis désolé de vous avoir fait attendre ! Vous ne vous êtes pas trop ennuyé ? Voulez-vous bien me suivre, s’il vous plaît.
Je m’exécute et la précède jusqu’à son bureau.
Une heure plus tard, je fais le chemin inverse. Il me raccompagne jusqu’à la porte. Malheureusement pour moi, la secrétaire est partie.
Besoin de quelques courses, je m’arrête au supermarché. Poussant mon caddie, je m’aventure dans les allées, quand surprise, j’aperçois la secrétaire du cabinet d’avocat qui s’affaire dans le rayon des conserves. Je m’engage à la croiser. Elle me fixe quelques instants et, me reconnaissant, elle me sourit. Soudain, je la vois battre des paupières, voulant tirer une chose de sa poche, elle fait tomber un paquet de mouchoirs. Sans plus attendre, elle se met à éternuer à trois reprises.
Dans un réflexe, elle s’accroupit aussitôt, ma galanterie m’oblige à faire de même, et là ce fut un magnifique spectacle. Sa petite culotte ne cache pas grande chose de son anatomie et je distingue nettement des mèches de poils s’échappant sur les côtés de la bande de tissu blanc. Bonheur ! Moi qui ai horreur des minous chauves ou juste soulignés d’une virgule de quelques poils, je suis gâté !
Je suis dans l’incapacité de détacher les yeux sur le spectacle offert ! je brûle d’envie d’y fourrer la main. Je suis médusé, pétrifié, scotché par cette vision bandante. Une érection spontanée déforme mon pantalon. Je m’empare avant elle du paquet et me redresse.
Que va-t-elle faire ? Mon sexe a un tressaillement au moment où, relevant la tête, elle s’aperçoit de ma gêne. Elle rougit, se redresse visiblement dèçus, reprend possession du paquet et de son caddie et fuit. Je me lève à regret.
Je finis mes emplettes, toujours avec une trique pas possible. Je me presse de sortir pour calmer ma libido. Après avoir chargé ma voiture, je remets le caddie à son emplacement initial au moment où la secrétaire ramène le sien. Nos yeux se croisent. Je ne peux m’empêcher de lui dire.
-Je m’excuse pour ma réaction très masculine, mais ce n’est pas contrôlable.
Elle sourit en me disant :-Après tout, cette réaction est parfaitement naturelle.
Elle a tout de même conscience que le spectacle qu’elle m’a involontairement offert en était la cause. Ne manquant pas d’humour elle ajoute :-J’espère pour vous que votre femme, ou votre amie, sera là pour vous guérir.
Insolente, la petite, mais futée. Je lui réponds :-Je suis en instance de divorce. C’était pour cela mon rendez-vous avec maître X.
-Mais alors ? réplique-t-elle.
-Alors ? Je vais m’en dépatouiller seul.
-Vous voulez dire que vous allez vous… ? souffle-t-elle, sans toutefois oser finir sa phrase.
-C’est cela, répondis-je. Je vais me branler.
Elle me tient alors ce langage stupéfiant.
-Je me sens coupable, même involontairement, de votre délit. En conséquence, je vous dois réparation. Ne voulant pas trahir mon époux, je vous propose le prêt de ma main. Si vous le désirer, je vous invite à aller jusqu’à ma voiture. Ses vitres teintées nous mettront à l’abri des regards.
Je l‘accompagne à son véhicule, nous nous installons à l’arrière.
Elle parait encore plus troublée que moi. Je cherche sa bouche. Ses lèvres à peine fardées s’ouvrent sous mon baiser, nos langues se mêlent. Elle se laisse faire, toute molle.
Allongé sur elle, je fis à l’aveuglette, d’une seule main descendre sa petite lingerie. Je touche la touffe épaisse, déjà collante de mouille. Mes doigts effleurent la fente ruisselante, bordée de lèvres proéminentes. Les bras refermés autour de mon cou, elle ne s’occupe que de ma bouche, comme pour me faire comprendre que je peux m’intéresser à tout le reste.
Tremblant d’impatience, je déloge ma queue de mon pantalon, l’empoigne, l’oriente entre ses cuisses ouvertes. Mon gland se fraye un chemin entre les nymphes, elle ne résiste pas. Au contraire, elle s’ouvre, tendant le ventre en avant. Dedans, elle est étroite. Quand ma queue la pénètre, elle pousse un gémissement plaintif. Et tout son corps s’agite de frissons.
Je pèse sur elle pour m’enfoncer plus avant dans le vagin. Elle tient la tête penchée de côté, pour éviter de croiser mon regard, mais elle me frôle les fesses du bout des doigts, m’incite à poursuivre mes pénétrations. Angoissé par la perspective d’être repéré sur le parking, je me presse de jouir. Je me mets à aller et venir très vite dans le con resserré.
Quand elle comprend, au rythme précipité de mes coups de queue, que je suis sur le point de jouir, elle a une surprenante réaction. Elle referme ses jambes et ses bras sur moi, empêchant mes mouvements.
-Non… non, il ne faut pas !
Je suis trop excité pour m’arrêter. D’un violent coup de reins, je l’oblige à s’ouvrir de nouveau. Elle pousse une plainte rauque quand ma verge heurte le fond de son vagin. Vaincue, elle s’abandonne au va-et-vient de mon sexe dans le sien. Je sens mon membre se crisper, projeter de longs jets de sperme.
Une fois apaisé, elle cambre les reins pour me pousser à me retirer. Elle n’a pas joui. Je me sens coupable du plaisir que j’avais pris sans elle. Elle reste cuisses ouvertes, les petites lèvres encore écartées sur la fente dégorgeante de sperme et de mouille.
-Excuse-moi, j’avais trop envie !
Elle laisse passer un temps puis répond d’une voix très douce :-Ce n’est rien. C’est notre première rencontre. On se revoie au-moins ?
La main sur la poignée de la portière, je la regarde, lui adresse un sourire.
-Pourquoi pas.
-C’était bon ? me questionne-t-elle-Merveilleux, répondis-je en ajoutant : pourrais-je savoir ton prénom ?
-Plaisir. Parfaitement, mon nom est Plaisir.
À ce penchant s’en ajoute un second, voyeur. Oui, j’aime apercevoir, entrevoir, non pas en regardant des exhibitionnistes, mais en comptant sur la chance et le hasard pour pouvoir satisfaire mon goût pour les petites culottes entrevues. Je dois dire qu’en ce domaine je suis plutôt chanceux, et je ne puis résister à l’envie de vous raconter mon dernier « coup de chance », qui fut particulièrement bandant et qui m’a procuré un plaisir extrême.
Lors de ma première rencontre avec mon avocat pour mon affaire de divorce, j’arrive dans le cabinet avec quelques minutes de retard. Je donne mon nom à la réceptionniste à l’accueil. Elle eut un large sourire avant de roucouler.
- Oui, vous allez prendre l’ascenseur face à vous et monter au deuxième étage. À votre arrivée, une secrétaire vous accueillera et vous accompagnera jusqu’au bureau de maître X.
Une femme, dont la grosse bouche semble faire la moue mais aux yeux d’un très beau bleu, m’accueille à ma sortie, et demande dans un souffle :-Monsieur X ?
-Oui, c’est bien moi, répondis-je-Maître X vous prie de l’excuser, il est retenu par un rendez-vous à l’extérieur. Il vous demande de bien vouloir l’attendre. Si vous voulez bien me suivre.
Elle virevolte, et je découvre une chute de reins incroyablement cambrée, soulignée par la jupe tendue à craquer. Le léger balancement achève de me donner le vertige. Elle ne peut pas ignorer l’effet qu’elle me fait. Arrivée dans un bureau, elle prend place sur une chaise, se tortillant pour croiser des jambes charnues, tant sa jupe est serrée. J’en ai la bouche sèche.
Elle m’invite alors à m’asseoir sur une chaise face à son bureau. N’ayant rien d’autre à faire, je la regarde s’affairer sur son ordinateur, découvrant soudain l’absence d’un panneau devant. Lentement, je sens mon bas-ventre se réchauffer. Mon regard dérape peu à peu sur le bas de la secrétaire. Ses longues jambes douces et effilées se perdent sous la table.
J’ai la curieuse sensation qu’elle se doute que je la regarde. Mon regard ne quitte plus le galbe de ses jambes. Je n’ai qu’une envie, glisser ma main entre ses cuisses. Sous ce bureau, l’univers a changé. Je n’ai plus en face de moi, une secrétaire mais un sexe, un minou que je meurs d’envie d’explorer.
Je m’attarde. Je profite du loisir de scruter ses jambes. Elle se met tout à coup à les croiser. La lumière du jour fait apparaître un léger tissu blanc. Un string en fine dentelle qui surmonte des bas de couleur chair et sensuels. Je me mords les lèvres pour ne pas lâcher un cri de surprise et d’envie. Elle me regarde. A-t-elle deviné l’effet qu’elle me fait ? Sait-elle que l’espace d’une seconde, j’ai dévoré des yeux sa petite dentelle sous sa petite jupe ? Je reste interdit. Ses moindres gestes sont rivés à mes yeux. Mon rêve prend le dessus sur la réalité.
Je la vois, elle esquisse un sourire. Soudain, ses mains descendent jusqu’à sa jupe et, d’un mouvement vif, se glissent dessous pour ressortir aussitôt, entraînant le mince bout de tissu ce qui aussitôt captive mon regard. Lentement, elle le glisse jusqu’à ses genoux et le laisse continuer sa course le long de ses fins mollets avant de s’arrêter sur ses petites chevilles qui surmontent de jolis escarpins noirs.
D’un geste preste elle dégage un pied, et de l’autre fait tournoyer cette fine dentelle. Un coup ! Et le mince voile de tissu blanc file à travers la pièce pour atterrir à deux mètres à droite de ma place. J’ai chaud. Sans un mot, elle écarte ses cuisses pour que je profite du spectacle que ses doigts m’offrent. Une vue imprenable sur son con, complètement offert !
Face à un tel spectacle, je ne peux résister. Son regard pénétrant, son sourire à la fois innocent et satisfait. Elle sait ! Et elle se régale la salope. L’air est électrique et empreint de sensualité !
Je me concentre sur le sujet qui fait que je suis là aujourd’hui, assis sur cette chaise, déviant par la même occasion mon regard, mais rien n’y fait, je sens le sien. Insistant et tentant. J’ai beau insister, le seul spectacle qui s’inscrit dans mon esprit est le sexe de la femme face à moi, trempé et largement ouvert. À nouveau, je jette un œil, incapable de résister. Le tableau qui s’offre à moi est impensable. Une secrétaire modèle absorbée sur son ordinateur, mais en dessous, les cuisses largement écartées, le bassin ondulant en arrière. C’est une vraie débauche sexuelle que je découvre et qui enflamme mon bas-ventre.
La garce enfile à présent son doigt dans son minou. Ressort et replonge à nouveau, laissant apparaître à chaque pénétration un mince filet de mouille qui s’écoule de son antre. Je relève la tête et croise son regard. Il est couronné d’un sourire espiègle et d’un regard soutenu semblant me dire : « La balle et dans ton camp mon chéri ».
Soudain, une sonnerie se fait entendre dans mon cerveau arrêtant court ma rêverie. Je m’aperçois brusquement que tout cela n’est qu’illusion, que la secrétaire est sagement derrière son bureau. Pour attester s’il s’en faut les quelques doutes qui persistent encore, mes yeux se portent à l’endroit où doit se trouver normalement la petite culotte, mais il n’y a rien. « Mon pauvre Alain »À la deuxième sonnerie, la secrétaire se met aussitôt à gigoter. Elle décroche le combiné de téléphone et je l’entends dire.
-Oui !
La conversation fut brève et la femme repose l’appareil sur son socle. Un homme de taille moyenne pénètre quelques instants plus tard dans le bureau, et me serre chaleureusement la main.
-Je suis désolé de vous avoir fait attendre ! Vous ne vous êtes pas trop ennuyé ? Voulez-vous bien me suivre, s’il vous plaît.
Je m’exécute et la précède jusqu’à son bureau.
Une heure plus tard, je fais le chemin inverse. Il me raccompagne jusqu’à la porte. Malheureusement pour moi, la secrétaire est partie.
Besoin de quelques courses, je m’arrête au supermarché. Poussant mon caddie, je m’aventure dans les allées, quand surprise, j’aperçois la secrétaire du cabinet d’avocat qui s’affaire dans le rayon des conserves. Je m’engage à la croiser. Elle me fixe quelques instants et, me reconnaissant, elle me sourit. Soudain, je la vois battre des paupières, voulant tirer une chose de sa poche, elle fait tomber un paquet de mouchoirs. Sans plus attendre, elle se met à éternuer à trois reprises.
Dans un réflexe, elle s’accroupit aussitôt, ma galanterie m’oblige à faire de même, et là ce fut un magnifique spectacle. Sa petite culotte ne cache pas grande chose de son anatomie et je distingue nettement des mèches de poils s’échappant sur les côtés de la bande de tissu blanc. Bonheur ! Moi qui ai horreur des minous chauves ou juste soulignés d’une virgule de quelques poils, je suis gâté !
Je suis dans l’incapacité de détacher les yeux sur le spectacle offert ! je brûle d’envie d’y fourrer la main. Je suis médusé, pétrifié, scotché par cette vision bandante. Une érection spontanée déforme mon pantalon. Je m’empare avant elle du paquet et me redresse.
Que va-t-elle faire ? Mon sexe a un tressaillement au moment où, relevant la tête, elle s’aperçoit de ma gêne. Elle rougit, se redresse visiblement dèçus, reprend possession du paquet et de son caddie et fuit. Je me lève à regret.
Je finis mes emplettes, toujours avec une trique pas possible. Je me presse de sortir pour calmer ma libido. Après avoir chargé ma voiture, je remets le caddie à son emplacement initial au moment où la secrétaire ramène le sien. Nos yeux se croisent. Je ne peux m’empêcher de lui dire.
-Je m’excuse pour ma réaction très masculine, mais ce n’est pas contrôlable.
Elle sourit en me disant :-Après tout, cette réaction est parfaitement naturelle.
Elle a tout de même conscience que le spectacle qu’elle m’a involontairement offert en était la cause. Ne manquant pas d’humour elle ajoute :-J’espère pour vous que votre femme, ou votre amie, sera là pour vous guérir.
Insolente, la petite, mais futée. Je lui réponds :-Je suis en instance de divorce. C’était pour cela mon rendez-vous avec maître X.
-Mais alors ? réplique-t-elle.
-Alors ? Je vais m’en dépatouiller seul.
-Vous voulez dire que vous allez vous… ? souffle-t-elle, sans toutefois oser finir sa phrase.
-C’est cela, répondis-je. Je vais me branler.
Elle me tient alors ce langage stupéfiant.
-Je me sens coupable, même involontairement, de votre délit. En conséquence, je vous dois réparation. Ne voulant pas trahir mon époux, je vous propose le prêt de ma main. Si vous le désirer, je vous invite à aller jusqu’à ma voiture. Ses vitres teintées nous mettront à l’abri des regards.
Je l‘accompagne à son véhicule, nous nous installons à l’arrière.
Elle parait encore plus troublée que moi. Je cherche sa bouche. Ses lèvres à peine fardées s’ouvrent sous mon baiser, nos langues se mêlent. Elle se laisse faire, toute molle.
Allongé sur elle, je fis à l’aveuglette, d’une seule main descendre sa petite lingerie. Je touche la touffe épaisse, déjà collante de mouille. Mes doigts effleurent la fente ruisselante, bordée de lèvres proéminentes. Les bras refermés autour de mon cou, elle ne s’occupe que de ma bouche, comme pour me faire comprendre que je peux m’intéresser à tout le reste.
Tremblant d’impatience, je déloge ma queue de mon pantalon, l’empoigne, l’oriente entre ses cuisses ouvertes. Mon gland se fraye un chemin entre les nymphes, elle ne résiste pas. Au contraire, elle s’ouvre, tendant le ventre en avant. Dedans, elle est étroite. Quand ma queue la pénètre, elle pousse un gémissement plaintif. Et tout son corps s’agite de frissons.
Je pèse sur elle pour m’enfoncer plus avant dans le vagin. Elle tient la tête penchée de côté, pour éviter de croiser mon regard, mais elle me frôle les fesses du bout des doigts, m’incite à poursuivre mes pénétrations. Angoissé par la perspective d’être repéré sur le parking, je me presse de jouir. Je me mets à aller et venir très vite dans le con resserré.
Quand elle comprend, au rythme précipité de mes coups de queue, que je suis sur le point de jouir, elle a une surprenante réaction. Elle referme ses jambes et ses bras sur moi, empêchant mes mouvements.
-Non… non, il ne faut pas !
Je suis trop excité pour m’arrêter. D’un violent coup de reins, je l’oblige à s’ouvrir de nouveau. Elle pousse une plainte rauque quand ma verge heurte le fond de son vagin. Vaincue, elle s’abandonne au va-et-vient de mon sexe dans le sien. Je sens mon membre se crisper, projeter de longs jets de sperme.
Une fois apaisé, elle cambre les reins pour me pousser à me retirer. Elle n’a pas joui. Je me sens coupable du plaisir que j’avais pris sans elle. Elle reste cuisses ouvertes, les petites lèvres encore écartées sur la fente dégorgeante de sperme et de mouille.
-Excuse-moi, j’avais trop envie !
Elle laisse passer un temps puis répond d’une voix très douce :-Ce n’est rien. C’est notre première rencontre. On se revoie au-moins ?
La main sur la poignée de la portière, je la regarde, lui adresse un sourire.
-Pourquoi pas.
-C’était bon ? me questionne-t-elle-Merveilleux, répondis-je en ajoutant : pourrais-je savoir ton prénom ?
-Plaisir. Parfaitement, mon nom est Plaisir.
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