Soumise aux ordres de mon Maître. La maison close. Soumission.
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-07-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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Soumise aux ordres de mon Maître. La maison close. Soumission.
Soumise aux ordres de mon Maître.
La maison close. Soumission.
(Cette histoire est écrite avec la complicité d’une de mes lectrices. Mais je ne vous dirai pas si tout ou partie est fantasme ou réalité. L’auteur)
Toute ? Non ! Encore plus ! L’étranglement à la racine de son sexe fait qu’elle devient encore plus grosse, d’une dureté incroyable. La veine en dessous devient énorme !
Après un long moment de cette prise en main il est prêt pour le grand jeu !
Elle est vraiment magnifique, un mât dressé, mon phare, mon ancrage.
Mais elle n'est pas pour moi, et c'est la brune qui me le rappelle. Elle s'est approchée et un doigt vient caresser son gland. Je retire donc mes mains, mes bras retombent le long de mon corps, je recule, je ne sais plus si j'ai chaud ou froid.
Mon ventre est crispé d'envie. Je resserre les fesses et le périnée pour masser ma vulve et mon vagin, je me sens tellement vide et tu pourrais tellement me remplir.
- Sophie!
J'avais le regard dans le vague, en manque. Je fixe tes yeux.
-Maître, tu la veux ? Tu veux qu’elle te chevauche ? Qu’elle te masturbe à nouveau?
- Oui, je la veux ! Mais avant, met-moi une capote !
Je frotte Son gland violet d’où perle une goutte. Je peux admirer son érection de tous les diables dans mon rôle de voyeuse. Je remonte d’une main le pic qui sursaute et se rebelle, je récupère la goutte qui coule dans mes doigts, c’est chaud c’est mielleux. Hum !
Je choisis un préservatif taille XXL mais j’ai les plus grandes difficultés à le dérouler sur sa verge tellement elle est épaisse, le condom sert la hampe majestueuse.
-Va la chercher amène la moi, offre-moi la jolie petite chatte de cette sirène!
Non, non et non!!!! Il me demande trop, je me sens trahie. Je regarde ce corps de déesse latine, je me regarde, ma robe couvre à nouveau mes fesses, j'ai de belles jambes mais les veines commencent à s'accentuer. Mon ventre est caché, heureusement, il ne supporterait pas la comparaison. Au dessus de mon pubis, une longue cicatrice fine et très estompée et un peu plus haut quelques vergetures... le ventre d'une femme de 47 ans.
Alors, je LE regarde, je LA regarde et je comprends. Comment ne pas avoir envie d'une beauté pareille, elle est vraiment belle, toute en courbes, harmonieuses, lisses, elle est jeune...
Elle a des cheveux courts, un visage en triangle, des pommettes saillantes et une bouche qui doit donner des idées salaces à n'importe quel homme. Mon Maître a bon goût.
Je m'approche à nouveau, pose une main sur ce pieu tant espéré, je l'effleure, comme des ailes de papillon. Je demande à la grognasse de venir, d'écarter ses cuisses pour le chevaucher.
Elle n'écarte pas assez, je lui pince un téton violemment, petite vengeance! Mais elle a l'air d'apprécier!
Je ressens comme une caresse sur mon entre-jambe! Je donne une tape de ma main droite sur le cul rebondi et ferme de l'autre :- Écarte encore!
Je l’installe à califourchon sur Lui, Je fais des petits cercles de Sa queue à l'entrée du vagin de la veinarde. Elle gémit (ou peut-être était-ce moi?). Elle est trempée la gamine, avec sa petite chatte sans relief. J’engage le pic entre ses lèvres. Petit mouvement de bassin de mon Maître, le gland est entré. Elle chevauche fougueusement l’objet de tous mes désirs ! Je suis trop excitée, je monte en flèche, je n’en peux plus.
Des sons stridents parviennent assourdis à mes oreilles, comme dans une sorte d’inconscience.
Je mes suis emparée de mon clitoris avec un plaisir qui se lit sur mon visage. Ils n'ont plus besoin de moi.
Je lâche son braquemart dans une dernière caresse, croise mes bras autour de moi, je me serre fort, ça me fait mal.
Ils sont beaux, elle débute une descente interminable sur MON jouet, je sens comme un frottement en moi, une longue introduction, un tiraillement au fond mon vagin, une crispation de l'utérus.
Je me serre plus fort et j'entends un râle. C'est moi, je me tortille, ondule, je m'imagine à sa place.
Ils se donnent l'un à l'autre, il a entouré de ses mains la taille toute fine de ce mannequin, et elle monte, elle descend. Ses seins ballottent, arrogants... eux aussi me narguent.
Elle est belle, à chaque mouvement, elle irradie, une lumière se dégage comme témoin d'une montée violente de plaisir. Je sens tous mes poils se dresser. Oh Patrick ! Pourquoi?
Ai-je parlé à haute voix?
- Sophie!
- hum?
- Caresse-moi les bourses!
Je m'avance, ses désirs sont loi. Je passe une main sur les reins et les fesses de l'autre, elle est douce. Je m’empare de ses couilles pour une prise en main de ses bourses en révolution. Je caresse à pleine main, du bout des doigts, je joue avec l'une et l'autre, je sens le bracelet qui orne son pieu, je joue, découvre et je rêve.
Quel effet cela me ferait-il de sentir son gland taper mon fond, ses couilles en contact, la dureté du bracelet? Je coule encore. Je meurs d'envie d'être à la place de la taupe (elle gémit aigu, non?) ma main gauche retrouve le chemin sous ma robe.
- Sophie! Non! Tu as eu ton orgasme ! À elle maintenant! Donne-moi ta main ! Fait-moi goûté!
Je lui donne mes doigts de la main gauche, il les prend en bouche. On croirait qu'un fil est relié à mon clitoris, que je sens battre plus fort à chaque coup de langue.
Des bruits obscènes de succion et les gémissements de contentement de cette petite pute sont devenus très fort :
- Humm ! Je vais juter ! Gémit-elle. Ooohhh! Ça vient ! Je vais tout lâcher! Ah ! Baise-moi ! Baise-moi à fond! T’es un queuteur fantastique!
Ce compliment répugnant, choquant, est musique à ses oreilles mais un supplice pour moi.
Elle astique la grosse tige aussi dure qu’elle peut, ses lèvres intimes entrainées par l’épaisseur et la raideur de la trique. Elle s’acharne sur le piston gigantesque qui va-et-vient dans son vagin.
Elle a hâte maintenant de sentir la décharge du Mâle, hâte de recevoir tout le sperme dégorgé par Patrick.
Il saisit ses hanches, enfonçant sa tige de quelques centimètres supplémentaires entre ses lèvres intimes. Je n’ai pas lâché ses coucougnettes. Gémissement aigu (elle!). Gémissement intérieur (moi). Je suis en transe, détachée de tout, concentrée sur ma main droite qui touche lui, elle, qui suit les mouvements.
Et sur ma main gauche, paume contre son menton, trois doigts dans sa bouche, sa langue, son souffle. Hum ! Je me sens écartelée : Lui, la taupe, mon envie, ma jalousie, lui, lui, lui, lui.
Elle hurle... de jouissance j'imagine. L’orgasme la projette sur lui.
Elle doit accéder à un tel niveau de jouissance à ma place… à MA PLACE !!! Elle hurle en le fixant.
Elle n'a pas le temps de s'en remettre que j'entends :- Sophie, la suivante!
C'est paradoxal mais cela calme ma jalousie. Finalement, elles ne sont que des beaux corps. C'est mon prénom qu'il prononce, c'est à moi qu'il demande son plaisir. Même si je rêve d'intimité, d'exclusivité....
Bon, elles font quoi les deux autres? Elles se tenaient chaud les taupes ?
La brune vient de quitter le haut de ses cuisses ou se dresse toujours son jonc vigoureux.
(À suivre)
La maison close. Soumission.
(Cette histoire est écrite avec la complicité d’une de mes lectrices. Mais je ne vous dirai pas si tout ou partie est fantasme ou réalité. L’auteur)
Toute ? Non ! Encore plus ! L’étranglement à la racine de son sexe fait qu’elle devient encore plus grosse, d’une dureté incroyable. La veine en dessous devient énorme !
Après un long moment de cette prise en main il est prêt pour le grand jeu !
Elle est vraiment magnifique, un mât dressé, mon phare, mon ancrage.
Mais elle n'est pas pour moi, et c'est la brune qui me le rappelle. Elle s'est approchée et un doigt vient caresser son gland. Je retire donc mes mains, mes bras retombent le long de mon corps, je recule, je ne sais plus si j'ai chaud ou froid.
Mon ventre est crispé d'envie. Je resserre les fesses et le périnée pour masser ma vulve et mon vagin, je me sens tellement vide et tu pourrais tellement me remplir.
- Sophie!
J'avais le regard dans le vague, en manque. Je fixe tes yeux.
-Maître, tu la veux ? Tu veux qu’elle te chevauche ? Qu’elle te masturbe à nouveau?
- Oui, je la veux ! Mais avant, met-moi une capote !
Je frotte Son gland violet d’où perle une goutte. Je peux admirer son érection de tous les diables dans mon rôle de voyeuse. Je remonte d’une main le pic qui sursaute et se rebelle, je récupère la goutte qui coule dans mes doigts, c’est chaud c’est mielleux. Hum !
Je choisis un préservatif taille XXL mais j’ai les plus grandes difficultés à le dérouler sur sa verge tellement elle est épaisse, le condom sert la hampe majestueuse.
-Va la chercher amène la moi, offre-moi la jolie petite chatte de cette sirène!
Non, non et non!!!! Il me demande trop, je me sens trahie. Je regarde ce corps de déesse latine, je me regarde, ma robe couvre à nouveau mes fesses, j'ai de belles jambes mais les veines commencent à s'accentuer. Mon ventre est caché, heureusement, il ne supporterait pas la comparaison. Au dessus de mon pubis, une longue cicatrice fine et très estompée et un peu plus haut quelques vergetures... le ventre d'une femme de 47 ans.
Alors, je LE regarde, je LA regarde et je comprends. Comment ne pas avoir envie d'une beauté pareille, elle est vraiment belle, toute en courbes, harmonieuses, lisses, elle est jeune...
Elle a des cheveux courts, un visage en triangle, des pommettes saillantes et une bouche qui doit donner des idées salaces à n'importe quel homme. Mon Maître a bon goût.
Je m'approche à nouveau, pose une main sur ce pieu tant espéré, je l'effleure, comme des ailes de papillon. Je demande à la grognasse de venir, d'écarter ses cuisses pour le chevaucher.
Elle n'écarte pas assez, je lui pince un téton violemment, petite vengeance! Mais elle a l'air d'apprécier!
Je ressens comme une caresse sur mon entre-jambe! Je donne une tape de ma main droite sur le cul rebondi et ferme de l'autre :- Écarte encore!
Je l’installe à califourchon sur Lui, Je fais des petits cercles de Sa queue à l'entrée du vagin de la veinarde. Elle gémit (ou peut-être était-ce moi?). Elle est trempée la gamine, avec sa petite chatte sans relief. J’engage le pic entre ses lèvres. Petit mouvement de bassin de mon Maître, le gland est entré. Elle chevauche fougueusement l’objet de tous mes désirs ! Je suis trop excitée, je monte en flèche, je n’en peux plus.
Des sons stridents parviennent assourdis à mes oreilles, comme dans une sorte d’inconscience.
Je mes suis emparée de mon clitoris avec un plaisir qui se lit sur mon visage. Ils n'ont plus besoin de moi.
Je lâche son braquemart dans une dernière caresse, croise mes bras autour de moi, je me serre fort, ça me fait mal.
Ils sont beaux, elle débute une descente interminable sur MON jouet, je sens comme un frottement en moi, une longue introduction, un tiraillement au fond mon vagin, une crispation de l'utérus.
Je me serre plus fort et j'entends un râle. C'est moi, je me tortille, ondule, je m'imagine à sa place.
Ils se donnent l'un à l'autre, il a entouré de ses mains la taille toute fine de ce mannequin, et elle monte, elle descend. Ses seins ballottent, arrogants... eux aussi me narguent.
Elle est belle, à chaque mouvement, elle irradie, une lumière se dégage comme témoin d'une montée violente de plaisir. Je sens tous mes poils se dresser. Oh Patrick ! Pourquoi?
Ai-je parlé à haute voix?
- Sophie!
- hum?
- Caresse-moi les bourses!
Je m'avance, ses désirs sont loi. Je passe une main sur les reins et les fesses de l'autre, elle est douce. Je m’empare de ses couilles pour une prise en main de ses bourses en révolution. Je caresse à pleine main, du bout des doigts, je joue avec l'une et l'autre, je sens le bracelet qui orne son pieu, je joue, découvre et je rêve.
Quel effet cela me ferait-il de sentir son gland taper mon fond, ses couilles en contact, la dureté du bracelet? Je coule encore. Je meurs d'envie d'être à la place de la taupe (elle gémit aigu, non?) ma main gauche retrouve le chemin sous ma robe.
- Sophie! Non! Tu as eu ton orgasme ! À elle maintenant! Donne-moi ta main ! Fait-moi goûté!
Je lui donne mes doigts de la main gauche, il les prend en bouche. On croirait qu'un fil est relié à mon clitoris, que je sens battre plus fort à chaque coup de langue.
Des bruits obscènes de succion et les gémissements de contentement de cette petite pute sont devenus très fort :
- Humm ! Je vais juter ! Gémit-elle. Ooohhh! Ça vient ! Je vais tout lâcher! Ah ! Baise-moi ! Baise-moi à fond! T’es un queuteur fantastique!
Ce compliment répugnant, choquant, est musique à ses oreilles mais un supplice pour moi.
Elle astique la grosse tige aussi dure qu’elle peut, ses lèvres intimes entrainées par l’épaisseur et la raideur de la trique. Elle s’acharne sur le piston gigantesque qui va-et-vient dans son vagin.
Elle a hâte maintenant de sentir la décharge du Mâle, hâte de recevoir tout le sperme dégorgé par Patrick.
Il saisit ses hanches, enfonçant sa tige de quelques centimètres supplémentaires entre ses lèvres intimes. Je n’ai pas lâché ses coucougnettes. Gémissement aigu (elle!). Gémissement intérieur (moi). Je suis en transe, détachée de tout, concentrée sur ma main droite qui touche lui, elle, qui suit les mouvements.
Et sur ma main gauche, paume contre son menton, trois doigts dans sa bouche, sa langue, son souffle. Hum ! Je me sens écartelée : Lui, la taupe, mon envie, ma jalousie, lui, lui, lui, lui.
Elle hurle... de jouissance j'imagine. L’orgasme la projette sur lui.
Elle doit accéder à un tel niveau de jouissance à ma place… à MA PLACE !!! Elle hurle en le fixant.
Elle n'a pas le temps de s'en remettre que j'entends :- Sophie, la suivante!
C'est paradoxal mais cela calme ma jalousie. Finalement, elles ne sont que des beaux corps. C'est mon prénom qu'il prononce, c'est à moi qu'il demande son plaisir. Même si je rêve d'intimité, d'exclusivité....
Bon, elles font quoi les deux autres? Elles se tenaient chaud les taupes ?
La brune vient de quitter le haut de ses cuisses ou se dresse toujours son jonc vigoureux.
(À suivre)
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