Souvenir 1

- Par l'auteur HDS Ama -
Récit érotique écrit par Ama [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Souvenir 1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-04-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

Couleur du fond :
Souvenir 1
Love is a bitch, Two Feet
Je commencerais cette histoire par cette seule phrase : la curiosité est un mauvais défaut.

Je suis chez moi, seule, nous sommes dimanche soir 23h, et je m’ennuie. Je m’allonge nue sur mon lit, m’étirant de tout mon long, effleurant mes seins qui pointent vers le ciel de mes mains fraîches. Ce seul contact suffit à me faire frémir, me procurant une vague d’envie torride. Je saisis mo n téléphone et ouvre cette fameuse application peu intéressante mais pratique qu’est Tinder. Je l’ai souvent utilisée pour me trouver des coups d’un soir, souvent décevant mais d’une certaine utilité. J’ai ce besoin de pouvoir sucer, sentir et ressentir une bonne queue.

Et me voilà, swipant des hommes aux physiques avantageux mais au profil totalement ennuyant. La course à celui qui sera le plus beau, à celui qui aura les mots pour te convaincre de le laisser te baiser le cul, car c’est bien ça qui les intéresse vraiment. Au milieu de tous ces matchs, je tombe sur toi. Tu m’intrigues instantanément : des photos avec le visages masqués où l’on peut entrevoir légèrement ton corps, de quoi me titiller. Ta description m’attire encore plus, tu parles de complices, de sorties déjantées et de lâcher prise exigé. Mais ce qui m’excite particulièrement sont les deux dernières phrases, tes deux envies du moments : un sauna libertin dans Paris mais également une soirée BDSM dans un manoir.
Mes envies refoulées, mes fantasmes interdits ressortent immédiatement, me criant de te donner une chance. Encore faut-il que tu m’aies également swipe vers la droite. Mon doigts posé sur l’écran, j’hésite quelques secondes qui semblent interminables et finis par me lancer, remarquant avec surprise et excitation que cela lance une discussion.
Alex, un diminutif probablement. Une notification me tire des mes pensées, tu m’as déjà envoyé un premier message pour me saluer et me complimenter sur mes yeux. Approche classique, il faut dire que mes yeux bleus font souvent leur effet, particulièrement mon regard très malicieux qui semble toujours vouloir avouer une bêtise. Nous discutons bien et nous nous donnons rendez-vous le lendemain soir à Paris pour boire un verre et passer une bonne soirée. À nouveau, dans quoi est-ce que je me lance encore. Je devrais avoir peur, fuir cet homme qui veut me dominer et me punir, et pourtant me voilà à Châtelet, marchant d’un pas hésitant et rapide, en avance comme d’habitude de 15 minutes. Seulement, je déteste arriver en premier lors d’un date, donc je continue ma route et fait le tour du centre commercial pour faire passer le temps.

Tu es arrivé, tu t’impatientes que je ne sois pas là et cela m’amuse énormément. J’adore me faire désirer, mais est-ce une bonne idée de le faire avec un homme comme toi ? Pas sûr. Je frissonne sous mon manteau, parée d’une robe courte avec de grandes bottes en cuir noires. Tu m’as spécifié une première règle pour cette rencontre : pas de sous-vêtements. Je sens mes lèvres se frotter l’une contre l’autre lorsque je marche, mes seins lourds se balancer au rythme de mes pas.
Je t’aperçois, toi aussi. Tu n’es pas très grand, mais très charmant, ton regard pétille d’envie en me voyant. Tu es tellement plus à l’aise que moi, tu engages facilement la conversation, me saisi par la taille et m’emmènes dans un petit bar parisien où nous prenons une bière (qui me montera très rapidement à la tête d’ailleurs). Je sens que tu m’observes. À ce moment là je n’imagine pas à quel point tu es en train d’analyser tout ce que je fais, une de tes manies dont tu ne peux t’empêcher. Je croise et décroise nerveusement mes jambes sous ma robe diablement courte, je ne peux m’empêcher de passer ma main dans mes cheveux, et surtout ton regard... impossible de le tenir plus que quelques secondes tant ta confiance en toi m’écrase et me domine. Pourtant tu as l’air si gentil, si doux, j’ai du mal à imaginer la suite de notre soirée dans une ambiance SM où tu vas me soumettre et me dominer. Comme on dit, les apparences sont trompeuses.

Tu me fais découvrir un premier endroit prometteur : le Love Hotel. Un lieu uniquement créé dans le but de baiser en toute discrétion. Tu loues pour deux heures une chambre, la chambre SM bien entendu. C’est une pièce entièrement peinte en noir, des miroirs gigantesques sur chaque mur permettant une vue d’ensemble de nos ébats. Je retire mon manteau et m’assois timidement sur ce grand lit encore immaculé et t’observe enlever ton manteau , relever tes manches de chemiseset retirer ta magnifique montre. Qu’est-ce que c’est sexy un homme de trente-cinq ans.
Tu me rejoins et commence à m’embrasser en relevant doucement ma robe. Le contact de tes mains sur moi me fait vibrer,je te sens saisir mes cheveux et me forcer à me cambrer, ta poigne est forte et assurée. Tu me bascules sur tes genoux,relève ma robe et baisse mes collants, t’offrant ainsi une vue et un accès illimité à mes fesses encore vierges de traces.
Je t’entends soupirer de satisfaction, caresser ma peau et tâter mes fesses tout en glissant tes doigts en direction de ma chatte trempée. Ce contact me fait frémir de plaisir, je n’attends qu’une chose : que tu me doigtes et me fasses jouir.
Et là, tu me mets la première fessée, elle m’arrache un cri partagé entre plaisir, douleur et surprise. Tout tourne dans ma tête,ma peau me brûle suite au passage de ta main. Je te vois dans un des nombreux miroirs de la chambre, ton expression faciale n’estplus la même, ton visage s’est fermé et tes yeux brûlent d’envie. J’essaie d’anticiper tes coups, manège que tu saisis rapidement et tu commences à me faire des petites feintes qui me font crier encore plus.

Mon esprit est dans la brume quand je sens ma robe glisser sur moi, me retrouvant nue sur ce lit, le contact des draps brûlant mes fesses endolories, mes cuissardes encore aux pieds. Je crois que ces bottes t’excitent énormément. Le temps de me rendre compte de cela que tu me tires au bord du lit, la tête dans le vide et je sais très bien ce que cela veut dire. A peine ai-je le temps de prendre une inspiration que tu m’enfonce ta queue dans la bouche, je me retiens de cracher mais je n’y arrives pas, je sens ma bave couler le long de mon visage et gouter sur le sol. À chaque fois que je te repousse car je sens que je vais vomir, tu me retiens encore plus la tête,m’étouffant un peu plus sur ta bite tendue. Il y a un moment pourtant où je sens mon corps lâcher sa résistance, ton gland passer ma glotte et se loger directement dans ma gorge, une première pour moi. Je t’entends lâcher un râlement de plaisir et murmurer quelques mots inaudiblespour moi. J’étouffe, j’essaie d’enlever ma tête mais tu m’en empêche bien entendu et je commence à te frapper la jambe dans un dernier espoirde pouvoir respirer un peu. Tu me libères enfin, un filet de bave reliant ma bouche à ta queue luisante et pulsant d’envie. Cette bouffée d’airque tu me laisses prendre est salvatrice mais de courte durée car tu renfournes immédiatement ton membre dans ma gorge et commences à me la baiser un peu plus vigoureusement. Une chaleur irradie d’un coup mon bas ventre, je suis prise de spasmes et me bascule un peu plus ma tête en arrière pour ressentir encore plus profondément tes doigts que tu viens d’enfoncer en moi. Tu sais ce que tu fais, cela se ressentimmédiatement, ton doigté est précis, net et tellement maîtrisé, peut-être seras-tu le premier à me faire squirt.

Je sens que tu commences à m’enlever mes bottes, je décide de t’aider et retire au passage mon collant que tu m’as complètement troué. À peinemes bas arrachés, je sens une force saisir mes cheveux et me tirer sur le sol. J’avance tant bien que mal à quatre patte sur ce sol noir glacialen direction de la cage, un frisson parcourant l’entièreté de mon corps, de mon clito à la pointe de mes tétons. Tu fais un arrêt vers ton sac pour en sortir des pinces à tétons, reliées par une chaine noire. Cette sensation lorsque tu me les mets me couple le souffle, mes tétons sont immédiatement endoloris par cette pression qui semble vouloir les faire exploser. Tu regardes avec plaisir ce spectacle, tire sur la chaine pour m’emmener vers la fameuse cage. Tu me fais rentrer dans cette prison de plaisir, m’attachant dedans avec un lourd collier et une chaine que tu me passes autour du cou. Tu me tends ta bite luisante et tendue vers le ciel, un appel silencieux à te la bouffer comme la chienne que tu fais de moi.
J’ai espoir que tu me laisses te sucer un peu de mon propre chef, mais, bien entendu, non. Tu saisis ma tête et recommences à me faire une gorge profonde, me faire m’étouffer, baver et cracher sur le sol. Je saisis les barreaux pour m’aider à tenir sur mes jambes flageolantes de plaisir etde fatigues. Je lève timidement mes yeux qui sont immédiatement aspirés par les tiens, je ne peux tenir ce regard sévère et dominateur qui t’animeet te possède. Tu me laisses enfin sortir difficilement à quatre pattes de ma cage avant de me tirer en arrière et me faire tomber sur mes fesses brulantes. Tu rentes tes doigts dans ma chatte déjà débordante de mouille et commences à me doigter vigoureusement, d’une manière que je connais pas.
J’ai l’impression d’avoir attrapé à pleine main un fil électrique tellement mon corps est secoué de spasmes, je sens que je mouille abondamment mais pas comme d’habitude; c’est liquide, léger mais j’ai l’impression que tu me fais de nouvelles choses que mon corps adore. Tu me libères et m’ordonnes de me remettre à genoux, soumise, je le fais sans tergiverser. Je ne crois pas avoir précisé qu’avec ma robe je portais une magnifiqueceinture en cuir verte, très large, et je n’avais jamais imaginé un jour la sentir s’abattre sur mes fesses et mon dos. L’impact me fait crier, la douleur me cingle, comme si ma peau se déchirait. Je ne peux pas l’encaisser et te supplies d’arrêter. Et c’est ce que j’aime avec toi, je peux te faire confiance et tu es à l’écoute. La ceinture tombe à côté de moi, signe que tu acceptes de ne pas continuer cette punition.

Tu m’attrapes le bras pour me jeter sur le lit. J’entends ce bruit si reconnaissable d’une capote qu’on ouvre rapidement et avec maîtrise, tu es déjà là sur le lit à me forcer à me cambrer plus que mon corps ne peut. Tu me prends d’un coup sec, rapide et incroyablement bon, je ne peux retenir un cri de plaisir camouflé. Tu saisis ma taille de tes mains et mets ton poids pour me faire relever le cul un peu plus, mon visage enfoncé dans les draps noirs de ce lit de luxure, mes tétons brûlants de douleurs avec leurs pinces qui frottent abondamment sur le matelas. Tu me retournes brutalement, remonte mes jambes sur tes épaules et me les saisis, empêchant toute retraite possible. Je relève les yeux. A nouveau, ton regard excité me rend folle. Tu me glisses la chaîne des pinces dans la bouche, et me crache dedans. Je ne peux retenir un sourire en ouvrant grand ma mâchoire, jouant de ma langue avec la chaîne gelée et plongeant mon regard dans le tien. Ce manège semble t’exciter, car tu commences à me pilonner la chatte, me faisant hurler de plus en plus à chaque coup de queue que je me prends. Je ne sais plus combien de fois j’ai jouis, mais mon dieu qu’est-ce que c’était bon.

Tu me libères enfin, je tombe lourdement à plat ventre sur le lit, envahie par une fatigue montante et omniprésente. Je sens ton poids enfoncer le matelas, tes mains caressent délicatement mon dos, ma tête, mes fesses rouges sangs et maculées de traces. Je sais que tu ne me laisseras pas m’en tirer qu’avec une seul round, je le sais très bien. Tu te diriges finalement vers la douche et m’invite à en faire de même. Je me vois dans les miroirs, je ne ressemble à plus rien : mon maquillage a coulé, mes cheveux sont comme après un ouragan, on peut lire sur mon corps l’entièreté de cette heure qui vient de se dérouler. L’eau chaude me brûle mes plaies, tu es d’ailleurs en extase devant mes marques qui commencent déjà à devenir violettes. Tu me nettoies, profites pour me caresser et glisser un doigt vers mon entrejambe, geste qui réveille immédiatement le feu qui sommeille en moi.

J’avais bien vu juste ; la soirée n’est pas terminée.

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