Souvenir 2
Récit érotique écrit par Ama [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-04-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Souvenir 2
Most to a Flame The Weekend Swedish house Mafia
Je suis dans le metro, sur la ligne 8, observant ma main tremblante tenir cette barre gelée.
Mon corps entier est parcouru de sueurs et frissons, mes jambes se pressent l’une contre l’autre, ma poitrine se soulève rapidement avec mon souffle que je tente désespérément de calmer.
Je compte les arrêts des stations, il n’en reste que deux avant que je descende, un moment à la fois interminable et beaucoup trop court. Je sors enfin de terre et commence à marcher en direction de son appartement. Qu’est qui a bien pu me passer par le tête d’accepter de venir chez lui.
Je relis nerveusement ses derniers messages sur ses directives pour ce soir : je ne parle pas,j’obéis et lui appartient à partir du moment où je franchis sa porte. Ces quelques mots me glacent et m’excitent terriblement à la fois, je sens ce feu dans mon bas ventre me crier mes envies.
J’arrive enfin devant chez lui et le préviens par texto que je suis arrivée. À peine le message envoyé,la lumière s’allume dans le hall et je le vois pour la première fois : un beau trentenaire, col roulé noir avec une veste de costume, un air très calme et déterminé. Il m’ouvre, me salue, je lui réponds un timide bonsoir et m’engouffre dans cet immeuble parisien jusqu’à son appartement. C’est un endroitmagnifique, bien décoré, du rock en fond avec une bouteille de vin sur la table. Il me débarrasse de mes affaires et me laisse me préparer quelques minutes dans la salle de bain. Je me fais une toilette rapide, réajuste mes vêtements ainsi que mon maquillage et finis par sortir. Il m’attend, un verre de vin dans une main, un bandeau dans l’autre, me tend mon verre avant de me couvrir les yeux pour toute la soirée.
Mes sens sont décuplés, je suis à fleur de peau et trempe mes lèvres sèches dans l’alcool que je senscouler dans ma gorge comme un mal salvateur. Je ne tiens pas l’alcool et je sais que celui-ci décuple ma libido, j’en reprends donc pour enterrer mon stresse au fond de moi.
« Déshabille toi »
Je pose lentement mon verre, tente de cacher ma main tremblante et commence à retirer mon pull.
Je sens son regard perçant sur moi, je sens qu’il me matte sans retenue et je commence à prendre goût. Je me lève et déboutonne mon pantalon avant de le faire glisser le long de mes fesses rebondies et encore vierges de traces quelconques. Il m’attrape par la taille, m’assoit entre ses jambes sur lecanapé et me tend mon verre de vin que je vide volontiers. Il m’attire contre son torse, je laisse aller ma tête en arrière contre son épaule et le regarde faire, de toute façon je ne suis pas là pour déciderquoi que ce soit. Ses mains me pressent, ma caressent, saisissant à tour de rôle mes seins emprisonnésdans ma lingerie puis mes fesses presque nues dans mon string. J’entends son souffle devenir plus court, je sens son torse dans mon dos se soulever de plus en plus rapidement, son entrejambe devient dure,présageant une soirée exaltante. Il me reprend mon verre, m’enlève ma montre et pose le tout sur la table basse.
« Je vais te mettre de beaux bracelets, ne bouge pas »
Le contact glacé des cerclettes en plastique sur mes poignets et la pression qu’elles exercent font monter un peu plus mon stress et pourtant, je me sens mouiller de plus en plus dans mon string déjà trempé. Il me fait finalement enlever ma culotte avant de me tirer à nouveau violemment contre lui et de me rentrer directement trois doigts dans ma chatte serrée, m’arrachant à contre coeur un petit cri de plaisir. Je l’entends ricaner et me fouiller profondément, impossible pour moi de retenir quoi que ce soit et je me laisse aller contre lui, sentant son parfum qui m’enivre et m’emporte loin. Il finit par me lever et diriger d’une main lourde ma tête sur sa queue, c’est le grand saut. Il m’enfonce sa bite au fond de ma gorge, puis commence son petit jeu où je m’étouffe, bave abondamment et me félicite comme une enfant à qui on explique la vie.
Il me tient la tête d’une main, la gorge de l’autre, et je sens sa queue s’enfoncer dans ma gorge chaude.
Il s’enfonce si loin qu’en tirant la langue je sens que je peux lui lécher les couilles. J’ai besoin d’air, j’étouffe et commence à sentir une envie de cracher imminente.
« T’as pas intérêt à la cracher, respire et garde la bien au fond salope. T’inquiète pas, je vais bien entraîner cette gorge serrée. C’est bien petite chienne. »
Il finit enfin par me relâcher et je recrache ce monstre de chair qui laisse un souvenir presque douloureux et béant dans ma bouche. Il me relève et m’emboîte le pas quelque part dans son appartement. Je n’ai même pas eu le temps de voir comment était configuré l’espace, je suis donc dans un flou total. Il me pousse violemment et j’atterris à plat ventre sur son lit. Je sens contre mon visage les draps doux, mais à peine ai-je le temps d’y penser qu’il saisit ma première main et l’attache à je ne sais quoi, pareil pour la deuxième. Il sert beaucoup, je suis écartelée sur ce lit, le dos bien cambré et le cul en arrière bien visible.
Il me redoigte énergiquement avant de m’enfoncer un plug dans le cul. Il est sur moi, je sens son souffle dans mon épaule et il me chuchote à l’oreille :
« Tu t’es déjà faite enculée ? »« Quelques fois, mais j’ai pas l’habitude »« Parfait »
Il se relève et je sens son poids quitter le lit, chercher quelque chose avant de revenir vers moi. Je lâche un cri : quelque chose a fendu l’air avant s’abattre lourdement sur mon cul, une sensation brûlante et terriblement excitante. Je ne peux voir ce que c’est, je ne peux que sentir la douleur vive et piquante à chaque coup que je reçois.
« Je vais t’en donner 5 et tu vas les compter, prête ? »
Je hoche la tête et me prépare physiquement et psychologiquement à cette douleur nouvelle. La première s’abat, bien plus forte que l’avant goût qu’il m’a fait. Je me retiens, je ne veux pas lui montrer quoi que ce soit à part que je peux résister à beaucoup de chose. Je les compte dans ma tête, deux, trois, la quatrième me brûle tellement, rien que de penser qu’il en manque une j’ai envie de crier.
« Je t’en ai donné combien ? » « Quatre » lui dis-je d’une petite voix, je n’ai pas osé tenter de mentir, je sure que ça m’aurait valu encore plus de coup.
« C’est exacte salope, tu résistes un peu facilement à ton traitement je trouve »
La dernière me brûle, je me cambre et je ne peux m’empêcher de crier. Il m’a frappée encore plus fort ce connard.
Je crois entendre le bruit d’une capote, puis je le sens venir sur moi et me prendre d’un coup sec la chatte et commence à me baiser avec des coups de reins maîtrisés. Il touche des endroits encore inconnus de mon vagin, me fait gémir de plaisir, ses coups de queues sont d’une délivrance... après quelques aller retour, il me retire le plug pour le remplacer par sa queue.
« Putain ton cul est tellement serré, il est incroyable. Je vais bien pouvoir te former toi. »
Il me défonce le cul littéralement, passe quelque chose autour de la gorge et m’étrangle avec pendant qu’il me casse en me mettant des grosses claques sur les fesses. Ce doit être une ceinture, je la sens se resserrer de plus en plus autour de mon cou, m’empêchant de respirer librement, faisant monter en moi un état second de plaisir que je ne connais pas. Il finit par me détacher et se coucher à côté de moi, m’attire et me fait grimpersur lui, m’ordonne de m’empaler le cul sur sa queue et de bouger. Je m’en donne à coeur joie, je sens ma mouille qui coule sur lui tellement je suis excitée, j’en tremble et m’arrête un instant. Je me prends une énorme gifle et l’entend m’ordonner de continuer. Je souris, me mords la lèvre et fait glisser avec souplesse mon bassin sur lui, je sens qu’il prend autant son pied que moi. Je l’entends faire des petites remarques de plaisir, saisir mes seins et m’accompagner dans mes mouvements, les rendants plus intenses et difficiles à contrôler pour moi.
Je me sens défaillir encore une fois et me reprends une claque monumentale avec le même ordre : ne t’arrête pas.
Ce petit jeu va bien durer, je crois au final me prendre une dizaine de claques avant de jouir et m’affaler sur lui, ce qui n’est bien entendu pas le programme qu’il a prévu.
Il me pousse, se lève et m’attrape le bras pour m’emmener hors de la chambre. Il m’attache les deux mains dans le dos et me pousse en avant sur ce qui me semble être l’accoudoir du canapé et me reprends encore une fois le cul bien profond en me claquant. Je tente de mettre mes mains pour le retenir un peu, je commence à souffrir un peu de ce ramonage intensif de mon trou de balle.
« Enlève tes mains, si tu les remets encore une fois tu vas le regretter. Voilà c’est bien comme ça. »
Il finira par jouir bien au fond de mon cul avant de se retirer et d’admirer le trou béant qu’il vient de créer, fier de lui en ricanant. Il m’ordonne de ne pas bouger, il va chercher de quoi me couper mes liens qui me bloquent encore les bras dans le dos. Il m’enlève enfin le bandeau et me resserre un verre de vin. Nous discutons un peu de tout et de rien quelques minutes avant que je remarque une étincelle dans son regard, je comprends bien vite qu’il n’a pas l’intention de me laisser partir ce soir.
« Viens me sucer, je vais te rebaiser et te punir. T’es faite pour le sm salope »
Je lui souris, le regarde avec envie, termine cul sec mon verre avant de m’agenouiller comme la bonne soumise que j’ai toujours voulu être.
Je suis dans le metro, sur la ligne 8, observant ma main tremblante tenir cette barre gelée.
Mon corps entier est parcouru de sueurs et frissons, mes jambes se pressent l’une contre l’autre, ma poitrine se soulève rapidement avec mon souffle que je tente désespérément de calmer.
Je compte les arrêts des stations, il n’en reste que deux avant que je descende, un moment à la fois interminable et beaucoup trop court. Je sors enfin de terre et commence à marcher en direction de son appartement. Qu’est qui a bien pu me passer par le tête d’accepter de venir chez lui.
Je relis nerveusement ses derniers messages sur ses directives pour ce soir : je ne parle pas,j’obéis et lui appartient à partir du moment où je franchis sa porte. Ces quelques mots me glacent et m’excitent terriblement à la fois, je sens ce feu dans mon bas ventre me crier mes envies.
J’arrive enfin devant chez lui et le préviens par texto que je suis arrivée. À peine le message envoyé,la lumière s’allume dans le hall et je le vois pour la première fois : un beau trentenaire, col roulé noir avec une veste de costume, un air très calme et déterminé. Il m’ouvre, me salue, je lui réponds un timide bonsoir et m’engouffre dans cet immeuble parisien jusqu’à son appartement. C’est un endroitmagnifique, bien décoré, du rock en fond avec une bouteille de vin sur la table. Il me débarrasse de mes affaires et me laisse me préparer quelques minutes dans la salle de bain. Je me fais une toilette rapide, réajuste mes vêtements ainsi que mon maquillage et finis par sortir. Il m’attend, un verre de vin dans une main, un bandeau dans l’autre, me tend mon verre avant de me couvrir les yeux pour toute la soirée.
Mes sens sont décuplés, je suis à fleur de peau et trempe mes lèvres sèches dans l’alcool que je senscouler dans ma gorge comme un mal salvateur. Je ne tiens pas l’alcool et je sais que celui-ci décuple ma libido, j’en reprends donc pour enterrer mon stresse au fond de moi.
« Déshabille toi »
Je pose lentement mon verre, tente de cacher ma main tremblante et commence à retirer mon pull.
Je sens son regard perçant sur moi, je sens qu’il me matte sans retenue et je commence à prendre goût. Je me lève et déboutonne mon pantalon avant de le faire glisser le long de mes fesses rebondies et encore vierges de traces quelconques. Il m’attrape par la taille, m’assoit entre ses jambes sur lecanapé et me tend mon verre de vin que je vide volontiers. Il m’attire contre son torse, je laisse aller ma tête en arrière contre son épaule et le regarde faire, de toute façon je ne suis pas là pour déciderquoi que ce soit. Ses mains me pressent, ma caressent, saisissant à tour de rôle mes seins emprisonnésdans ma lingerie puis mes fesses presque nues dans mon string. J’entends son souffle devenir plus court, je sens son torse dans mon dos se soulever de plus en plus rapidement, son entrejambe devient dure,présageant une soirée exaltante. Il me reprend mon verre, m’enlève ma montre et pose le tout sur la table basse.
« Je vais te mettre de beaux bracelets, ne bouge pas »
Le contact glacé des cerclettes en plastique sur mes poignets et la pression qu’elles exercent font monter un peu plus mon stress et pourtant, je me sens mouiller de plus en plus dans mon string déjà trempé. Il me fait finalement enlever ma culotte avant de me tirer à nouveau violemment contre lui et de me rentrer directement trois doigts dans ma chatte serrée, m’arrachant à contre coeur un petit cri de plaisir. Je l’entends ricaner et me fouiller profondément, impossible pour moi de retenir quoi que ce soit et je me laisse aller contre lui, sentant son parfum qui m’enivre et m’emporte loin. Il finit par me lever et diriger d’une main lourde ma tête sur sa queue, c’est le grand saut. Il m’enfonce sa bite au fond de ma gorge, puis commence son petit jeu où je m’étouffe, bave abondamment et me félicite comme une enfant à qui on explique la vie.
Il me tient la tête d’une main, la gorge de l’autre, et je sens sa queue s’enfoncer dans ma gorge chaude.
Il s’enfonce si loin qu’en tirant la langue je sens que je peux lui lécher les couilles. J’ai besoin d’air, j’étouffe et commence à sentir une envie de cracher imminente.
« T’as pas intérêt à la cracher, respire et garde la bien au fond salope. T’inquiète pas, je vais bien entraîner cette gorge serrée. C’est bien petite chienne. »
Il finit enfin par me relâcher et je recrache ce monstre de chair qui laisse un souvenir presque douloureux et béant dans ma bouche. Il me relève et m’emboîte le pas quelque part dans son appartement. Je n’ai même pas eu le temps de voir comment était configuré l’espace, je suis donc dans un flou total. Il me pousse violemment et j’atterris à plat ventre sur son lit. Je sens contre mon visage les draps doux, mais à peine ai-je le temps d’y penser qu’il saisit ma première main et l’attache à je ne sais quoi, pareil pour la deuxième. Il sert beaucoup, je suis écartelée sur ce lit, le dos bien cambré et le cul en arrière bien visible.
Il me redoigte énergiquement avant de m’enfoncer un plug dans le cul. Il est sur moi, je sens son souffle dans mon épaule et il me chuchote à l’oreille :
« Tu t’es déjà faite enculée ? »« Quelques fois, mais j’ai pas l’habitude »« Parfait »
Il se relève et je sens son poids quitter le lit, chercher quelque chose avant de revenir vers moi. Je lâche un cri : quelque chose a fendu l’air avant s’abattre lourdement sur mon cul, une sensation brûlante et terriblement excitante. Je ne peux voir ce que c’est, je ne peux que sentir la douleur vive et piquante à chaque coup que je reçois.
« Je vais t’en donner 5 et tu vas les compter, prête ? »
Je hoche la tête et me prépare physiquement et psychologiquement à cette douleur nouvelle. La première s’abat, bien plus forte que l’avant goût qu’il m’a fait. Je me retiens, je ne veux pas lui montrer quoi que ce soit à part que je peux résister à beaucoup de chose. Je les compte dans ma tête, deux, trois, la quatrième me brûle tellement, rien que de penser qu’il en manque une j’ai envie de crier.
« Je t’en ai donné combien ? » « Quatre » lui dis-je d’une petite voix, je n’ai pas osé tenter de mentir, je sure que ça m’aurait valu encore plus de coup.
« C’est exacte salope, tu résistes un peu facilement à ton traitement je trouve »
La dernière me brûle, je me cambre et je ne peux m’empêcher de crier. Il m’a frappée encore plus fort ce connard.
Je crois entendre le bruit d’une capote, puis je le sens venir sur moi et me prendre d’un coup sec la chatte et commence à me baiser avec des coups de reins maîtrisés. Il touche des endroits encore inconnus de mon vagin, me fait gémir de plaisir, ses coups de queues sont d’une délivrance... après quelques aller retour, il me retire le plug pour le remplacer par sa queue.
« Putain ton cul est tellement serré, il est incroyable. Je vais bien pouvoir te former toi. »
Il me défonce le cul littéralement, passe quelque chose autour de la gorge et m’étrangle avec pendant qu’il me casse en me mettant des grosses claques sur les fesses. Ce doit être une ceinture, je la sens se resserrer de plus en plus autour de mon cou, m’empêchant de respirer librement, faisant monter en moi un état second de plaisir que je ne connais pas. Il finit par me détacher et se coucher à côté de moi, m’attire et me fait grimpersur lui, m’ordonne de m’empaler le cul sur sa queue et de bouger. Je m’en donne à coeur joie, je sens ma mouille qui coule sur lui tellement je suis excitée, j’en tremble et m’arrête un instant. Je me prends une énorme gifle et l’entend m’ordonner de continuer. Je souris, me mords la lèvre et fait glisser avec souplesse mon bassin sur lui, je sens qu’il prend autant son pied que moi. Je l’entends faire des petites remarques de plaisir, saisir mes seins et m’accompagner dans mes mouvements, les rendants plus intenses et difficiles à contrôler pour moi.
Je me sens défaillir encore une fois et me reprends une claque monumentale avec le même ordre : ne t’arrête pas.
Ce petit jeu va bien durer, je crois au final me prendre une dizaine de claques avant de jouir et m’affaler sur lui, ce qui n’est bien entendu pas le programme qu’il a prévu.
Il me pousse, se lève et m’attrape le bras pour m’emmener hors de la chambre. Il m’attache les deux mains dans le dos et me pousse en avant sur ce qui me semble être l’accoudoir du canapé et me reprends encore une fois le cul bien profond en me claquant. Je tente de mettre mes mains pour le retenir un peu, je commence à souffrir un peu de ce ramonage intensif de mon trou de balle.
« Enlève tes mains, si tu les remets encore une fois tu vas le regretter. Voilà c’est bien comme ça. »
Il finira par jouir bien au fond de mon cul avant de se retirer et d’admirer le trou béant qu’il vient de créer, fier de lui en ricanant. Il m’ordonne de ne pas bouger, il va chercher de quoi me couper mes liens qui me bloquent encore les bras dans le dos. Il m’enlève enfin le bandeau et me resserre un verre de vin. Nous discutons un peu de tout et de rien quelques minutes avant que je remarque une étincelle dans son regard, je comprends bien vite qu’il n’a pas l’intention de me laisser partir ce soir.
« Viens me sucer, je vais te rebaiser et te punir. T’es faite pour le sm salope »
Je lui souris, le regarde avec envie, termine cul sec mon verre avant de m’agenouiller comme la bonne soumise que j’ai toujours voulu être.
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