Souvenir 3
Récit érotique écrit par Ama [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-05-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Souvenir 3
Souvenir 8
It’s A Men’s World, James Brown
Et si nous faisions connaissance ?
Si vous avez lu ma description, vous savez déjà que je suis une jeune femme avec un esprit qui s’égare. Si vous avez lu mes premiers textes, vous savez également que je vis à Paris. Je voyage souvent entre mon pays et la France, me laissant de longues heures pour écrire fantasmes, souvenirs et envies futures. Mes histoires commencent toujours par une musique : celle que j’écoute lorsque je pose mes mots.
Aujourd’hui j’écris notre rencontre, entre vous et moi. Un fantasme dans lequel peut-être vous projèterez-vous.
J’aime le respect envers les hommes, c’est pourquoi je vous vouvoierai.
Comment pensez-vous que commencerait notre rencontre ? Dans un bar bondé en plein Paris ? Dans un petit restaurant au calme, caché des yeux curieux des passants ? Ou bien directement chez vous ? Chez moi ? Si vous êtes jeune, j’imagine un bar à Bastille. Ce serait un très bon choix car l’alcool me donne une envie de queue que vous ne pouvez imaginer. Si vous êtes moins jeune, un restaurant proche de chez moi. Ne croyez pas avoir moins vos chances, j’adore la virilité qui se dégage d’un homme de plus de quarante ans, son regard mature qui se pose sur mon corps qui n’attend que vous.
Nous êtes là, à l’heure et vous m’attendez. J’arrive toujours en retard, par principe. J’adore me faire désirer, vous voir vous impatienter. Peut-être m’enverrez-vous un message pour savoir où je suis. C’est à ce moment là que vous me verrez à quelques mètres de vous, une robe moulante courte laissant voir mes longues jambes fines perchées sur des talons, un maquillage léger, une frange avec de longs cheveux châtains ondulés qui volent à la vitesse de mes pas. Je mesure 1M67, je fais un 36 avec une belle poitrine, des fesses rebondies avec une taille un peu marquée. J’ai un teint très clair avec des tatouages qui ornent mes deux bras. J’ai une bouche de poupée, ou plutôt une bouche de suceuse avec un regard de chienne. Laissez moi vous parler de mes yeux, un de mes plus grand atout : ils sont à la fois bleus, verts et gris. Mon regard est direct, froid, il semble vous mettre à nu d’un simple battement de cils. Et pourtant, quand je suis à genoux en train de sucer, ils semblent soumis et se détournent pour éviter les regards puissants et masculins.
Je suis sûre de moi, j’aime mener la première discussion. Nous ne connaîtrez pas mon nom, je ne donne jamais un vrai. Aujourd’hui je choisis Romy, cela fait écho à mes origines germaniques et j’aime ce prénom. Vous me laisserez probablement parler, j’adore parler. J’aime parler de tout et de rien en vous regardant me mater plus ou moins discrètement. Je vous conseille de choisir une table avec un tabouret, nous aurez le loisir de pouvoir me regarder croiser puis décroiser mes jambes fines et musclées, réarranger ma robe courte qui remontera indéniablement le long de mes cuisses. Vous remarquerez que je ne porte pas de soutien-gorge car mes tétons pointeront à travers le tissu fin. Cela ne m’empêche pas d’être élégante, avec des beaux bijoux et accessoires qui tomberont bien assez vite. Je vais vous narguer, j’adore être impertinente, cela libère souvent vos pulsions, vous donnent envie de me punir et de me remettre à ma place. Sachez que je n’attends que ça.
Je vais me lever et commencer à partir. Je vous laisserai payer, j’adore cette habitude de galanterie. Une homme se doit d’être galant, les femmes voient cela comme du respect qui leurs est dû. Je trouve cela absurde mais amusant; Tenez moi la porte et je serrai votre objet sexuel. Logique non ?
Les plus patients viendront chez moi, les autres m’emmèneront à l’hôtel. En vrai, cela m’importe peu, tout ce que je veux c’est devenir votre chienne le temps d’une soirée. La suite dépendra de votre tempérament. Je suis très entreprenante, je sais ce que je veux. Si vous ne prenez pas le dessus, je mènerai la danse; je ne peux pas me soumettre à un homme, c’est vous qui devez le faire. Me dominer se mérite, je ne me laisse jamais faire. Peut-être cela vous agacera-t-il, mais vous allez comprendre à quel point c’est excitant et satisfaisant de me faire fermer ma gueule à coup de claques ou de queue dans la bouche.
Lisez ces phrases, fermez vos yeux puis imaginez-les :
C’est alors que quelque chose se réveille en vous. Mon corps chaud contre le votre, vous sentez mes tétons durcir au contact de votre torse. Vous sentez mon souffle se faire irrégulier, une excitation presque surnaturelle, tout votre corps se raidis à mon contact, votre verge double de volume dans votre pantalon. Vous sentez le sang quitter le haut de votre corps pour aller solidifier dans un flux ardent votre queue qui ne demandait que ça depuis qu’elle m’avait aperçu dans la foule. Vous penchez votre tête sur moi et sentez mon odeur ; celle de la sueur pleine de peur et d’hormones qui perle sur le corps d’une femme qui vous a attiré vers elle, peut-être subconsciemment, dans un but bien précis. Vous me sentez frissonner à votre contact, le souffle emballé de quelqu’un qui apparemment n’attend que vous.
Désormais pris d’une frénésie sexuelle certaine, vous me glissez à l’oreille :
« Tu vas prendre ta part petite chienne. »
Sans me laisser le temps de répondre, vous appuyez lourdement sur mes épaules et me forcez à me mettre à genoux devant vous. Vous voyez le doute dans mes yeux, mais il est rapidement remplacé par une envie ; une faim insatiable pour ce qui désormais se dresse à quelques centimètres de mon visage : un membre turgescent de plaisir qui ne demande qu’à disparaître dans la moiteur et l’obscurité d’une bouche grande ouverte.
Vous me regardez droit dans les yeux et m’ordonnez d’un simple mot :
« Suce »
Pas de réaction, je vous regarde droit dans les yeux, un petit sourire espiègle au milieu du visage. Vous comprenez que vous devez me faire saisir que je ne peux pas ainsi me jouer de vous. Vous me collez une rapide gifle sèche qui fait lourdement partir ma tête sur la droite. J’en ai le souffle coupé. Cependant, vous commencez à comprendre que ce n’est pas assez pour moi; il faut me faire comprendre les conséquences de mes agissements. A peine remise de la première gifle, vous m’en collez une deuxième dans l’autre direction et me susurrez :
« Tu sais à quel point j’aime ça, donc fais attention avec tes petites rebellions de merde. Je te le dis une dernière fois : suce »
Cette fois le message est passé, mais par plaisir du jeu je décide de cracher à vos pieds et de planter mes yeux dans les vôtre.
« Tant-mieux » vous direz-vous tandis que vous arborez vous-même un sourire satisfait de voir qu’elle chienne je promet d’être.
Si c’était trop facile, où en serait le plaisir ? Néanmoins la voie est désormais ouverte ; mon regard me trahis, vous me voyez fixer votre queue depuis la première gifle. Je la mange avec les yeux, l’envie de la dévorer monte en moi, l’envie de commencer à lécher le délicieux pré-sperme qui s’échappe de votre gland, lui-même de plus en plus succulent à mes yeux.
Par conséquent, vous me saisissez par les cheveux et m’enfoncez votre bite dans la bouche. Vous la sentez passer outre ma cavité buccale baveuse et aller se loger au fond de ma gorge. Vous bloquez ma tête contre votre bas ventre, vous voyez mes yeux se révulser dans un plaisir coupable, vous sentez les muscles de ma gorge se contracter autour de votre queue, voulant la rejeter pour prendre une inspiration salvatrice. Vous sentez ma bave instinctivement couler le long de votre verge pour la lubrifier et ainsi limiter l’intensité de l’acte. Mais vous ne me laissez pas recracher votre queue. Je m‘étouffe, puis lorsque vous sentez que j’arrive vraiment à ma limite, vous sortez rapidement votre queue et je tombe presque au sol, toussant copieusement ; des fils de bave reliant toujours ma bouche et votre queue ; mon maquillage coulant sur mes joues.
Vous ne me laissez pas le temps de me reprendre, renfourrez violemment votre verge dans ma bouche et la baisez avec toute la fougue d’un plaisir réprimé depuis le début de soirée. Vos boules frappent mon menton. Vous les sentez se charger, vous les sentez gonfler au fur et à mesure des vas-et-viens, de plus en plus remplies de sperme qui ne demande qu’à être déversé dans mon œsophage.
Au début je semble en détresse, coincée contre ce mur vers lequel vous m’avez déplacée afin de tenir ma tête plus facilement.
Puis je me prends au jeu. Vous me voyez m’éveiller malgré l’intensité avec laquelle vous me baisez la bouche. Je commence à entourer votre manche de ma langue, la pousser moi-même au fond de ma gorge ; je mordille votre gland tel un bonbon dont je veux obtenir le jus central ; je saisie vos couilles d’une main sûre qui sait parfaitement ce qu’elle fait et ce dont elle a envie.
La situation échappe à votre contrôle. Cela vous rend à la fois furieux et incroyablement excité. Votre souffle s’accélère,vous sentez désormais votre queue se raidir encore plus, prête à déverser un flot de semence droit dans ma bouche que vous avez subconsciemment désiré depuis le début.
C’est alors que votre jouissance est son comble, vous déversez dans ma gorge serrée ce qui m’est dû, votre sperme chaud coulant dans ma bouche. Des gouttes s’échappent de mes lèvres de poupée que je me dépêche de récupérer avec mes mains. Je porte mon doigts à ma bouche et le suce tout en vous dévorant des yeux.
Ce début de soirée vous plait-il ?
It’s A Men’s World, James Brown
Et si nous faisions connaissance ?
Si vous avez lu ma description, vous savez déjà que je suis une jeune femme avec un esprit qui s’égare. Si vous avez lu mes premiers textes, vous savez également que je vis à Paris. Je voyage souvent entre mon pays et la France, me laissant de longues heures pour écrire fantasmes, souvenirs et envies futures. Mes histoires commencent toujours par une musique : celle que j’écoute lorsque je pose mes mots.
Aujourd’hui j’écris notre rencontre, entre vous et moi. Un fantasme dans lequel peut-être vous projèterez-vous.
J’aime le respect envers les hommes, c’est pourquoi je vous vouvoierai.
Comment pensez-vous que commencerait notre rencontre ? Dans un bar bondé en plein Paris ? Dans un petit restaurant au calme, caché des yeux curieux des passants ? Ou bien directement chez vous ? Chez moi ? Si vous êtes jeune, j’imagine un bar à Bastille. Ce serait un très bon choix car l’alcool me donne une envie de queue que vous ne pouvez imaginer. Si vous êtes moins jeune, un restaurant proche de chez moi. Ne croyez pas avoir moins vos chances, j’adore la virilité qui se dégage d’un homme de plus de quarante ans, son regard mature qui se pose sur mon corps qui n’attend que vous.
Nous êtes là, à l’heure et vous m’attendez. J’arrive toujours en retard, par principe. J’adore me faire désirer, vous voir vous impatienter. Peut-être m’enverrez-vous un message pour savoir où je suis. C’est à ce moment là que vous me verrez à quelques mètres de vous, une robe moulante courte laissant voir mes longues jambes fines perchées sur des talons, un maquillage léger, une frange avec de longs cheveux châtains ondulés qui volent à la vitesse de mes pas. Je mesure 1M67, je fais un 36 avec une belle poitrine, des fesses rebondies avec une taille un peu marquée. J’ai un teint très clair avec des tatouages qui ornent mes deux bras. J’ai une bouche de poupée, ou plutôt une bouche de suceuse avec un regard de chienne. Laissez moi vous parler de mes yeux, un de mes plus grand atout : ils sont à la fois bleus, verts et gris. Mon regard est direct, froid, il semble vous mettre à nu d’un simple battement de cils. Et pourtant, quand je suis à genoux en train de sucer, ils semblent soumis et se détournent pour éviter les regards puissants et masculins.
Je suis sûre de moi, j’aime mener la première discussion. Nous ne connaîtrez pas mon nom, je ne donne jamais un vrai. Aujourd’hui je choisis Romy, cela fait écho à mes origines germaniques et j’aime ce prénom. Vous me laisserez probablement parler, j’adore parler. J’aime parler de tout et de rien en vous regardant me mater plus ou moins discrètement. Je vous conseille de choisir une table avec un tabouret, nous aurez le loisir de pouvoir me regarder croiser puis décroiser mes jambes fines et musclées, réarranger ma robe courte qui remontera indéniablement le long de mes cuisses. Vous remarquerez que je ne porte pas de soutien-gorge car mes tétons pointeront à travers le tissu fin. Cela ne m’empêche pas d’être élégante, avec des beaux bijoux et accessoires qui tomberont bien assez vite. Je vais vous narguer, j’adore être impertinente, cela libère souvent vos pulsions, vous donnent envie de me punir et de me remettre à ma place. Sachez que je n’attends que ça.
Je vais me lever et commencer à partir. Je vous laisserai payer, j’adore cette habitude de galanterie. Une homme se doit d’être galant, les femmes voient cela comme du respect qui leurs est dû. Je trouve cela absurde mais amusant; Tenez moi la porte et je serrai votre objet sexuel. Logique non ?
Les plus patients viendront chez moi, les autres m’emmèneront à l’hôtel. En vrai, cela m’importe peu, tout ce que je veux c’est devenir votre chienne le temps d’une soirée. La suite dépendra de votre tempérament. Je suis très entreprenante, je sais ce que je veux. Si vous ne prenez pas le dessus, je mènerai la danse; je ne peux pas me soumettre à un homme, c’est vous qui devez le faire. Me dominer se mérite, je ne me laisse jamais faire. Peut-être cela vous agacera-t-il, mais vous allez comprendre à quel point c’est excitant et satisfaisant de me faire fermer ma gueule à coup de claques ou de queue dans la bouche.
Lisez ces phrases, fermez vos yeux puis imaginez-les :
C’est alors que quelque chose se réveille en vous. Mon corps chaud contre le votre, vous sentez mes tétons durcir au contact de votre torse. Vous sentez mon souffle se faire irrégulier, une excitation presque surnaturelle, tout votre corps se raidis à mon contact, votre verge double de volume dans votre pantalon. Vous sentez le sang quitter le haut de votre corps pour aller solidifier dans un flux ardent votre queue qui ne demandait que ça depuis qu’elle m’avait aperçu dans la foule. Vous penchez votre tête sur moi et sentez mon odeur ; celle de la sueur pleine de peur et d’hormones qui perle sur le corps d’une femme qui vous a attiré vers elle, peut-être subconsciemment, dans un but bien précis. Vous me sentez frissonner à votre contact, le souffle emballé de quelqu’un qui apparemment n’attend que vous.
Désormais pris d’une frénésie sexuelle certaine, vous me glissez à l’oreille :
« Tu vas prendre ta part petite chienne. »
Sans me laisser le temps de répondre, vous appuyez lourdement sur mes épaules et me forcez à me mettre à genoux devant vous. Vous voyez le doute dans mes yeux, mais il est rapidement remplacé par une envie ; une faim insatiable pour ce qui désormais se dresse à quelques centimètres de mon visage : un membre turgescent de plaisir qui ne demande qu’à disparaître dans la moiteur et l’obscurité d’une bouche grande ouverte.
Vous me regardez droit dans les yeux et m’ordonnez d’un simple mot :
« Suce »
Pas de réaction, je vous regarde droit dans les yeux, un petit sourire espiègle au milieu du visage. Vous comprenez que vous devez me faire saisir que je ne peux pas ainsi me jouer de vous. Vous me collez une rapide gifle sèche qui fait lourdement partir ma tête sur la droite. J’en ai le souffle coupé. Cependant, vous commencez à comprendre que ce n’est pas assez pour moi; il faut me faire comprendre les conséquences de mes agissements. A peine remise de la première gifle, vous m’en collez une deuxième dans l’autre direction et me susurrez :
« Tu sais à quel point j’aime ça, donc fais attention avec tes petites rebellions de merde. Je te le dis une dernière fois : suce »
Cette fois le message est passé, mais par plaisir du jeu je décide de cracher à vos pieds et de planter mes yeux dans les vôtre.
« Tant-mieux » vous direz-vous tandis que vous arborez vous-même un sourire satisfait de voir qu’elle chienne je promet d’être.
Si c’était trop facile, où en serait le plaisir ? Néanmoins la voie est désormais ouverte ; mon regard me trahis, vous me voyez fixer votre queue depuis la première gifle. Je la mange avec les yeux, l’envie de la dévorer monte en moi, l’envie de commencer à lécher le délicieux pré-sperme qui s’échappe de votre gland, lui-même de plus en plus succulent à mes yeux.
Par conséquent, vous me saisissez par les cheveux et m’enfoncez votre bite dans la bouche. Vous la sentez passer outre ma cavité buccale baveuse et aller se loger au fond de ma gorge. Vous bloquez ma tête contre votre bas ventre, vous voyez mes yeux se révulser dans un plaisir coupable, vous sentez les muscles de ma gorge se contracter autour de votre queue, voulant la rejeter pour prendre une inspiration salvatrice. Vous sentez ma bave instinctivement couler le long de votre verge pour la lubrifier et ainsi limiter l’intensité de l’acte. Mais vous ne me laissez pas recracher votre queue. Je m‘étouffe, puis lorsque vous sentez que j’arrive vraiment à ma limite, vous sortez rapidement votre queue et je tombe presque au sol, toussant copieusement ; des fils de bave reliant toujours ma bouche et votre queue ; mon maquillage coulant sur mes joues.
Vous ne me laissez pas le temps de me reprendre, renfourrez violemment votre verge dans ma bouche et la baisez avec toute la fougue d’un plaisir réprimé depuis le début de soirée. Vos boules frappent mon menton. Vous les sentez se charger, vous les sentez gonfler au fur et à mesure des vas-et-viens, de plus en plus remplies de sperme qui ne demande qu’à être déversé dans mon œsophage.
Au début je semble en détresse, coincée contre ce mur vers lequel vous m’avez déplacée afin de tenir ma tête plus facilement.
Puis je me prends au jeu. Vous me voyez m’éveiller malgré l’intensité avec laquelle vous me baisez la bouche. Je commence à entourer votre manche de ma langue, la pousser moi-même au fond de ma gorge ; je mordille votre gland tel un bonbon dont je veux obtenir le jus central ; je saisie vos couilles d’une main sûre qui sait parfaitement ce qu’elle fait et ce dont elle a envie.
La situation échappe à votre contrôle. Cela vous rend à la fois furieux et incroyablement excité. Votre souffle s’accélère,vous sentez désormais votre queue se raidir encore plus, prête à déverser un flot de semence droit dans ma bouche que vous avez subconsciemment désiré depuis le début.
C’est alors que votre jouissance est son comble, vous déversez dans ma gorge serrée ce qui m’est dû, votre sperme chaud coulant dans ma bouche. Des gouttes s’échappent de mes lèvres de poupée que je me dépêche de récupérer avec mes mains. Je porte mon doigts à ma bouche et le suce tout en vous dévorant des yeux.
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