Stage ingénieur

- Par l'auteur HDS Eudes -
Récit érotique écrit par Eudes [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Stage ingénieur Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-07-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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(10.0 / 10)

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Stage ingénieur
Stage ingénieur :

Ce fait que je vais vous narrer, remonte il y a presque dix ans. Lors de mon séjour de troisième cycle d'école d'ingénieur, j'avais vingt deux ans avec mon mètre quatre-vingts cinq, mince, assez effilé mais légèrement musclé, châtain clair et yeux verts. Cette histoire ne se passe pas sur notre territoire français.
On me propose deux entreprises qui correspondent tout à fait à ma spécialisation. Après une quinzaine de jours d'attente je reçois l'accord d'une d'entre elles, mais sa destination ne m'emballe pas trop et je suis très déçu.
Cette grande Société se trouve à Tel-Aviv et dois y aller pour presque deux ans.
Auparavant, je ne suis jamais allé en touriste ou autre voyage voir ce petit pays.
Contrairement aux autres sociétés, celle-ci se chargeait de mon hébergement. En moi-même j'avais une certaine appréhension sur le futur lieu de mon séjour. Le directeur des Ressources Humaines m'accueille à l'aéroport et me conduit vers l'endroit de mon nouvel habitat pour ces deux ans.
C'est ce que l'on appelle ici en France un Appart-hôtel. Sauf que celui qui m'avait été offert par la société pour la durée de mon stage (offert, si l'on peut dire car entièrement payé) Tant pour tous les services et le quotidien) Je pouvais faire mes repas où les prendre au Palace-Hôtel la Renaissance qui était également propriétaire de ce complexe contigu. Mon petit appartement est sis dans le quartier assez chic et animé de Neve Tzeduk. J'étais au cinquième étage avec une grande terrasse face à la mer. En résumé, j'étais bien installé et même très bien installé.
Avec cette généreuse prise en charge de tous ces frais, je me trouve un peu plus à l'aise financièrement. Je vous passe sous silence, mon stage où je suis merveil-leusement bien épaulé, suivi, conseillé.
Au fil des jours, je me sentais de mieux en mieux avec ces restaurants chics de toute sorte, les bars branchés, les parcs animés. Je ne regrettais plus cette destination.
Quelques semaines s'écoulent et il faut que j'aille chez le coiffeur, car j'aime avoir en permanence une coupe nette et impeccable. Comme dans ces grands hôtels, quelques belles boutiques et service. Malgré le peu de temps, je commençais à être un peu connu du personnel de cet établissement où presque tous les jours je dînais à tour de rôle dans l'un des cinq restaurants et prenais tous les soirs un verre dans un des trois bars sans compter que j'aimais me balader dans les galeries et regarder les splendides vitrines superbement aménagées et décoréesJ'entre dans ce salon de coiffure - barbier. Je suis accueilli par une jeune employée et lui fais part de ma demande. Elle me fait patienter, et revient accompagnée d'un bel homme d'une bonne trentaine d'année qui est le coiffeur pour hommes. Il me conseille comme je suis juste à côté de revenir le lendemain à une heure un peu plus tardive. J'accepte. Je repars avec la silhouette de ce monsieur en tête. Pour son amabilité, sa politesse, son élégance et toute sa prestance.
Arrive le lendemain. La jeune personne m'accueille avec élégance et appelle le coiffeur. Il me fait signe de le suivre. Je suis surpris, car il y a des fauteuils que l'on voit en vitrine sur lesquels je n'ai jamais vu quelqu'un d'assis. Il m'explique que c'est pour le décor et que dans ces salons des palaces, le client n'aime pas être aperçu et que tout le travail s'effectue en cabine privée. Il me fait entrer dans un magnifique espace tout blanc où tout est bien rangé et organisé.
Un luxueux fauteuil en cuir gris-souris et anthracite fait face à une immense glace contemporaine. Je me dirige vers le fauteuil mais le coiffeur me fait signe comme pour me dire par-là..
Ethan Vous allez passer derrière ce paravent. Vous y trouverez une chemise longue légère et des minis chaussons. Vous nouerez dans le dos cette chemise après vous être dévêtu.
Moi : Pourquoi ? Je suis venu pour une coupe Ethan Oui, oui, c'est bien ce qui est inscrit sur le cahier de rendez-vous. Ici dans presque tous les salons nous avons adopté cette technique, déjà les cheveux coupés ne salissent pas votre pantalon et encore moins moins votre chemise. Pui avec la chaleur, le port de vos vêtements sous , le peignoir est très désagréable et encombrant. En général les clients sont satisfaits de cette nouvelle technique depuis cinq ansJe me dirige donc derrière le paravent et commence à me déshabiller, ne sachant pas trop quoi enlever lorsque j'entendsEthan Vous restez seulement avec votre sous-vêtementJe m'exécute, noue la chemise et ressorts pour m'asseoir. Arrivé auprès du fauteuil, le coiffeur me fait mettre le peignoir classique mais en voile de soie noire eet je m'assois dans ce fauteuil hyper confortable.
Pas besoin de se déranger pour le shampoing, le fauteuil se déplace électriquement jusqu'au bac. Pendant le shampoing, le coiffeur me questionne sur mon séjour. Pour le shampoing ses gestes sont précis. Ses longues mains commencent un agréable massage du cuir chevelu. Je suis très détendu mais assez troublé par le magnifique visage de ce bel homme à peine gruisonnant qui est presque une image de mode. Ensuite nous revenons vers l'espace coiffage. Au fur et à mesure de la coupe il se déplace autour du fauteuil et s'approche assez près de moi. Après un moment j'ai déposé mes avant-bras sur chaque accoudoir mes mains pendant mollement vers l'extérieur. Il portait une splendide combinaison anthracite magnifiquement coupée qui mettait sa silhouette en grande valeur, et lui dessinait de très longues fines jambes. Sous le peignoir inconsciemment, je me suis à légèrement être en érection. Sa tenue professionnelle épouse élégamment son torse. L'échancrure de l'encolure était à peine ouverte dévoilant une peau bronzée comme un petit pain, dévoilant quelques poils. Je ne sais pas si je fantasme mais j'ai l'impression que sur le devant, une bosse se dessine davantage. Lors du maniement du séchoir, il s'est rapproché et je sens par instant qu'il s'appuie sur le dos d'une de mes mains. Il a même donné parfois des à-coups. Je suis figé, et je me mets à rougir sans bouger.
Le brushing se termine et il me présente le miroir pour approuver son travail remarquable et impeccable.(aucun grand coiffeur parisien n'était arrivé à une telle performance) Au moment d'enlever le joli peignoir, il me dit :Ethan : Voilà c'est terminé pour le coiffeur, nous allons passer au barbierMoi : Oh ! Ma barbe, même en fin de journée, ne nécessite pas le travail d' un Barbier et son rasoir coupe-choux.
Ethan : Oui ! Effectivement, je vois vous n'avez pas beaucoup de barbe, mais ici en Israël dans les palaces le barbier ce n'est pas cela. Si vous avez encore quelques minutes, laissez-vous faireMoi : Oui, mais en quoi cela consisteEthan : N'ayez pas peur, ne craignez rien –Si vous voulez, redressez-vous du Fauteuil que je dégage le peignoir Vous allez bien vous caler au fond du fauteuil.
Il fixe au dossier un repose tête du même cuir et électriquement bascule vers l'arrière le dossier. Je suis incliné et bien positionné. Il s'approche et d'un coup soulève la légère chemise, qu'il roule et fixe avec une petite attache.
Il pose sa main sur mon poitrail et avec deux de ses très longs doigts touchent et tirent pour voir la longueur de mes quelques poils Ethan le barbier, c'est cela, c'est le soin des poils que vous avez iciIl ouvre le dessus de la tablette et le savon est déjà près. Avec celui-ci il badigeonne mon poitrail et avec la grande lame de son rasoir coupe-choux enlève délicatement toute la bande de poils et ceux alentours de ma poitrine.
Pendant ce temps il d'était bien appuyé contre mes maisn que j'avais remis en place. Et effectivement la bosse était bien dure. Je n'osais pas bouger mes doigts, mais je sentais une certaine chaleurUne fois le travail du rasoir terminé, il passa une serviette éponge mouillée sur mon torse. Gentiment et délicatement il pris ma main et la monta pour faire ce même travail à mes aisselles et pareil pour l'autre. Il a fini de passer une nouvelle serviette mouillée sous mes aisselles et redescend sur mon torse plus rapidement et d'un coup de maître descends l'élastique de mon slip.
Moi Mais ! mais ! que faites vous ? Déjà vous m'avez fait quelque chose que Je ne vous avais pas demandé.
Ethan Vous ne trouvez pas que c'est plus joli? Et vous verrez qu'avec la chaleur c'est nettement plus confortable.
Moi Je conçois, c'est pas mal, c'est net mais surtout très doux avec la crème que vous m'avez ointEthan Ici , les hommes et surtout ceux comme vous (et clac, prends cela dans la figure) ont cette zone complètement nette et continuellement lisse.
Il n'attend pas ma réponse et tire un peu plus sur l'élastique ce qui fait sortir d'un bond ma verge en pleine érection.je suis gêné et instinctivement je mets mes mains pour cacher. D'une façon délicate, il les enlève et avec son blaireau a déjà déposé le savon.
D'une main il fait glisser un plus petit rasoir et de l'autre tient ma queue avec le bout de deux doigts qui caressent mon frein. Ses douces caresses me fond encore plus durcir. Ma queue voudrait encore s'allonger tellement c'est bon.
Ensuite sa seconde main, soulève un de mes testicules pour faire glisser le rasoir. Au moment où il manipule ma couille il se penche et aspire ma queue en roulant ses lèvres le long de mon chibre. Le rasoir sur les bourses donne une agréable et vibrante sensation qui me fait bouger sur le fauteuil. Malgré mon membre dans sa bouche il me dis de ne pas bouger, cela pourrait être dangereux. Une fois le rasage de cette zone, il prend une serviette pour essuyer mes boules, et sa bouche n'est plus statique mais monte et descend tout en aspirant. Sa langue tournoie autour du gland. C'est très bien. Il m'excite de plus en plus.
J'ose bouger un peu ma main. Là, du bout de mon doigt, je constate que son "engin" s'est développé dans la combinaison. Mon doigt se pose et suis pour arriver à la couronne qu'il sent à travers la splendide étoffe de sa combinaison.
Ses succions se font de plus en plus sonores et je sens parfois des gouttes de sa salive tomber sur mon ventre.
Pendant ce temps, mon doigt à tâtons, longe la fermeture de sa combinaison, ce qui a l'air de lui faire plaisir, je découvre le curseur de la fermeture éclair. Je le saisis et le remonte. Je glisse ma main et je constate qu'il ne porte qu'un semblant de sous-vêtement qui est un simple léger triangle. Je sens du bout des doigts son pubis doux et lisse. En déplaçant mes doigts à l'intérieur de cette ouverture, je sens quelque chose de chaud et dur d'où je fais sorti .. . Oh Ohsurprise un phallus de plus de vingt-deux centimètres. Un très beau cylindre bien rectiligne. C'est impressionnant.
Ma main s'en saisit instinctivement tellement c'est stupéfiant. Je ne crois pas avoir déjà eu une telle matraque de chair en main. En son bout, suinte déjà un peu de mouille, ce qui facilite le mouvement de ma rotation manuelle sur son gland circoncis.
Pendant, ce temps magique, Ethan continue toujours calmement sa savante fellation. Malgré ma position, par moment, lors de ses descentes, il arrive à me faire des gorges profondes qui me font gémir.
Je tiens un peu fermement son immense sexe et commence une légère masturbation qui le fait encore plus durcir. Il me suce tellement bien que je suis extrêmement excité et j'ai peur de lui jouir dans sa bouche travailleuse.
Moi : Arrêtez, s'il vous plaît; pus allez me faire cracher.
Très poliment et gentiment il arrête ses mouvements buccaux d'une incroyable délicatesse et tous les mouvements de sa langue très experte. De sa main il me fait arrêter mes mouvement de coulissage de sa peau le long de sa verge .
Ethan : Ce que tu me fais est trop bon, tu es un expert de la masturbation et du massage de mon gland, moi non plus je ne vais pas pouvoir me retenir.
Je respecte sa demande afin de prendre notre plaisir un peu plus tard. En un éclair il continue d'ouvrir sa combinaison, qu'il fait glisser pour se retrouver nu. Mes yeux s'écarquille tellement ses formes sont splendides avec un magnifique corps bronzé et entièrement lisse. Le pubis est glabre et ses jambes également. Il voit bien que je l'admire. Je remets mon esprit de cette superbe image du corps masculin parfait. Il incline le dossier du fauteuil de quelques degrés et pendant qu'il manipule le bouton, il m'a enjambé.
Il se met face à moi, de sa douce main, il tient ma queue turgescente et raide pour s'empaler doucement sur celle-ci. Que c'est bon de sentir son orifice s'ouvrir et être dans une grotte bien chaude. Ses mains prennent appui sur les accoudoirs pour effectuer son empalage à son rythme. Je suis au anges. Avec cette position sa queue est devant mon visage. Sans réfléchir, j'avance légèrement ma tête pour prendre sa longue lance dans ma bouche. Et avec plaisir, je lui prodigue une fellation comme j'aime les faire avec beaucoup de salive. Je referme ma bouche en ourlant un peu mes lèvres. Je lui inflige un va et vient assez lent pour lui faire monter son plaisir. De son côté, il a un peu accentué ses mouvements de montées et descentes, ce qui par l'excitation me fait faire des mouvement de mon bassin et je peu bien aller buter contre les parois de sa prostate. Il se met à pousser des petits murmures sourds, Ethan : Continue, vas-y c'est trop bon. Pousse bien sur ma prostateEn me disant cela, il sait parfaitement contracter a rondelle qui me procure de grands frissons et me fait accentué mon bassin.
Moi : C'est bon c'est bon, je vais juter, oui, OUiiiiEn quelques secondes, j'éjacule trois longs jets de mon sperme dans ses entrailles me faisant presque crier tellement cette sensation est forte. Après ce moment il reste encore embroché, il a son joli sourire et me dit.
Ethan : Cela m'a fait du bien. Je n'ai vraiment pas souvent l'occasion de me procurer cet jouissance anale. Tu sais m'amener à cet orgasme prostatiqueStage ingénieur :

Ce fait que je vais vous narrer, remonte il y a presque dix ans. Lors de mon séjour de troisième cycle d'école d'ingénieur, j'avais vingt deux ans avec mon mètre quatre-vingts cinq, mince, assez effilé mais légèrement musclé, châtain clair et yeux verts. Cette histoire ne se passe pas sur notre territoire français.
On me propose deux entreprises qui correspondent tout à fait à ma spécialisation. Après une quinzaine de jours d'attente je reçois l'accord d'une d'entre elles, mais sa destination ne m'emballe pas trop et je suis très déçu.
Cette grande Société se trouve à Tel-Aviv et dois y aller pour presque deux ans.
Auparavant, je ne suis jamais allé en touriste ou autre voyage voir ce petit pays.
Contrairement aux autres sociétés, celle-ci se chargeait de mon hébergement. En moi-même j'avais une certaine appréhension sur le futur lieu de mon séjour. Le directeur des Ressources Humaines m'accueille à l'aéroport et me conduit vers l'endroit de mon nouvel habitat pour ces deux ans.
C'est ce que l'on appelle ici en France un Appart-hôtel. Sauf que celui qui m'avait été offert par la société pour la durée de mon stage (offert, si l'on peut dire car entièrement payé) Tant pour tous les services et le quotidien) Je pouvais faire mes repas où les prendre au Palace-Hôtel la Renaissance qui était également propriétaire de ce complexe contigu. Mon petit appartement est sis dans le quartier assez chic et animé de Neve Tzeduk. J'étais au cinquième étage avec une grande terrasse face à la mer. En résumé, j'étais bien installé et même très bien installé.
Avec cette généreuse prise en charge de tous ces frais, je me trouve un peu plus à l'aise financièrement. Je vous passe sous silence, mon stage où je suis merveil-leusement bien épaulé, suivi, conseillé.
Au fil des jours, je me sentais de mieux en mieux avec ces restaurants chics de toute sorte, les bars branchés, les parcs animés. Je ne regrettais plus cette destination.
Quelques semaines s'écoulent et il faut que j'aille chez le coiffeur, car j'aime avoir en permanence une coupe nette et impeccable. Comme dans ces grands hôtels, quelques belles boutiques et service. Malgré le peu de temps, je commençais à être un peu connu du personnel de cet établissement où presque tous les jours je dînais à tour de rôle dans l'un des cinq restaurants et prenais tous les soirs un verre dans un des trois bars sans compter que j'aimais me balader dans les galeries et regarder les splendides vitrines superbement aménagées et décoréesJ'entre dans ce salon de coiffure - barbier. Je suis accueilli par une jeune employée et lui fais part de ma demande. Elle me fait patienter, et revient accompagnée d'un bel homme d'une bonne trentaine d'année qui est le coiffeur pour hommes. Il me conseille comme je suis juste à côté de revenir le lendemain à une heure un peu plus tardive. J'accepte. Je repars avec la silhouette de ce monsieur en tête. Pour son amabilité, sa politesse, son élégance et toute sa prestance.
Arrive le lendemain. La jeune personne m'accueille avec élégance et appelle le coiffeur. Il me fait signe de le suivre. Je suis surpris, car il y a des fauteuils que l'on voit en vitrine sur lesquels je n'ai jamais vu quelqu'un d'assis. Il m'explique que c'est pour le décor et que dans ces salons des palaces, le client n'aime pas être aperçu et que tout le travail s'effectue en cabine privée. Il me fait entrer dans un magnifique espace tout blanc où tout est bien rangé et organisé.
Un luxueux fauteuil en cuir gris-souris et anthracite fait face à une immense glace contemporaine. Je me dirige vers le fauteuil mais le coiffeur me fait signe comme pour me dire par-là..
Ethan Vous allez passer derrière ce paravent. Vous y trouverez une chemise longue légère et des minis chaussons. Vous nouerez dans le dos cette chemise après vous être dévêtu.
Moi : Pourquoi ? Je suis venu pour une coupe Ethan Oui, oui, c'est bien ce qui est inscrit sur le cahier de rendez-vous. Ici dans presque tous les salons nous avons adopté cette technique, déjà les cheveux coupés ne salissent pas votre pantalon et encore moins moins votre chemise. Pui avec la chaleur, le port de vos vêtements sous , le peignoir est très désagréable et encombrant. En général les clients sont satisfaits de cette nouvelle technique depuis cinq ansJe me dirige donc derrière le paravent et commence à me déshabiller, ne sachant pas trop quoi enlever lorsque j'entendsEthan Vous restez seulement avec votre sous-vêtementJe m'exécute, noue la chemise et ressorts pour m'asseoir. Arrivé auprès du fauteuil, le coiffeur me fait mettre le peignoir classique mais en voile de soie noire eet je m'assois dans ce fauteuil hyper confortable.
Pas besoin de se déranger pour le shampoing, le fauteuil se déplace électriquement jusqu'au bac. Pendant le shampoing, le coiffeur me questionne sur mon séjour. Pour le shampoing ses gestes sont précis. Ses longues mains commencent un agréable massage du cuir chevelu. Je suis très détendu mais assez troublé par le magnifique visage de ce bel homme à peine gruisonnant qui est presque une image de mode. Ensuite nous revenons vers l'espace coiffage. Au fur et à mesure de la coupe il se déplace autour du fauteuil et s'approche assez près de moi. Après un moment j'ai déposé mes avant-bras sur chaque accoudoir mes mains pendant mollement vers l'extérieur. Il portait une splendide combinaison anthracite magnifiquement coupée qui mettait sa silhouette en grande valeur, et lui dessinait de très longues fines jambes. Sous le peignoir inconsciemment, je me suis à légèrement être en érection. Sa tenue professionnelle épouse élégamment son torse. L'échancrure de l'encolure était à peine ouverte dévoilant une peau bronzée comme un petit pain, dévoilant quelques poils. Je ne sais pas si je fantasme mais j'ai l'impression que sur le devant, une bosse se dessine davantage. Lors du maniement du séchoir, il s'est rapproché et je sens par instant qu'il s'appuie sur le dos d'une de mes mains. Il a même donné parfois des à-coups. Je suis figé, et je me mets à rougir sans bouger.
Le brushing se termine et il me présente le miroir pour approuver son travail remarquable et impeccable.(aucun grand coiffeur parisien n'était arrivé à une telle performance) Au moment d'enlever le joli peignoir, il me dit :Ethan : Voilà c'est terminé pour le coiffeur, nous allons passer au barbierMoi : Oh ! Ma barbe, même en fin de journée, ne nécessite pas le travail d' un Barbier et son rasoir coupe-choux.
Ethan : Oui ! Effectivement, je vois vous n'avez pas beaucoup de barbe, mais ici en Israël dans les palaces le barbier ce n'est pas cela. Si vous avez encore quelques minutes, laissez-vous faireMoi : Oui, mais en quoi cela consisteEthan : N'ayez pas peur, ne craignez rien –Si vous voulez, redressez-vous du Fauteuil que je dégage le peignoir Vous allez bien vous caler au fond du fauteuil.
Il fixe au dossier un repose tête du même cuir et électriquement bascule vers l'arrière le dossier. Je suis incliné et bien positionné. Il s'approche et d'un coup soulève la légère chemise, qu'il roule et fixe avec une petite attache.
Il pose sa main sur mon poitrail et avec deux de ses très longs doigts touchent et tirent pour voir la longueur de mes quelques poils Ethan le barbier, c'est cela, c'est le soin des poils que vous avez iciIl ouvre le dessus de la tablette et le savon est déjà près. Avec celui-ci il badigeonne mon poitrail et avec la grande lame de son rasoir coupe-choux enlève délicatement toute la bande de poils et ceux alentours de ma poitrine.
Pendant ce temps il d'était bien appuyé contre mes maisn que j'avais remis en place. Et effectivement la bosse était bien dure. Je n'osais pas bouger mes doigts, mais je sentais une certaine chaleurUne fois le travail du rasoir terminé, il passa une serviette éponge mouillée sur mon torse. Gentiment et délicatement il pris ma main et la monta pour faire ce même travail à mes aisselles et pareil pour l'autre. Il a fini de passer une nouvelle serviette mouillée sous mes aisselles et redescend sur mon torse plus rapidement et d'un coup de maître descends l'élastique de mon slip.
Moi Mais ! mais ! que faites vous ? Déjà vous m'avez fait quelque chose que Je ne vous avais pas demandé.
Ethan Vous ne trouvez pas que c'est plus joli? Et vous verrez qu'avec la chaleur c'est nettement plus confortable.
Moi Je conçois, c'est pas mal, c'est net mais surtout très doux avec la crème que vous m'avez ointEthan Ici , les hommes et surtout ceux comme vous (et clac, prends cela dans la figure) ont cette zone complètement nette et continuellement lisse.
Il n'attend pas ma réponse et tire un peu plus sur l'élastique ce qui fait sortir d'un bond ma verge en pleine érection.je suis gêné et instinctivement je mets mes mains pour cacher. D'une façon délicate, il les enlève et avec son blaireau a déjà déposé le savon.
D'une main il fait glisser un plus petit rasoir et de l'autre tient ma queue avec le bout de deux doigts qui caressent mon frein. Ses douces caresses me fond encore plus durcir. Ma queue voudrait encore s'allonger tellement c'est bon.
Ensuite sa seconde main, soulève un de mes testicules pour faire glisser le rasoir. Au moment où il manipule ma couille il se penche et aspire ma queue en roulant ses lèvres le long de mon chibre. Le rasoir sur les bourses donne une agréable et vibrante sensation qui me fait bouger sur le fauteuil. Malgré mon membre dans sa bouche il me dis de ne pas bouger, cela pourrait être dangereux. Une fois le rasage de cette zone, il prend une serviette pour essuyer mes boules, et sa bouche n'est plus statique mais monte et descend tout en aspirant. Sa langue tournoie autour du gland. C'est très bien. Il m'excite de plus en plus.
J'ose bouger un peu ma main. Là, du bout de mon doigt, je constate que son "engin" s'est développé dans la combinaison. Mon doigt se pose et suis pour arriver à la couronne qu'il sent à travers la splendide étoffe de sa combinaison.
Ses succions se font de plus en plus sonores et je sens parfois des gouttes de sa salive tomber sur mon ventre.
Pendant ce temps, mon doigt à tâtons, longe la fermeture de sa combinaison, ce qui a l'air de lui faire plaisir, je découvre le curseur de la fermeture éclair. Je le saisis et le remonte. Je glisse ma main et je constate qu'il ne porte qu'un semblant de sous-vêtement qui est un simple léger triangle. Je sens du bout des doigts son pubis doux et lisse. En déplaçant mes doigts à l'intérieur de cette ouverture, je sens quelque chose de chaud et dur d'où je fais sorti .. . Oh Ohsurprise un phallus de plus de vingt-deux centimètres. Un très beau cylindre bien rectiligne. C'est impressionnant.
Ma main s'en saisit instinctivement tellement c'est stupéfiant. Je ne crois pas avoir déjà eu une telle matraque de chair en main. En son bout, suinte déjà un peu de mouille, ce qui facilite le mouvement de ma rotation manuelle sur son gland circoncis.
Pendant, ce temps magique, Ethan continue toujours calmement sa savante fellation. Malgré ma position, par moment, lors de ses descentes, il arrive à me faire des gorges profondes qui me font gémir.
Je tiens un peu fermement son immense sexe et commence une légère masturbation qui le fait encore plus durcir. Il me suce tellement bien que je suis extrêmement excité et j'ai peur de lui jouir dans sa bouche travailleuse.
Moi : Arrêtez, s'il vous plaît; pus allez me faire cracher.
Très poliment et gentiment il arrête ses mouvements buccaux d'une incroyable délicatesse et tous les mouvements de sa langue très experte. De sa main il me fait arrêter mes mouvement de coulissage de sa peau le long de sa verge .
Ethan : Ce que tu me fais est trop bon, tu es un expert de la masturbation et du massage de mon gland, moi non plus je ne vais pas pouvoir me retenir.
Je respecte sa demande afin de prendre notre plaisir un peu plus tard. En un éclair il continue d'ouvrir sa combinaison, qu'il fait glisser pour se retrouver nu. Mes yeux s'écarquille tellement ses formes sont splendides avec un magnifique corps bronzé et entièrement lisse. Le pubis est glabre et ses jambes également. Il voit bien que je l'admire. Je remets mon esprit de cette superbe image du corps masculin parfait. Il incline le dossier du fauteuil de quelques degrés et pendant qu'il manipule le bouton, il m'a enjambé.
Il se met face à moi, de sa douce main, il tient ma queue turgescente et raide pour s'empaler doucement sur celle-ci. Que c'est bon de sentir son orifice s'ouvrir et être dans une grotte bien chaude. Ses mains prennent appui sur les accoudoirs pour effectuer son empalage à son rythme. Je suis au anges. Avec cette position sa queue est devant mon visage. Sans réfléchir, j'avance légèrement ma tête pour prendre sa longue lance dans ma bouche. Et avec plaisir, je lui prodigue une fellation comme j'aime les faire avec beaucoup de salive. Je referme ma bouche en ourlant un peu mes lèvres. Je lui inflige un va et vient assez lent pour lui faire monter son plaisir. De son côté, il a un peu accentué ses mouvements de montées et descentes, ce qui par l'excitation me fait faire des mouvement de mon bassin et je peu bien aller buter contre les parois de sa prostate. Il se met à pousser des petits murmures sourds, Ethan : Continue, vas-y c'est trop bon. Pousse bien sur ma prostateEn me disant cela, il sait parfaitement contracter a rondelle qui me procure de grands frissons et me fait accentué mon bassin.
Moi : C'est bon c'est bon, je vais juter, oui, OUiiiiEn quelques secondes, j'éjacule trois longs jets de mon sperme dans ses entrailles me faisant presque crier tellement cette sensation est forte. Après ce moment il reste encore embroché, il a son joli sourire et me dit.
Ethan : Cela m'a fait du bien. Je n'ai vraiment pas souvent l'occasion de me procurer cet jouissance anale. Tu sais m'amener à cet orgasme prostatiqueAu même moment il me lâche toute sa semence, qui n'arrête pas de se déverser dans ma bouche. Il y a eu une grosse giclée, et ensuite un écoulement continu me remplissant complètement la bouche malgré ma déglutition immédiate et constante. Je n'avais eu autant de jute dans ma bouche.
Afin de ne pas éveillé certain soupçon, pendant toute la durée de mon stage je prenais rendez-vous toutes les trois semaines afin d'admiré son corps nu et déguster tout son nectar qu'il n'avait pas donné à son épouse..






Au même moment il me lâche toute sa semence, qui n'arrête pas de se déverser dans ma bouche. Il y a eu une grosse giclée, et ensuite un écoulement continu me remplissant complètement la bouche malgré ma déglutition immédiate et constante. Je n'avais eu autant de jute dans ma bouche.
Afin de ne pas éveillé certain soupçon, pendant toute la durée de mon stage je prenais rendez-vous toutes les trois semaines afin d'admiré son corps nu et déguster tout son nectar qu'il n'avait pas donné à son épouse..

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Texte coquin : Stage ingénieur
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