Stage obligatoire - histoire érotique

La boite dans laquelle je travaille m'envoie faire un stage de 5 jours à plusieurs centaines de kilomètres de chez moi. La veille de mon départ, ma compagne demande une baise très chaude. Le soir en rentrant je la vois venir vers moi en tenant dans sa main le godemiché que je lui ai offert pour la saint Valentin. Tu vois, me dit-elle je viens de me branler en pensant à toi et à ta queue qui sait bien me faire jouir. Ce n'est pas la première fois qu'elle se sert de mon cadeau: elle aime se le mettre quand elle est réellement excitée. Pour me mettre en train elle s'assoit sur une chaise, écarte bien les jambes et me montre son con humide. Elle pose le gode sur son con, le rentre et le sort à toute vitesse. Je la regarde et
bien sur elle me fait bander. Je reste stoïque en préférant qu'elle se fasse jouir devant moi.
Je l'embrasse et lui caresse les seins comme elle aime. Elle ne traîne pas et a un orgasme comme jamais, il me semble.
Elle est un peu plus calme et je l'entreprends lentement: les caresses succèdent aux caresses. Elle me demande de me déshabiller et de son côté elle enlève le seul teeshirt qu'elle porte. Je prend un sein le suce et de là je descends vers son con. Elle m'aide en faisant ressortir son clitoris. Je lui fait ce qu'elle aime: je passe ma langue dans sa fente et
lentement je lèche son bouton. Elle remue, excitée par ma langue et jouit. Je reçois une bonne dose de cyprine dans ma bouche. J'aime son goût.
Elle s'occupe enfin de moi: sa bouche avale ma queue et d'une main elle me caresse les couilles pendant que l'autre se dirige vers mon cul pour y mettre un doigt profond. Je ne tarde pas à lâcher mon sperme et elle l'avale, elle aussi aime mon goût.
Nous allons nous coucher et encore nous baisons comme la première fois. Elle me demande de la prendre dans le con: nous aimons; par le cul, nous aimons, nous faisons un 69, chose qu'elle aime comme moi.
La nuit passe et nous baisons sans arrêt. nous dormons un peu quand je me réveille pour aller prendre un TGV, que j'ai de justesse. Je profite du voyage pour m'endormir un peu. Le stage commence,nous ne sommes que 4 . Trois hommes et perdue au milieu une très jolie brunette semble-t-il assez capable de se défendre en cas de réflexions trop osées. La journée se passe comme pour tous ce genre de stage qui ne sert à rien. Nous sommes
logés au même hôtel. La fille , Mado, loge juste en face de ma chambre.
Nous nous retrouvons au restaurant et elle vient s'asseoir à coté de moi. Nous bavardons de tout et de rien. Soudain elle se met à ma parler de sexe, au début d'une façon très légère et vers la fin du repas elle me raconte ses mésaventures avec son ex: il ne baisait pas bien et
de plus n'était pas très bien monté. Je la plains sans me rendre compte qu'elle est entrain de me draguer. Tant en si bien qu'en sortant de la salle à manger, je commence à bander. Elle voit la bosse sur mon pantalon. Nous prenons l'ascenseur et là elle me pose sa main sur la bite. Nous sortons et elle me demande si nous allons chez elle ou chez moi. Je préfère chez moi: ma femme risque de m'appeler et je pourrai lui répondre.
Mado rentre aussitôt dans la salle de bain de il se passe un petit moment où je me demande ce que je fais avec elle. Quand elle sort, elle est entièrement nue. J'admire son corps: sa poitrine n'est pas très forte, ses jambes et ses fesses splendides. Elle vient vers moi et m'embrasse longuement. Son bas ventre frotte ma pine et je n'ai aucun scrupule à lui passer le main sur le pubis.
Elle me laisse faire et je la branle avec douceur: elle offre son con encore plus. je me déshabille à mon tour et elle prend ma bite dans sa main pour me branler. Elle doit avoir l'habitude parce qu'elle masturbe terriblement bien. Nous nous retrouvons assis au bord du lit entrain de jouer à touche pipi. Je la fait jouir: elle gémit. Elle arrête sa caresse sur ma queue. Enfin elle se couche et me demande de venir faire un 69. Cette demande n'est pas banale venant juste après une jouissance venant d'une simple masturbation. Je me couche, l'embrasse encore: elle m'enjambe et je vois sa féminité là, à quelques centimètres de ma
bouche: Elle prend ma pine et commence à me faire une fellation qu'elle réussit pleinement.J'ai pris en bouche son clitoris, clitoris plutôt grand ce qui me permet de le prendre entre mes lèvres et de le sucer tout en le lui léchant du bout de ma langue. Je la sens particulièrement réceptive: elle accélère sa fellation et nous jouissons pratiquement
ensemble. Sa cyprine est presque aussi bonne que celle de ma femme.
Elle se colle contre moi pour me faire bander encore: elle me raconte ses baises et me félicite pour la grosseur de ma bite. Pourtant la seule qui me le dit est ma femme. Elle me caresse la tige les couilles et sans savoir que j'aime ça, elle plante un doigt dans mon cul.
Evidemment je bande encore. Je sais ce qu'elle veux: baiser, mon engin planté dans son vagin. Je ne me presse pas et c'est avec lenteur que je me mets sur elle. elle écarte les cuisses et sa main guide mon pieu vers sa grotte. J'attends encore avant d'y rentrer: je veux qu'elle me supplie de la prendre. Elle passe ses jambes autour de ma taille: c'est ainsi qu'elle se rentre elle même ma pine. Nous baisons comme deux amants en manque alors que ni elle ni moi sommes à jeun.
C'est une sacrée gourmande elle veut toujours baiser. Je l'ai possédée déjà 5 ou 6 fois. Maintenant je veux autre chose: l'enculer. Je ne sais si elle aime ça. C'est un risque à prendre. Je ne la prends pas en traite: je l'avertis. Sa réponse est très favorable: elle se mouille le cul avec sa mouille et se met en position: en levrette, elle écarte les fesses que
j'embrasse avant de lui mettre mon sexe dans son cul. Il doit en avoir vu passé des queues: elle est large de ce coté là et j'y rentre facilement. Je lui fait remarquer que son anus est formidable. C'est normal: elle se l'astique en se branlant.
Nous passons la nuit ensemble. La plus surprise sera la femme de chambre quand elle verra que son lit n'est même pas défait.
La journée se passe en conférence plus ou moins barbante. Nous faisons comme si de rien n'était entre nous, sauf qu'elle écarte ses jambes pour me monter porte pas de dessous. Ce n'est que le soir que nous recommençons nos étreintes. Pourtant pendant la journée Mado va souvent aux toilettes. Elle me dira plus tard qu'elle allait se masturber en pensant à notre
future baise.
Donc nous nous retrouvons dans ma chambre, nus en train de faire l'amour: je suis sur elle et la baise comme il faut. Soudain le téléphone sonne: me femme qui vient aux nouvelles et me dit qu'elle est en train de se branler. Je ne mens pas trop en lui disant que moi aussi je m'occupe de ma queue. ça devient assez compliqué: je baise un volcan, ma femme se branle et moi je doit faire comme si j'étais seul. Mado comprend qu'il faut faire quelque chose: Elle me laisse parler à ma femme et me branle comme si c'était moi que me donnait du plaisir. Ma femme m'avertit qu'elle jouit. heureusement qu'elle ne me voit pas: ma compagne accélère ses aller-venus qu'elle me fait juter aussi. Je le dit à ma femme qui, satisfaite raccroche.
Mado qui a encore envie de baise stimule ma pine avant de se la mettre au cul. Elle se branle et a un orgasme extraordinaire. C'est elle qui me le dit: je sentais quand même son anus se crisper autour de la queue. Je me lève et passe à la salle de bain accompagné par Mado. Je veux me laver la bite et finalement c'est elle qui me lave tout en me branlant. Elle
sait ce que veux dire ma toilette: elle vient sur le lit et quand elle est couchée, elle me demande de la sucer: en réalité elle veux un 69. Nous nous suçons avec plaisir. Nous nous mettons un doigt dans le cul et nous voila parti pour un orgasme rare.
Le reste du stage continu sur sa lancée. Mado veux toujours baiser. Et le dernier soir Mado veut avoir ses derniers rapports avec moi et surtout ma bite: elle n'est pas déçue, je lui mets ma bite dans tous ses trous et les comble à chaque fois. Pour le final, nous baisons directement sous la douche et nous y prenons un plaisir que je ne connaissait pas. Je
l'enseignerai à ma femme qui jouira comme Mado.