Stephane (2)
Récit érotique écrit par Fredylegay [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-06-2012 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Stephane (2)
Le danseur de ballet
Ce que mon appart a de particulier, c'est cette vue de la ville. J'habite au dernier
étage d'un immeuble et de ce fait, j'ai accès au toit. J'adore m'y rendre le soir pour
regarder la ville dormir. C'est l'endroit idéal pour réfléchir et me défaire du stress
de la journée.
Je m'y rend donc un samedi après midi aux environs de 17h et quelle ne fut ma surprise
de remarquer que quelqu'un d'autre y était aussi. C'était un jeune homme, je dirais
âgé entre 23 et 25 ans. Il avait apporté avec lui une radio qui diffusait de la
musique classique. Je compris vite que c'était un danseur de ballet vue la manière
dont il dansait. Je suis resté un peu à l'écart et je me suis mis à le détailler.
C'était un bel homme au cheveux brun ras sur sa tête. Ses yeux bleus étaient profond
et ses minces lèvres roses me donnaient envie de l'embrasser. Ses bras et ses jambes
étaient musclés pour la danse qu'il pratiquait. Ses joues montraient qu'il s'était
rasé récemment. Il ne portait que pour seul vêtement un collant qui épousait assez
bien la forme de son corps et qui faisait une petite boule entre ses jambes. Torse nu,
je matais ses pectoraux et ses abdos… Un frisson me parcourait tout le corps.
Son regard alla dans ma direction et en moins de deux il m'avait repéré. Loin de
s'arrêter, il continua à danser en me regardant comme seul membre de son public. Quand
la musique finit, il me fit la révérence comme les danseurs sur la scène. Je
l'applaudit et je m'approche de lui.
" J'espère ne pas t'avoir dérangé ou gêné!
- Bien sur que non, j'ai l'habitude d'être observé en dansant. Moi c'est Richard …
Il me tend sa main que je prends. Elle est ferme et chaude. Son corps ruisselle de
sueur et ça m'excite au point que je tarde à répondre.
- Stephan…
- Alors Stephan tu aime le ballet?
- Ben, j'avoue ne pas en être insensible mais c'est pas vraiment mon truc. Tu habite
l'immeuble Richard?
- Oui, je me suis installé ici y a pas une semaine. Je suis au troisième étage.
- Moi suis au dernier: le sixième. Tu danses le ballet depuis quand?
- Cela va faire 10 ans. Certaines personnes pensent que tous les danseurs de ballet
sont des tapettes.
- Et c'est le cas? Demandai-je
- Ils n'ont pas tout a fait raison.
On a rit ensemble. Nous avons commencer à bavarder de tout et de rien histoire de se
connaitre un peu mieux. La nuit commença à tomber. Un vent léger souffla. Richard
proposa d'entrer pour ne pas attraper froid.
- Pourquoi ne pas passer à mon appart? C'est beaucoup plus proche comme ça tu pourras
prendre ta douche et manger avec moi, proposai-je.
- T'en es sur? Ça ne te dérange pas?
- Non, de toute manière j'avais cuisiné pour deux. J'attendais un ami qui ne viendra
plus. C'est la raison pour laquelle je suis monté me changer les idées.
- Bon! Si tu es sur que ça ne te dérange pas … de toute manière il n'y a rien à
manger chez moi.
Il me suis dans les escalier et en moins d'une minute nous étions dans mon appart. Ce
n'était pas trop grand. Il n'y avait que trois pièce: une salle de bain, une cuisine
qui faisait salle-à-manger et salon, une chambre. Je lui indiquai la salle de bain
tandis que je mettais la table. L'appartement étant petit, on pouvait converser
pendant ce temps.
- Richard, tu ne m'a jamais dit comment tu as fait pour découvrir le toit.
- Oh! Mon appart étant étroit, j'ai du mal à m'entraîner. J'ai donc pris les escaliers
jusqu'a ce que j'aboutis au toit.
- D'accord… A part ça? Tu as une petite amie? Lançai-je pour savoir si mon petit
danseur était libre.
- Non.
Je poussai un soupir en moi.
- Et comment est-ce que tu fais pour te … défouler?
- Disons que j'ai mes méthodes à moi.
Sa voix n'était plus dans la salle de bain. Il venait juste d'en sortir. Je le voyais
devant moi, serviette blanche à la taille. Il me demanda si ça me dérangeait qu'il
s'en serve. Je lui répondis que non. Il me demanda la permission de se mettre à table
en serviette. Il n'avait pas envie de remettre ses fringues plein de sueurs. Je lui
répondit que oui.
Il se mit donc à table à coté de moi n'ayant qu'une serviette à la taille pour habit.
Je devinais déjà ce qu'il y avait en dessous et je mourrais d'envi de le lui
arracher...
- Alors Stephan, sa voix me sortit de mes réflexions perverses. T'as une petite amie
toi?
- Euh… non.
- Et comment tu fais pour te défouler?
Il me renvoyait la question. Je lui volai sa réplique.
- Disons que j'ai mes méthodes à moi.
On se mit à rire une fois de plus. Ne sachant pas trop pourquoi. Je lui lançai une
autre phrase.
- Disons que les filles c'est pas trop mon truc.
Il ne sembla pas choqué par ma réponse. J'ai cru qu'il allait ramassé ses affaires et
foutre le camp. Mais bien au contraire, il resta assis près de moi.
- Est-ce que tu veux me dire que ton truc c'est les gars?
- Ouais … Ça te déranges?
- Non… Est-ce que je suis ton genre de mec?
- Ça se pourrait.
L'ambiance de la salle changea. Elle devint plus … chaude.
- Comment ça " ça se pourrait"? As-tu déjà vu un corps aussi beau que le mien? Regarde
donc ma poitrine… quelle belle musculature, hein? Touche pour voir comme c'est ferme.
J'ai eu beaucoup de mal à avaler ma salive. Richard pris ma main et la posa sur sa
poitrine. Je caressais maintenant ses abdos, ses pectoraux, je pinçais ses tétons. Ma
main se frotta avec les poils de son pubis. Et tandis que je glissai la main sous la
serviette, Richard rapprocha son visage du mien et m'embrassa. Sa langue était douce
et très suaves. Ma main elle, caressait une queue demie bandé de belle dimensions.
On se leva et la serviette tomba. Je pus voir la queue que je branlait. Elle était
d'environ 20 cm avec une circonférence de 4 cm. Son gland rose décalotté pointait vers
le haut. Et en bas, de lourdes couilles pendaient. Cette queue ne demandait qu'une
chose: d'être entretenue.
Nous nous dirigeâmes dans la chambre. Là, d'un tour de main habile, Richard m'enleva
les habits. Nous nous retrouvâmes nus à nous rouler des patins d'enfer. On monta sur
le lit. Je baissai la tête pour atterrir entre ses cuisses ou était érigé son membre
que je voulais cajoler. Je pris sa queue en bouche. Elle était tendre et douce. Ses
poils sentaient le savon. J'adorais cette sensation de propreté. Je creusai ma joue,
pinçant mes lèvres et évitant le plus que possible d'y mêler mes dents. Richard aimait
ça. Il me dit que lui aussi il voulait me sucer. Je me plaçai au dessus de lui pour
faire un 69. Quand ma bite entra dans sa bouche, elle était si chaude que j'ai cru que
j'allais juter. Richard savait se servir de sa langue. Il suçait mieux que moi je dois
l'avouer. Il avait sa manière à lui de m'envoyer au septième ciel. Moi, je le suivait
de mon mieux. Je montais et descendais mes lèvres sur sa colonne de chaire tendre
salivant beaucoup. On n' entendait que des bruits de sucions dans cette chambre et des
"hum" de satisfaction.
Je n'ai su me retenir longtemps. Je jutai dans sa bouche tandis que mon corps
tremblait sous ses mains. " On a pas fini" me glissa-t-il à l'oreille. Il me fit
tourner sur moi et je sentis son dard toujours dur pointer sur mes fesses. Je lui
indique où trouver du gel et des préservatifs. Il s'en revêtit et me badigeonna le cul
de gel.
Lentement, très lentement, il pénétra en moi me faisant soupirer à chaque centimètre
qu'il enfonçait. Une fois qu'il fut assez à l'aise en moi il commença un doux va-et-
vient dans mon rectum. Sa verge non seulement longe mais aussi large commençait à me
procurer un plaisir jusque là inconnu. Tant que des larmes sortaient de mes yeux
pourtant en aucun cas je n'avais eu mal. Des bouffées de chaleurs me montaient alors
au visage. Je suais à grosse goutte. Je puais le sexe. Me tenant par la hanche tandis
que j'étais a quatre patte sur le lit, il me ramona le cul à la vitesse grand v. Oh
mon Dieu. Les portes du Nirvana s'ouvrait devant moi et j'y rentrais par le cul.
Jamais ses vingt centimètres ne sortirent de mon cul par un geste maladroit. Vu son
expertise, je n'était pas le premier mec qu'il se tapait ni le dernier. Les pleures ne
suffirent plus. Je prêtai ma voix a la jouissance qui me transcendait. "Ah… T'arrêtes
pas…". Ce ne furent plus des mots qui sortirent de ma bouche mais du bruit. Mon amant
vint me rejoindre dans mon geste. Il râla fort et ses coups de hanches devenaient de
plus en plus violent ce qui me fit mal mais en même temps du bien. Dans un grand cri,
il éjacula en moi, dans la capote. Il s'écroula sur moi et mes bras flageolant ne me
permettaient pas de tenir le poids de nos de corps.
Queue toujours dans mon cul, il me dit dans mon oreille.
" Est-ce que ton genre de mec peut te faire prendre ton pied ainsi?"
En guise de toute réponse je l'ai souri.
Richard s'en est allé deux heures plus tard. Mais avant de partir il m'offrit une
carte pour venir le voir danser à un spectacle de ballet. J'y suis allé. On s'est revu
et on a rebaisé. Je crois que je vous raconterai cette histoire-là une autre fois.
s'il vous plait, laissez moi des coms. :)
Ce que mon appart a de particulier, c'est cette vue de la ville. J'habite au dernier
étage d'un immeuble et de ce fait, j'ai accès au toit. J'adore m'y rendre le soir pour
regarder la ville dormir. C'est l'endroit idéal pour réfléchir et me défaire du stress
de la journée.
Je m'y rend donc un samedi après midi aux environs de 17h et quelle ne fut ma surprise
de remarquer que quelqu'un d'autre y était aussi. C'était un jeune homme, je dirais
âgé entre 23 et 25 ans. Il avait apporté avec lui une radio qui diffusait de la
musique classique. Je compris vite que c'était un danseur de ballet vue la manière
dont il dansait. Je suis resté un peu à l'écart et je me suis mis à le détailler.
C'était un bel homme au cheveux brun ras sur sa tête. Ses yeux bleus étaient profond
et ses minces lèvres roses me donnaient envie de l'embrasser. Ses bras et ses jambes
étaient musclés pour la danse qu'il pratiquait. Ses joues montraient qu'il s'était
rasé récemment. Il ne portait que pour seul vêtement un collant qui épousait assez
bien la forme de son corps et qui faisait une petite boule entre ses jambes. Torse nu,
je matais ses pectoraux et ses abdos… Un frisson me parcourait tout le corps.
Son regard alla dans ma direction et en moins de deux il m'avait repéré. Loin de
s'arrêter, il continua à danser en me regardant comme seul membre de son public. Quand
la musique finit, il me fit la révérence comme les danseurs sur la scène. Je
l'applaudit et je m'approche de lui.
" J'espère ne pas t'avoir dérangé ou gêné!
- Bien sur que non, j'ai l'habitude d'être observé en dansant. Moi c'est Richard …
Il me tend sa main que je prends. Elle est ferme et chaude. Son corps ruisselle de
sueur et ça m'excite au point que je tarde à répondre.
- Stephan…
- Alors Stephan tu aime le ballet?
- Ben, j'avoue ne pas en être insensible mais c'est pas vraiment mon truc. Tu habite
l'immeuble Richard?
- Oui, je me suis installé ici y a pas une semaine. Je suis au troisième étage.
- Moi suis au dernier: le sixième. Tu danses le ballet depuis quand?
- Cela va faire 10 ans. Certaines personnes pensent que tous les danseurs de ballet
sont des tapettes.
- Et c'est le cas? Demandai-je
- Ils n'ont pas tout a fait raison.
On a rit ensemble. Nous avons commencer à bavarder de tout et de rien histoire de se
connaitre un peu mieux. La nuit commença à tomber. Un vent léger souffla. Richard
proposa d'entrer pour ne pas attraper froid.
- Pourquoi ne pas passer à mon appart? C'est beaucoup plus proche comme ça tu pourras
prendre ta douche et manger avec moi, proposai-je.
- T'en es sur? Ça ne te dérange pas?
- Non, de toute manière j'avais cuisiné pour deux. J'attendais un ami qui ne viendra
plus. C'est la raison pour laquelle je suis monté me changer les idées.
- Bon! Si tu es sur que ça ne te dérange pas … de toute manière il n'y a rien à
manger chez moi.
Il me suis dans les escalier et en moins d'une minute nous étions dans mon appart. Ce
n'était pas trop grand. Il n'y avait que trois pièce: une salle de bain, une cuisine
qui faisait salle-à-manger et salon, une chambre. Je lui indiquai la salle de bain
tandis que je mettais la table. L'appartement étant petit, on pouvait converser
pendant ce temps.
- Richard, tu ne m'a jamais dit comment tu as fait pour découvrir le toit.
- Oh! Mon appart étant étroit, j'ai du mal à m'entraîner. J'ai donc pris les escaliers
jusqu'a ce que j'aboutis au toit.
- D'accord… A part ça? Tu as une petite amie? Lançai-je pour savoir si mon petit
danseur était libre.
- Non.
Je poussai un soupir en moi.
- Et comment est-ce que tu fais pour te … défouler?
- Disons que j'ai mes méthodes à moi.
Sa voix n'était plus dans la salle de bain. Il venait juste d'en sortir. Je le voyais
devant moi, serviette blanche à la taille. Il me demanda si ça me dérangeait qu'il
s'en serve. Je lui répondis que non. Il me demanda la permission de se mettre à table
en serviette. Il n'avait pas envie de remettre ses fringues plein de sueurs. Je lui
répondit que oui.
Il se mit donc à table à coté de moi n'ayant qu'une serviette à la taille pour habit.
Je devinais déjà ce qu'il y avait en dessous et je mourrais d'envi de le lui
arracher...
- Alors Stephan, sa voix me sortit de mes réflexions perverses. T'as une petite amie
toi?
- Euh… non.
- Et comment tu fais pour te défouler?
Il me renvoyait la question. Je lui volai sa réplique.
- Disons que j'ai mes méthodes à moi.
On se mit à rire une fois de plus. Ne sachant pas trop pourquoi. Je lui lançai une
autre phrase.
- Disons que les filles c'est pas trop mon truc.
Il ne sembla pas choqué par ma réponse. J'ai cru qu'il allait ramassé ses affaires et
foutre le camp. Mais bien au contraire, il resta assis près de moi.
- Est-ce que tu veux me dire que ton truc c'est les gars?
- Ouais … Ça te déranges?
- Non… Est-ce que je suis ton genre de mec?
- Ça se pourrait.
L'ambiance de la salle changea. Elle devint plus … chaude.
- Comment ça " ça se pourrait"? As-tu déjà vu un corps aussi beau que le mien? Regarde
donc ma poitrine… quelle belle musculature, hein? Touche pour voir comme c'est ferme.
J'ai eu beaucoup de mal à avaler ma salive. Richard pris ma main et la posa sur sa
poitrine. Je caressais maintenant ses abdos, ses pectoraux, je pinçais ses tétons. Ma
main se frotta avec les poils de son pubis. Et tandis que je glissai la main sous la
serviette, Richard rapprocha son visage du mien et m'embrassa. Sa langue était douce
et très suaves. Ma main elle, caressait une queue demie bandé de belle dimensions.
On se leva et la serviette tomba. Je pus voir la queue que je branlait. Elle était
d'environ 20 cm avec une circonférence de 4 cm. Son gland rose décalotté pointait vers
le haut. Et en bas, de lourdes couilles pendaient. Cette queue ne demandait qu'une
chose: d'être entretenue.
Nous nous dirigeâmes dans la chambre. Là, d'un tour de main habile, Richard m'enleva
les habits. Nous nous retrouvâmes nus à nous rouler des patins d'enfer. On monta sur
le lit. Je baissai la tête pour atterrir entre ses cuisses ou était érigé son membre
que je voulais cajoler. Je pris sa queue en bouche. Elle était tendre et douce. Ses
poils sentaient le savon. J'adorais cette sensation de propreté. Je creusai ma joue,
pinçant mes lèvres et évitant le plus que possible d'y mêler mes dents. Richard aimait
ça. Il me dit que lui aussi il voulait me sucer. Je me plaçai au dessus de lui pour
faire un 69. Quand ma bite entra dans sa bouche, elle était si chaude que j'ai cru que
j'allais juter. Richard savait se servir de sa langue. Il suçait mieux que moi je dois
l'avouer. Il avait sa manière à lui de m'envoyer au septième ciel. Moi, je le suivait
de mon mieux. Je montais et descendais mes lèvres sur sa colonne de chaire tendre
salivant beaucoup. On n' entendait que des bruits de sucions dans cette chambre et des
"hum" de satisfaction.
Je n'ai su me retenir longtemps. Je jutai dans sa bouche tandis que mon corps
tremblait sous ses mains. " On a pas fini" me glissa-t-il à l'oreille. Il me fit
tourner sur moi et je sentis son dard toujours dur pointer sur mes fesses. Je lui
indique où trouver du gel et des préservatifs. Il s'en revêtit et me badigeonna le cul
de gel.
Lentement, très lentement, il pénétra en moi me faisant soupirer à chaque centimètre
qu'il enfonçait. Une fois qu'il fut assez à l'aise en moi il commença un doux va-et-
vient dans mon rectum. Sa verge non seulement longe mais aussi large commençait à me
procurer un plaisir jusque là inconnu. Tant que des larmes sortaient de mes yeux
pourtant en aucun cas je n'avais eu mal. Des bouffées de chaleurs me montaient alors
au visage. Je suais à grosse goutte. Je puais le sexe. Me tenant par la hanche tandis
que j'étais a quatre patte sur le lit, il me ramona le cul à la vitesse grand v. Oh
mon Dieu. Les portes du Nirvana s'ouvrait devant moi et j'y rentrais par le cul.
Jamais ses vingt centimètres ne sortirent de mon cul par un geste maladroit. Vu son
expertise, je n'était pas le premier mec qu'il se tapait ni le dernier. Les pleures ne
suffirent plus. Je prêtai ma voix a la jouissance qui me transcendait. "Ah… T'arrêtes
pas…". Ce ne furent plus des mots qui sortirent de ma bouche mais du bruit. Mon amant
vint me rejoindre dans mon geste. Il râla fort et ses coups de hanches devenaient de
plus en plus violent ce qui me fit mal mais en même temps du bien. Dans un grand cri,
il éjacula en moi, dans la capote. Il s'écroula sur moi et mes bras flageolant ne me
permettaient pas de tenir le poids de nos de corps.
Queue toujours dans mon cul, il me dit dans mon oreille.
" Est-ce que ton genre de mec peut te faire prendre ton pied ainsi?"
En guise de toute réponse je l'ai souri.
Richard s'en est allé deux heures plus tard. Mais avant de partir il m'offrit une
carte pour venir le voir danser à un spectacle de ballet. J'y suis allé. On s'est revu
et on a rebaisé. Je crois que je vous raconterai cette histoire-là une autre fois.
s'il vous plait, laissez moi des coms. :)
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