Stephane (3) - histoire érotique

Mes premiers ébats homosexuels

Salut. Je suis Stéphane. Laissez-moi vous raconter mes premières fois dans le sexe
homosexuel. Cela c'est passé lors de mes seize ans avec mon meilleur ami de l'époque:
Alex.
Noir, plus haute taille que moi, peu musclé, bien qu'il fusse une bonne personne, il
n'attirait pas vraiment les filles. Les filles de cette époque étaient attirés par les
mauvais garçons sportifs ou les mauvais garçons riches. Alex ne rentrait donc jamais
dans les critères de sélection des filles puisque c'était un beau garçon - ça oui,
avec une belle gueule d'ange - mais gentil…
A cette époque, quand on a seize ans et qu'on est toujours puceau c'était un problème
et on commencerait à douter de soit. C'est ce qui est arrivé à Alex. On passait des
nuits et des nuits a en parler. Moi je l'entendais se plaindre et je le conseillais
parce que je l'aimais en tant qu'ami et que j'étais aussi tomber amoureux de lui. Mais
comment franchir le pas pour ne pas fragiliser notre amitié? Cela releva du hasard…
On avait l'habitude lui et moi de passer la nuit ensemble soit chez lui soit chez moi.
Cela ne dérangeait en rien nos parents qui parfois passait la nuit dehors nous
laissant seuls à la maison. Nous avions toute la maison pour nous car tous deux nous
étions enfants uniques. Un soir tandis que nous étions nus et que l'on matait un porno
dans ma chambre, il s'interrompit dans sa branlette et me dit:
" Ca ne te dérange pas toi d'être toujours puceau à 16 ans?
Moi aussi j'étais puceau, je n'y accordais pas assez d'importance mais parfois je
brulais d'envi de me faire prendre par un mec. Mais ce dernier détail je le gardais
pour moi.
- Ben… Parfois.
- Alors pourquoi on ne le fait pas entre nous?
Quoi? Qu'est-ce qu'il venait de dire? Venait-il de me proposer de faire l'amour, lui
que je désire depuis si longtemps?
- Mais qu'est-ce que tu racontes Alex?
- Allez! Je sais la vérité. Je sais que tu es gay. Je le sais depuis longtemps.
Rassure toi, cela ne me dérange pas. T'es mon ami…
Je venais tout juste de me faire démasquer par mon meilleur ami. Tenter de nier serait
lui mentir et ne pas savoir ce qui allait se passer. Je n'ai pas eu le temps de dire
quoique ce soit qu'il rapprocha ses lèvres de mon oreille et me susurra.
- Entre amis on se rend service.
La main droite d'Alex vint me caresser la joue et nos lèvres se collèrent les unes aux
autres d'elles mêmes. Nous échangeâmes tous les deux notre premier baiser. Les choses
s'enchainèrent plus rapidement que je ne l'ai cru. Tandis qu'il m'embrassait, Alex
faisait glisser ses mains sur mon torse. Une d'entre elles descendit plus bas sur mon
bas-ventre et la saisit pour la branler. Cela me plaisait. Je me sentis obliger de
faire de même. Il avait peut-être seize ans, mais sa pine était aussi développer qu'un
mec de 20 ans - c'est un noir, c'est normal-. Je la revois encore cette longue pine
noire, assez épaisse pour son jeune âge et les grosses couilles qui pendouillaient. Je
branlais donc délicatement Alex tandis que nous nous embrassions. Il appréciait mes
caresses. D'une voix quasi autoritaire il m'ordonna de me mettre sur le ventre, de
tendre mon cul et de bien écarter mes fesses.
Je savais ce qu'il allait se passer. J'en rêvais depuis des nuits. Mais j'avais tout
de même peur, c'était ma toute première fois avec un homme; en plus qu'il s'agissait
d'un homme qui ne s'y connaissait pas.
Quand je sentis son gland se présenter sur ma rosette - imberbe à l'époque- mon cœur
s'affola et je sentis mon anus se resserrer.
- Calme-toi, me dit mon amant.
J'essayai de me calmer et au moment où je m'attendais le moins, son gland força
l'entré de mon antre. Comme je ne m'étais pas préparé à recevoir une pine je ressentis
une violente douleur, ce qui me fit poussé un léger cri. Il s'en aperçu. Il arrêta de
bouger pendant quelques instant puis il entama un va et viens en moi. La douleur était
toujours là et je la sentais de temps en temps se raviver.
- Aïe ! Ça fait mal Alex. Arrête-toi.
- Ça va passer, tu verras.
J'ai attendu que cela passe. Mais cela n'a pas passé et durant tout notre ébat
sexuelle j'endurais la douleur jusqu'à ce qu'il éjacule en moi. Il s'écroula sur moi,
ravi de s'être dépuceler même si ça a été avec un garçon. Mais moi. J'avais gardé une
mauvaise impression.
Je passai la semaine qui suivit à évité Alex. Premièrement parce qu'il savait la
vérité a propos de moi et qu'on en a pas encore vraiment parler. Deuxièmement parce
que j'étais en colère qu'il soit le seul à avoir pris son pied lors de notre première
fois. Ce n'est que dimanche après-midi que je le vis se présenter chez moi. Il avait
remarqué mon éloignement et il avait aussi comprit la raison de mon acte.
- Ecoute. Pour me faire pardonner j'aimerais te refaire l'amour. Je l'ai beaucoup de
truc à ce sujet durant toute la semaine et je te promets de te faire du bien.
Je ne sais pas pourquoi mais je lui ai fait confiance. En moins de deux minutes nous
nous retrouvèrent tous les deux nus dans mon lit entrain de nous embrasser. Sa main
descendit sur mon torse, traversa mon ventre et atterrit sur mon entre-jambe. Il se
mettait à me branler avec beaucoup de passion et de douceur. Je sentais tout le sang
de mon organisme descendre sur mon membre hypertendu. Il abandonna mon sexe. Il alla
fouillé dans son sac puis revint avec une bouteille contenant un liquide à l'aspect
gélatineux. Il s'enduit les doigts de gel puis les présenta à mon anus. Je frémis
quand il s'introduit en moi. Je n'avais pas mal du tout. Alex me doigtait. Je sentais
ses doigts entrer et sortir en moi, gigoter, titiller ma prostate. Je commençais
réellement à éprouver du plaisir. Il mit un troisième doigt et commença à décrire des
cercles avec.
Nous passâmes près de quarante minutes à nous embrasser tandis que Alex me doigtait.
J'en voulais plus. Mon cul en voulait plus. D'une voix sourde et cochonne je suppliai
de me prendre car je voulais plus. Alex fut étonné et ne se fit pas prié.
Cette fois-ci je fus allongé sur le dos, les jambes repliés, je regardais Alex
accomplir sa besogne. Le gel et la dilatation des doigts ne m'ont fait ressentir
aucune peine. Je prenais correctement mon pied. Je sentais chaque centimètre de sa
queue entrer en moi et je sus qu'il fut totalement en moi quand je sentis sa bourse
claquer mes fesses tandis qu'il me ramonait le cru. C'était maintenant des cris de
joie qui s'échappait de ma bouche. Je du m'accrocher au rebord du lit pour ne pas que
ses mouvements de reins ne m'expulsent pas hors du lit.
Le plaisir se consumait dans nos deux corps et dans un dernier coup de rein Alex
expulsa sa semence en moi. Je sentais le sperme baigner mon rectum. Et sans que je ne
me touche. Un filet de sperme s'échappa de mon gland et vit tomber sur mon torse. Je
venais vraiment de gouter au plaisir de la sodomie.
Ce n'était pas la première fois où je faisais l'amour, mais c'était la première fois
où j'éprouvais du plaisir. Et c'était mon meilleur ami qui me le procurait.
Après cette baise torride. Alex a commencé à devenir le mauvais garçon dont rêvent
tant les filles de notre époque. Après l'école on ne s'est plus jamais revu. 10 ans
après, il aura à se marier avec Coralie, une gentille petite fille. Je serai le garçon
d'honneur. Lors de la réception il me tirera à part et me glissera à l'oreille:
" Merci beaucoup Stéphane. T'es la personne qui m'a dépucelé et qui m'a introduit au
sexe. Je te dois une fière chandelle mon ami."

Il est devenu ensuite un mari extraordinaire et un père idéale. Il passera bien sur me
voir quand ça ira mal au foyer.

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