Stephane (5) - histoire érotique

Mon nouvel appartement.

Salut, je suis Stéphane. Je suis gay depuis mes seize ans et je ne compte pas arrêter
de l'être. Cela fait quelque mois que je publie sur ce site des aventures qui me sont
arrivés et aujourd'hui je vais vous en raconter une autre.
Le week-end dernier, j'ai reçu la visite de mes parents. C'est la première qu'ils on
fait le déplacement pour venir me voir; d'habitude c'est moi qui vais à la maison pour
Noel, le Nouvel An, mon anniversaire … Passons.
Je les ai reçu dans mon modeste studio. Ma mère m'a demandé pourquoi je vivais ici, je
lui ai répondu que c'est le meilleur endroit que je puisse payer avec le maigre argent
de poche que m'envoie mon père. Après un blablabla avec ce dernier, ma mère m'annonce
que mon argent de poche à été augmenter et que bientôt je devrais déménager.
Le nouvel appart a été choisi avec Augustin -pour ceux qui ne le savent pas, Augustin
est un ami avec qui j'ai un plan cul régulier-. C'est beaucoup plus spacieux que
l'ancien et aussi, il est plus proche de la ville et des lieu que je fréquente. Adieu
quartier mal famé! Bonjour la vie !
J'ai déménagé avant hier. Et c'est là que mon récit érotique commence.
J'ai empilé toute mes affaires dans du carton: mes livres, mes vêtements, mes objets
personnels et mes sex-toys. Ces derniers je les ai mis dans une boite spécial que je
me suis assuré de ne pas perdre de vue. Augustin étant occupé, c'est avec un ami de la
fac que j'ai fait le déplacement surtout qu'il avait une voiture. Il s'appelle
Giovanni. De taille moyenne, yeux verts, blond avec la queue de cheval, ses racines
italienne lui donne exotique que j'apprécie bien. Giovanni et moi somme juste amis,
mais les circonstances allaient nous rapprocher.
Une fois arrivé à destination, nous déchargeâmes a nous deux sa voiture que j'avais
rempli de cartons. L'allée-retour était épuisant et quand nous vîmes qu'il ne restait
presque plus rien nous fume heureux. C'est Giovanni qui apportât les derniers paquets
qu'il restait. Il les avait mis tous les trois l'un sur l'autre et tout au haut de la
pile il y avait le carton de sex-toy. Giovanni ignorait que j'étais gay et je me
demandais quelle tête il ferait quand il le saura.
Pour mon grand malheur ou mon grand bonheur, Giovanni trébucha et mon carton de jeux
sexuel s'étala parterre. Nous étions dans le salon quand ceci se passa et moi j'étais
en face de lui. Gêné, je n'osais pas bouger. Giovanni se releva et je vis ses yeux
s'arrondir en voyant le contenu de mon paquet.
" Et bien Stéphane … C'est quoi tout ça?
- Je suis gay. Tu ne le savais pas?
- Gay? Ah bon? Qui l'aurait cru?
- Bien … Je ne le cache pas mais je ne le crie pas sur tous les toits… Ça te dérange?
- Non. J'ai toujours voulu faire l'amour avec un mec. Il faut dire que je suis bien
tombé vu que je ne connais pas beaucoup de gay dans mon entourage.
- Wow! Et dire que moi aussi je mourrais d'envi de savoir ce qu'il y a dans ton
caleçon.
- Ça te dirait qu'on baise tous les deux… ici… maintenant?
Tout en disant cela, il se rapprochait de moi. Il est maintenant face à moi et je sens
son souffle sur mon visage.
- Pourquoi pas?
Je n'eu pas à fermer la bouche, il la remplissait déjà avec sa langue . Nous nous
embrassâmes fiévreusement. Ses mains se baladait partout sur mon corps et quand il
arriva a mes fesses, il se mit à les pétrir. Je sentais son sexe dur se frotter le
long de ma cuisse. Nous n'en pouvions plus. Je tâtonnai pour trouver le verrou de ma
chambre et une fois à l'intérieur nous nous jetâmes sur le lit.
Nous nous embrassions toujours. Il embrasse bien. J'aimais le gout de sa langue. Je le
roulai sur le dos puis je m'assis en califourchon sur lui. Son sexe bien dur était
contre ma raie et je bougeait du rein afin de l'exciter. Nous fumes en sueurs. J'ôtai
mon maillot et il en fit de même. Toujours moi sur lui, je caressais son torse bronzé
et musclé qu'il avait l'habitude d'exhiber quand nous allions à plage. Je le sentais
frissonner sous mes mains. Je pinçai ses tétons durcit et il lâcha un soupir.
Giovanni avait posé ses mais sur ma hanche et les descendait jusqu'a ce qu'il glisse
sa main sous mon jean pour me masser les fesses. Il avait envi de moi. Je ne le fis
pas attendre. Mes doigts abandonnèrent ses seins pour défaire le boucle de son
pantalon. Je du me lever de lui pour lui enlever son pantalon complètement le laissant
rien qu'avec un boxer déformer par une érection monstrueuse. Il m'enleva aussi le
pantalon et resta en admiration devant moi ne portant qu'un slip moulant noir.
Il me renversa et je tombai sur le dos. Il m'embrassait goulument en frottant son
sexe contre le mien. Il était tout dur et je le devinais large. Sa bouche laissa la
mienne pour descendre le long de mon cou. Il m'y fit plein de bisous ce qui me fit
frémir car j'étais très sensible au niveau du cou. Je lui caresse le dos tandis qu'il
me prodigue de plus douce caresse. Sa langue descendait sur mon torse. Ses lèvres
entourèrent mon téton gauche et qu'il se mit à sucer. Quand il planta ses dents
dedans, se sont mes ongles que je plantai dans son dos. Je ne m'en étais pas rendu
compte. Cela ne le déplaisait pas.
Sa bouche se descendit encore jusque vers mon nombril où il commençait à me faire des
petits baisers. Il descendit jusqu'a mon pubis imberbe. Lentement, il me défit de mon
slip et libera mon sexe de 19 cm qui se dressa devant lui. Il le regarda avec beaucoup
d'admiration. Contre toute attente il tendit sa langue pour recueillir le liquide
séminal qui s'échappait du méat de mon sexe. Le contacte humide de sa langue fit
tressauter mon sexe. Giovanni mis timidement mon sexe dans sa bouche et commença a me
suçoter le gland. Je cambrai mon dos tellement que c'était bon. On aurait dit qu'il a
passé toute sa vie à sucer des mecs. Il descendait ses lèvres maintenait sur toute ma
tige et remontait en serrant le plus que possible ses lèvres. Pour une pipe, ce fut
toute une pine. Il m'ôta de sa bouche pour venir lécher mes couilles rasées elles
aussi. Mon gland était tout rouge et gonflé de sang. Il vint me reprendre en bouche
pour achever ce qu'il avait commencé. D'une main il me branlait tout en me suçant et
de l'autre il me doigtait. J'étais aux anges et pas trop loin du septième ciel. C'est
dans un cri totalement féminin que je jutai. Il avait retiré mon sexe à temps de sa
bouche et mon sperme tomba sur mon torse.
Giovanni regarda étrangement ce liquide crémeux sur mon torse. Il se pencha dessus
puis le lécha et l'avala.
" C'est pas si terrible que je ne le pensais, me laissa-t-il entendre. T'as des
capotes?
- Ouais. Dans la boite.
- Je vais la chercher."
Il revint la boite sous le bras. Nous primes des condoms et du gel. Apres lui avoir
indiqué comment me préparer, il décida à baisser son boxer. Je vis son sexe pour la
première fois. Il étais tout rose. Il doit faire dans les 21 cm avec un gland large et
bien gonflé. Il le présente à ma bouche et je le suçai. Sa queue avait un gout de
propreté. Je jouais ma langue autour de son gland.
Il se retira et enfila un préservatif. Il me mit un oreiller sous le bassin et me fit
écarter totalement les jambes. Sans gland chatouillait ma rosette. Puis, délicatement,
il la forçat à entrer. Ce fut un peu douloureux vu la largeur de son gland mais en
appuyant plus il finit par tout rentrer.
Une fois habitué par sa présence en moi, je lui demandai de commencer sa besogne. Il
débuta tendrement son va-et-vient en faisant entrer et sortir complètement sa verge en
moi. Je sentais ses couilles légèrement poilu me chatouiller le cul. Ses coups de
boutoir devenais de plus en plus rapide, puissant. Je sentais son gland fouiller
l'intérieur de mon rectum. Sa tige frottait ma prostate décrochant à chaque fois un
râle de ma part. Je n'en pouvais plus. Je sentais des bouffées de chaleur me monter au
visage. Cette chaire qui me lime le cul me fait beaucoup de bien. Giovanni s'accrocha
au bord du lit pour avoir du support. Son visage en haut du mien je voyais tout le
plaisir qu'il ait pu ressentir. Je tournai ma tête du coté droit et je vis le miroir
qu'il y avait en face de mon lit. je vis le reflet de mon partenaire du moment de dos
et ses fesses remuer, cela me fit rire un peu.
Tout d'un coup, Giovanni se retira de moi. Il enleva la capote et se branla sur mon
visage. Je compris ce qu'il allait faire: éjaculer sur mon visage. C'était la première
fois que j'allais recevoir du foutre en pleine face. Les premières giclées
s'éclaboussèrent sur ma joue. C'était chaud, crémeux… Il jouit abondamment sur tout
mon visage. Et quand il eut finit, avec sa langue il me nettoya la face. On s'échangea
un baiser ou je pus gouter au reste de son foutre qu'il gardait en bouche.
On se coucha tout nu l'un contre l'autre. Il passait ses doigts dans ma chevelure.
Nous étions comme deux amants après une séance de baise.
" Tu as aimé? Lui demandai-je.
- Oh que si… Maintenant j'aimerais que tu me prennes.
- Tu es sur de toi?
- Oui. J'y ai réfléchi depuis longtemps. Je crois que je suis prêt maintenant. Et puis
se serait égoïsme de ma part de ne pas te faire profiter du plaisir que j'ai pris.
- J'en ai pris moi aussi. Tu sais l'anus et le rectum sont des zones érogènes eux
aussi. Et je vais te montrer le plaisir que l'on prend avec son cul.
Je pris du gel. Beaucoup de gel. Je lui badigeonnai le trou, puis avec un doigt je le
pénétrai. Il était étroit. Très étroit. Il était vraiment vierge du cul. Je
l'embrassai pour le détendre. Sa rose s'ouvrait maintenant. J'en profitai pour lui en
mettre un deuxième. Je le limais le cul avec mes doigts. Il bougeait ses reins signe
qu'il aimait. Je tentai un troisième doigt qui eut un peu de difficulté à entrer.
Quand je le sentis prêt, je rajoutai du gel. Je me penchai sur lui pour l'embrasser et
sans qu'il s'en rende compte je me plongeai dans ses entrailles.
Il poussa un cri qui fut étouffé par mon baiser. Je restai un moment immobile en lui,
le temps qu'il s'habitue à ma présence en lui. Je me mis ensuite à bouger timidement
des reins. Je me remuai lentement ma verge dans son cul. Il avait mal au début, mais
ensuite je vis son visage se détendre. Ce fut le moment que j'attendais pour m'activer
beaucoup plus vite en lui. On n'entendais dans la salle que le grincement du lit.
Puis, Giovanni poussa ses premiers couinements- comme une fille il faut dire. Il
prenait son pied.
Nous changeâmes de position. Giovanni se mit à quatre patte au bord du lit. Moi,
debout derrière lui, je m'agrippai tantôt à sa hanche tantôt à ses épaules. Puis, je
ne sais pas pourquoi, je nouai ses cheveux blond à ma main et je tirai dessus. Cela eu
pour effet qu'il se cambre pour que je l'encule mieux. Il ne me fallu pas longtemps
pour que je jute dans ses entrailles. Je m'affaissai sur lui et nous roulâmes dans le
lit nous échangeant de chaudes pelles et des mots d'amour. Giovanni resta deux heures
puis s'en alla en me disant :
" J'espère que cela restera entre nous.
- D'accord. Bien sur"
Je passai le reste de la journée à arranger mon appart. C'était mon nouveau chez moi.
Tard dans l'après-midi Augustin vint me voir. A peine que je lui ouvrit la porte qu'il
m'embrassa à même la bouche.
" Alors, tu t'es bien installé?
- Oui. Je me sens comme chez moi maintenant.
- Et si inaugurait ton appart par sa première séance de baise…
- T'arrive trop tard. C'est déjà fait.
- Ah bon?! Et avec qui?
- Tu ne devineras jamais… Giovanni… Mais chut !! J'ai dit que je n'en parlerai à
personne."

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