Sur le capot de ma caisse - histoire érotique

J'ai rencontré Seb voilà quelques mois suite à une annonce qu'il avait passée sur un site ou il disait en substance: «Bi-beur passif recherche homme mur pour le sucer et première expérience. Préférence sexe épais».
Nous nous étions rencontré un soir dans un petit bois et il m'avait sucé maladroitement je dois bien l'avouer par contre, je n'avais pas pu lui donner son compte, car trop étroit. Malgré le gel et les doigts, rien n'y avait fait. Il avait kiffé par contre notre échange. Il a 29 ans est brun, carré un peu rond 1,70 pour 80 kilos, une paire de fesses large, type sportif rugbyman, et une petite queue de 15 cm. Moi j'ai 50 ans un peu rond, crane dégarni, très poilu type bear et un sexe de 19x5. Nous sommes resté en contact par mail et deux mois plus tard, nous nous sommes revu et là j'ai pris un grand plaisir à l'initier à la sodomie. Nous avions fait cela en plein mois de Décembre dans la voiture au bord d'un étang. Une première pour moi. J'étais allé le chercher et il m'avait sucé pendant que je conduisais. Et il avait fait d'énormes progrès. Coups de langue expert, et bouche de velours. Il tétait bien. J'avais donc dépucelé Seb sur le fauteuil arrière de ma petite Fiat. Et il s’était limé tout seul en venant s'asseoir sur moi.

Que ces fesses étaient bonnes. J'avais gardé ce souvenir. Hier il me contacte à nouveau et me dit qu'il est en manque et dispo le soir car sa meuf rentre vers 22 heures. Je note son adresse car il me propose de faire cela dans sa cave. J'arrive à l'heure convenue, il m'attend et me dit ne pas avoir la clé de la cave sur son trousseau. Qu'à cela ne tienne, je lui propose de le faire dans la voiture dans un coin retiré de la ville. Nous voilà partis. Il vient poser sa main gauche sur mon entrejambe pendant que je conduis. Il m'en faut pas plus pour démarrer au quart de tour. Ma queue durcie dans mon boxer. Je profite d'un feu pour faire sauter la boucle de ceinture du fut et pour ouvrir les boutons de braguette. Seb recule le fauteuil avant passager se met à genoux et vient poser sa bouche sur mon sexe. Je commence par quelques soupirs prélude du plaisir de sentir mon sexe durcir davantage dans sa bouche. Sa langue y va tout doucement et c'est très bon. Il sait manifestement y faire désormais. Il doit certainement avoir d'autres expériences. Même s'il me dit qu'il ne voit que moi pour ce type de plan, j'ai du mal à le croire.

Sa bouche monte et descend sur mon sexe, et je dois rester concentré sur ma conduite. Ce n'est pas l'envie qui me manque d'appuyer sur sa nuque pour l'obliger à prendre ma queue en gorge profonde. Mais la situation ne le permet pas. Nous arrivons après quelques détours à l'entrée du chemin d'un petit bois assez isolé des habitations. Par contre ce bois est parfois emprunté par des joggers. Nous allons devoir rester vigilant car il est 21 heures et le jour ne commence qu'à baisser. J’arrête le moteur. Seb me demande si on reste à l'avant ou si nous passons derrière. Aucune voiture n'étant stationnée ici,nous choisissons la seconde solution.
Ni une ni deux nous avançons les fauteuils avant et les rabattons pour avoir davantage de place à l’arrière du véhicule. Nous passons à l'arrière, Sébastien se déloque et il vient reprendre ma queue en bouche alors que je tâte son fessier.
J’attrape sa queue mais comme d'habitude il ne bande pas, ou si peu. Il ne bande qu'avec une meuf me dit il toujours. Ce qui l'excite avec un mec, c'est de sucer un large gland et de se faire sodomiser. Mes doigts titillent sa rondelle et déjà il gémit d'impatience. Il a commencé le boulot avant de partir. Il a du se goder et bien s’enduire de gel. Mes doigts l'excitent tant qu'il vient s'asseoir sur mon vit. Ma queue s'insinue dans son fessier. C'est lui qui décide de la pénétration. Il reste prudent et descend tout doucement centimètre par centimètre en lançant des murmures au fur à mesure que mon pieux le pénètre. C'est fait ses fesses touchent mes burnes. Je suis entièrement en lui. Il a positionné ses mains de chaque coté de mes cuisses et le voilà qui monte et qui descend, d abord en douceur puis avec un rythme plus saccadé et rapide.

Il adore se limer comme ça. Mais cette fois ci ce n'est pas lui qui mène la danse. Je m’arque boute et donne de puissants coups de reins. Il me dit sentir une gène et se relève. Je prends un sachet de gel et ré enduit son conduit anal. Il se met à genoux sur la banquette arrière, son torse penché sur la plage arrière. Seb veut être pris en levrette. J'avoue que la position est inconvenante dans un si petit espace. Je suis debout et vient plaquer mon sexe contre lui. Mon torse est penché pour pouvoir tenir la hauteur de l'habitacle. Je mène désormais le rythme, mais il est très déchaîné et son cul bouge de gauche à droite pour bien emprisonner ma queue. J'avoue que je kiffe quand le mec contracte comme cela son anneau anal pour mieux sentir mon sexe. La voiture est remplie de buée, il fait une chaleur torride à l'intérieur. Tout comme notre baise qui elle aussi est torride. J'entre ouvre la portière. Je dé-cule et Seb change de position et vient désormais s'appuyer sur le dossier du fauteuil avant pour m'offrir sa croupe.
Je repars à l'assaut et m'active en de puissants va et vient. Il couine enfin. Mais c'est inconfortable. Il me dit: «viens on va à l'extérieur». Et il sort, il faut dire que pour lui c'est facile il n'a fait que baisser son jean et son boxer donc à la moindre alerte il remonte tout très vite. Moi je vais pas pouvoir sortir le boxer et le fut en bas des jambes. Je les ôte dans la caisse, je remets mes chaussures et me voilà sorti la pine à l'air. En plus il ne fait pas très chaud. Il se positionne sur le capot avant de la voiture, me présentant sa croupe.

Alors là mon garçon, tu vas prendre cher, me dis je intérieurement. Mon zob n'a pas frémi il est toujours aussi ferme malgré le temps de se déloquer. Et je le prends cette fois ci sans ménagement. Et il frétille encore et toujours de la croupe. Il va et vient dans le sens inverse au rythme de mes pénétrations. Je maintien ses hanches. Il couche son ventre sur le capot. C'est la première fois que je fais un truc pareil. Et je scrute tout autour et cela m'excite grave. La peur d’être surpris et le fait de péter le cul de mon partenaire dans ces lieux en pleine nature mais tout prés de la ville, ça me booste.
Mon naturel reprend le dessus et je me mets à lui dire que c'est une belle petite salope qui aime trop la bite, et que je vais le doser. Il me réponds « oui, donnes moi ton jus, je veux que tu me baises à fond.»
Je passe ma main sur son torse en relevant son pull et vient lui titiller les mamelons. Il doit se branler car je sens que sa main à pris sa bite et la secoue. Et il bouge toujours ses fesses de droite à gauche sous mes coups de butoir. Je ralentie la cadence car je sens que je ne vais pas tarder. Et je repars à l'assaut pour le bouquet final. Oh putain, je sens que ma queue s'irradie, le plaisir monte le jus arrive. Encore quelques assauts virils et je lâche la purée. Et je pousse un cri de contentement au moment ou j'expulse mon jus. Trop bon, cette délivrance, je reste quelques minutes en lui et redonne quelques coups saccadés pour ne pas débander. Seb est affalé, repus et heureux sur le capot. Il a particulièrement aimé me dit-il. Je me retire et il me demande si je veux remettre ça. Gourmand le garçon, je n'ai pas cette capacité physique de repartir à l'assaut dans l'immédiat. Quand le partenaire est recto verso on peut plus facilement récupérer mais là j'avoue qu'il m'a vidé. Quand il se redresse j'observe une large tache blanchâtre sur la calandre, il a du jouir en même temps que moi. Je me rajuste et le ramène là ou je l'avais pris.
Ma meuf est absente toute la semaine prochaine si tu veux, j'aurais plus de possibilités et j'aimerais remettre ça. Dit-il
On s'envoie un mail et on avise. Ce sera avec grand plaisir.